Jusqu’à la dernière goutte (suite de Sentier glissant)

- Par l'auteur HDS phidnsx -
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Récit libertin : Jusqu’à la dernière goutte (suite de Sentier glissant) Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-03-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Jusqu’à la dernière goutte (suite de Sentier glissant)
J’ai à peine eu le temps de jeter mes affaires dans un coin de la chambre qu’Aline est déjà sous la douche.
Elle n’a pas perdu de temps. Et moi non plus, je ne vais pas en perdre. Je me débarrasse rapidement de mes vêtements. Mes muscles sont encore chauds de la randonnée, mais ce n’est rien comparé à la brûlure qui me consume depuis des heures.

Elle a joué avec mes nerfs toute la journée, me poussant à bout, testant mes limites, savourant chaque instant de torture qu’elle m’infligeait. Jusqu’à cette jouissance dans la voiture. Involontaire. Rapide. Surprenante. J’en ai presque honte, mais c’était tellement bon. Bref, je pense qu’il est temps de rééquilibrer la balance.

Je pousse la porte de la salle de bain. La vapeur envahit immédiatement mes poumons. L’eau ruisselle sur la vitre de la douche à l’italienne, dessinant des traînées floues sur le verre embué. Derrière, je devine ses courbes.

Elle est face au mur, les mains appuyées dessus, le dos légèrement cambré. Ses cheveux mouillés collent à sa peau, des gouttes dévalent la pente de ses épaules jusqu’au creux de ses reins. Mon regard descend. Bordel. Cette fille est une œuvre d’art.

- T’en as mis du temps. J’ai failli attendre…

Elle ne s’est même pas retournée. Sa voix est teintée d’un amusement provocateur. Comme toujours.

Je rentre sans un mot, me plaçant juste derrière elle. La chaleur de l’eau contraste avec la fièvre qui m’habite. Je l’effleure à peine, mais elle frissonne. Mon souffle glisse le long de sa nuque, mon torse frôle son dos. Elle se redresse légèrement, me laissant plus d’espace contre elle.

- Tu as joué avec moi toute la journée. Tu croyais que tu pourrais t’en sortir aussi facilement ?
- Au contraire, j’espérais bien que ce ne soit pas fini !

Je laisse mes mains se promener sur sa peau glissante, remontant lentement le long de ses hanches. Je sens qu’elle est prête. C’est vrai que contrairement à moi, elle n’a pas joui. La pression n’est pas encore descendue. Mais moi oui. J’ai le temps. Je vais prendre mon temps.

Je glisse mes lèvres le long de son épaule, embrassant chaque parcelle de peau trempée. Mes doigts tracent des cercles sur son ventre avant de descendre un peu plus bas. Juste assez pour lui arracher un frisson supplémentaire.

Elle bascule légèrement son bassin contre moi, comme pour tester ma patience. Elle doit maintenant sentir mon érection dans son dos.

- Tu comptes me torturer longtemps ?
- Aussi longtemps que nécessaire.

J’attrape son menton, l’obligeant à tourner légèrement la tête vers moi. Nos regards se croisent et là je la vois. Cette lueur. Celle qui me rend fou. Celle qui me dit qu’elle est prête à me suivre n’importe où, aussi loin que je veux l’emmener. Et moi, j’ai bien envie de l’emmener très loin.

Ma main descend lentement entre ses jambes. Elle se cambre un peu plus, s’appuyant davantage contre moi. Sa respiration s’accélère alors que je joue avec elle, que j’explore chaque centimètre de son corps offert.
Je l’ai à ma merci, et elle adore ça. Mais Aline est rarement passive. Elle se redresse brusquement et se retourne pour me faire face. Ses yeux brillent d’un mélange d’envie et de défi. Ses mains glissent le long de mon torse, explorant chaque muscle, chaque courbe, jusqu’à descendre bien plus bas.

- Tu veux jouer ? Très bien, jouons.

Elle recule d’un pas, me laissant l’admirer dans toute sa splendeur. L’eau ruisselle sur son corps, chaque goutte glissant le long de ses seins, de son ventre, de ses cuisses. Ses doigts effleurent sa propre peau, lentement, presque distraitement, mais son regard ne me quitte pas. Elle savoure l’instant. Elle sait exactement ce qu’elle provoque en moi.

Je l’attrape par la taille et la plaque doucement contre le mur carrelé, la chaleur de son corps contrastant avec la fraîcheur du carrelage. C’est un défi silencieux. Ses mains remontent le long de mes bras, s’agrippent à ma nuque, ses ongles effleurent ma peau. Lentement, je fais glisser mes lèvres le long de sa gorge, jusqu’à ses épaules, traçant une ligne brûlante sur sa peau humide. Mon souffle chaud contre sa peau trempée la fait frissonner. Elle arque son dos légèrement, cherchant à réduire l’espace entre nous.

Je prends mon temps. Je la fais languir. Chaque mouvement, chaque caresse est un rappel de tout ce qu’elle m’a fait subir aujourd’hui. Son souffle devient saccadé. Ses ongles s’enfoncent légèrement dans ma peau. Elle lutte pour garder le contrôle, mais je le sens… Elle est à la limite.

- Dis-moi ce que tu veux
- Toi. Maintenant.

Je souris. J’ai gagné.

- Pas tout de suite, mon amour. Tu as voulu faire la maline aujourd’hui. Je vais en profiter.

Je continue à l’embrasser sur le corps. Je descends, atteins ses seins. Ma langue s’enroule autour de ses tétons durcis. Je quitte ses pointes et embrasse son ventre. Mes mains descendent le long de ses cuisses alors que ma langue arrive à son con. Il est humide, mais ce n’est pas de l’eau. Je fais glisser ma langue dans sa fente et remonte jusqu’à son clitoris. Aline m’agrippe par les cheveux alors qu’elle gémit bruyamment. Je la lèche, aspire, pénètre son vagin avec ma langue. Mes mains agrippent ses fesses. Les siennes pressent sur ma tête pour me plaquer contre sa vulve, comme si elle avait peur que j’arrête. Mais ne t’inquiète pas, je ne fais que commencer.

Tout en continuant mes caresses buccales, un doigt vient m’aider dans ma besogne. Il s’insère dans son vagin à la recherche d’endroits sensibles. Attentif aux réactions de son corps, il explore les moindres recoins de son vagin. Je remplace ensuite ce doigt par mon pouce alors que ma langue s’enroule autour de son bouton d’amour. La pénétration continue et je profite de cette position favorable pour titiller son anus de mon index.
Je sens qu’elle apprécie la caresse. Elle commence à se tortiller dans tous les sens, à gémir de plus en plus fort.

Au moment où je la sens prête à exploser, j’enfonce doucement mon doigt dans son cul. Je sens mon pouce à travers la fine paroi. Aline jouit bruyamment et je sens ses jambes trembler. Je me relève pour la soutenir. Elle m’enlace pour un baiser torride, plein de passion.

- Toi alors, décidément tu sais comment me rendre folle
- Je te retourne le compliment. Je n’ai fait que continuer ta journée de folie.

En sortant de la douche, la fraîcheur de l’air me fait frissonner. Le contraste entre la chaleur de l’eau et la fraîcheur de la salle de bain est saisissant. Aline attrape une serviette et commence à se sécher lentement, son regard planté dans le mien. Je devine ce petit sourire satisfait sur ses lèvres, celui qui dit : j’ai aimé, mais j’en veux encore.

Je m’approche, attrape une autre serviette et commence à essuyer les gouttes d’eau qui ruissellent encore sur sa peau. D’abord ses épaules, puis son dos. Mes gestes sont lents, presque cérémoniels. Je savoure chaque instant, chaque centimètre de peau que je caresse. Son souffle est plus calme maintenant, mais je vois ses paupières s’alourdir légèrement sous mes gestes.

Quand j’atteins le bas de son dos, elle s’appuie légèrement contre moi, relevant le menton. Une invitation. Douce, non pressante. Juste une envie de prolonger ce moment.

Je pose mes lèvres sur sa nuque, puis remonte jusqu’à son oreille.

- Tu es bien, là ?
- Je ne voudrais être nulle part ailleurs en ce moment. Et toi ?
- Moi non plus je ne voudrais être ailleurs qu’ici avec toi. Le moment est parfait.
- Tu ne veux pas qu’on aille se coucher ?

Je souris contre sa peau. Si seulement elle savait.

- Je n’attends que ça. Viens.

Je prends sa main et l’entraîne hors de la salle de bain. Nos corps encore chauds de la douche laissent des traces d’humidité sur les draps alors qu’elle s’allonge sur le lit. Je l’observe, allongée, nue, ses cheveux encore humides étalés autour d’elle. Elle me fixe avec cette étincelle de curiosité et d’envie. Je sais que je me répète, mais putain qu’elle est belle. Je sais plus comment la décrire. Un canon. Un avion de chasse.

Je me détourne un instant et ouvre le tiroir de la table de nuit. Elle ne peut pas voir ce que je sors, mais je perçois l’éveil dans son regard.

- C’est quoi ça encore ?
- Une surprise.

Je tire lentement un ruban de soie noir entre mes doigts et le laisse glisser contre sa peau. Elle se mord la lèvre, amusée.

- Tu crois que je vais te laisser faire ce que tu veux de moi, comme ça ?
- T’as plutôt intérêt, oui.

Je me positionne au-dessus d’elle, elle ne peut s’échapper. Je vois sa pseudo-hésitation. Mais c’est une hésitation teintée d’envie. D’excitation.

- Ferme les yeux.

Elle obéit. J’attache doucement le bandeau derrière sa tête, prenant soin de ne pas trop serrer. Juste assez pour la priver de la vue, juste assez pour qu’elle sente son monde se rétrécir à ses sensations.

Je saisis ensuite ses poignets et les attache délicatement au montant du lit avec des liens de tissu doux. Je sens sa respiration s’accélérer, mais elle ne dit rien. Elle teste légèrement la pression sur ses poignets, comme pour s’assurer qu’elle n’est pas complètement prisonnière.

- Tout va bien ?

Elle hoche la tête, impatiente de connaître la suite. Je me redresse, l’admire une seconde. Entièrement vulnérable sous moi. Confiance totale. Je me penche à son oreille.

- Maintenant, c’est moi qui décide.

Je laisse mes doigts parcourir son corps, effleurant à peine sa peau. Chaque caresse est lente, précise, étudiée. Elle ne voit pas, elle ne sait pas où je vais toucher ensuite. Ses réactions sont plus intenses, ses frissons plus marqués.

J’ouvre à nouveau le tiroir et attrape l’autre surprise que j’avais préparée.

J’ai un contrôle total sur elle. Bizarrement, ça me fait un peu stresser. Et si elle n’aimait pas ça ? Si elle n’osait pas dire que quelque chose ne lui plaisait pas ? Du coup, je suis encore plus attentif à ses réactions, à l’affût du moindre signe. Elle aime ? je continue dans cette voie. Elle ne réagit pas ou semble se dérober ? Je change de stratégie.

Mais quel bonheur de la voir ainsi, à ma merci, nue, entièrement offerte à moi. Je prends une légère distance pour admirer la scène dans son ensemble. Encore une fois, je prends une photo mentale de ce moment. Mhhhh.

Je m’approche à nouveau d’elle. Mes doigts parcourent ses flancs, effleurant à peine sa peau. Elle se contracte légèrement sous le contact, comme si elle voulait anticiper mes mouvements. Mais elle ne peut pas. C’est moi qui décide du rythme.

Je glisse mes doigts le long de son ventre, traçant des cercles légers, descendant doucement. Je m’arrête juste avant de toucher son sexe et remonte, taquin, laissant une frustration subtile s’installer.

- Tu veux quelque chose ?
- Peut-être…

Elle a répondu dans un léger souffle. Je souris. Je prends mon temps, explorant chaque parcelle de peau avec une lenteur exagérée. J’effleure sa mâchoire de mes lèvres, puis descends le long de sa gorge, embrassant chaque centimètre que je croise. Mes mains glissent à nouveau sur son ventre, puis remontent vers ses seins. Je touche ses tétons du bout des doigts, les caressant juste assez pour qu’elle frémisse. Elle arque légèrement son dos.

- T’es… cruel
- Tu l’as bien mérité, je crois…

Et je compte bien prolonger son attente. Je bande de la voir ainsi, vulnérable, impatiente, frémissante sous mes caresses. C’est une vision qui m’excite au plus haut point.

J’enjambe son corps, me plaçant au-dessus d’elle, mon sexe se trouve à la hauteur de son visage. Mais moi, c’est son con qui m’intéresse. Je baisse ma tête et mes lèvres glissent sur son mont de Vénus parfaitement épilé. Aline se tortille, mais je maintiens ses hanches de mes mains. Elle est déjà trempée. Sa cyprine coule le long de sa raie. Je crois que je suis dans la bonne voie. Je parcours son sexe avec ma langue, le taquinant, alternant entre douceur et précision. Un arrêt sur son clitoris, quelques coups de langue légers, circulaires, avant de redescendre, effleurant l’entrée de son vagin sans jamais vraiment m’y attarder.

Aline relève la tête, à la recherche de mon sexe. Elle le sent contre sa joue, brûlant, tendu. Elle sort la langue et me caresse comme elle peut. Je sens qu’elle essaie de me prendre en bouche. Ses petits mouvements désespérés, à mi-chemin entre caresses et supplication m’excitent encore plus.

Pendant qu’elle joue ainsi, mes doigts rejoignent ma langue. Un premier pénètre son vagin brûlant de désir. Puis un deuxième. Toujours lentement, sans la brusquer, savourant chaque réaction de son corps.

Aline replie ses jambes, les écartant un peu plus. J’en profite pour passer mes mains sous ses fesses, les agrippe fermement. Mes doigts récupèrent sa cyprine pour ensuite caresser et lubrifier sa rondelle. A chaque passage, la pression est plus grande sur son cul. A chaque passage, le doigt va plus profondément dans son trou, jusqu’à ce que le doigt y glisse entièrement. Un deuxième rejoint le premier, explorant doucement, sans jamais ressortir complètement. Je la sens frémir. Elle voudrait plus, plus vite, mais je garde le rythme.

Pendant ce temps, elle a réussi à s’emparer de mon sexe. Elle ne veut plus le lâcher. Elle l’aspire, enroule sa langue autour de mon gland, joue avec mon sexe tendu. C’est si bon, si excitant. Le contraste est saisissant entre sa fougue et mon envie de prendre le temps, de la rendre folle.

Je quitte ma position un instant, me positionne entre ses cuisses ouvertes et attrape ce que j’ai préparé. Un jouet en silicone que j’ai pris soin de choisir pour elle. Je le laisse glisser le long de son ventre, sans le presser contre elle. Juste pour voir sa réaction. Elle tressaille.

- Tu me fais quoi, là ?
- Chut. T’occupe pas, c’est moi qui gère.

Je passe sur son sexe et continue à faire glisser lentement l’objet contre sa cuisse, sans aller plus loin. Je la laisse se torturer elle-même avec l’attente. Elle tourne légèrement la tête, mordillant sa lèvre. Elle est au bord. Alors, je décide que c’est le bon moment.

Je remonte le long de sa cuisse. La pointe du jouet vient rencontrer son sexe. Je le fais entrer légèrement et le fait tourner, le trempe doucement de son jus. Puis je descends. Un peu plus bas. Je presse l’objet contre son petit trou. Aline se déhanche. Elle le veut

- Vas-y maintenant, arrête, j’en peux plus… finis-moi !

Non ma belle. Ce n’est pas fini. La randonnée, c’était 8h d’allumage. Je ne vais pas aller jusque-là, mais je vais prendre tout mon temps, crois-moi.

Le plug s’enfonce petit à petit dans son anus. Mais je ne vais pas trop loin. A chaque pression, Aline tente de pousser son bassin pour faire entrer l’objet de ses désirs. Son excitation monte encore d’un cran. Elle mouille de plus en plus. Elle se cambre, bouge, avance le bassin, souffle fort. Je crois qu’elle est mûre. Dans une dernière pression, le plug rentre entièrement dans son cul et un cri lui échappe. Un mélange de soulagement et de plaisir pur.

Le rythme change brutalement. Je m’allonge sur elle, l’embrasse, lui laisse un instant de répit, mais son corps ne me laisse pas le choix. Elle ondule sous moi, cherchant à s’emparer de mon sexe, impatiente, affamée. Je la laisse faire, savourant l’urgence dans ses gestes.

Je me positionne contre elle, mon gland effleurant son entrée trempée. La chaleur qu’elle dégage est envoûtante. Je pousse lentement. Elle s’ouvre à moi avec une facilité déconcertante, m’engloutissant entièrement dans une moiteur brûlante. C’est intense, c’est tellement bon.

Aline est déchaînée. Elle tire sur ses liens jusqu’à les défaire complètement. Ses bras s’enroulent autour de moi, ses ongles s’enfoncent dans mon dos, me griffent sans retenue. Elle agrippe mes fesses, me presse contre elle. Elle veut plus. Elle veut tout.

- Plus fort… Plus profond…

Nos mouvements s’accélèrent, se font plus désordonnés, plus sauvages. On se heurte, on s’accroche l’un à l’autre. Je ressens le plug en elle à chaque coup de reins, sa pression amplifiant encore mes sensations. C’est terriblement excitant.

Soudain, elle me renverse d’un geste puissant et prend le contrôle. Elle me chevauche, sa chevelure collant à sa peau en sueur, son regard brûlant plongé dans le mien.

- Putain, je vais jouir…

Ses mains s’accrochent à mon torse. Elle monte, descend, me prend entièrement en elle. Ses soupirs deviennent des cris, incontrôlables, primaires. Je sens la vague de chaleur monter en moi.

Encore quelques mouvements, puis elle explose dans un cri, son corps tremblant, se crispant autour de moi. Ce spasme déclenche mon propre plaisir, une déferlante qui me traverse alors que je me déverse en elle, le corps tendu dans un dernier sursaut de jouissance.

Aline s’écroule sur moi, le souffle court, encore parcourue de frissons involontaires.

Je sens son cœur battre contre ma poitrine, son souffle chaud dans mon cou. Sa respiration se calme, devient plus douce. Je referme mes bras autour d’elle, caressant doucement son dos. Ma main glisse le long de sa colonne vertébrale, redescend lentement jusqu’à ses fesses, effleure la base du plug toujours ancré en elle. Je l’embrasse sur la tempe et lui murmure :

- Laisse-moi m’occuper de toi.

Elle ne répond pas mais se love un peu plus contre mon corps. Avec douceur, je saisis le jouet et commence à l’extraire lentement. Je veux que ce soit agréable, comme une dernière onde de plaisir avant le repos.

Aline frissonne légèrement, un soupir d’aise s’échappe de ses lèvres.

Quand le plug glisse enfin hors d’elle, Aline enfouit son visage contre mon cou, s’accroche à moi dans un dernier mouvement de tendresse.

- C’était fou
- Comme toujours avec toi. Tu es la femme la plus incroyable du monde !
- Je sais…

La journée finit sur un éclat de rire, avant que la nuit nous emporte, enlacés, repus, comblés.

Les avis des lecteurs

Histoire Libertine
Très excitant. J'aurai adoré être a la place d'Aline !

Histoire Coquine
Wow, ca donne de belles idées ca ! Continuer a écrire, vous êtes doué



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