KAIROS – Sortir des sentiers battus 1/2
Récit érotique écrit par Metatron [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-03-2017 dans la catégorie A dormir debout
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KAIROS – Sortir des sentiers battus 1/2
NDA : J’ai souhaité faire un exercice de style avec ce cinquième chapitre en me plaçant cette fois du côté de Camille. En effet, comme vous l’aurez compris, il s’agira de sa première sodomie. Or, Kairos, lui n’en est pas à son coup d’essai. Il me semblait donc intéressant pour faire ressortir d’avantage le côté innovant de passer de l’autre côté du miroir. Cependant je ne suis pas une femme et il est fort probable que la transposition ne paraissent pas aussi réaliste que ce que je l’espère.
J’ouvris les yeux vers 8h30 sans arriver à me rendormir. Et bien soit, tant pis pour la grasse matinée mais j’étais à la fois tendue et excitée pour cet après-midi et je décidais qu’il fallait sortir afin de m’occuper l’esprit. Je me lançais alors dans l’activité cliché des femmes, le shopping, mais avec une petite composante particulière : trouver une tenue ultra excitante pour ce soir. En effet, je m’étais laissée convaincre par ma coloc et par une vendeuse : les hommes sont fous de sous-vêtements et de dentelles.
Vers 13 heures, après avoir fait semblant de manger une salade, je m’habillais en commençant donc par mes achats de la matinée. J’enfilais donc une paire de bas couleur chair, attachés à un porte-jarretelle en dentelle verte, assorti à un ensemble soutien-gorge et string minimaliste également en dentelle verte. J’avais fait pour l’occasion une épilation complète (comme dans beaucoup de film) et je ne me lassais pas de me regarder dans le miroir en imaginant ce que Kairos allait me faire ; je commençais à être très excitée. Du coup, pour ne pas « salir » mon string, je le fis glisser le long de mes jambes, puis je m’allongeais sur le canapé, mes mains parcourant mon corps, et mon esprit essayant de se focaliser sur ce qui me faisait le plus de bien.
Mes mains passaient sur ma poitrine protégée par la dentelle, sur mon ventre, sur mes cuisses gainées et sur ma vulve. Cela me faisait vraiment drôle de ne sentir aucun poil et je concentrais alors mes caresses sur cette peau toute douce, toute neuve. Lorsque ma main droite toucha mon clitoris, de petits papillons apparurent dans mon vagin qui s’humidifia légèrement. Je recommençais plusieurs fois ce petit manège et j’étais maintenant complètement trempée, mes doigts glissant littéralement entre mes grandes et petites lèvres ; je me pénétrais alors avec un doigt mais l’intérieur de mon vagin étant moins humide, je décidais de me concentrer sur mon clitoris en alternant les mouvements circulaires (comme l’avait fait Kairos la première fois) et des mouvements longitudinaux, récupérant au passage ma mouille grâce à laquelle mon index glissait d’autant mieux sur mon clitoris, ce qui me faisait mouiller de plus belle. Au bout de quelques minutes, les spasmes d’un orgasme me secouèrent et me rappelèrent qu’il fallait que j’aille à mon rendez-vous. Après une rapide toilette, je fermais la porte derrière moi.
L’après-midi fut parfait. Kairos avait prévu un soin massage d’une heure, suivi d’un film pendant lequel j’ai ris aux éclats et après un petit verre de vin, il m’entraina dans un restaurant japonais, tenu par de vrais japonais. Entre le massage, le vin et le saqué (dans un verre disposant d’une image coquine révélée par la boisson), j’étais de très bonne humeur et particulièrement détendue quand je franchis la porte de son appartement.
Une fois la porte refermée, Kairos m’enlaça, couvrant ma nuque et mon cou de petits baisers, remontant à mon oreille et me susurrant que j’étais magnifique et que ma robe m’allait à ravir. Je fondais littéralement. Il s’assit alors dans un fauteuil, et comprenant immédiatement le message, je me plaçais entre ses jambes. J’ai défais sa ceinture et sa braguette, caressé son sexe à travers son boxer puis fait glisser le tout sur ses chevilles, libérant un sexe bien bandé et très appétissant. J’éprouvais les formes et volume de la main, faisant coulisser la peau pour dégager le prépuce, puis remontant, très tendrement. Je léchais ensuite le gland tel une glace, m’appliquant bien sur tout le tour, comme si son sexe fondait vraiment, gobant le bout et aspirant doucement, puis léchant bien la tige sur toute la longueur avant de recommencer.
Lorsque ses premiers soupirs se firent entendre, je me redressais et défaisant la fermeture éclair de ma robe, je la laissais glisser à terre. Ce qu’il vit devait lui plaire car ses yeux s’illuminèrent. Kairos me tira derrière lui jusqu’à sa chambre où il m’allongea sur le bord lit et entrepris de couvrir mon corps de doux baisers chauds. Qu’est-ce qu’il savait bien s’y prendre avec moi ! Il retira alors avec regret mon soutien-gorge (du moins d’après la moue qu’il fit à ce moment-là) pour me caresser les seins, savourant leur forme et élasticité avec la paume, et titillant les bouts avec les indexes.
Une nouvelle vague de baisers, ses mains caressant mes bas et sa bouche s’approchant enfin de mes tétons tendus, mes gémissements comme autant d’encouragements à aller plus loin, l’ivresse de ses caresses, la chaleur de sa bouche, roulant du bassin comme une fille facile lorsque je sentis sa main écarter mon string et sa langue se poser sur mon clitoris. Tout s’emmêlait dans ma tête, j’avais l’impression d’être dans une autre dimension, complètement abandonnée et il me fallut un moment pour remarquer que quelque chose d’inhabituel était en train de se passer.
Ses doigts jouaient toujours avec mon clitoris mais sa langue était partie plus loin, s’appliquant à m’enduire l’œillet de salive puis à le masser avec le pouce, répétant l’opération jusqu’à ce que son pouce glisse d’un ou deux centimètres dans mon anus. Les petits papillons de l’après-midi refirent leur apparition devant comme derrière (pourrait-on dire) et mon anus se détendait tout doucement. Plus il se détendait et plus j’avais l’envie qu’il soit comblé, rempli. Impression qui se confirma lorsqu’un doigt supplémentaire vint aider le pouce ; cela me faisait beaucoup de bien et en plus j’aspirais à plus gros et je pense que Kairos s’en est rendu compte car il s’est redressé et après avoir copieusement enduit son sexe de salive, il l’a appuyé contre mon œillet :
« Respire tranquillement et pousse comme si tu voulais aller aux toilettes. Ça risque de faire un petit peu mal au début mais ça devrait s’arranger. Quand tu seras bien ouverte, je rajouterai du lubrifiant. »
Et effectivement ça a fait un peu mal. Mais comme pour le pouce juste avant, il a commencé par rentrer seulement un ou deux centimètres et à procéder par de minuscules aller-retours. Au bout d’un bref instant, j’ai de nouveau senti cette sensation : c’était très agréable, je sentais que mon anus se détendais et en voulait plus. Lorsque tout le gland est passé il a tendu la main pour prendre du lubrifiant et il a commencé à me prendre tout en douceur et très profondément à chaque va et vient. Encore une fois je restais stupéfaite du bien que ça faisait ; c’était très différent du plaisir vaginal ou clitoridien mais c’était super. Comme j’étais assez passive et que je ne savais pas vraiment quoi faire de mes mains, j’ai commencé à me caresser, les seins d’abord en me pinçant doucement les bouts qui se sont alors tendus au maximum. Ma grotte était de nouveau toute humide et je me suis naturellement masturbée, un doit sur le clitoris tout en écartant le string et un doigt à l’intérieur. Mon plaisir est alors monté à une vitesse vertigineuse et j’ai été prise d’un orgasme d’une violence incroyable, les spasmes ont déferlé de mon vagin à mon rectum forçant Kairos à s’arrêter pour me laisser le temps de me remettre. Après cela il s’est retiré, m’a fait mettre à quatre pattes et m’a de nouveau sodomisée en levrette.
« Maintenant que tu es bien dilatée, tu devrais essayer de contracter tes muscles doucement. Tu es déjà relativement serrée et du coup je ne vais pas tenir très longtemps mais comme ça tu peux jouer sur l’excitation de ton partenaire. Par contre n’y vas pas trop fort, il ne faut pas que cela devienne douloureux ».
Sur ses conseils j’ai resserré tout doucement les muscles de mon anus tout en me tripotant le clito pendant qu’il allait et venait dans mon cul et il ne lui fallut pas très longtemps pour éjaculer et si son râle ne m’avait pas prévenu, le jet assez puissant suivi de deux autres assez petits que j’ai sentis m’auraient alors avertie qu’il avait eu lui aussi son orgasme.
J’ouvris les yeux vers 8h30 sans arriver à me rendormir. Et bien soit, tant pis pour la grasse matinée mais j’étais à la fois tendue et excitée pour cet après-midi et je décidais qu’il fallait sortir afin de m’occuper l’esprit. Je me lançais alors dans l’activité cliché des femmes, le shopping, mais avec une petite composante particulière : trouver une tenue ultra excitante pour ce soir. En effet, je m’étais laissée convaincre par ma coloc et par une vendeuse : les hommes sont fous de sous-vêtements et de dentelles.
Vers 13 heures, après avoir fait semblant de manger une salade, je m’habillais en commençant donc par mes achats de la matinée. J’enfilais donc une paire de bas couleur chair, attachés à un porte-jarretelle en dentelle verte, assorti à un ensemble soutien-gorge et string minimaliste également en dentelle verte. J’avais fait pour l’occasion une épilation complète (comme dans beaucoup de film) et je ne me lassais pas de me regarder dans le miroir en imaginant ce que Kairos allait me faire ; je commençais à être très excitée. Du coup, pour ne pas « salir » mon string, je le fis glisser le long de mes jambes, puis je m’allongeais sur le canapé, mes mains parcourant mon corps, et mon esprit essayant de se focaliser sur ce qui me faisait le plus de bien.
Mes mains passaient sur ma poitrine protégée par la dentelle, sur mon ventre, sur mes cuisses gainées et sur ma vulve. Cela me faisait vraiment drôle de ne sentir aucun poil et je concentrais alors mes caresses sur cette peau toute douce, toute neuve. Lorsque ma main droite toucha mon clitoris, de petits papillons apparurent dans mon vagin qui s’humidifia légèrement. Je recommençais plusieurs fois ce petit manège et j’étais maintenant complètement trempée, mes doigts glissant littéralement entre mes grandes et petites lèvres ; je me pénétrais alors avec un doigt mais l’intérieur de mon vagin étant moins humide, je décidais de me concentrer sur mon clitoris en alternant les mouvements circulaires (comme l’avait fait Kairos la première fois) et des mouvements longitudinaux, récupérant au passage ma mouille grâce à laquelle mon index glissait d’autant mieux sur mon clitoris, ce qui me faisait mouiller de plus belle. Au bout de quelques minutes, les spasmes d’un orgasme me secouèrent et me rappelèrent qu’il fallait que j’aille à mon rendez-vous. Après une rapide toilette, je fermais la porte derrière moi.
L’après-midi fut parfait. Kairos avait prévu un soin massage d’une heure, suivi d’un film pendant lequel j’ai ris aux éclats et après un petit verre de vin, il m’entraina dans un restaurant japonais, tenu par de vrais japonais. Entre le massage, le vin et le saqué (dans un verre disposant d’une image coquine révélée par la boisson), j’étais de très bonne humeur et particulièrement détendue quand je franchis la porte de son appartement.
Une fois la porte refermée, Kairos m’enlaça, couvrant ma nuque et mon cou de petits baisers, remontant à mon oreille et me susurrant que j’étais magnifique et que ma robe m’allait à ravir. Je fondais littéralement. Il s’assit alors dans un fauteuil, et comprenant immédiatement le message, je me plaçais entre ses jambes. J’ai défais sa ceinture et sa braguette, caressé son sexe à travers son boxer puis fait glisser le tout sur ses chevilles, libérant un sexe bien bandé et très appétissant. J’éprouvais les formes et volume de la main, faisant coulisser la peau pour dégager le prépuce, puis remontant, très tendrement. Je léchais ensuite le gland tel une glace, m’appliquant bien sur tout le tour, comme si son sexe fondait vraiment, gobant le bout et aspirant doucement, puis léchant bien la tige sur toute la longueur avant de recommencer.
Lorsque ses premiers soupirs se firent entendre, je me redressais et défaisant la fermeture éclair de ma robe, je la laissais glisser à terre. Ce qu’il vit devait lui plaire car ses yeux s’illuminèrent. Kairos me tira derrière lui jusqu’à sa chambre où il m’allongea sur le bord lit et entrepris de couvrir mon corps de doux baisers chauds. Qu’est-ce qu’il savait bien s’y prendre avec moi ! Il retira alors avec regret mon soutien-gorge (du moins d’après la moue qu’il fit à ce moment-là) pour me caresser les seins, savourant leur forme et élasticité avec la paume, et titillant les bouts avec les indexes.
Une nouvelle vague de baisers, ses mains caressant mes bas et sa bouche s’approchant enfin de mes tétons tendus, mes gémissements comme autant d’encouragements à aller plus loin, l’ivresse de ses caresses, la chaleur de sa bouche, roulant du bassin comme une fille facile lorsque je sentis sa main écarter mon string et sa langue se poser sur mon clitoris. Tout s’emmêlait dans ma tête, j’avais l’impression d’être dans une autre dimension, complètement abandonnée et il me fallut un moment pour remarquer que quelque chose d’inhabituel était en train de se passer.
Ses doigts jouaient toujours avec mon clitoris mais sa langue était partie plus loin, s’appliquant à m’enduire l’œillet de salive puis à le masser avec le pouce, répétant l’opération jusqu’à ce que son pouce glisse d’un ou deux centimètres dans mon anus. Les petits papillons de l’après-midi refirent leur apparition devant comme derrière (pourrait-on dire) et mon anus se détendait tout doucement. Plus il se détendait et plus j’avais l’envie qu’il soit comblé, rempli. Impression qui se confirma lorsqu’un doigt supplémentaire vint aider le pouce ; cela me faisait beaucoup de bien et en plus j’aspirais à plus gros et je pense que Kairos s’en est rendu compte car il s’est redressé et après avoir copieusement enduit son sexe de salive, il l’a appuyé contre mon œillet :
« Respire tranquillement et pousse comme si tu voulais aller aux toilettes. Ça risque de faire un petit peu mal au début mais ça devrait s’arranger. Quand tu seras bien ouverte, je rajouterai du lubrifiant. »
Et effectivement ça a fait un peu mal. Mais comme pour le pouce juste avant, il a commencé par rentrer seulement un ou deux centimètres et à procéder par de minuscules aller-retours. Au bout d’un bref instant, j’ai de nouveau senti cette sensation : c’était très agréable, je sentais que mon anus se détendais et en voulait plus. Lorsque tout le gland est passé il a tendu la main pour prendre du lubrifiant et il a commencé à me prendre tout en douceur et très profondément à chaque va et vient. Encore une fois je restais stupéfaite du bien que ça faisait ; c’était très différent du plaisir vaginal ou clitoridien mais c’était super. Comme j’étais assez passive et que je ne savais pas vraiment quoi faire de mes mains, j’ai commencé à me caresser, les seins d’abord en me pinçant doucement les bouts qui se sont alors tendus au maximum. Ma grotte était de nouveau toute humide et je me suis naturellement masturbée, un doit sur le clitoris tout en écartant le string et un doigt à l’intérieur. Mon plaisir est alors monté à une vitesse vertigineuse et j’ai été prise d’un orgasme d’une violence incroyable, les spasmes ont déferlé de mon vagin à mon rectum forçant Kairos à s’arrêter pour me laisser le temps de me remettre. Après cela il s’est retiré, m’a fait mettre à quatre pattes et m’a de nouveau sodomisée en levrette.
« Maintenant que tu es bien dilatée, tu devrais essayer de contracter tes muscles doucement. Tu es déjà relativement serrée et du coup je ne vais pas tenir très longtemps mais comme ça tu peux jouer sur l’excitation de ton partenaire. Par contre n’y vas pas trop fort, il ne faut pas que cela devienne douloureux ».
Sur ses conseils j’ai resserré tout doucement les muscles de mon anus tout en me tripotant le clito pendant qu’il allait et venait dans mon cul et il ne lui fallut pas très longtemps pour éjaculer et si son râle ne m’avait pas prévenu, le jet assez puissant suivi de deux autres assez petits que j’ai sentis m’auraient alors avertie qu’il avait eu lui aussi son orgasme.
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waouuhh le reve