Kairos - La rencontre - histoire érotique

KAIROS

Bonjour, je m'appelle Kairos, mais laissez-moi d’abord me présenter rapidement avant de vous raconter mon histoire.
Je suis plutôt grand, châtain aux yeux clairs et plutôt mignon paraît-il, surtout lorsque je souris. Ma particularité ne se trouve pas dans mon physique car je suis plutôt mince mais sans avoir de muscles très dessinés. Ma particularité se trouve dans ma deuxième vie. Dans ma vie normale, publique dirais-je, je suis cadre dans une PME qui emploie 900 personnes pour fabriquer du matériel scientifique et je m'occupe plus particulièrement du département recherche et développement. Dans ma deuxième vie, je fais partie d'une société secrète. Mais attention, il ne s'agit pas ici de conspiration ni de pouvoir ; non, nous éduquons ceux qui le souhaitent à prendre et à donner du plaisir. J'utilise volontairement le terme éduquer car bien souvent il s'agit plutôt de repartir de zéro. Les hommes et les femmes qui le souhaitent peuvent faire appel à nous, bénévolement bien sur car nous ne faisons pas dans le proxénétisme. Dans cette société, je suis un des éducateurs et je tire mon prestige du nombre d'hommes et de femmes qui sont satisfaits de mon enseignement.
Laissez-moi vous raconter l'histoire de ma dernière élève…

1 – La rencontre
C'était une matinée comme je ne les aimais pas. Cet après-midi il y avait une réunion des directeurs et tout le monde était en train de peaufiner son intervention à la dernière minute. De mon côté j'étais prêt depuis deux jours et j'allais donc m'ennuyer ferme car personne n'allait m'accorder quelques minutes pour discuter stratégie ou derniers résultats sportifs. Heureusement que j'avais un entretien avec un candidat, cela allait me changer les idées. Vers dix heures donc, ma secrétaire m'annonce que Camille m'attend dans la salle d'entretien. Quelle ne fut pas ma surprise en entrant de voir une jeune femme rousse, l'air un peu timide dans son tailleur trop tiré et sa pochette dans les mains. Je n'avais même pas fait attention que Camille pouvait être à la fois un prénom masculin et féminin. A peine avais-je franchi la porte qu'elle m'a remarqué, s'est levée et m'a dit en me serrant la main : "Bonjour Monsieur, vous avez les hommages de vos pairs".
J'ai alors marqué un temps d'arrêt, c'était la phrase clé que tout aspirant devait dire à l'éducateur qu'il voulait avoir. A partir de ce moment je devais prendre une décision. Si j'accepte de former la personne en face de moi, je dois la remercier et lui dire que cela fait longtemps que je ne les ai pas vus. Sinon je lui dis qu'elle peut leur passer le bonjour la prochaine fois qu'elle les verra. J'ai donc rapidement ausculté ma nouvelle prétendante, Elle avait l'air un peu timide et introvertie, ce qui est une combinaison difficile à prendre en main mais je me demandais ce qui pouvait pousser une si jeune femme à faire appel à nos services. La curiosité contre la raison…
"Merci, c'est toujours un plaisir d'avoir de leurs nouvelles, d'autant que cela fait longtemps que je ne les ai pas vus". Je fermais alors la porte de la salle d'entretien en prenant soin de verrouiller le tout puis j'allais m'assoir en face de ma candidate non sans avoir remarqué un soulagement certain sur son visage.
J'expédiais rapidement l'entretien officiel, qui a de toute façon débouché sur une embauche, pour me concentrer sur la partie officieuse de sa présence. "Camille, si vous le permettez nous allons nous tutoyer, ce sera plus simple pour la suite". "Très bien" me dit-elle. J'enchaînais du coup : "Alors parles moi un peu de toi, qu'est ce qui t'as poussé à faire appel à nous si jeune ?". "J'ai 22 ans, j'ai fait un IUT GEA. J'habite avec une colocataire depuis 5 mois, date à laquelle le deuxième amour de ma vie ma quitté après m'avoir dit comme le premier que j'étais une catastrophe au lit et qu'il ne pouvait pas passer sa vie avec moi dans ces conditions. J'ai donc pas mal déprimé, et j'ai cherché comment m'améliorer pour ne pas passer à côté de l'homme de ma vie. Sur les conseils de ma meilleure amie j'ai regardé des films pornos pour voir ce qu'un mec attend. J'ai tenté une petite aventure après ça mais sans grand succès, car je ne prenais aucun plaisir." "Et bien Camille, je te propose de commencer tout de suite en évaluant ton niveau sur une technique de base qui n'est pas aussi simple que ce qu'il n'y parait. La porte est verrouillée de l'intérieur et ne peut pas s'ouvrir de l'extérieur, tu ne craints donc rien, vas-y suce moi !".
Timidement elle se lève et s'approche de moi, s'accroupie et ouvre ma braguette. Je suis déjà un peu excité et de la voir un peu maladroite m'excite encore plus. Elle se jette ensuite littéralement sur ma bite et entame des va et vient rapides avec sa bouche. Je lui caresse les épaules, remonte lentement sur sa nuque afin de la faire ralentir puis je la fais stopper.
« Effectivement, tu as vu des films car tu ne fais pas ce qu’il faut. Il faut que tu ressentes le plaisir de l’homme afin de mieux le guider et surtout le contrôler car, vois-tu, il y a deux types de fellations. Soit tu veux que l’homme explose vite et il faut donc que tu le guides pour arriver rapidement à l’éjaculation, soit tu veux l’exciter et alors il ne faut pas s’approcher trop près du point de non-retour de manière à ce qu’il n’y ait pas d’accidents mais surtout qu’il ne se sente pas frustré. Plus un homme prend du plaisir, plus son sexe se tend et se réchauffe. Je vais te guider ». Commence par caresser ma bite, éprouve bien ses contours, fais des va-et-vient lents. Maintenant tu peux la prendre en bouche, au début juste le gland, voilà continue de me branler et réchauffe moi avec ta bouche, mmh, oui c’est bien. Maintenant tu peux faire des allers retours avec ta bouche, diminue l’amplitude de la branlette et augmente l’amplitude avec la bouche, tout en douceur, oui c’est bien comme ça. C’est maintenant que se présentent les deux options, soit tu continues comme ça et tu te reposes par moment en remplaçant ta bouche par ta main soit tu accélères et tu alternes les phases avec la bouche et des phases ou tu gardes juste le gland en bouche et où tu branles rapidement. Tu peux ajouter dans ces moments-là des regards coquins du genre « t’as vu comme je te suce bien mon salaud. Tu aimes ça hein ?! ». Tu peux même dire des petites cochonneries à voix haute mais ça dépend de l’homme. La plupart aiment, certains non. Bon pour finir cet exercice, fais-moi jouir vite. » Camille applique alors son premier cours, elle entame des va et viens très profonds et relativement rapides puis se bloque et me branle à toute vitesse, le quart de la bite dans la bouche. C’est chaud, c’est bon, trop bon ! Après deux minutes de ce traitement où elle alterne 3-4 fois, je me vide dans sa bouche et je remarque qu’elle avale mon sperme sans sourciller.
« Bon et bien si tu es libre ce soir, je te propose d’aller boire un verre et puis de se faire un petit restaurant. Je t’invite »
« Très bien à ce soir alors. Rendez-vous en ville sur la grande place ? »
« Oui ça sera parfait à 20h».