Juste une mise au point
Récit érotique écrit par Georges [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-12-2018 dans la catégorie Plus on est
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Juste une mise au point
- Tu fais une drôle de tête Didier que t’arrive-t-il ?
- C’est Maryse …je suis désespéré- Elle est malade ?
- Non, partie chez ses parents - Pour la journée ?
- Pour faire un break, autrement dit je ne sais pas si elle reviendra un jour- Des problèmes de couples ? tu l’as trompée ?
- Moi ? tu es fou ? elle non plus, je sais qu’elle est fidèle En même temps je réfléchis, vouloir baiser Maryse telle qu’elle est attifée tient du miracle, pourtant c’est une très belle fille, mais engoncée dans un pantalon trop large est un pull vague qui masque sa poitrine, mal coiffée, pas maquillée, cette femme n’est pas bien dans sa peau et ça ne vient pas d’elle mais de Didier qui la maintient dans ce contexte afin qu’elle ne soit pas convoitée par d’autres hommes, pourtant lorsqu’il vient à la maison il ne se prive pas de lorgner sur les formes de ma femme Sylvie qui ose, a ma plus grande satisfaction montrer la naissance de ses seins et ses cuisses, lorsqu’il y a du vent elle laisse faire la nature sans chercher à retenir sa jupe pour le plaisir des yeux des hommes et de certaines femmes qui se trouvent à proximité … la jalousie n’évite pas le danger- Tu veux que je sois franc avec toi Didier ?
- Bien sûr Alain, dis-moi le fond de ta pensée - T’es un con, et un sacré con !
- Je ne te permets pas !
- Si ta bourgeoise s’est tirée c’est entièrement de ta faute- Mais ?
- Laisse là respirer, laisse là changer de look, laisse là montrer son cul si elle en a envie ! tu as déjà vu Sylvie en pantalon ?
- Non …- Par contre tu as certainement vu sa petite culotte ?
- Oui mais …- Alors fait pareil avec ta femme - Je suis prêt à faire une ou deux concessions mais comment faire ?
- Une ou deux ? c’est en totalité que tu dois accepter un changement radical, si tu veux ma femme va commencer par emmener Maryse faire les boutiques- Ça va me couter un bras ?
- Ah c’est certain ta carte bleue va chauffer, mais tu vas récupérer un canon - Tu materas ses fesses ?
- Bien sûr ! et ses nichons, j’aime mater ce qui est beau ! peut-être même que je tenterais d’y mettre une main ?
- Salaud ! tu la baiserais ?
- Vêtue autrement ça ne fait aucun doute ! elle doit être bonne au lit - Arrête Alain !
- Tu es choqué ?
- Non ça me fait subitement bander de t’imaginer entre ses cuisses - Eh bien tu vois ? tu es sur le bon chemin- Je te préviens, si tu pelote ma femme j’en fais autant avec la tienne !
- Le corps de Sylvie lui appartient, je vais même t’avouer un truc …un jour j’aimerais la voir prise par un autre homme sous mes yeux- Tu irais jusque-là ?
- Réfléchis-y …c’est valable pour votre couple aussi Didier est reparti pensif, le lendemain il a demandé à ma femme d’aller chercher Maryse pour la conseiller dans un shopping d’enfer avant de prendre rendez-vous chez le coiffeur et l’esthéticienne, mon ami ne reconnaissait plus sa femme ,il s’est subitement mis à la respecter, plié en quatre pour satisfaire son moindre caprice, du moins c’est ce qu’il promet … - Tu vas acheter du champagne car ce soir nous allons inviter Sylvie et Alain, je veux faire la fête- Oui ma chérie c’est une bonne idée… tu comptes garder ce corsage sans soutient gorge ?
- Certainement, tu ne vas pas te priver de mater ma copine ? alors je veux qu’Alain sache que j’ai mis un string en son honneur !
- Excuse-moi il me faut du temps pour m’adapter à ce nouveau look ravageur - Et aussi à mon comportement de femme libérée- Reste décente tout de même, ne me fais pas honte - C’est ça ou je me casse pour de bon, compris ?
- Compris ma bichette … fait comme bon te semble - Ceci dit je ne t’empêche pas de courtiser Sylvie, lave toi la bite et change de slip on ne sait jamais … Lorsque Didier nous a accueillis il était plutôt coincé, mais à la vue du décolleté de ma femme et à ses cuisses dénudées il s’est soudain ragaillardi en lui faisant la bise au coin des lèvres, pour ma part j’ai déposé un gros bécot sur la bouche glosée de Maryse en lui offrant le bouquet de fleurs que je plaque entre ses seins afin de les effleurer ‘par inadvertance’ - Je ne te connaissais pas ce côté coquin Alain ? !
- Tu me connais mal, mais nous allons rattraper le temps perdu !
- Suis moi à la cuisine je vais mettre ces magnifiques fleurs dans un vase Tandis que ma femme parlement avec le ‘nouveau’ Didier, je regarde Maryse occupée à couper les tiges a la même longueur, n’y tenant plus je l’enlace par derrière et constate que ses deux tétons sont dressés, ses fesses ondulent sur mon érection naissante qui en quelques secondes devient assez dure pour pénétrer n’importe quel vagin réceptif , du coup la femme pose le bouquet et les ciseaux pour s’agripper a l’évier cul cambré - Alain … Didier pourrait entrer … - Et alors ? il me féliciterait de te mettre en condition !
- Il y a des années que j’ai envie de ta queue …- Maryse ? Alain ? que faites-vous ? nous vous attendons au salon, et tire un peu sur ta jupe Maryse on voit tout !
- Tu vois Alain ? je te l’avais dit il me piste constamment, si ça continue je vais remettre mes vieilles fringues !
- Ce serait dommage, nous allons ‘l’éduquer’ soit tranquille, regarde ce salaud qui pelote gentiment les fesses de Sylvie et il vient nous faire la morale- Assied toi sur cette chaise Alain je vais m’assoir sur tes genoux - Tu es sure de le vouloir ? tu vas me faire bander - Je l’espère bien, car je vais te montrer en douce une partie de mes atouts !
La jeune femme s’assied sur mon genou écarté, un bras passé autour de mon cou, le mien autour de sa taille, on pourrait croire à un couple légitime tellement nous somment proches, elle-même ne serre pas les siens, ce qui fait remonter sa jupe au-delà de la bienséance, je ne peux résister à l’envie de poser une main sur l’un d’eux, Maryse vient de faire sauter un bouton a son décolleté m’offrant une vue plongeante sur sa vallée profonde, deux seins blancs qui n’ont jamais vu le soleil me narguent , vicieusement une de ses mains s’est posée à proximité de ma braguette, elle teste ma résistance a sombrer dans l’adultère … tu veux jouer à ça ? ma femme s’est doutée que nous allions pousser le mari jaloux dans ses retranchements, alors elle l’accapare sans toutefois lui donner ce qu’il cherche : sa bouche !
Ma main remonte sur la cuisse, mes doigts palpent l’intérieur, là où la peau brulante est fine et douce comme de la soie, mon pouce entraine la jupe vers le haut, à présent je peux dire de quelle couleur est son brésilien au font étroit, jaune pâle malgré l’humidité qui le fonce en face du volcan en éruption, ainsi que le pourtour en dentelle par où s’échappent quelques poils blonds Mon majeur frotte le triangle qui devient vite poisseux, la femme réagit lorsque mon ongle passe trop près sur le clitoris, sa tête s’abandonne sur mon épaule, elle est désormais en mon pouvoir, la main s’enhardit et empoigne ma bitte raidie, Maryse la presse tel un pis de vache pour en extraire le lait, si elle insiste elle va en avoir du bon lait !
- Doigte-moi Alain je n’en puis plus - Et Didier ?
- Je m’en tape ! tu crois qu’il va se gêner avec ta femme ? doigte-moi !
- Dans ce cas … Le bord une fois crocheté je tire sur le slip, elle s’ouvre autant que la jupe le permet afin de me laisser dégager sa chatte, ceci fait c’est un jeu d’enfant pour séparer les lèvres collées par la cyprine et enfoncer un doigt en éclaireur- Ooooooooooooooouuuuuuuuuuuuiiiiiiiiiiiii, branle-moi ….
- Toi aussi branle moi, sort ma pine de sa prison, elle agonise !
En tendant l’oreille je perçois des réflexions du mari qui s’inquiète de notre gesticulation singulière, pour le retenir Sylvie lui offre la même chose … l’homme pousse un grognement et ne fait plus de cas de nousA présent j’ai deux doigts dans la place et mon pouce sur le clito, les trois savamment utilisés font se tortiller la femelle en chaleur, accrochée à mon membre qu’elle essaie maladroitement de masturber, la tension monte, je veux absolument baiser cette femme devant son mari !
- Remonte ta jupe, vient à cheval sur moi …- Que va dire Didier ?
- Il est trop occupé à lécher ma femme ! empale-toi sur ma pine- Que fait tu salope ? on ne peut pas te laisser une minute sans surveillance, tu oses me tromper sous mon nez ?
- Et toi ? que fait tu avec ma copine ? tu lui raconte une histoire drôle ? de toute façon c’est trop tard je suis bel et bien emmanchée par une belle bite bien raide !
- Sylvie écarte les cuisses que je te mette ma queue, y’a pas de raison - Certainement pas ! tu vas assister en direct à l’émancipation de ta femme, regarde les grosses mains de mon mari sous le cul de ta femme, regarde comment il là soulève pour mieux lui enfoncer sa queue dans la chatte ! approche toi tu vas voir ses nichons sauter en cadence- Il a mis une capote ?
- T’es fou ?
- Mais elle ne prend pas la pilule, je le fait exprès pour l’empêcher d’aller voir ailleurs - J’espère que mon mec va vous faire un joli mouflet !
- Vous êtes tous des pervers- Je vais me monter magnanime, donne-moi ta pine je vais te branler- Ne me touche pas sinon j’explose direct dans ta main !
- Hé bien tu vois ? ça t’excite finalement ! approche-toi plus près …- RRRRRRRRRHHHHHHHHHHAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA je décharge !!!!
Alain a fait jouir trois fois Maryse avant que je ne laisse son mari me bouffer, depuis nous nous voyons souvent pour des trios d’enfer, Didier se contente des ‘miettes’ que nous lui accordons
- C’est Maryse …je suis désespéré- Elle est malade ?
- Non, partie chez ses parents - Pour la journée ?
- Pour faire un break, autrement dit je ne sais pas si elle reviendra un jour- Des problèmes de couples ? tu l’as trompée ?
- Moi ? tu es fou ? elle non plus, je sais qu’elle est fidèle En même temps je réfléchis, vouloir baiser Maryse telle qu’elle est attifée tient du miracle, pourtant c’est une très belle fille, mais engoncée dans un pantalon trop large est un pull vague qui masque sa poitrine, mal coiffée, pas maquillée, cette femme n’est pas bien dans sa peau et ça ne vient pas d’elle mais de Didier qui la maintient dans ce contexte afin qu’elle ne soit pas convoitée par d’autres hommes, pourtant lorsqu’il vient à la maison il ne se prive pas de lorgner sur les formes de ma femme Sylvie qui ose, a ma plus grande satisfaction montrer la naissance de ses seins et ses cuisses, lorsqu’il y a du vent elle laisse faire la nature sans chercher à retenir sa jupe pour le plaisir des yeux des hommes et de certaines femmes qui se trouvent à proximité … la jalousie n’évite pas le danger- Tu veux que je sois franc avec toi Didier ?
- Bien sûr Alain, dis-moi le fond de ta pensée - T’es un con, et un sacré con !
- Je ne te permets pas !
- Si ta bourgeoise s’est tirée c’est entièrement de ta faute- Mais ?
- Laisse là respirer, laisse là changer de look, laisse là montrer son cul si elle en a envie ! tu as déjà vu Sylvie en pantalon ?
- Non …- Par contre tu as certainement vu sa petite culotte ?
- Oui mais …- Alors fait pareil avec ta femme - Je suis prêt à faire une ou deux concessions mais comment faire ?
- Une ou deux ? c’est en totalité que tu dois accepter un changement radical, si tu veux ma femme va commencer par emmener Maryse faire les boutiques- Ça va me couter un bras ?
- Ah c’est certain ta carte bleue va chauffer, mais tu vas récupérer un canon - Tu materas ses fesses ?
- Bien sûr ! et ses nichons, j’aime mater ce qui est beau ! peut-être même que je tenterais d’y mettre une main ?
- Salaud ! tu la baiserais ?
- Vêtue autrement ça ne fait aucun doute ! elle doit être bonne au lit - Arrête Alain !
- Tu es choqué ?
- Non ça me fait subitement bander de t’imaginer entre ses cuisses - Eh bien tu vois ? tu es sur le bon chemin- Je te préviens, si tu pelote ma femme j’en fais autant avec la tienne !
- Le corps de Sylvie lui appartient, je vais même t’avouer un truc …un jour j’aimerais la voir prise par un autre homme sous mes yeux- Tu irais jusque-là ?
- Réfléchis-y …c’est valable pour votre couple aussi Didier est reparti pensif, le lendemain il a demandé à ma femme d’aller chercher Maryse pour la conseiller dans un shopping d’enfer avant de prendre rendez-vous chez le coiffeur et l’esthéticienne, mon ami ne reconnaissait plus sa femme ,il s’est subitement mis à la respecter, plié en quatre pour satisfaire son moindre caprice, du moins c’est ce qu’il promet … - Tu vas acheter du champagne car ce soir nous allons inviter Sylvie et Alain, je veux faire la fête- Oui ma chérie c’est une bonne idée… tu comptes garder ce corsage sans soutient gorge ?
- Certainement, tu ne vas pas te priver de mater ma copine ? alors je veux qu’Alain sache que j’ai mis un string en son honneur !
- Excuse-moi il me faut du temps pour m’adapter à ce nouveau look ravageur - Et aussi à mon comportement de femme libérée- Reste décente tout de même, ne me fais pas honte - C’est ça ou je me casse pour de bon, compris ?
- Compris ma bichette … fait comme bon te semble - Ceci dit je ne t’empêche pas de courtiser Sylvie, lave toi la bite et change de slip on ne sait jamais … Lorsque Didier nous a accueillis il était plutôt coincé, mais à la vue du décolleté de ma femme et à ses cuisses dénudées il s’est soudain ragaillardi en lui faisant la bise au coin des lèvres, pour ma part j’ai déposé un gros bécot sur la bouche glosée de Maryse en lui offrant le bouquet de fleurs que je plaque entre ses seins afin de les effleurer ‘par inadvertance’ - Je ne te connaissais pas ce côté coquin Alain ? !
- Tu me connais mal, mais nous allons rattraper le temps perdu !
- Suis moi à la cuisine je vais mettre ces magnifiques fleurs dans un vase Tandis que ma femme parlement avec le ‘nouveau’ Didier, je regarde Maryse occupée à couper les tiges a la même longueur, n’y tenant plus je l’enlace par derrière et constate que ses deux tétons sont dressés, ses fesses ondulent sur mon érection naissante qui en quelques secondes devient assez dure pour pénétrer n’importe quel vagin réceptif , du coup la femme pose le bouquet et les ciseaux pour s’agripper a l’évier cul cambré - Alain … Didier pourrait entrer … - Et alors ? il me féliciterait de te mettre en condition !
- Il y a des années que j’ai envie de ta queue …- Maryse ? Alain ? que faites-vous ? nous vous attendons au salon, et tire un peu sur ta jupe Maryse on voit tout !
- Tu vois Alain ? je te l’avais dit il me piste constamment, si ça continue je vais remettre mes vieilles fringues !
- Ce serait dommage, nous allons ‘l’éduquer’ soit tranquille, regarde ce salaud qui pelote gentiment les fesses de Sylvie et il vient nous faire la morale- Assied toi sur cette chaise Alain je vais m’assoir sur tes genoux - Tu es sure de le vouloir ? tu vas me faire bander - Je l’espère bien, car je vais te montrer en douce une partie de mes atouts !
La jeune femme s’assied sur mon genou écarté, un bras passé autour de mon cou, le mien autour de sa taille, on pourrait croire à un couple légitime tellement nous somment proches, elle-même ne serre pas les siens, ce qui fait remonter sa jupe au-delà de la bienséance, je ne peux résister à l’envie de poser une main sur l’un d’eux, Maryse vient de faire sauter un bouton a son décolleté m’offrant une vue plongeante sur sa vallée profonde, deux seins blancs qui n’ont jamais vu le soleil me narguent , vicieusement une de ses mains s’est posée à proximité de ma braguette, elle teste ma résistance a sombrer dans l’adultère … tu veux jouer à ça ? ma femme s’est doutée que nous allions pousser le mari jaloux dans ses retranchements, alors elle l’accapare sans toutefois lui donner ce qu’il cherche : sa bouche !
Ma main remonte sur la cuisse, mes doigts palpent l’intérieur, là où la peau brulante est fine et douce comme de la soie, mon pouce entraine la jupe vers le haut, à présent je peux dire de quelle couleur est son brésilien au font étroit, jaune pâle malgré l’humidité qui le fonce en face du volcan en éruption, ainsi que le pourtour en dentelle par où s’échappent quelques poils blonds Mon majeur frotte le triangle qui devient vite poisseux, la femme réagit lorsque mon ongle passe trop près sur le clitoris, sa tête s’abandonne sur mon épaule, elle est désormais en mon pouvoir, la main s’enhardit et empoigne ma bitte raidie, Maryse la presse tel un pis de vache pour en extraire le lait, si elle insiste elle va en avoir du bon lait !
- Doigte-moi Alain je n’en puis plus - Et Didier ?
- Je m’en tape ! tu crois qu’il va se gêner avec ta femme ? doigte-moi !
- Dans ce cas … Le bord une fois crocheté je tire sur le slip, elle s’ouvre autant que la jupe le permet afin de me laisser dégager sa chatte, ceci fait c’est un jeu d’enfant pour séparer les lèvres collées par la cyprine et enfoncer un doigt en éclaireur- Ooooooooooooooouuuuuuuuuuuuiiiiiiiiiiiii, branle-moi ….
- Toi aussi branle moi, sort ma pine de sa prison, elle agonise !
En tendant l’oreille je perçois des réflexions du mari qui s’inquiète de notre gesticulation singulière, pour le retenir Sylvie lui offre la même chose … l’homme pousse un grognement et ne fait plus de cas de nousA présent j’ai deux doigts dans la place et mon pouce sur le clito, les trois savamment utilisés font se tortiller la femelle en chaleur, accrochée à mon membre qu’elle essaie maladroitement de masturber, la tension monte, je veux absolument baiser cette femme devant son mari !
- Remonte ta jupe, vient à cheval sur moi …- Que va dire Didier ?
- Il est trop occupé à lécher ma femme ! empale-toi sur ma pine- Que fait tu salope ? on ne peut pas te laisser une minute sans surveillance, tu oses me tromper sous mon nez ?
- Et toi ? que fait tu avec ma copine ? tu lui raconte une histoire drôle ? de toute façon c’est trop tard je suis bel et bien emmanchée par une belle bite bien raide !
- Sylvie écarte les cuisses que je te mette ma queue, y’a pas de raison - Certainement pas ! tu vas assister en direct à l’émancipation de ta femme, regarde les grosses mains de mon mari sous le cul de ta femme, regarde comment il là soulève pour mieux lui enfoncer sa queue dans la chatte ! approche toi tu vas voir ses nichons sauter en cadence- Il a mis une capote ?
- T’es fou ?
- Mais elle ne prend pas la pilule, je le fait exprès pour l’empêcher d’aller voir ailleurs - J’espère que mon mec va vous faire un joli mouflet !
- Vous êtes tous des pervers- Je vais me monter magnanime, donne-moi ta pine je vais te branler- Ne me touche pas sinon j’explose direct dans ta main !
- Hé bien tu vois ? ça t’excite finalement ! approche-toi plus près …- RRRRRRRRRHHHHHHHHHHAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAAA je décharge !!!!
Alain a fait jouir trois fois Maryse avant que je ne laisse son mari me bouffer, depuis nous nous voyons souvent pour des trios d’enfer, Didier se contente des ‘miettes’ que nous lui accordons
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Histoire stupide avec deux cons pareilles je doute qu ils baisent des jolies filles mais certainement des gros boudins.