JUSTE TIRER MON COUP 1

- Par l'auteur HDS Charly Chast -
Auteur homme.
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Récit libertin : JUSTE TIRER MON COUP 1 Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-11-2019 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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JUSTE TIRER MON COUP 1
JUSTE TIRER MON COUP 1


Soixante quinze jours, j'avais relevé le défi. L'année précédente j'avais porté le dispositif de chasteté pendant cinquante jours non stop. Je voulais faire plus cette année. Je ne l'ai pas porté qu'une seule fois pendant cinquante jours, je l'ai bien sûr porté à plus d'une autre reprise, cinq semaines par exemple de fins novembre à Noël, puis tout le mois de Janvier … J'ai porté le dispositif plus de deux jours sur trois en moyenne depuis le début de l'année.

Nous étions le premier Novembre, Loctober se terminait dans la sérénité, pas de cris, pas de larme, un peu de frustration et de manque mais une grande sérénité dans mon esprit et dans mon corps. Je n'avais pas pu tripoter ma nouille depuis plus de deux mois … Mon corps, mon cerveau attendaient le jour, l'heure ou je choisirai de me libérer. Pour le moment je gérais avec délectation le stress des derniers jours, des dernières heures.

Ce stress semblait plus fort que quelques semaines plus tôt, pourtant il s'agissait de soixante quinze jours et le manque aurait déjà du être ma seule obsession depuis déjà un moment. L'an dernier au bout de cinquante jours j'étais prêt à continuer encore jusqu'à la fin de l'année ou au moins jusqu'à Noël et c'est seulement à cause d'un petit incident de parcoure que j'avais retiré le dispositif. Une irritation intense s'était manifestée sur le côté droit à la base de mon pénis, et ne se calmais pas. J'avais alors décidé de retirer le dispositif, finalement c'était juste les poils qui repoussaient. Il a fallu une petite semaine pour que tout entre dans l'ordre, j'ai remis le dispositif au bout de la semaine mais le décompte était arrêté.

J'avais largement dépassé ma période de l'an dernier, le passage des cinquante jours n'avait présenté aucune difficulté. C'est seulement, à la fin de mon défi que mon corps protestait. C'est sans doute le fait de savoir que j'allais mettre fin à cet enfermement. Peu de temps avant, mon corps savait que la semaine qui venait ne verrait aucun changement, la suivante non plus … Mais à ce moment mon corps se disait que une heure plus tard peut être mon cerveau aurait pris la décision.

En fait la décision je ne voulais pas la prendre comme ça, en claquant les doigts puis en retirant fébrilement ma cage à bitte avant de me branler comme un malheureux branleurs, un de ces branleur pathétique que je décris quelquefois dans mes histoires, et qui quelque part tient un peu de moi ( oui là je sais ce commentaire était inutile … Je ne le referai plus ) . Il me faudrait un élément déclencheur, un protocole, une mise en scène, une situation. ( c'est tout de même plus classe ! )
Un élément dans le genre, une sortie en boîte ou en club, un lieu de sortie convenable. Un lieu ou on peut consommer sur place … Je ne vais pas aller traîner n'importe ou moi ! Surtout au bout de soixante quinze jours. Je n'avais pas pensé à cette manière de sortir par la grande porte de cette période d'abstinence, elle s'imposait à mon esprit. Pas de branlette, pas de plaisir solitaire et ce même si j'aime bien, même si ça me ferait terriblement plaisir, même si j'en avais vraiment envie. Je laisserais quelqu'un d'autre me faire cracher ma sauce et le laisserais librement disposer de mon corps.

En attendant je me délectais des ces derniers moment de frustration et de manque.

Le week-end approchait, on ne serait plus à soixante quinze mais deux de plus. Ce ne sera plus un chiffre rond, bein oui soixante quinze est un chiffre rond, c'est les trois quart de cent !

Jusqu'à l'heure du départ presque, je garderai sur moi ce dispositif, jusqu'au dernier moment je me préserverai, je m'interdirai de me faire plaisir. Physiquement on ne ressent rien de particulier quand on retire le dispositif. Je n'ai rien ressenti, même pas un soulagement. Le dispositif est parfaitement ajusté et ne provoque plus aucune gêne depuis longtemps.

Sous la douche le contact était tout bizarre, là ou il y avait un obstacle je retrouve une masse, petite masse, de chair molle, qui prenait du volume, je décalottais et constatais que comme prévu, le dispositif n’empêchait pas l'hygiène.

Les couilles pendaient enfin librement, elles avaient formé pendant toutes ces semaines une seule boule dure, elles ne s'étaient vraiment détendues que rarement. Elles ne s'étaient pas laissé pendre mollement comme à ce moment, sous l'eau chaude, elles pendaient lourdement, se balançaient et rappelaient à ma mémoire une sensation que j'avais déjà commencé à oublier.

La petite masse de chair molle finissait par prendre de l'importance, et peu à peu se transformait en gros muscle dur. Je décalottais et m'offrais une sensation, une convulsion en passant ma main longuement savonnée sur mon gland. Je recommençais plusieurs fois de suite et c'est tout mon corps qui se contractait, qui convulsait.

A cet instant il a vraiment fallu que j'use de toute ma volonté pour ne pas aller plus loin, me laver la queue bien fermement même si elle était propre. Il a fallu que je me retienne de ne pas pousser plus loin, de ne pas pousser trop loin car ce soir là le trop loin était à porté de la main, était là, juste là. Un geste de plus, un coup de poignée de plus, une caresse de plus, même une caresse douce. Je continuais donc à me laver les autres parties de mon corps, je ne revenais à ma bitte que plus tard pour me rincer, je bandais toujours.

Je ne cessais de bander que plus tard quand je m’étais habillé, quand j'avais bien ajusté mon pantalon, quand j'avais mis mes chaussures, refermé ma chemise, quand j’étais présentable prêt à partir. Et même là, je bandais encore à moitié.

Mon corps protestait, il avait attendu pendant des semaines sans protester autant mais là, plus rien ne gênait. Mon corps et une partie de mon cerveau demandait à l'autre partie de mon cerveau de lui accorder, d'accorder à tout le monde un instant de plaisir … Il ne faudrait pas longtemps … Juste quelques instants … Mon cœur battait fort, il semblait rejoindre l'avis majoritaire … Ma respiration suivait également … La volonté de respecter un protocole que j'inventais au fur et à mesure répondait non, avec la promesses d'un plus grand plaisir.

Ma bitte me répondait alors que le plaisir elle pourrait me le donner de nouveau dans la soirée … '' Et plusieurs fois si tu veux ! '' semblait-elle me crier.

J'hésitais encore un long moment et c'est ma volonté qui triomphait. Je tenais bon, la frustration était à son comble. Pendant toutes ces semaines elles n'avait jamais été aussi forte, jamais aussi jouissive, jamais aussi déroutante. La frustration provoquait en moi à la foi une satisfaction proche du plaisir et un manque. Ça devenait étrange, déroutant, me semble un mot approprié.

Au travers de mon pantalon je me massait une dernière fois mon entre-jambe avant de partir, il était à la fois tout dur et tout mou. Je n'étais plus habitué, il n'y avait plus ce truc dur comme de la pierre, cette prison pour bitte.

Je ne sais pas si c'est un réflexe, un besoin de ne pas m'éloigner de ce dispositif qui ne m'avait pas quitté depuis des semaines mais j'emportais avec moi mon dispositif, au fond de la poche de mon blouson.

Je faisais route, un bar branché pour commencer. Il ne faut pas délirer je ne vais pas aller boire un verre dans un bar familiale ou un bar à poivrot. Enfin poivrot je veux bien mais à condition que ça se termine en sauterie sexuelle. J'en connais pas je me contentais donc d'un bar normal, fréquenté uniquement par des hommes, avec une arrière salle ou on peut tâter … Pardon je m'exprime mal, ça m'arrive quelquefois, je ne voulais pas dire qu'on peut pas se tâter en dehors de cette salle. Non c'est un bar normal, on peut se peloter, s'embrasser, picoler mais devant tout le monde il semble un peu plus convenable de ne pas se tripoter, se sucer ou encore s'enculer. Même si dans le bar ou je suis allé on a vu des soirées qui débordaient un peu et personne pour se plaindre …
Un mec m'aborde et commence à me faire la conversation. Ça commençait fort ce soir là, il avait une bonne tête bien carrée, une belle carrure, plus petit que moi, belle gueule, sourire charmeur. Pas mal finalement !

… Tu viens souvent ici …… Tu es tout seul …… Je ne t'avais jamais vu ici ……
Je ne restais pas à lui faire la gueule, je participais à la discussion. Quand un autre mec arrivait et lui donnant une claque sur l'épaule lui gueulait dessus.

… Tu te fous de ma gueule ! Oué je vois comment ça se passe quand je ne suis pas là, quand je pars pendant des semaines pour gagner du fric. Tu ne te contentes pas pas de dépenser mon fric, en plus tu sautes sur tout ce qui bouge …
Là j'écoutais, et remarquez, là je ne bougeais plus !

Le premier lui répondait alors : '' Tu parles ton fric connasse, oh ça tu sais me le jeter à figure, ton fric … ''.

Je commandais un verre en prenant un air détaché, le bar man ne semblait pas non plus s'inquiéter, je me décalais ensuit d'un petit mètre pour être plus tranquille. En me servant le bar man me glissait à l'oreille. '' Ne t'inquiètes pas c'est deux folles, dans deux minutes elles vont toutes les deux pleurer sur l'épaule de l'autre … ''.

Un autre type arrivait et me faisait la conversation à son tour. Lui me faisait un monologue qui commençait par … '' Tu viens souvent ici, ça m'a lair cool, on baise à côté, '' … Et qui se terminait par '' tu veux pas qu'on aille voir comment ça se passe ? ''. Il me semble avoir retranscrit tout son monologue. Au moins celui là il ne perdait pas de temps. Je lui répondait '' Un peu plus tard, c'est une idée à développer … ''. Il me répondait alors '' Ok, on se revoit tout à l'heure.''. Il repartait et je l'entendais faire cette proposition à autre un mec un peu plus loin … '' Tu viens souvent ici, ça m'a lair cool, on baise à côté, tu veux pas qu'on aille voir comment ça se passe ? ''
'' Mais qu'est-ce qu'ils ont tous ce soir, c'est la pleine lune ou quoi ? ''
Du regard je parcourais la salle et c'est là que je l'ai vu, en fait j'ai surtout vu son sourire. Il était dans un recoin, tout seul, l'air timide, dans un endroit mal éclairé. Il portait des vêtements noir et comme sa peau était à peine plus claire que ses vêtements il était presque invisible. Je ne pouvais plus détacher mon regard.

Ses yeux parcouraient la salle, il faut dire que ce soir là tout le monde semblait bien énervé, sauf ce garçon magnifique. Ses yeux se posaient sur moi, nos deux regards se croisaient et il me souriait, j'en faisais de même et je me demande même si j'en faisais pas un peu trop. On ne bougeait plus, on se regardait. Je ne sais pas combien de temps cet instant à duré. Le bar était soudainement devenu calme, il n'y avait plus un bruit, plus la moindre agitation …
Je finissait par lui faire un geste de la tête, je l'invitais à me rejoindre. Il me répondait par un salut de la tête, semblait hésiter et se décidais, on se retrouvait au bar. Son verre était vide je lui en proposais un. Il me faisait oui de la tête avec un large sourire. J'appelais le bar-man en criant pour me faire entendre dans ce vacarme. Puis on faisait connaissance.

Il était beau, très beau. Il était habillé tout en noir, sans doute pour passer inaperçu. Une unique couleur de la tête jusqu'à ses pieds, avec juste cet éclair brillant, son sourire. J'étais sous le charme.

On a pris le temps de faire connaissance ce soir là. On n'est même pas allé se tripoter dans la salle prévue pour ça. Je n'avais plus que l'envie de le prendre dans mes bras. Je devinais la douceur de sa peau, j'espérais que ce qu'on dit sur les hommes à la peau sombre soit vrai …
Comment ça, il y en a un qui ne voit pas de quoi je veux parler ? … Pfff … Enfin quoi on dit que les Black on tous une grosse queue ! … Il y en a je vous jure , il faut tout leur expliquer … Oui je sais ce n'est pas toujours vrai ! Mais bon, j’espérais que pour le coup ça le serait !

Je reprends … Je l'observais du coin de l’œil, il était mince, musclé et mon regard revenait automatiquement sur son sourire. J'avais envie de le toucher mais je ne sais pas pourquoi, il m'intimidait. Il était trop beau peut être.

Un peu plus tard on décidait de sortir dans une boite de nuit. Le bruit, la chaleur, la foule nous poussaient l'un contre l'autre et c'est à ce moment que nos lèvres se sont touchées. C'était un rêve, vous savez un de ces rêves si rare qui vous transporte, vous soulève du sol et qui vous repose avec douceur, ce genre de rêve qui est mieux que la réalité et qui pourtant est la réalité.

Nous nous tenions fermement, cramponnés l'un à l'autre. Aucun de nous deux ne voulait plus lâcher l'autre. Il avait passé sa main sur ma nuque et avec la paume de sa main et son pouce me caressait la joue. J'avais glissé mes deux mains contre son corps, sous sa veste, je sentais ses muscles. Je bandais comme un fou et je vous jure que j'ai eu un mal fou à ne pas lui arracher ses vêtements et à ne pas le retourner, le basculer , le culbuter sur une table et à ne pas l'enculer là comme une bête sans rien lui demander en le faisant hurler alors que je gueulerais moi aussi de plaisir, du plaisir enfin consommé . Oué !

Heu …
Je vous prie de m'excuser pour cette instant de romantisme, j'avais oublier que normalement mon histoire devait être une histoire de cul, enfin c'est ce qu'on attend sur ce site … Désolé ! … ( Note de l'auteur )
Je ne le lâchais pas, mes mains parcouraient son corps sous sa veste, elles descendaient sur ses fesses que je sentais fermes puis remontaient tout le long de son dos, il passait une jambe entre les miennes et écrasait mollement mes couilles, pour ce qui est de ma bitte le mot ' mollement ' ne convient plus. Je bandais comme un fou.

Je pouvais constater au passage que je n'étais pas le seul et que finalement, ça pourrait être prometteur, comme quoi les légendes urbaines qui disent que les black, bein ils ont une grosse bitte, bein c'est pas toujours des carabistouilles …
Je glissais une main entre nos deux cuisses ( Façon : tient je cherche quelque chose dans ma poche ? … Non même pas ! ) juste pour tâter, je ne m'en cachais pas et j'étais conforté … Il en avait une belle !

Il en faisait de même et resserrait son étreinte, à cet instant je vous jure qu'on était indécollable, je glissait moi aussi une jambe entre ses cuisses. S'il n'y avait pas eu le bar pour s'appuyer je pense qu'on aurait fini par tombé par terre.

Nos bassins s'écrasaient l'un contre l'autre comme s'ils voulaient déjà se mélanger. Nos bras faisaient preuve de force, nos mains n'étaient que tendresse et caresses. La douceur de la paume de sa main sur ma joue, celle de mon pouce sur son front, sur ses yeux.

Cette étreinte folle était suivie par un long moment de tendresse. Je lui caressait je visage avec un doigt, je le passais sur ses lèvres. Il me le suçait comme une promesse de plaisirs à venir. Je continuait sur ses yeux, doucement, tout doucement. Il m'embrassait alors avec passion. Puis je couvrais son visage de baisers qu'il me rendait.

'' ALORS LES FILLES, JE VOUS SERS QUELQUE CHOSE ? ''
C'était le bar-man qui nous rappelait à la réalité. Il nous a fait sursauté là et en plus il avait l'air content de lui. Nous n'avions pas vu le temps passer, la soirée avançait. On prenait un petit verre pour la route.

Théo : Dis donc Charly tu m'as l'air d'être un grand tendre toi ?
Moi : T'aimes pas les câlins ?
Théo : Si j'adore, même les câlins virils.
Moi : Câlins virils ?
Théo : Tu es plutôt actif ou passif ?
Moi : Passif, mais pas que …Théo : Je te préviens que j'ai une grosse queue.
Moi : Des promesses, toujours des promesses.

Il rigolait de ma réponse.

Théo : Je déconne pas plus d'un a pris peur au moment ou …Moi : Ouai … Moi, même pas peur !

Une heure plus tard on était chez lui, il me poussait sur le lit et se laissait retomber sur moi.


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