Jute pour le plaisir de jouir.

- Par l'auteur HDS Renifleur -
Récit érotique écrit par Renifleur [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : Jute pour le plaisir de jouir. Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-04-2025 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Jute pour le plaisir de jouir.
Je suis derrière le volant de ma voiture, arrêté sur le bord du trottoir en train de chercher dans la boîte à gant mes lunettes de soleil. Quand j’aperçois dans mon rétro de portière, une femme arrivée dans ma direction. Il se trouve qu’elle a une particularité qui la différencie des autres femmes, piétons à cette époque de l’année.
Elle ne porte pas de manteau sur son chandail rose au-dessus d’une mini-jupe, qui lui arrive à ras la foufoune. Un plaisir pour les yeux. Mais voilà, pour mon plus grand plaisir, qu’elle s’arrête à quelques mètres de mon capot, et se penche assez bas pour jeter un coup d’œil dans une boîte aux lettres.
Bien sûr, dans le mouvement, l’ourlet de sa jupette a glissé vers le haut de ses cuisses. Un tableau des plus sexy s’est alors offert à moi. Deux superbes cuisses gainées de nylon couleur chair, sur des mollets magnifiques. Et je ne vous parle pas du cul ! C’est une grande femme, un peu grassouillette. Alors qu’elle s’attarde à scruter la boîte aux lettres, de mon côté, je profite pour farcir sans modération mon regard de ses fesses rondes.
Son aspect dégage tout de même une intense sensualité. Je suis sensible à ce qu’elle m’offre sans le savoir. Je lorgne plus que jamais son cul sous le nylon dont je suis prêt à parier qu’elle ne porte pas de culotte. Malgré le picotement, j’essaie de deviner ses odeurs. Intenable !
Sans doute, se sentant alors observée, voilà qu’elle pivote d’un coup sur elle-même et me jette un regard que je qualifie d’agressif.
-Il ne faut pas vous gêner, vous !
Pas spécialement jolie. Avec un visage qui n’a vraiment rien à voir avec le corps. Comme quoi le monde est bien fait ! Elle a de grands yeux noirs limpides. Son nez est pointu, sa bouche tout de même sensuelle.
-C’est bien ce que j’ai fait.
-Et goujat avec ça !
-J’aimerais tout de même vous posez une question.
-Ah oui, et bien je t’écoute.
-De savoir si vous portiez une culotte sous votre collant.
-Pauvre con ! S’offusque-t-elle, avant de s’éloigner.
-Mais ne partez pas, Madame. Je n'en ai pas fini avec vous…
Je sors de la voiture et m’engage de la suivre. Les yeux braqués sur ses mollets bien ronds, qui donnent vraiment envie de faire connaissance. Et que dire avec ses cuisses ou ses fesses. Après avoir ouvert la portière d’une Peugeot, elle se retourne d’un bloc, pour me faire face d’un air sévère.
-Qu’est-ce que tu me veux, bordel ?
-Ah, mais que du bien, Madame !
-C’est-à-dire ?
-Voilà que je vous intéresse d’un coup !
-Je reconnais que tu n’es pas désagréable à regarder, ma foi !
-Merci ! Lui fais-je. Voilà j’aimerais vous offrir un verre.
-C’est que nous sommes loin du centre-ville. Répond-t-elle. Et je ne voudrais surtout pas être vue avec un beau mec comme toi. Que vont penser de moi les gens que je connais en nous voyant ensemble. Que je fais cocu mon homme ?
- Est-ce que c’est vrai, Madame ?
-Bien sûr que non ! Lâche-t-elle, prenant un air bêbête. Mais si c’est un café que tu veux prendre, on peut aller chez ma tante.
-Et elle habite loin, votre tante ?
-Là-même où tu matais mon cul, mon beau. Me lance-t-elle.
-Ce serait avec plaisir ! Enfin, si cela ne vous dérange pas.
Et c’est comme ça que je me retrouve assis dans une cuisine inconnue, avec une femme également inconnue.
-Marié ? Me fait-elle.
-Oui, mais bon…
-Oui, je vois !
-Et vous ?
-Bof ! Un calvaire. Il ne me baise plus, si cela t’intéresse ! Je fais vraiment tout fait pour l’allumer. À ne pas mettre de culotte sous mon collant, comme tu as pu le constater. Mais rien n’y fait ! Et moi, je ne te cache pas, je suis constamment excitée.
-Vous l'êtes à l’instant où je vous parle ?
-Je te vois venir, avec tes gros sabots mon cochon !
Et là, elle se met à me raconter sa vie. Me demande la mienne. Je joue la carte de la solitude et de l’ennui, qui va avec.
-Nous sommes dans la même galère, à ce que je vois ! M’envoie-t-elle.
-Si on peut le dire !
- Bon, passant aux choses sérieuses. Tu avais aujourd’hui envie de vider tes couilles, c’est ça ? Et tu n’as trouvé personne, je me trompe ? Et c’est là que j’interviens. J’ai tout bon ?
-J’ai réellement envie de vider mes couilles !
-Et je suppose que je suis l’heureuse élue ?
-Je confirme, oui !
-Tu vois là, je pense que j’ai bien fait de me lever ce matin.
-Je pense plutôt que vous devez une fière chandelle à votre tante.
-Bon c’est mon jour de chance. Me faire baiser par un beau mec, un rêve qui va devenir réalité.
Je m’attends d’un instant à l’autre à être violé sur le champ par la blonde. Mais elle n’en fait rien. Elle reste debout en hochant la tête.
-T’es un gros cochon ?
-Je confirme l’être, oui…
-Bien, je suis alors ta salope, j’ai envie de jouir, tu peux faire ça ?
-Je veux bien essayer. Je t’invite (passant moi aussi au tutoiement), à te poser sur la table de ta tata.
-Bien ! Si c’est ton souhait. J’espère que tu ne vas pas me manger. Me lâche-t-elle en commençant à se déchausser.
-Non, je t’invite à les laisser aux pieds, j’aime !
-Alors si tu aimes, je les garde, me fait-elle en grimpant sur la table.
Une fois assise en face de moi, sur le rebord de la table, elle me demande la suite.
-Exhibe-moi ton intimité.
-Tu es vraiment un gros cochon, toi ! Me répond-t-elle en retroussant le peu de tissu de sa mini.
J’ai devant les yeux un sexe fortement pilosité plaquée par le nylon.
Je ne me lasse pas de l'admirer. Je peux rester là, passer de longs moments à cajoler une chatte. Mes partenaires sont souvent surprises du soin que je porte à leur intimité. Une patience sans fin à jouer avec ce joyau.
Et pas une fois jusqu'alors je n'ai été déçue. Comme pas une seule fois j’ai quitté mes partenaires sans qu’elle n’ait manqué de jouir sous ma langue. D’ailleurs, il n’est pas acceptable de ma part qu’elle parte sans qu’elle ait pris leur pied ! Je suis comme ça ! Une tare ou une vertu ? Je vous laisse, vous Mesdames, d’en juger.

-Dis, ça doit être dur pour toi de rester comme ça, sans quelqu’un qui s’occupe de toi. Je lui lance. Surtout avec une si belle chatte.
-Oh merci ! Glousse-t-elle.
Sans paraître remarquer que je suis en train de humer ses essences à travers les maillons de son collant.
- Surtout une belle femme comme toi, tu dois en avoir des propositions.
-Arrête tes conneries. Comme tu as pu en juger par toi-même, je dois me passer une mini sur le cul pour qu’enfin un homme se retourne.
-C’est une occasion comme une autre pour toi de conclure une relation d’un soir ?
-Et bien, même pas. Tu es le premier ! Et parce que tu as assisté. Je n’ai pas assez de courage pour cela ! Je me dégonfle !
-Sauf, aujourd’hui !
-Je pense que tu m’as bien aidé sur ce coup-là ! Me répond-t-elle en me jetant un regard que je définirais de canaille.
Elle pousse un cri aigu à l’instant où je pose ma bouche sur son intimité à travers le nylon. Elle se soulage de son chandail et dégrafe son soutien-gorge. Ses seins volumineux roulent sur sa poitrine. L’aréole large, d’un brun sombre.
Sans autre préliminaire, j’ouvre ma braguette et libère ma verge tendue. Je me branle lentement, en face d’elle. Elle, qui a les joues rouges et dont, avec une respiration hachée, contemple le spectacle que je lui offre. Je lui prends la main et la plaque sur mon pénis. Je profite de l’instant pour effleurer ses cuisses emmaillotées de nylon.
Puis vient le tour de ses hanches. Peu à peu mes doigts se rapprochent de son sexe. Touchent sa toison. Un vrai buisson comme je les aime. Étonnamment fourni du dessus du ventre jusqu’à l’intérieur des cuisses. Ça me fait saliver, mais je patiente.
Je pose alors mon index sur sa touffe. L’enfonce à l’intérieur de sa fente, entraînant avec lui le nylon. J’enfonce l’index puis le médius le plus loin possible. Je peux à peine me maîtriser. Son con n’est que ruissellement enfiévré, un trou brûlant inondé.
Pris d’une pulsion sale, je lui déchire le collant. Pas facile à lacérer ! Mais assez pour me retrouver devant son intimité. Alors, j’y vais carrément.
Les doigts tendus, pour lui mettre bien à fond. En même temps, je lui masse l’intérieur du vagin, puis je remonte sur les bords de sa vulve pour bien la lubrifier, mieux la branler. Je m’englue dans cette chatte onctueuse, j’y vais comme un malade, je la branle vicieusement.
Elle gémit.
- Tu fais ça très bien !
-Chose promise, chose due…
L’odeur de son sexe en chaleur envahit la cuisine. Et tandis que mes doigts s’enfoncent rythmiquement dans ce con moelleux, de l’autre main, je lui titille le clito. Qui peu à peu bourgeonne. Je le sens se gonfler comme une minuscule bite. Maintenant elle râle, éructe.
Ses mains se crispent sur les bords de la table. Elle écarte les cuisses insensiblement. Je frôle, comme j’aime le faire, son anus. Elle frémit. Encouragée, je recommence en accentuant la pression, elle glousse de plus belle. Je prends de sa mouille et enduis son anus. Elle en frissonne. Je sens que l’anneau du muscle anal se détend, cède peu à peu.
Je lui enfonce mon index dans le fion. Elle remue des fesses. Respire plus vite. Je bande dur. Je continue à agiter mes doigts à l’intérieur tandis qu’avec les autres je lui caresse le clitoris. Elle gémit :
- Baise-moi. Je veux ta bite là…
Je retire mon doigt. Je me penche contre elle. J’écarte ses fesses, j’y colle ma bouche. Je me goinfre de ce petit trou du cul ! Je le lèche, le mouille, l’explore de la pointe de ma langue ! Je m’en régale, façon glouton. C’est trop bon !
Je suis tout émoustillé. Je n’ai pas si bien bandé depuis longtemps.
-Je veux te sentir en moi !
Alors je m’exécute. D’un coup de reins. Alors, elle fait entendre son premier gémissement.
Une plainte que j’aurais pu croire douloureuse, mais à la façon dont elle ondule, il est évident qu’elle éprouve du plaisir. Sa chatte est douillette. Une gaine suave, moelleuse qui aspire ma queue avec une force à la limite du supportable. Et curieusement, malgré mon excitation, je me sens détaché, presque indifférent, capable de la limer pendant des heures.
Subitement, elle me demande d’une voix inquiète.
-Tu penses pouvoir jouir ?
-Pourquoi pas, à part si cela t’ennui !
-Oh non ! S’il te plaît, viens maintenant.
Alors je la martèle de violents coups de reins. Elle ne crie pas, mais je comprends à l’expression de son visage qu’elle jouit en même temps que moi.
Un peu plus tard, alors qu’on récupère, elle me lance :
-Tu as fait ce que tu m’as promis. J’ai joui, me fait-elle. Je me suis offert entièrement à toi, mais pour mon cul, je… enfin… je n’ai jamais été prise par-là, alors, si tu désires, essaie de ne pas me faire trop mal et si tu as un préservatif, j’aimerais autant… des fois que… enfin tu devines pourquoi ?

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