JUSTE TIRER MON COUP 2
Récit érotique écrit par Charly Chast [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-11-2019 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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JUSTE TIRER MON COUP 2
JUSTE TIRER MON COUP 2
Je le recevais dans mes bras, les refermais sur lui. Je le serrais contre moi, je le serrais fort. Ses mains se promenaient sous mon blouson …
Théo : Mais c'est quoi ce truc qui gêne là dans ta poche ?
Il m'arrachait mon blouson qui se retrouvait sur le sol, ensuite c'était ma chemise qui suivait. Quand il se laissait retomber sur moi, je lui faisais la même chose. Nos torses se touchaient, nos torses se frottaient l'un à l'autre, j'avais espéré une peau douce, c'est de la soie que je sentais contre moi. Une peau tellement douce, une couleur sombre qui prenait tellement bien la lumière. Je posais mes lèvres partout ou je le pouvais, et les caresses je les donnais sans aucune retenue avec mes mains, ma bouche, mes lèvres.
Fébrilement mes mains se précipitaient sur son pantalon, je l'ouvrais et le faisait glisser. Il relevait son corps pour m'aider dans mes mouvements et c'est une queue énorme qui bondissait en dehors de son pantalon. Mon cœur battait à tout rompre, c'était au delà de mes espoirs. La promesse qu'il m'avait faite à la manière d'une menace et finalement c'était peut-être véritablement une menace.
Je caressais sa queue fermement, ses couilles également et je voulais plonger pour les prendre dans ma bouche mais il me plaquait contre le lit sur son dos. Il ouvrait mon pantalon, me le faisait glisser et c'est une grosse bitte qui en sortait également. J'en était presque surpris, ça faisait tellement longtemps que je ne l'avais pas vu dans cet état. J'en était ravis mais j'en était surpris.
C'est lui qui alors plongeait sur ma queue, me la prenait dans sa bouche et me suçait. Je frémissais de plaisir. Rapidement il me gobait aussi les couilles. Tous mes muscles se détendaient, remués encore par quelques convulsions, mais détendus. Je me relâchais totalement, respirait à fond, mon cœur battait fort, très fort et dans ma tête je me concentrait pour ne pas jouir, pour ne pas jouir trop vite.
Je lui caressais les cheveux. Ce garçon inconnu quelques heures plus tôt était devenu en peu de temps un familier, j'avais l'impression de l'avoir toujours connu tant je me sentais bien entre ses bras.
D'un mouvement rapide il se relevait. Je pouvais alors l'admirer, il avait un corps magnifique dépourvu de poil. Autour du sexe il était épilé. Pour moi c'était le seul endroit ou je n'avais pas de poil, je m'épile. Il se dégageait de son pantalon et le repoussait plus loin, se penchait vers moi, tirait sur mon pantalon et me le retirait ainsi que mes chaussettes et chaussures. On se retrouvait enfin totalement nus, il était beau, il me regardait, il me souriait avant de se laisser tomber sur moi avec une grande douceur, il faisait attention à ne pas m'écraser.
De nouveau nos torses se frottaient l'un contre l'autre. Ma fourrure le chatouillait, je le sentais frissonner. Pour moi c'est la douceur de sa peau qui me faisait frissonner. Je fermais les yeux, je ne les ouvrais même pas quand nos lèvres se collaient l'une à l'autre. Ses baisers étaient chauds. A chaque fois que je voulais passer à l'action il me recouvrait de caresses, de baisers encore plus tendre, encore plus intense …
Je parvenais à le retourner sur le dos et à l'embrasser sur tout le corps en descendant vers son sexe. Il ne me retenait plus, il me laissait faire. Je sentais tous ses muscles se détendre au moment ou je prenais sa queue dans la bouche. Je l'avais vu énorme, elle était seulement de très belle taille, mais avec mon entraînement je parvenais sans difficultés à la prendre dans ma bouche.
J'en profitais, je la suçais, je passais ma langue sur son gland et quelques frémissements me disaient qu'il aimait. Il m'encourageait en me caressant les cheveux.
Les instants de fièvre étaient oubliés, j'avais dans mes bras un corps magnifique, totalement détendu, j'avais dans la bouche un très belle queue que j'espérais bien me prendre dans le cul. Je lui gobais les couilles, il se saisissait un peut et je sentais ses muscles se contracter.
Je remontais mon visage contre le sien, et restais là une ou deux secondes qui semblaient durer des minutes, de très longues minutes à le contempler, il me souriait. De nouveau nos bouches se collaient l'une à l'autre, nos langues se combattaient dans une lutte de douceur, nos bras caressaient l'autre, nos jambes se mélangeaient, nos sexe se touchaient. Nous bandions fermement.
Il me retournait sur le ventre sans rien me demander, longuement il me couvrait de baisers entre les omoplates, il me chatouillait et me faisait rire. En même temps d'un doigt fouillait entre mes fesses, et avec un peu de gel fouillait un peu plus profond. Un doigt, puis deux passaient, me dilataient doucement mais fermement l'anus. Je soupirais de plaisir, tournais la tête sur le côté.
Deux doigts me massaient doucement la prostate, j'ouvrais la bouche pour gémir, il déposait alors un baiser sur la commissure de mes lèvres et frappait plus fort contre ma prostate. Je gémissais, il frappait alors très fort. Je repliais alors mes bras sous mon ventre et tentais de me relever. Ils s'allongeait alors sur moi et c'est sa queue qui maintenant poussait contre mon anus. Je respirais fort et le laissais faire.
Il poussait, mon cul résistait. Il forçait, mon cul s'ouvrait, se dilatait et je sentais son énorme pénis s'enfoncer lentement dans mon cul, je le sentais me remplir. Son mouvement était lent, il ne me faisait pas mal mais ce devait être à la limite. C'était bon. Sa peau contre la mienne, c'était bon. Ses cuisses allongées entre mes cuisses, c'était bon. Ses baisers dans le cou, c'était bon. Son corps chaud qui s'écroulait sur moi, c'était …
Et ma queue, heureuse de sa liberté retrouvée, fièrement allongée contre mon ventre, entre le lit et mon ventre. Ma queue ne réclamait plus le plaisir qu'elle avait tant attendu. Ma queue désormais savait attendre, elle laissait le plaisir monter, venir. Il viendrait quand il le voudrait, il viendrait quand plus rien ne pourrait l'en empêcher. Il viendrait quand il le déciderait et ce serait une explosion de plaisir.
Mon corps désormais était disposé à attendre.
Le ventre de Théo s'écrasait contre mes fesses. Je râlais de plaisir et un peu de … Finalement peut être pas. Non … Je ne râlais que de plaisir !
Il appuyait de toutes ses forces, j'ai aimé, j'ai contracté mes bras mais sans le vouloir. Théo m'enlaçait alors et me retenait fermement. Il enfonçait alors sa queue dans mon cul avant de la retirer avec lenteur. Pas vraiment avec douceur, elle était trop grosse pour ça mais avec lenteur.
Je la sentais bien qui glissait dans mon muscle anal totalement distendu. Elle glissait, entrait, sortait. Je convulsais et par réflexe tentais de me dégager. Il resserrait alors les bras autour de moi.
Il me glissait à l'oreille '' Referme les cuisses !''. Je m'exécutais, j'avais un peu d'appréhension mais je m'exécutais. Il passait alors ses jambes à l'extérieur des miennes, ses genoux à l'extérieur de mes cuisses puis reprenait les mouvements de son bassin. Mes fesses étaient bien refermées, mon cul redevenu étroit, terriblement étroit, s’alarmait.
Théo m'embrassait dans le cou, me mordillait les épaules et appuyait de toutes ses forces son bassin contre mes fesses quand sa queue arrivait au fond de mon cul. Ma prostate s'affolait, je gémissais fort, je râlait et là, ce n'était pas que du plaisir … Enfin … Oubliez de que je viens de dire, c'était un plaisir de chaque mouvement, un plaisir de chaque seconde. Un plaisir qui finissait par me faire hurler. Ensuite j'étais pris de tremblement nerveux, je ne contrôlais plus mon corps, je pleurais, je gémissais, je bavais … Je ne lui demandais pas d'arrêter et il n'arrêtait pas.
Il continuait à me labourer le cul, à m'éclater la rondelle. Ses mouvements étaient devenus violents. Son ventre s'écrasait avec brutalité contre mes fesses puis poussait de toutes ses forces. Il se retirait ensuite entièrement, sa queue ressortait de mon cul et revenait. Parfois il passait sa main, glissait un doigt en moi et c'était sa queue qui revenait avec violence.
Sa respiration devenait plus forte, il râlait de plaisir et gueulait finalement au moment ou il jouissait en moi. Il se laissait alors retomber sur mon dos de tout son poids. Ce contact chaud et doux était agréable, je retrouvais rapidement sa douceur. La douceur de ses lèvres, de ses caresses, de sa peau. Je continuais à chialer encore un moment avant de retrouver totalement mon calme. Il se retirait.
Je restais là amorphe, sans bouger, sans pouvoir bouger. Pas la force, pas envie, je ne sais pas mais je ne bougeais pas. Je continuais à respirer fort encore un long moment. Je me retournais sur le dos, je tentais de me relever mais j'étais alors pris de vertige, je retombais sur dos avec un grand sourire, j'étais heureux. Je ne bandais plus, je n'avais pas juté mais j'étais heureux.
Théo s’asseyait en tailleur à côté de moi. Il me caressait tout doucement et finalement ce sont nos mains seules qui se caressaient avec douceur. Il posait sa main sur mon visage, me caressait la joue avec une extrême douceur, je lui suçais un doigt, ça le faisait rire.
Théo : Là tu m'as épaté ! Tu sais !
Moi : Éhéééé !
Je le faisais rire, il me donnait un baiser sur la bouche et me caressait la bite.
Théo : Tu n'as pas joui ?
Moi : Siiii !
Il me regardait avec ce qui regard qui semblait exprimer un sentiment … De … Non pas d'amour c'est trop tôt … Mais du sentiment tout de même.
Théo : Ça va ?
Moi : Super !
J'avais un large sourire béat.
Théo : Tu es prêt à remettre ça ?
Moi : Non mais je n'ai pas la force de résister.
Théo : Tu veux pas remettre ça ?
Moi : C'est toi qui décide. Moi j'en peux plus je suis mort … Mais c'est toi qui décide.
Théo : ( en m'embrassant ) Tu es un peu fou mais c'est vrai que tu es un bon coup toi, tu encaisses bien !
Moi : C'est vrai que tu as une grosse queue, tu n'avais pas exagéré !
Un peu plus tard je parvenais à me lever, on se retrouvait sous la douche. Je ne bandais plus, lui, il bandait mou. C'était agréable à voir cette grosse molle, qui se balançais devant lui entre ses cuisses à chacun de ses mouvements.
Je n'avais pas juté, je ne m'étais pas vidé les couilles, et ça faisait maintenant un long, très long moment mais je me sentais bien, très bien. Ma bitte n'avait pas craché mais ne disait plus rien. Pourtant quelques heures plus tôt elle protestait tout ce qu'elle savait. Maintenant elle ne disait plus rien.
Théo : Tu ne t'es pas branlé, tu n'as pas juté ?
Moi : Tu veux me branlé.
Théo : Toi branle toi !
Moi : Non. Toi, branle moi !
Théo : Non je veux pas mais si tu insiste je t'encule !
Moi : Des promesses, toujours des promesses …Théo : Tu devrais savoir maintenant que je sais tenir mes promesses !
Moi : Même pas peur !
Il me prenait dans ses bras, l'eau coulait sur nos deux corps. Nous nous embrassions avec passion. Je sentais sa queue se relever entre mes cuisses et je sentais la mienne qui la suivait.
Moi : Mais c'est que ça recommence cette histoire !
Théo : Mais c'est que tu as une petite bitte toi !
Moi : Mais c'est que tu as une grosse bitte toi !
Il prenait un air macho et faussement menaçant.
Théo : Mais c'est que tu me cherches toi !
Moi : Mais c'est que tu vas me trouver toi si tu continues !
Il me retournait contre le mur de la douche, je rigolais, lui aussi !
Il m'enfonçait sa queue dans le cul, je ne rigolais plus, je hurlais mais le laissais faire, il respirait fort dans mon oreille, me serrait fort contre lui et avec une certaine violence recommençait à me la labourer le cul. Rapidement je hurlais, mes jambes m'abandonnaient mais il me retenait. Et c'est coincé entre le mur et lui que je subissais de nouveau ses assauts. Pas de préliminaires, pas de détails, il me défonçait le cul. Pour lui le but était simple en finir, se vider les couilles, et se faire plaisir.
J'ai pleuré, j'ai gémi, j'ai râlé, j'ai hurlé, je me suis levé sur la pointe des pieds au moment ou il enfonçait sa queue à fond. Je l'ai senti frémir et me serrer de toutes ses forces quand il a juté de nouveau en moi, puis j'ai senti ses muscles se détendre et je me suis effondré sur le sol, il a alors ouvert la douche.
J'étais KO, j'avais le sourire, je me sentais bien, j'avais mal au cul mais j'étais content ! On se séchait et on se retrouvait dans le lit mais là c'était pour dormir …
On se réveillait le lendemain dans les bras de l'autre. J'ai aimé ce moment ou j'ai ouvert les yeux, il y avait un peu de lumière dans la chambre, j'ai eu tout mon temps pour admirer le beauté de son grain de peau et sa couleur chaude. Il s'est réveillé un peu après moi, m'a sourie. Il s'est ensuite levé et a shooté dans un truc qui traînait sur le sol.
Théo : C'était quoi ça ?
Il s'est penché pour ramassé le truc qui traînait. C'était ma cage à bite qui avait du tomber de ma poche. Il me montrait alors le truc avec un regard interrogateur.
Je lui expliquait.
Théo : A ouai, j'ai vu des trucs comme ça sur internet …
Il examinait longuement le truc sous tous les angles.
Théo : Et tu portes ce genre de truc toi ?
Je faisais oui de la tête. Suivaient tout un tas de questions pleine de curiosité.
Ça fait mal ?
Ça gratte ?
Ça te gêne pas ?
Ça me trou l'cul ton truc !
Tu me fais voir dis !
Ça le faisait plutôt rigoler cette histoire, il se marrait j'en faisais autant. J'étais totalement détendu et avec la soirée de la veille, même si je ne m'étais pas vidé les couilles la veille, même si ne n'avais pas juté et que ma queue n'avait pas craché sa sauce, je ne bandais pas vraiment, en plus j'avais mal au cul !
Je passait mes couilles et ma queue dans le cock-ring, il me regardait faire avec attention. Il me tendait même la cage, toujours guidé par la curiosité. Je l'enfilais, tout était en place.
Théo : Wouah ! Mais c'est vrai que tu es sexy comme ça ! Mais là tu peux le retirer comme tu veux !
Moi : Il y a un système de fermeture, un cadenas …
Il fouillait dans ma poche, le trouvait et me le tendait. Sur ma lancée je glissais le cadenas, le refermais et retirais la clé … Je tenais alors ma clé fièrement du bout des doigt. Il regardait l'air amusé.
Théo : Fais voir ce que ça donne quand tu bouge, quand tu marches.
Je me levais sans méfiance et me déplaçais dans la chambre.
Théo : Allez on prend le petit déj !
Il partait vers la cuisine, il gardait ce large sourire jovial et plein de curiosité, j'avais moi aussi un sourire jovial et confiant. On prenait notre petit déjeuner.
Il bandait, rapidement je m'amusais à lui caresser la bite, il me caressait les couilles puis.
Théo : Tu as combien de clés pour ton dispositif ?
Moi : J'en ai plus qu'une, j'ai perdu l'autre !
Théo : C'est moi qui l'ai et je la garde ! Allez on s'habille et on va faire un tour.
Moi : Et moi alors tu me libère si tu as la clé ?
Théo : Non je te garde comme ça.
Moi : Ouai c'est ça ouai, tu délires là.
Théo : Non mais j'ai une grosse bitte, ça ne te plaît pas de pouvoir t'amuser avec ma grosse bitte, la tienne est toute petite.
Moi : Ma bitte n'est pas si petite que ça !
Théo : Si tu compare, je ne voudrais pas être vexant mais … Je te garde comme ça !
Il m'embrassait avec passion,
Théo : Bon on s'habille, on va faire un tour et au retour je t'encule et on verra …
Je crois que je me suis fais avoir ce jour là. Non seulement j'ai pas tiré mon coup mais en plus … Bon d'accord il m'a enculé … Mais en plus donc je suis reparti sur un nouveau challenge qui dure maintenant depuis plus de quinze semaines. Au total ça fait ? Je préfère même pas faire le calcul … Pfff …
Non mais c'est vrai, il abuse, heureusement qu'il a une très grosse queue, je ne vous dis pas comment on la sent passer …
Au départ moi je voulais juste tirer mon coup !
N'hésitez surtout pas à me laisser une commentaire et à me retrouver sur Twitter … @CharlyChast
Je le recevais dans mes bras, les refermais sur lui. Je le serrais contre moi, je le serrais fort. Ses mains se promenaient sous mon blouson …
Théo : Mais c'est quoi ce truc qui gêne là dans ta poche ?
Il m'arrachait mon blouson qui se retrouvait sur le sol, ensuite c'était ma chemise qui suivait. Quand il se laissait retomber sur moi, je lui faisais la même chose. Nos torses se touchaient, nos torses se frottaient l'un à l'autre, j'avais espéré une peau douce, c'est de la soie que je sentais contre moi. Une peau tellement douce, une couleur sombre qui prenait tellement bien la lumière. Je posais mes lèvres partout ou je le pouvais, et les caresses je les donnais sans aucune retenue avec mes mains, ma bouche, mes lèvres.
Fébrilement mes mains se précipitaient sur son pantalon, je l'ouvrais et le faisait glisser. Il relevait son corps pour m'aider dans mes mouvements et c'est une queue énorme qui bondissait en dehors de son pantalon. Mon cœur battait à tout rompre, c'était au delà de mes espoirs. La promesse qu'il m'avait faite à la manière d'une menace et finalement c'était peut-être véritablement une menace.
Je caressais sa queue fermement, ses couilles également et je voulais plonger pour les prendre dans ma bouche mais il me plaquait contre le lit sur son dos. Il ouvrait mon pantalon, me le faisait glisser et c'est une grosse bitte qui en sortait également. J'en était presque surpris, ça faisait tellement longtemps que je ne l'avais pas vu dans cet état. J'en était ravis mais j'en était surpris.
C'est lui qui alors plongeait sur ma queue, me la prenait dans sa bouche et me suçait. Je frémissais de plaisir. Rapidement il me gobait aussi les couilles. Tous mes muscles se détendaient, remués encore par quelques convulsions, mais détendus. Je me relâchais totalement, respirait à fond, mon cœur battait fort, très fort et dans ma tête je me concentrait pour ne pas jouir, pour ne pas jouir trop vite.
Je lui caressais les cheveux. Ce garçon inconnu quelques heures plus tôt était devenu en peu de temps un familier, j'avais l'impression de l'avoir toujours connu tant je me sentais bien entre ses bras.
D'un mouvement rapide il se relevait. Je pouvais alors l'admirer, il avait un corps magnifique dépourvu de poil. Autour du sexe il était épilé. Pour moi c'était le seul endroit ou je n'avais pas de poil, je m'épile. Il se dégageait de son pantalon et le repoussait plus loin, se penchait vers moi, tirait sur mon pantalon et me le retirait ainsi que mes chaussettes et chaussures. On se retrouvait enfin totalement nus, il était beau, il me regardait, il me souriait avant de se laisser tomber sur moi avec une grande douceur, il faisait attention à ne pas m'écraser.
De nouveau nos torses se frottaient l'un contre l'autre. Ma fourrure le chatouillait, je le sentais frissonner. Pour moi c'est la douceur de sa peau qui me faisait frissonner. Je fermais les yeux, je ne les ouvrais même pas quand nos lèvres se collaient l'une à l'autre. Ses baisers étaient chauds. A chaque fois que je voulais passer à l'action il me recouvrait de caresses, de baisers encore plus tendre, encore plus intense …
Je parvenais à le retourner sur le dos et à l'embrasser sur tout le corps en descendant vers son sexe. Il ne me retenait plus, il me laissait faire. Je sentais tous ses muscles se détendre au moment ou je prenais sa queue dans la bouche. Je l'avais vu énorme, elle était seulement de très belle taille, mais avec mon entraînement je parvenais sans difficultés à la prendre dans ma bouche.
J'en profitais, je la suçais, je passais ma langue sur son gland et quelques frémissements me disaient qu'il aimait. Il m'encourageait en me caressant les cheveux.
Les instants de fièvre étaient oubliés, j'avais dans mes bras un corps magnifique, totalement détendu, j'avais dans la bouche un très belle queue que j'espérais bien me prendre dans le cul. Je lui gobais les couilles, il se saisissait un peut et je sentais ses muscles se contracter.
Je remontais mon visage contre le sien, et restais là une ou deux secondes qui semblaient durer des minutes, de très longues minutes à le contempler, il me souriait. De nouveau nos bouches se collaient l'une à l'autre, nos langues se combattaient dans une lutte de douceur, nos bras caressaient l'autre, nos jambes se mélangeaient, nos sexe se touchaient. Nous bandions fermement.
Il me retournait sur le ventre sans rien me demander, longuement il me couvrait de baisers entre les omoplates, il me chatouillait et me faisait rire. En même temps d'un doigt fouillait entre mes fesses, et avec un peu de gel fouillait un peu plus profond. Un doigt, puis deux passaient, me dilataient doucement mais fermement l'anus. Je soupirais de plaisir, tournais la tête sur le côté.
Deux doigts me massaient doucement la prostate, j'ouvrais la bouche pour gémir, il déposait alors un baiser sur la commissure de mes lèvres et frappait plus fort contre ma prostate. Je gémissais, il frappait alors très fort. Je repliais alors mes bras sous mon ventre et tentais de me relever. Ils s'allongeait alors sur moi et c'est sa queue qui maintenant poussait contre mon anus. Je respirais fort et le laissais faire.
Il poussait, mon cul résistait. Il forçait, mon cul s'ouvrait, se dilatait et je sentais son énorme pénis s'enfoncer lentement dans mon cul, je le sentais me remplir. Son mouvement était lent, il ne me faisait pas mal mais ce devait être à la limite. C'était bon. Sa peau contre la mienne, c'était bon. Ses cuisses allongées entre mes cuisses, c'était bon. Ses baisers dans le cou, c'était bon. Son corps chaud qui s'écroulait sur moi, c'était …
Et ma queue, heureuse de sa liberté retrouvée, fièrement allongée contre mon ventre, entre le lit et mon ventre. Ma queue ne réclamait plus le plaisir qu'elle avait tant attendu. Ma queue désormais savait attendre, elle laissait le plaisir monter, venir. Il viendrait quand il le voudrait, il viendrait quand plus rien ne pourrait l'en empêcher. Il viendrait quand il le déciderait et ce serait une explosion de plaisir.
Mon corps désormais était disposé à attendre.
Le ventre de Théo s'écrasait contre mes fesses. Je râlais de plaisir et un peu de … Finalement peut être pas. Non … Je ne râlais que de plaisir !
Il appuyait de toutes ses forces, j'ai aimé, j'ai contracté mes bras mais sans le vouloir. Théo m'enlaçait alors et me retenait fermement. Il enfonçait alors sa queue dans mon cul avant de la retirer avec lenteur. Pas vraiment avec douceur, elle était trop grosse pour ça mais avec lenteur.
Je la sentais bien qui glissait dans mon muscle anal totalement distendu. Elle glissait, entrait, sortait. Je convulsais et par réflexe tentais de me dégager. Il resserrait alors les bras autour de moi.
Il me glissait à l'oreille '' Referme les cuisses !''. Je m'exécutais, j'avais un peu d'appréhension mais je m'exécutais. Il passait alors ses jambes à l'extérieur des miennes, ses genoux à l'extérieur de mes cuisses puis reprenait les mouvements de son bassin. Mes fesses étaient bien refermées, mon cul redevenu étroit, terriblement étroit, s’alarmait.
Théo m'embrassait dans le cou, me mordillait les épaules et appuyait de toutes ses forces son bassin contre mes fesses quand sa queue arrivait au fond de mon cul. Ma prostate s'affolait, je gémissais fort, je râlait et là, ce n'était pas que du plaisir … Enfin … Oubliez de que je viens de dire, c'était un plaisir de chaque mouvement, un plaisir de chaque seconde. Un plaisir qui finissait par me faire hurler. Ensuite j'étais pris de tremblement nerveux, je ne contrôlais plus mon corps, je pleurais, je gémissais, je bavais … Je ne lui demandais pas d'arrêter et il n'arrêtait pas.
Il continuait à me labourer le cul, à m'éclater la rondelle. Ses mouvements étaient devenus violents. Son ventre s'écrasait avec brutalité contre mes fesses puis poussait de toutes ses forces. Il se retirait ensuite entièrement, sa queue ressortait de mon cul et revenait. Parfois il passait sa main, glissait un doigt en moi et c'était sa queue qui revenait avec violence.
Sa respiration devenait plus forte, il râlait de plaisir et gueulait finalement au moment ou il jouissait en moi. Il se laissait alors retomber sur mon dos de tout son poids. Ce contact chaud et doux était agréable, je retrouvais rapidement sa douceur. La douceur de ses lèvres, de ses caresses, de sa peau. Je continuais à chialer encore un moment avant de retrouver totalement mon calme. Il se retirait.
Je restais là amorphe, sans bouger, sans pouvoir bouger. Pas la force, pas envie, je ne sais pas mais je ne bougeais pas. Je continuais à respirer fort encore un long moment. Je me retournais sur le dos, je tentais de me relever mais j'étais alors pris de vertige, je retombais sur dos avec un grand sourire, j'étais heureux. Je ne bandais plus, je n'avais pas juté mais j'étais heureux.
Théo s’asseyait en tailleur à côté de moi. Il me caressait tout doucement et finalement ce sont nos mains seules qui se caressaient avec douceur. Il posait sa main sur mon visage, me caressait la joue avec une extrême douceur, je lui suçais un doigt, ça le faisait rire.
Théo : Là tu m'as épaté ! Tu sais !
Moi : Éhéééé !
Je le faisais rire, il me donnait un baiser sur la bouche et me caressait la bite.
Théo : Tu n'as pas joui ?
Moi : Siiii !
Il me regardait avec ce qui regard qui semblait exprimer un sentiment … De … Non pas d'amour c'est trop tôt … Mais du sentiment tout de même.
Théo : Ça va ?
Moi : Super !
J'avais un large sourire béat.
Théo : Tu es prêt à remettre ça ?
Moi : Non mais je n'ai pas la force de résister.
Théo : Tu veux pas remettre ça ?
Moi : C'est toi qui décide. Moi j'en peux plus je suis mort … Mais c'est toi qui décide.
Théo : ( en m'embrassant ) Tu es un peu fou mais c'est vrai que tu es un bon coup toi, tu encaisses bien !
Moi : C'est vrai que tu as une grosse queue, tu n'avais pas exagéré !
Un peu plus tard je parvenais à me lever, on se retrouvait sous la douche. Je ne bandais plus, lui, il bandait mou. C'était agréable à voir cette grosse molle, qui se balançais devant lui entre ses cuisses à chacun de ses mouvements.
Je n'avais pas juté, je ne m'étais pas vidé les couilles, et ça faisait maintenant un long, très long moment mais je me sentais bien, très bien. Ma bitte n'avait pas craché mais ne disait plus rien. Pourtant quelques heures plus tôt elle protestait tout ce qu'elle savait. Maintenant elle ne disait plus rien.
Théo : Tu ne t'es pas branlé, tu n'as pas juté ?
Moi : Tu veux me branlé.
Théo : Toi branle toi !
Moi : Non. Toi, branle moi !
Théo : Non je veux pas mais si tu insiste je t'encule !
Moi : Des promesses, toujours des promesses …Théo : Tu devrais savoir maintenant que je sais tenir mes promesses !
Moi : Même pas peur !
Il me prenait dans ses bras, l'eau coulait sur nos deux corps. Nous nous embrassions avec passion. Je sentais sa queue se relever entre mes cuisses et je sentais la mienne qui la suivait.
Moi : Mais c'est que ça recommence cette histoire !
Théo : Mais c'est que tu as une petite bitte toi !
Moi : Mais c'est que tu as une grosse bitte toi !
Il prenait un air macho et faussement menaçant.
Théo : Mais c'est que tu me cherches toi !
Moi : Mais c'est que tu vas me trouver toi si tu continues !
Il me retournait contre le mur de la douche, je rigolais, lui aussi !
Il m'enfonçait sa queue dans le cul, je ne rigolais plus, je hurlais mais le laissais faire, il respirait fort dans mon oreille, me serrait fort contre lui et avec une certaine violence recommençait à me la labourer le cul. Rapidement je hurlais, mes jambes m'abandonnaient mais il me retenait. Et c'est coincé entre le mur et lui que je subissais de nouveau ses assauts. Pas de préliminaires, pas de détails, il me défonçait le cul. Pour lui le but était simple en finir, se vider les couilles, et se faire plaisir.
J'ai pleuré, j'ai gémi, j'ai râlé, j'ai hurlé, je me suis levé sur la pointe des pieds au moment ou il enfonçait sa queue à fond. Je l'ai senti frémir et me serrer de toutes ses forces quand il a juté de nouveau en moi, puis j'ai senti ses muscles se détendre et je me suis effondré sur le sol, il a alors ouvert la douche.
J'étais KO, j'avais le sourire, je me sentais bien, j'avais mal au cul mais j'étais content ! On se séchait et on se retrouvait dans le lit mais là c'était pour dormir …
On se réveillait le lendemain dans les bras de l'autre. J'ai aimé ce moment ou j'ai ouvert les yeux, il y avait un peu de lumière dans la chambre, j'ai eu tout mon temps pour admirer le beauté de son grain de peau et sa couleur chaude. Il s'est réveillé un peu après moi, m'a sourie. Il s'est ensuite levé et a shooté dans un truc qui traînait sur le sol.
Théo : C'était quoi ça ?
Il s'est penché pour ramassé le truc qui traînait. C'était ma cage à bite qui avait du tomber de ma poche. Il me montrait alors le truc avec un regard interrogateur.
Je lui expliquait.
Théo : A ouai, j'ai vu des trucs comme ça sur internet …
Il examinait longuement le truc sous tous les angles.
Théo : Et tu portes ce genre de truc toi ?
Je faisais oui de la tête. Suivaient tout un tas de questions pleine de curiosité.
Ça fait mal ?
Ça gratte ?
Ça te gêne pas ?
Ça me trou l'cul ton truc !
Tu me fais voir dis !
Ça le faisait plutôt rigoler cette histoire, il se marrait j'en faisais autant. J'étais totalement détendu et avec la soirée de la veille, même si je ne m'étais pas vidé les couilles la veille, même si ne n'avais pas juté et que ma queue n'avait pas craché sa sauce, je ne bandais pas vraiment, en plus j'avais mal au cul !
Je passait mes couilles et ma queue dans le cock-ring, il me regardait faire avec attention. Il me tendait même la cage, toujours guidé par la curiosité. Je l'enfilais, tout était en place.
Théo : Wouah ! Mais c'est vrai que tu es sexy comme ça ! Mais là tu peux le retirer comme tu veux !
Moi : Il y a un système de fermeture, un cadenas …
Il fouillait dans ma poche, le trouvait et me le tendait. Sur ma lancée je glissais le cadenas, le refermais et retirais la clé … Je tenais alors ma clé fièrement du bout des doigt. Il regardait l'air amusé.
Théo : Fais voir ce que ça donne quand tu bouge, quand tu marches.
Je me levais sans méfiance et me déplaçais dans la chambre.
Théo : Allez on prend le petit déj !
Il partait vers la cuisine, il gardait ce large sourire jovial et plein de curiosité, j'avais moi aussi un sourire jovial et confiant. On prenait notre petit déjeuner.
Il bandait, rapidement je m'amusais à lui caresser la bite, il me caressait les couilles puis.
Théo : Tu as combien de clés pour ton dispositif ?
Moi : J'en ai plus qu'une, j'ai perdu l'autre !
Théo : C'est moi qui l'ai et je la garde ! Allez on s'habille et on va faire un tour.
Moi : Et moi alors tu me libère si tu as la clé ?
Théo : Non je te garde comme ça.
Moi : Ouai c'est ça ouai, tu délires là.
Théo : Non mais j'ai une grosse bitte, ça ne te plaît pas de pouvoir t'amuser avec ma grosse bitte, la tienne est toute petite.
Moi : Ma bitte n'est pas si petite que ça !
Théo : Si tu compare, je ne voudrais pas être vexant mais … Je te garde comme ça !
Il m'embrassait avec passion,
Théo : Bon on s'habille, on va faire un tour et au retour je t'encule et on verra …
Je crois que je me suis fais avoir ce jour là. Non seulement j'ai pas tiré mon coup mais en plus … Bon d'accord il m'a enculé … Mais en plus donc je suis reparti sur un nouveau challenge qui dure maintenant depuis plus de quinze semaines. Au total ça fait ? Je préfère même pas faire le calcul … Pfff …
Non mais c'est vrai, il abuse, heureusement qu'il a une très grosse queue, je ne vous dis pas comment on la sent passer …
Au départ moi je voulais juste tirer mon coup !
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