Juste une mise au point - histoire érotique

Tout d'abord, je tiens à vous faire savoir que je suis conscient que je raconte trop souvent mes aventures avec des hommes au gros sexe.

Mais ce sont les moments les plus intenses pour moi, ceux qui m'ont marqué le plus !

Bien sûr, j'ai connu plus d'hommes normalement dotés, dont de nombreux amants éphémères.

J'ai connu le premier, Philippe, en sortant de l'armée, lors de ma première escapade en cinéma porno.
Il m'a enculé avec fougue, sa bite était comme la mienne, 15 cm x 4 cm.
Comme il était très actif, il a réussi à me faire jouir, j'étais comblé.

Il m'a proposé d'entretenir une relation suivie avec lui.
J'ai accepté, bien sûr, on se revoyait chez moi, mais trop rarement à mon gout.
C'était difficile, à cause de son métier, il était dentiste ! Donc très pris.

Puis un jour, il me propose de venir le voir à son cabinet en me faisant passer pour un parent, il est marié !.
Un jour, j'ose donc lui rendre visite, j'ai envie de baiser avec un homme.

Je sonne, une secrétaire m'ouvre.

"Bonjour, vous avez Rendez-vous ?".
"Euh, non, je m'appelle Pascal ! Je suis le neveu du docteur M... ! Il peut me recevoir ? Je dois lui parler !".
"Attendez là, je vais le prévenir !".

La réaction de cette femme m'a surpris, je sais qu'elle ne croit pas à mon histoire de neveu !
Phillipe arrive affolé, puis il me voit et me dit:

"Attends moi ! J'arrive !".

Il revient très vite après, muni de clés.
Il me fait monter jusqu'aux mansardes et ouvre un grenier avec un matelas au sol.

Il m'embrasse aussitôt et me déshabille rapidement.
On se retrouve dénudés sur le matelas.

Il me demande de le sucer longuement, puis il me possède comme toujours avec fougue.
Je joui plusieurs fois et reçoit son sperme chaud dans l'anus.

J'ai trouvé cet échange intense, mais je n'ai pas du tout aimé la situation.

De plus, j'ai encore envie qu'on m'encule ! Il ne me suffit plus !
il est évident que ma relation avec le Lieutenant et ses amis m'a conditionné aux rapports anaux multiples.

Ce fut ma dernière liaison avec lui, sauf une fellation au cinéma porno ou je lui ai annoncé ma décision.

Il y a eu ensuite, Jean, un homme d'une cinquantaine d'années qui me baisait au cinéma aussi et qui venait chez moi également.

Il avait une queue magnifique, et m'apportait un sentiment de soumission plus fort à cause de sa corpulence.

Il était toujours très excité et pressé de m'enculer, j'avais souvent le sentiment excitant de baiser dans l'urgence.

Je jouissais souvent avec l'anus écartelé, le corps écrasé contre un mur du cinéma.

J'ai adoré baiser avec lui, chez moi, dans les premiers temps, il m'enculait plusieurs fois.
C'était très épanouissant !

Puis les années passant, plus il m'enculait, et moins, il était endurant.
Je ne me suis jamais refusé à lui, mais j'étais frustré, même si je l'adorai.
On s'est vu épisodiquement, pendant dix ans.

Il y a eu aussi, un homme très vicieux qui aimait me dominer avec des mots crus.
Il aimait m'enculer en offrant ma bouche à d'autres hommes, surtout à des magrébins âgés.
Je le vivais mal !
Il me disait:
"Tu l'aimes ma grosse bite ?".
Ben, pas trop en fait ! Il était doté comme moi !

Il faisait partie de ces dominateurs à petite bite !
Je l'ai très vite évité, mais je le croisait souvent dans la rue, avec sa femme.
Elle ne voyait pas son regard vicieux sur moi, en me croisant. Si elle avait su !

C'est à cette époque que j'ai osé dire non, aux hommes qui ne me plaisaient pas.
Il a été déçu lorsque je l'ai refoulé en lui disant:
"Non, laisses-moi ! Je m'ennuie avec toi !".

A partir de là, je n'ai eu des relations suivies, qu'avec des hommes bien membrés.

J'ai connu un autre homme aussi vicelard que lui, mais qui était très bien doté, ce qui changeait tout !
Il m'a emmené très loin dans le vice, trop loin, j'ai dépassé mes limites avec lui.

Mais c'était très décevant, lorsqu'un homme qui m'avait bien fait jouir, ne voulait pas me revoir, ou se contentait de ces rencontres en backroom ou lieux chauds.

On ne peut pas plaire à tout le monde ! Même si je comprends que, pour un hétéro mûr marié, c'est pas évident d'avoir une relation suivie avec un jeune homme.

A l'inverse, beaucoup m'ont aimé au point de vouloir me garder pour eux.
Je me souviens de cet homo, Serge, je crois ! On s'est connu en Sex-Shop, Il se masturbait en matant un film porno.
Il m'a fait signe pour que je lui offre ma bouche.

Il a, tout de suite, été très dominateur, en me tirant par les cheveux, pour m'enfoncer sur sa bite.
Il me parlait crûment, me flagellait de sa queue sur le visage.
Il adorait me baiser en gorge profonde.

Puis, il m'a enculé, plié en deux et appuyé sur le dos d'une chaise.
Il me claquait les fesses en m'insultant encore.

J'ai pris de nombreux orgasmes avec lui, malgré la taille de sa bite, plus épaisse que la normale et un peu longue, mais en dessous de ce que j'aimais avoir dans le cul.

Après notre quatrième rencontre dans ce lieu, il m'a avoué qu'il adorait me baiser et qu'il voulait me voir chez lui, afin de passer plus de temps ensemble.

On a eu une relation qui duré dix mois, mais il s'est attaché et me faisait des scènes de jalousie, quand je parlais de mon hétérosexualité.

Il soutenait que j'étais homo, et que je me trompais en baisant avec des filles.
Ce n'était pas ma vraie personnalité, d'après lui.

Je n'ai pas apprécié qu'il me menace de tout raconter à ma copine, j'ai donc cessé de le voir.

Mais lors d'une escapade au Sex-Shop, il m'a sollicité, j'ai cédé.
Il s'est vengé en me poussant à baiser avec deux autres hommes, il éjaculé en jouissant dans ma bouche, pendant qu'on m'enculait.
J'ai adoré, bien sûr, et ça lui a permit de se détacher, lui aussi.
J'étais une salope, c'est comme ça !

Il y a eu Jean, un homme cinquantenaire, qui a flashé sur moi et m'a enculé dans ma cabine de projection.

J'ai flashé moi aussi, mais sur sa bite ! Elle était énorme ! Mais j'ai déchanté ensuite !

Il m'a donc proposé une relation suivie.
On s'est revu plusieurs fois chez lui, mais le souci, c'est qu'il était passif !

J'étais l'un des rares jeunes hommes qui l'excitait assez, pour lui donner envie de me baiser.
Il finissait toujours par avoir du mal à tenir son érection, et je cédais quand il me demandait de l'enculer, lui aussi.
Je me suis lassé au bout de 3 rencontres.
Cet homme avait un engin de plaisir à faire crier toutes les jeunes salopes comme moi, mais cela ne lui servait qu'à uriner !

Il y a eu aussi cet homme, cinquantenaire également, au sexe très, très épais, mais d'une longueur assez normale.
J'adorai ressentir l'énormité de son gland proéminent dans ma gorge.

Par contre, il éjaculait énormément ! Son sperme, ce qui n'arrange rien avait un gout délicieux !
On s'est très bien entendu, et on s'est vu pendant 25 ans ! A raison de dix à trente fois par an environ.
Je le laissais m'enculer parfois, mais plus rarement parce qu'il manquait d'endurance.
Sa turgescence le rendait plus sensible.

Enfin, j'ai aussi rencontré un hétéro au tempérament très actif.
Cela s'est passé au cinéma porno.
Il m'a enculé comme une salope, pendant un long moment.

Sa bite de largeur normale, mais dotée d'un gland très large, m'a fait jouir analement, comme jamais.
Après ma sortie de l'armée, il était l'un des premiers à bien m'enculer et m'apporter d'aussi puissants orgasmes !

Un mois plus tard, on s'est reconnu devant l'école de ma copine, alors que je la raccompagnais.
La situation était étrange, ma copine m'embrassait pendant que je devinais son regard vicieux sur moi. Il a attendu dix minutes sans me quitter des yeux et se touchant la bite parfois a travers son jean.
Quand ma copine est rentrée dans l'école, il m'a abordé en me disant à voix basse qu'il voulait "Encore m'enculer comme une salope! Ca te dirait pas que je te défonces le cul comme au cinéma ?".
On était entouré de gens, la situation était excitante.
Il m'a emmené chez moi et m'a baisé deux fois dans l'heure que nous avons partagée.
Il s'excitait de m'enculer en pensant que j'avais une copine, en me traitant de "petite pédale" !
J'ai pris du plaisir, mais moins que la première fois.
Voila, les hommes et leurs queues se suivent et ne se ressemblent pas, mais il est évident pour moi, que mes meilleurs amants étaient tous bien membrés, endurants et dominateurs.
Reste aussi ces moments intenses avec des inconnus, ces baises à la chaine, de deux individus à plusieurs dizaines d'hommes en Sex-Shop, cinéma porno et petits bois du bord de mer.