Justine et son Papounet. 10 - histoire érotique

Justine et son papounet. 10
Papounet explore des grottes vierges et des gouffres sombres.

J’écris cette histoire avec une de mes fidèles lectrices, essayant de faire coïncider nos deux points de vue et de rester cohérents. Votre serviteur qui dans cette histoire est Papounet.

Sans le faire exprès, je l’ai montée trop haut et ai quitté sa fente et quand la gravité a fait son effet mon chibre s’est un peu redressé et a forcé l’anneau fripé. Mon manche a plié une seconde mais heureusement son sphincter a cédé devant l’intru et en un rien de temps, la totalité de mon chibre a disparu dans ses boyaux sous ses protestations. Mais maintenant que je suis dans la place, Popaul va faire son œuvre de destruction massive. Elle va devoir marcher comme un canard quand j’en aurai fini avec elle. Ah mais !!! Je ne me reconnais plus, je repense soudain au cachet que m’a fait prendre Justine, ma belle-fille.

Suite :
-Humm oui papa, encule bien fort Émilie pendant que Laura me défonce le cul, la garceee, aaaah putain !!!

J'attrape la p’tite Sarah encore groggy, comme sur un petit nuage par l'assaut qu'elle a subi et plaque sa p’tite bouche à ma chatte poisseuse, la forçant à me lécher bien fort et profondément pendant que Laura m'encule sauvagement mmmhhh… Devant nous le spectacle d’Emilie empalée sur le défonce-cul toujours aussi gros de mon papa d’adoption nous rend folles.
Emilie, comme articulée sur cet axe d’airain qui la défonce bouge comme une poupée de chiffon tandis que la bite factice entre ses cuisses remue dans tous les sens.

-Ah putain de ta race Sarah, applique-toi plus et bouffe-moi bien la chatte, mmmhh et toi Laura vas-y fort dans mon trou du cul, connasse ! Papaaaa, elles sont bonnes mes copines heinnnnn ?! Mmmhhh… Garde des forces pour prendre la virginité du cul de la petite Sarah qu'elle s’en souvienne toute sa vie. J'ai encore des pilules bleues, aaaahhh plus forttttt laura, mmmhhh…

Mais cette petite pute quitte mon trou du cul et se dirige vers la bête à deux dos, se glisse entre les cuisses d’Emilie et lui fourre le gode encore ruisselant de mes humeurs dans la chatte comprimée par la teub de mon papounet qui défonce joyeusement l’autre trou, en réduisant l’espace à peau de chagrin.

(Papounet) :
Si j’écoutais Justine avec ses cachets, j’en ferait une crise cardiaque. Le gode ceinture force dans la chatte d’Emilie et ce n’est pas pour me déplaire, augmentant mes sensations dans son cul.
Mais la coordination est difficile et plusieurs fois, je décule. Mais cette salope de Justine s’est glissée entre nos jambes et prend aussitôt en bouche mon bâton merdeux sans dégoût pour baver dessus avant de le guider à nouveau vers l’anneau fripé. L’intromission devrait être plus facile après son dépucelage anal mais le gode qu’actionne Laura m’oblige à chaque fois à déneiger l’allée.
Je n’y tiens plus, je sens la sauce monter. Je repose Emilie et ordonne à mon troupeau de femelles de former un demi-cercle devant moi, la bouche grande-ouverte, et surtout de ne pas avaler. Je me branle juste ce qu’il faut puis passe de bouche en bouche pour vider ma gourme, espérant ne pas faire de déçues. Une crème blanche recouvre quatre langues roses et des visages heureux.
-Avalez les filles, interdit de recracher !

Je croyais que j’allais aussitôt débander après ce deuxième vidage de burnes mais bien que mon chibre regarde le sol et à perdu de sa rigidité, je serais presque prêt pour un dernier round. Ça n’échappe pas à ma vicelarde de fille.
-Encule Sarah ! Profite-en avant que tu ne rebandes à fond, ça passera mieux !

(Justine) :
Nous avons nos visages englués du sperme épais et abondant de papa, nous nous embrassons toutes les quatre ensembles devant lui qui regarde en se caressent doucement pour reprendre des forces et essayer d’entretenir une belle vigueur au niveau de sa merveilleuse teub.
Nous remarquons qu’il déplace devant nous le camescope qu'il place idéalement afin de filmer toutes nos orgies particulièrement perverses et cela nous excite encore bien plus.
Laura et Emilie se mette en 69 pour se bouffer la chatte pissante de leur jus et moi je fais de même avec la petite Sarah que je mets à quatre pattes, les cuisses largement écartées ce qui fait bien remonter son petit cul de jeune fille sage, (enfin avant…)
Je passe sous elle en 69 et commence à lécher sa petite chatte qui n'est plus vierge depuis dix minutes, le goût délicat est délicieux, ma langue efface même les traces de sang pendant que la petite princesse miaule comme une chatte en chaleur, c’est le cas de le dire.
Je serre mes cuisses autour de sa tête pour quel me bouffe la fente poisseuse de nos ébats.
-Papa, je vois que ta teub n’est pas aussi énorme que tout à l'heure, le spectacle t'excite hein ?
Prends ton temps pour bander à bloc en nous filmant dans tous les angles comme un producteur de porno pervers, laisse le désir monter à son paroxysme.

Tout en disant cela j'enfonce un doigt dans le petit trou du cul merdeux de Sarah qui pousse un petit cri étouffé en me bouffant la chatte, mmmhhh, elle est si serrée ! Elle va dérouiller quand papounet va l'enculer pour sa première. En lui aspirant sa petite chatte, je sens un liquide chaud couler dans ma bouche, oh la petite conne pisse et pourtant cela ne me rebute pas au contraire car j'avale avec plaisir ce jeune et délicieux nectar.
- Mon cadeau te plaît papa chéri ? Voilà, je t’ai préparé son petit trou du cul mais stp prends ton temps qu’elle ressente la douleur de l'intromission de ta teub énorme jusqu'à son plaisir. Viens lui déchirer son jeune petit cul.

A côté Émilie et Laura commencent à se rhabiller rapidement, se rappelant qu'elles doivent rentrer mais avant de partir, elles jurent de garder le secret et embrassent papa en lui promettant de revenir un de ces jours avant de quitter la maison.

(Papounet) :
-Eh ! Pas si vite ! Laura, viens ici !
Elle s’approche et je la saisis aux poignets, la retourne en lui annonçant :
-Tu ne croyais quand même pas t’en tirer à si bon compte ! Le seul moyen pour que tu tiennes ta langue, c’est de subir le supplice du pal, comme tes copines !

Je ne sais pas ce qui me prends de me comporter comme le dernier des salauds mais je ne me reconnais plus. Elle avait pourtant remis sa petite culotte mais ma séance derrière le caméscope à filmer ces quatre salopes m’a fait reprendre du gourdin et je ne peux plus me retenir, et ce putain de cachet ! Je change de préservatif, la saisis par les hanches et essaie de la prendre mais le fin tissu m’en empêche. Comme devenu fou, je donne un énorme coup de reins faisant se déchirer son slip et l’embroche d’une énorme poussée. Elle crie comme une hystérique.
-Nooonnn ! Arrrggghhh ! Je ne voul… ! Oh putain ! Oh putain ! Moins fort bordel ! Aaaaahhhh! Mmmmhhh ! Je craignais qu’il me prenne avec sa poutre et je voulais partir sans qu’il me baise mais c’est sublime, douloureux mais sublime ! J’ai jamais baisée avec un homme aussi bien monté et je ne m’en croyais pas capable.

Et pourtant, des quatre filles, c’est elle qui a le vagin le plus accueillant, c’est la seule qui supporte la totalité de mon engin. Je m’en donne à cœur joie, la faisant couiner de plaisir et chaque fois que je m’enfonce en elle, la cyprine sous pression et très abondante chez elle car elle a orgasme sur orgasme, jaillit sous pression comme les geysers en Islande autour de ma pine. Je lui fais subir tous les outrages dans la foulée mais elle ne regimbe plus, comme domptée. Son trou du cul et aussi accueillant que sa chatte. Je pourrais la baiser comme ça des heures durant car les deux précédentes jouissances m’ont décongestionné les burnes. Justine essaie de réfréner mes ardeurs, me rappelant sa dernière demande.
-Laisse-la et viens t’occuper de Sarah, je n’ai pas préparé son cul pour rien !

(Justine) :
Oh putain ce que tu lui mets ! Et ta teub est toujours aussi énorme que je me demande comment elle peut supporter ton engin dans sa chatte et son cul. Mes doigts s’activent dans le cul de Sarah qui est effrayée par le spectacle torride et pervers juste à côté, la peur se constate sur son joli petit minois mais je dois avouer que ça m’excite encore plus. Je la force à se mettre à quatre pattes son mini cul bien cambré à côté de Laura toujours défoncée par mon papounet d’amour avant de lui mettre une gifle sur les fesses quand elle essaie de se rebiffer.
-Bouge- plus petite garce, il va bientôt s'occuper de ton cas alors là, tu pourras commencer à avoir peur.

Je me redresse et embrasse papounet à pleine bouche alors qu'il continue de prendre Laura de toutes ces forces puis lui glisse à l’oreille :
-Je t'aime, regarde la petite est prête et j'espère que tu auras encore de l'énergie et du foutre pour elle lol. Laisse-moi changer ta capote… Tu me fais couler comme jamais.
Je prends une de ses mains et la pose sur ma chatte trempée pour qu’il le constate puis arrive à saisir sa trique et le force à changer de cible, (enfin je veux dire de copine).

(Papounet) :
Comme dans un état second, je me laisse faire par Justine qui me mène à la baguette, ou devrais-je dire par la bite. Elle me fait d’abord replonger dans le vagin encore abondamment trempé de Sarah sans pour autant retirer sa main puis oriente le missile sur un autre objectif sans même que je m’en rende compte. Je redonne un coup de reins mais l’effort est si intense que je sens mon chibre plier sous l’effort.
-Justine, ça rentre pas, elle est trop serrée ! huile ma bite !
-Tu veux que je t’aide papounet ? Laisse-toi faire Sarah, détends-toi.
Un liquide froid coule sur mon défonce-cul et la main de Justine enserre mon chibre à la base. J’appuie sur le sphincter qui résiste encore. Je m’arrête un court instant avant d’enfoncer la porte.
-Oh non-Monsieur, NOOONNN !!!
-Tu n’as pas trop mal, s’inquiète Justine ? Tu vas t’y habituer et après tu verras, ça glisse tout seul…

Je redescends sur terre et constate que je suis enlisé jusqu’aux moyeux dans cette ornière. Euuuhh…jusqu’aux couilles dans ce trou du cul hyper serré tellement elle contracte ses fesses. Dessoûlé, je ne bouge plus. Sarah s’est effondrée, uniquement retenue par mes mains sur les hanches et mon défonce-cul prisonnier dans son anus.
-Pitié, ne bougez plus Monsieur, ça fait trop mal !

J’attends plusieurs minutes comme ça, mon vit en profite pour débander un peu. Je reprends donc très doucement la manœuvre. Elle accepte mieux l’engin légèrement décongestionné et son cul est un peu plus coopératif. Elle commence même à bouger elle-même du popotin, la courbe ascendante du plaisir croisant la courbe descendante de la douleur. Je ne me suis même pas aperçu du départ de Laura et Emilie. Les contractions désordonnées de ce petit cul ravivent mon érection et les douleurs de Sarah mais je redeviens un vrai automate et la défonce avec la même vigueur que Laura tout à l’heure. Sarah braille, grogne, geint, et enfin commence à ronronner.
-Putain que je dérouille ! Si tu ne m’avais pas un peu préparée, Justine, il m’aurait cassée le cul. Je préférais quand il me prenait par la chatte mais ce n’est pas aussi désagréable que je croyais.

J’arrive enfin à ma troisième et dernière jouissance de cette folle journée et en informe Justine. Cette coquine repousse sans ménagement Sarah pour profiter seule de ma manne avant de me faire promettre.
-On pourra recommencer, dis papa ?!

Dans quoi j’ai fourré mes doigts, ou plutôt ma bite ????