Kamila et Lotfi, Episode 1
Récit érotique écrit par GERACHE [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-02-2011 dans la catégorie Plus on est
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Kamila et Lotfi, Episode 1
J’ai fait la connaissance de Lotfi après qu’il m’ait envoyé un commentaire à propos d’une de mes histoires publiées sur le site HDS. Il s’agissait d’une histoire de cocufiage assumé, qu’il disait avoir vraiment appréciée et qu’elle décrivait parfaitement ses propres fantasmes érotiques. Il rêvait de vivre une histoire identique, dans laquelle il offrirait sa femme Kamila à un bel étalon superbement monté et d’une virilité à toute épreuve. Il disait s’identifier parfaitement à Salim, le mari cocu du récit, à l’exception toutefois, du côté bisexuel de ce dernier.
J’avais été interpellé par son message, qui d’une part était bien écrit – contrairement à beaucoup des commentaires que je recevais – et d’autre part par l’envie qu’il avait d’être le personnage central – avec Kamila, bien entendu – d’être le personnage central d’une aventure érotique identique. J’avais donc entamé une correspondance avec lui, avec comme objectif de lui faire préciser ses désirs et de finir par faire sa connaissance et celle de son épouse. Je voulais m’assurer – comme je l’avais fait auparavant pour Wassila,/Warda le personnage principal – et réel – de quelques uns de mes récits précédents.
J’avais fini par les rencontrer tous les deux et de lier avec eux une relation amicale. C’était un couple vraiment assorti : ils avaient pratiquement le même âge – trente-cinq ans - et étaient aussi beaux l’un que l’autre. Et d’évidence, ils s’adoraient.
Lui était assez grand – presque un mètre quatre-vingt – brun, cheveux noirs coupés très courts, épaules larges, bras puissants, taille fine, hanches étroites et longues jambes musculeuses. Tout en lui indiquait l’homme qui pratiquait régulièrement un sport d’entretien (salle de musculation et/ou course à pied) et qui prenait un soin infini de son apparence physique. Mais c’était surtout son visage lumineux et souriant qui attirait le plus l’attention. En le voyant pour la première fois, je m’étais dit qu’avec un tel sourire et son regard perçant, ce devait être un grand séducteur. Un bourreau de cœurs pour toutes les midinettes qu’il rencontrait. Et même devant son épouse, il ne se gênait pas pour entreprendre toutes les femmes qui lui plaisaient. Mais, me disait Kamila, il n’allait jamais jusqu’à conclure. Du moins pas encore.
Elle aussi était brune mais avec une peau blanche tellement brillante, qu’on l’aurait cru transparente. Elle était assez grande – un mètre soixante seize, m’avait-elle précisé – avec un corps aux proportions parfaites. En la voyant, je m’étais fait la réflexion qu’elle devait avoir pratiqué le mannequinat, tellement elle était gracieuse dans sa démarche et avait tout ce qu’il fallait comme formes, aux endroits qu’il fallait. Elle semblait avoir un peu forci, par rapport à ce qu’elle devait être à vingt ans, mais les rondeurs qui s’étaient légèrement surajoutées à ses formes initiales lui donnaient un surplus de sensualité. Tout en elle faisait fatalement penser au sexe et à l’érotisme. Même au repos, alors qu’elle ne pensait à rien de particulier, il se dégageait d’elle une sensualité torride qui faisait naître dans l’esprit des hommes qui la regardaient des pensées pleines de concupiscence. Tous ceux qui la voyaient – pour peu qu’ils soient normalement constitués – ne pouvaient s’empêcher d’avoir des pensées cochonnes et de rêver à milles choses qui mettaient leurs sens en émoi.
Sa bouche surtout, était un piège à fantasmes. Sans être grande et lippue - à l’image de celle de la fameuse stagiaire du président Clinton (Monika Lewinsky qui avait en son temps fait fantasmer tant d’hommes dans le monde) - la forme de sa bouche et de ses lèvres faisait inévitablement penser à une belle chatte de forme oblongue, aux grandes lèvres superbement ourlées et fermes, légèrement ouvertes pour laisser deviner les images du paradis qui se trouvait à l’intérieur.
Lotfi m’assura par la suite que c’était cette particularité de sa femme – qu’il savait faire bander tous les hommes qui la regardaient - qui avait fini par l’amener – après une courte période de forte jalousie – à imaginer tout ce que les hommes voulaient faire à sa femme. Ce qui l’entraina petit à petit, presque malgré lui, à fantasmer sur elle entrain de prendre un plaisir infini sous les coups de boutoirs d’un autre homme (et parfois même avec d’autres hommes). Cela avait fini par devenir son plus grand fantasme sexuel, qu’il lui fallait absolument concrétiser.
Je mis un certain temps, avant d’avoir le courage de questionner Kamila sur cet aspect de son mari. Lotfi m’avait assuré en avoir parlé avec elle, qui après avoir été scandalisée par une telle pensée, et après une longue période de refus de plus en plus mou, avait fini par penser sérieusement à faire pousser des cornes sur le front de son mari.
Malgré cela, je voulais m’assurer par moi-même qu’il disait vrai et me mis à questionner Kamila pour connaître le fond de sa pensée.
- Lotfi m’a dit que tu as aimé les récits érotiques que j’ai écrit sur le couple Wassila / Salim. C’est vrai ?
- Oui ! Ils sont très bien écrits et super bandants !
- Tu as aimé le fait que le grand fantasme érotique de Salim consistait à offrir sa femme à d’autres hommes et à en tirer un immense plaisir ?
- Au départ, cela m’avait un peu choqué ; un homme qui dit aimer sa femme avec autant de force, ne pouvait pas prendre du plaisir à la voir faire l’amour avec un autre homme. C’est la même chose pour une femme. Puis petit à petit, en lisant tout ce que Wassila racontait de ses aventures érotiques avec d’autres hommes, je me suis mise à y penser de plus en plus fort.
- J’imagine que Lotfi poussait fortement dans ce sens !
- Oh oui ! Et pas qu’un peu ! J’avais remarqué que plus il me parlait de cela et qu’il m’imaginait à la place de Wassila, il bandait tellement fort qu’il me faisait l’amour de manière encore plus intense que d’habitude ; il jouissait – et me faisait jouir – beaucoup plus fort que d’habitude. Pendant que nous batifolions ensemble, moi je m’imaginais entre les bras d’un Apollon avec une queue immense qui explorait en force tous mes trous et me transportait au septième ciel; et lui il jouissait en se transformant en voyeur, qui nous regardait, mon étalon et moi, hurler de plaisir.
- Et maintenant, tu rêves d’aventures extraconjugales !
- Oui ! De plus en plus ! Et de plus en plus fort ! C’est même entrain de devenir une obsession ! Comme pour Lotfi ! J’attends avec impatience que cela arrive ! Nous sommes entrain de chercher – Lotfi et moi – l’homme exceptionnel qui deviendra mon amant de cœur et de lit et qui me fera vivre les moments exceptionnels qu’a vécu Wassila dans tes histoires. Je sais que j’aimerais profondément un homme qui nous donnera à moi et à Lotfi autant de plaisir; en même temps que je continuerais d’aimer mon mari. Je sais maintenant que c’est possible. Je crois même que je me sens prête à m’offrir à deux hommes en même temps: le deuxième pouvant être mon mari, tout en préférant que ça soit quelqu’un d’autre – Lotfi pourra toujours se servir après eux. Je vais même t’avouer quelque chose que je n’ai pas encore osé dire à mon époux : je me délecte à l’imaginer entrain de me sucer la vulve après m’être faite enfournée par mes amants. C’est entrain de devenir un de mes autres fantasmes. Et je suis certaine aujourd’hui de le vivre intensément dans peu temps.
Voila comment j’avais fait la connaissance du couple, qui fait maintenant partie de mes amis intimes. Peu de temps après les avoir rencontrés, ils avaient sauté le pas et ont commencé une série d’aventures érotiques qui leur avaient procuré énormément de plaisir – ils parlaient même de bonheur. Nous nous voyions régulièrement, depuis, et parlions sans tabous de leurs aventures érotiques. Ils me racontaient, chacun à sa manière et sans aucune précaution de langage, les aventures extraconjugales du Kamila.
Le récit à deux voix qui suit raconte la première aventure extraconjugale de Kamila qui s’offrit corps et âme à un jeune étalon nommé Abdelkrim, sous le regard émerveillé et la participation active – par la voix et les instructions - de son mari Lotfi.
../..
Première voix : Lotfi
Ce fut moi qui le premier avait rencontré Abdelkrim. J’étais en mission à Paris et m’apprêtais à rentrer au pays. J’étais dans la salle d’embarquement de l’aéroport d’Orly Sud, attendant l’annonce du décollage de mon avion. Il avait déjà près d’une demi-heure de retard. Et cela ne semblait pas s’arranger; la voix qui sortait des hauts parleurs annonçait une prolongation indéfinie du retard et nous demandait de patienter et de nous rapprocher du représentant d’Air Algérie pour plus d’information, et pour récupérer un ticket qui nous donnerait droit à un repas.
Je pris mon mal en patience et ouvrit mon micro portable pour travailler un peu en attendant la suite des évènements. Je venais à peine de l’allumer quand une voix masculine derrière moi me posa une question que je ne compris pas immédiatement.
- Comment s’appelle cette actrice qui s’affiche ainsi sur l’écran de votre portable ? Elle est vraiment superbe ! Je ne la connais pas.
Je me retournai pour voir qui posait cette question et pour m’assurer qu’il s’adressait bien à moi. Je découvris un superbe jeune homme d’environ vingt deux vingt trois ans, très grand, les épaules très larges, la taille fine, les hanches étroites et de longues jambes. C’était certainement un sportif d’élite ; il était tout en muscles et n’avait pas un seul gramme de graisse. D’ailleurs, il me semblait l’avoir déjà vu quelque part. Sa silhouette ne m’était pas inconnue.
Je suivis son regard qui était figé sur mon ordinateur et compris qu’il parlait de la photo qui emplissait l’écran. Il s’agissait de la photo de mon épouse Kamila que j’avais insérée comme fond d’écran pour qu’elle soit toujours avec moi. Il devait penser que je devais être un fan d’une artiste et que j’avais mis son portrait comme fond d’écran de mon ordi.
- Il s’agit de ma femme, répondis-je d’une voix assez neutre pour ne pas le mettre dans la gêne.
- Oh excusez-moi ! Je croyais que c’était une actrice ou quelque chose d’approchant ! Je ne m’imaginais pas qu’une femme « normale » puisse être aussi belle !
- Elle vous plait vraiment ? C’est vrai qu’elle est belle, mais je ne réalisais pas qu’elle pouvait ressembler à une actrice de cinéma ! Quand je vais le lui dire, elle n’en croira pas ses oreilles !
- Elle est vraiment splendide, si vous me permettez de vous dire cela ! Vous en avez de la chance !
Il y avait chez cet homme une forte dose d’inconscience ou alors une telle assurance en soi qu’il pouvait se permettre de dire des choses, qui en temps normal lui aurait attiré les pires ennuis. Chez nous, on ne dit pas à un mari que sa femme est superbe. Haram ! La réponse immédiate aurait dû être un coup de poing ou de boule sur la gueule ou au moins une injure bien sentie, pour le remettre à sa place ! Dans nos contrées, il s’agit de question d’honneur ! De nif ! Au lieu de cela, il trouva en moi un homme qui gardait un sourire avenant et qui l’invita même à s’assoir à ses côtés pour discuter.
- Je suis sûr de vous connaître ; vous devez être quelqu’un de connu. Vous êtes certainement passé à la télévision. Ou alors on a dû souvent parler de vous dans la presse écrite. J’ai raison ?
- Oui, je suis souvent passé aux informations sportives à la télévision ; on a aussi parlé de moi dans les journaux. Je suis judoka, champion d’Algérie et d’Afrique des poids moyens. Je m’appelle Abdelkader X.
- C’est ça ! Abdelkader ! Vous venez de gagner, pour la deuxième fois consécutive, le titre de champion d’Afrique de judo et vous préparez les championnats du monde qui vont se dérouler dans quelques mois. Vraiment enchanté de vous connaître ! Et félicitations !
Et nous restâmes ensemble pendant toute la période d’attente du décollage de notre avion. Pendant tout ce temps, je jaugeais Abdelkader sur les plans physique et moral. Physiquement, il était parfait : jeune, beau, vigoureux, volontaire. Je me demandais seulement s’il était bien membré – il fallait un homme exceptionnellement bien monté pour ma Kamila - Vu sa grande taille et sa corpulence, je ne courrais aucun risque à parier sur une réponse éminemment positive. Moralement, il ressortait de la discussion que nous avions entamée sur beaucoup de sujets, que malgré son très jeune âge, AEK était très cultivé (il finissait une licence en commerce international) et avait l’esprit très ouvert sur beaucoup des problèmes qui traversaient notre société.
J’avais été frappé par le fait qu’il défendait fermement l’idée que chaque individu était libre de vivre sa vie comme il l’entendait et que personne n’avait le droit de lui imposer quoi que ce soit au nom des tabous sociaux ou même de la religion. En le regardant, je me mis à penser au couple idéal qu’il formerait avec Kamila et me l’imaginai entre ses immenses bras. L’idée d’en faire l’amant de ma femme commençait à s’ancrer de plus en plus fort dans mon esprit ; elle se mit même à faire son effet au niveau de mon bas-ventre. Je sentais mon sexe palpiter et se réveiller petit à petit, jusqu’à atteindre son niveau extrême de bandaison. J’avais une très forte envie de me toucher, pour ne pas dire de me masturber en m’imaginant la scène. J’étais assis, et personne ne pouvait se rendre compte du phénomène, mais j’avais du mal, à retenir ma main qui voulait s’emparer de mon manche pour le caresser et éteindre quelque peu le feu qui me consumait.
Il me fallait trouver l’ouverture pour présenter à Abdelkader mon idée – folle pour un esprit normal – de lui mettre entre les bras ma belle Kamila. Il fallait lui présenter la chose de manière à ne pas le scandaliser – j’avais un peu peur, que malgré ses apparences d’homme à l’esprit ouvert, il ne soit en réalité qu’un parangon de vertu. Je voulais aussi – et surtout – éviter d’essuyer un refus qui m’aurait mis la honte.
- Tu la trouves vraiment belle et sensuelle ? lui dis-je, en le tutoyant pour la première fois et en pointant du doigt l’écran de mon ordi.
J’avais pris un air détaché pour essayer de ne pas paraître trop intéressé par la réponse ; je ne voulais pas l’effaroucher. Pourtant au fond de moi, j’étais vraiment anxieux d’entendre sa réponse. Je voulais absolument le présenter à Kamila. Connaissant ses goûts en matière d’hommes – de mâles devrais-je dire - j’étais sûr que AEK lui plaira dès le premier abord. Elle m’avait assez décrit, pendant nos discussions sur le cocufiage, l’homme avec lequel elle aimerait me tromper, pour ne pas le reconnaitre immédiatement en le rencontrant. Cet homme - ce mâle - c’était Abdelkader !
J’étais certain que dès qu’elle l’aura vu, elle voudra en faire, sans délai, son amant. Mais je bloquais sur la manière de présenter la chose à celui que je considérais déjà comme l’étalon qu’elle attendait – que nous attendions – depuis longtemps. L’étalon qui nous amènera, elle et moi, sur le chemin de l’adultère, du plaisir érotique et du bonheur. J’imaginais déjà ma superbe femme grimper aux rideaux et prendre un immense plaisir à me tromper avec un le bel éphèbe assis à côté de moi dans la salle d’embarquement de l’aéroport d’Orly-Sud. Je le voyais déjà chevauchant ma belle pouliche et la labourer en force en la traitant de « Qahba ! » (« Pute ») et de « Kelba » (« Chienne »), la posséder dans toutes les postures du kamasoutra et n’arrêter de la tirer que parce que mort de fatigue, après un nombre incalculable de coups. J’imaginais avec délectation Kamila entrain de hurler son plaisir de se faire brutaliser par «radjel li a’andou zeb k’bir » (« un homme qui a un si gros zob ») et l’inciter par des mots crus à intensifier le rythme et la force de pénétration de l’immense manche qui la possédait, en bavant de bonheur sur le gout miel (a’acel) et de sucre (sukkar) du zob du bonhomme.
J’avais toujours adoré ma Kamila qui dans ses moments de jouissance se mettait à hurler des obscénités en rabe. C’était tellement jouissif ! L’arabe, dans son vocabulaire obscène, était pour moi la langue de l’érotisme. La langue qui donnait plus d’intensité à mes désirs et accroissait mon plaisir jusqu’au plus haut niveau.
../..
- Tu veux voir d’autres photos d’elle ? Plus intimes !
- …
Il ne répondit pas à ma question. Il me regarda avec un air étonné, se demandant surement si j’étais quelqu’un de normal.
- Il n’y a absolument aucun lézard. J’ai plein de photos de Kamila dans mon ordi. Et je serai bien content de les faire admirer à un connaisseur. Ma femme est un peu du genre exhibitionniste et adore se faire admirer.
- Pourquoi pas ! répondit-il d’une voix neutre.
Je rentrais dans le fichier renfermant la centaine de photographies que j’avais faites de Kamila et les montrais à Abdelkrim, en commençant par les plus sages. Je voulais prendre le temps d’étudier ses réactions et me préparer une voie de repli dans le cas où les choses ne se dérouleraient pas comme prévu. Il les regardait avec attention, sans pour autant faire de commentaires. Puis, petit à petit, je passais à des photos de plus en plus dévêtues jusqu’à arriver à celles où elle était complètement nue, vautrée sur le lit dans une position sans équivoque.
- Elle est magnifique, n’est-ce pas ? dis-je en le regardant avec angoisse.
- Elle est superbe ! Je ne comprends pas pourquoi tu me montres ça. Ce n’est certainement pas moi qui ferais une telle chose ! Je mourrais de jalousie !
- Elle adore être admirée ! Et pas seulement cela ! Je vais certainement te scandaliser en te disant qu’elle est actuellement à la recherche d’un Apollon pour goûter avec lui aux plaisirs de l’amour extraconjugal ! Jusqu’à maintenant elle n’a connu qu’un seul homme : moi ! Depuis quelque temps, elle fantasme – nous fantasmons – sur un amant que je lui offrirai pour lui faire découvrir d’autres facettes de l’érotisme.
- Tu veux dire qu’elle cherche un amant et que toi, son mari, tu serais d’accord pour lui en trouver un ?
- Oui ! Tu me trouves anormal ?
- Un peu ! Mais enfin c’est ta liberté. Tous les goûts sont dans la nature.
- Tu serais d’accord pour faire sa connaissance et aller plus loin si elle te plait ?
- …
- Je te jure qu’il n’y a absolument aucun lézard. Tu réponds absolument à l’image qu’elle s’est faite de l’homme avec lequel elle aimerait me cocufier. Et moi aussi je trouve que tu corresponds exactement à l’amant de nos rêves.
- …
- Dès que l’on nous annoncera le décollage de l’avion, je l’appellerai pour qu’elle vienne nous attendre à l’aéroport d’Alger. Je ne lui parlerai pas de toi. Je te laisse toute latitude pour décider toi-même de la suite à donner à ma proposition. Si en la voyant, tu la trouves à ton goût, tu t’approcheras de nous et je te la présenterais. Et bien sûr, tu viendras avec nous à la maison. Et là vous ferez tout ce qui vous plaira, sans que je n’intervienne dans quoi que ce soit, sinon, si tu es d’accord, assister à vos ébats.
L’homme ne me donna pas de réponse claire. Il opina légèrement de la tête, puis continua à regarder la photographie de Kamila nue. J’en profitais pour faire défiler lentement le reste du film où Kamila était dans des positions de plus en plus impudiques et érotiques. AEK en devint tout rouge d’excitation. J’étais certain qu’il bandait comme un âne, à la vue des appâts qui s’exposaient ainsi devant lui. Il ne dit rien pendant toute l’opération, mais je l’entendais qui respirait de plus en plus difficilement, tant il était excité. Et puis, n’arrivant plus à se retenir il poussa un long soupir et lâcha cette phrase qui me fit dire que j’avais gagné :
- Putain ce que j’ai envie de cette femme !
Le reste du temps se passa en discussions, parfois anodines sur la pluie et le beau temps, parfois plus spécifique sur Kamila et se goûts en amour. Il voulait presque tout savoir d’elle avant de la connaitre intimement : comment qu’elle était au lit ; qu’est-ce qu’elle aimait qu’on lui fasse ; qu’est-ce qu’elle aimait faire ; aimait-elle la douceur ; la brutalité ; etc. Je ne répondis à aucune de ses questions, me contentant de lui affirmer qu’il ne sera pas déçu. Pendant le vol de retour, nous restâmes silencieux ; chacun de nous pensant à Kamila. Moi réfléchissant à la manière dont les choses allaient se passer – j’avais dis à ma femme, sans plus d’explications, que je lui réservais une merveilleuse surprise – et à comment j’allais m’y prendre pour les amener elle et son amant à faire tout ce que moi je voudrais qu’ils fassent. Dans mon esprit malade, j’avais imaginé plein de scénarii pour tirer le maximum de plaisir de l’aventure érotique de ma femme.
Il y avait plein de choses que je voulais que le couple fasse devant moi. Mon esprit de candauliste contrarié, me dictait de conduire moi-même la séance d’amour hard que devait avoir ma femme avec l’amant que je lui amenai. Je voulais leur faire faire toutes sortes de choses en allant crescendo : je voulais tout d’abord qu’elle sorte le manche de l’homme et qu’elle le fasse bander en le caressant et en promenant ses lèvres et sa langue sur le gland, la hampe, les couilles ; qu’ensuite elle le suce, d’abord tout doucement, puis de plus en plus énergiquement en faisant entrer le monstre jusque dans sa gorge ; je voudrais ensuite que AEK prenne les rênes et se mette à baiser ma femme par la bouche en lui faisant mal et en l’amenant presque à l’étouffement ; je voudrais enfin qu’il jouisse une première fois dans sa bouche et qu’il la remplisse d’un beau sperme, bien épais, visqueux et brulant et qu’il lui ordonne de tout avaler. Je voudrais par la suite, qu’il l’encule en force et sans précaution. Je voudrais…..
Mais même dans ma folie, j’étais conscient, que je n’avais absolument rien à dicter à des amants complètement pris dans leur soif de plaisir et ayant des désirs qui ne pouvaient pas obligatoirement correspondre aux miens. Je finis même par me faire une raison, en me disant que la seule chose que je pouvais exiger – et encore à la condition que AEK ne soit pas du genre à débander dans de telles conditions – c’était d’être le spectateur passif de l’opération. Je connaissais assez les goûts érotiques de Kamila pour être rassuré quant à tout ce qu’elle fera et qu’elle fera faire à son amant.
Je supputais que Abdelkader devait lui aussi penser à ce qui l’attendait cette nuit dans un appartement à Alger et faisait tout un cinéma sur la suite de la journée. D’évidence ; il était séduit par cette femme qui s’exhibait en photos dans le micro portable de son mari. Elle était tellement bandante ! Il était sûr qu’au lit elle devait vraiment assurer. Il se posait pourtant la question de savoir s’il allait être à la hauteur du défi que la dame allait certainement lui imposer. Il s’agissait peut-être d’une nymphomane qu’il serait dans l’incapacité de satisfaire complètement. Il savait qu’il avait des capacités sexuelles au dessus de la normale ; même s’il était encore très jeune, il avait eu assez d’aventures érotiques pour se rassurer sur ce domaine ; les filles et femmes qu’il avait tirées avaient toutes été satisfaites et en avaient toujours redemandé. Mais malgré cela, il n’était pas complètement à l’aise.
A notre arrivée à l’aéroport d’Alger, nous la trouvâmes Kamila qui attendait (elle ne savait pas encore pour Abdelkrim). En me voyant, elle me fit des grands signes pour m’indiquer sa présence et se précipita sur moi pour m’embrasser (un baiser sur chaque joue, pour tenir compte du fait que nous sommes en public). Elle s’arrêta brusquement, en se rendant compte que je n’étais pas seul. Elle avait vu l’homme qui était resté derrière moi et qui semblait la regarder avec un intérêt évident. Il avait un sourire encore un peu crispé. Elle me lança un regard où se lisait l’étonnement, en même temps que de l’intérêt. D’évidence AEK l’intéressait; elle n’arrêtait pas de le regarder de manière presque impudique; avec sur les lèvres le petit sourire carnassier qu’elle avait toujours, quand quelque chose l’intéressait vraiment et qu’elle voulait s’en accaparer. Ce soir là, c’était mon nouvel ami qui était cet objet.
- Je te présente Abdelkrim ! Il vient passer la nuit avec nous.
Elle eut vraiment l’air intrigué mais content. Intrigué parce que c’était la première fois que j’amenais comme cela quelqu’un passer la nuit chez nous, sans que je l’en aie avertie par avance. Contente parce qu’elle venait de comprendre que l’homme était la merveilleuse surprise que je lui avais promise au moment où je l’avais appelé pour lui annoncer que je venais d’embarquer et que l’avion allait décoller. Elle toisa un long moment le garçon, lui envoya un sourire lumineux, et l’embrassa lui aussi sur les deux joues.
- Bienvenue, Abdelkrim !
../..
Deuxième voix : Kamila
Dans toute ma vie amoureuse – mis à part Lotfi mon mari, qui lui est hors compétition – Abdelkrim constitue sans conteste ce qui m’était arrivé de mieux. J’avais eu – en même temps que lui et bien après lui - d’autres aventures érotiques qui m’avaient donnée beaucoup de plaisir et même, pour certaines d’entre elles, du bonheur. Mais ma référence en amour reste – et restera très longtemps - AEK (contrairement à Lotfi qui l’appelait toujours Abdelkrim, moi je préférai ces trois initiales qui me le rendaient unique).
Malgré son très jeune âge, et son manque d’expérience de femmes comme moi – mûres, passionnées, possessives et faisant du sexe le fondement même de leur vie – j’ai connu avec cet homme des moments de jouissance suprême et de vrai bonheur. Ce qu’il m’avait apportée dans ma vie amoureuse est presque impossible à décrire, tant il était intense et avait été vécu pleinement par nous - AEK, Lotfi et moi – et nous avait apporté la félicité. Car c’était bien de félicité qu’il s’agissait – ce bonheur parfait proche de la béatitude – pendant toute la période où il était resté avec nous, avant de se marier – deux années plus tard - et de quitter le pays pour s’installer au Canada, le nouvel Eldorado des cadres algériens qui quittent le pays.
J’avais bien sûr eu avec Lotfi, mon mari, de merveilleux moments de bonheur à deux. Y compris physiques, grâce à nos étreintes quotidiennes, libres, sans tabous, intenses et pleines de passion. Longtemps, nous avions tous les deux situé notre nid d’amour au septième ciel ; un lieu que nous fréquentions assidument. Nous accordions Lotfi et moi une place particulière à la relation sexuelle, sans tabous et librement vécue. Tous les deux nous aimions faire l’amour en essayant, chaque fois que c’était possible, de vivre pleinement nos fantasmes. Au cours des dix dernières années – cela fait maintenant une douzaine d’années que nous nous sommes connus et mariés - nous avions tout essayé de ce qui pouvait se pratiquer à deux : toutes les positions possibles du Kamasoutra, et tout ce que les moralistes de tous bords qualifiaient des perversions sexuelles : fellation, sodomisation, double pénétration avec des godes, éjaculations corporelles, buccales et faciales, sperme et cyprine avalés, etc. Pendant tout ce temps là nous étions heureux de vivre sereinement notre sexualité et notre amour.
Longtemps nous avions évité de penser à franchir une nouvelle étape dans notre vie sexuelle : celle qui ferait appel à d’autres personnes que nous deux : l’amour à trois ou plus. Nous avions gardé cachés en nous, le désir de gouter à autre chose. Moi je pensais qu’une telle envie, si je venais à l’exprimer serait mal perçue par Lotfi ; je croyais qu’il prendrait cela pour une trahison. Et lui aussi était dans le même état d’esprit. Sans que notre amour n’en ait eu à pâtir vraiment – nous continuions à nous aimer avec autant de force - nos relations sexuelles commençaient à avoir un goût de déjà vu. Nous ne montions plus aussi souvent, et surtout aussi intensément, au septième ciel. Et cela me manquait beaucoup. A lui aussi. Et puis petit à petit, nous nous mîmes à lire des histoires érotiques et à découvrir, chez d’autres couples, le même problème, solutionné par l’appel à un troisième larron, selon qu’il s’agisse d’un besoin féminin - offrir son mari à une autre femme – ou d’un besoin masculin – offrir sa femme à un autre homme.
A la fin de chaque histoire (parfois il pouvait s’agir de vidéos) nous nous regardions presque timidement et l’un ou l’autre faisait une remarque, dans laquelle se lisait l’envie de vivre une aventure identique. Le plus souvent, c’était Lotfi qui parlait. De nous deux, c’était lui qui semblait le plus désireux d’aller vers des aventures de cette nature. Je compris assez vite, qu’il venait de prendre conscience d’un fantasme sexuel profondément ancré en lui, appelé candaulisme, en relation avec un mythe de la Grèce antique dans lequel Candaule, roi de Lydie, trouvait sa femme tellement belle qu’il voulait que tous les hommes la voient et aient envie d’elle. Il mit longtemps à m’avouer ce fantasme ; de peur que je le prenne très mal. Et de fait, la première fois qu’il m’en avait parlé, je l’avais assez mal pris. Je pensais que mon mari ne m’aimait plus. Car s’il m’aimait vraiment, il n’aurait pas un seul instant pensé à m’offrir à un autre homme.
Et puis petit à petit, l’idée avait commencé à s’insinuer en moi et avait fini par devenir obsessionnelle. D’abord parce que je voyais l’effet que faisait sur mon mari le seul fait de m’imaginer entre les bras d’un autre homme : il bandait tellement fort, qu’il redevenait un vrai taureau au lit et m’emmenait vers les plus hauts sommets du plaisir. Ensuite, moi-même je m’étais inconsciemment mise à voir dans chaque bel homme que je rencontrais un éventuel amant. Surtout je m’imaginais tout ce qu’il pouvait me faire, parmi toutes ces choses interdites qui me mettaient en émoi ; et que Lotfi ne pouvait pas me faire. Je pensais beaucoup en ce temps là à la double pénétration, qui était mon fantasme absolu.
Nous l’avions pratiquée souvent, Lotfi et moi, mais de manière indirecte par l’intermédiaire d’un godemichet. Mais ce dernier ne peut en aucun cas remplacer un homme, avec son poids sur moi, ses coups de boutoir furieux, sa respiration, ses han de bucheron, ses paroles obscènes et aussi, ses sécrétions (j’ai toujours adoré ressentir un zob éjaculer en moi ou couvrir mon corps d’un sperme abondant et épais et même si je n’avais jamais réellement apprécié son goût, ni sa viscosité, j’avais fini – d’abord pour faire plaisir à mon mari qui adorait cela - par avaler tout le sperme qu’il me versait dans la bouche et sur le visage). J’avais longtemps rêvé de vivre une vraie double pénétration, pratiquée sur moi par deux hommes – l’un d’eux devant être obligatoirement mon mari (c’était du moins ce que je pensais à l’époque, car depuis, mon mari avait été souvent remplacé, avec son assentiment, par un autre homme, et même une fois, par deux hommes).
Ce fut cette envie irrépressible d’être pénétrée par deux hommes et par mes deux trous à la fois, qui m’amena à voir d’un œil neuf et favorable, le désir de mon mari de m’offrir à un autre homme- et à y prendre du plaisir. Et quand Lotfi, ce jour là m’avait présente AEK qui débarquait du même avion que lui, j’en avais été immédiatement chamboulée. D’abord, le garçon - il était tellement jeune ! - était beau, grand, fort et - j’en étais absolument sûre - formidablement membré. Ensuite, il avait un air tellement avenant et sympathique, qu’il m’avait plu immédiatement. Dès le départ je m’étais vue toute nue, offerte à ses coups de reins. Je crois même que j’en avais mouillé ma culotte !
Je ne lui avais rien caché de mes pensées. Après l’avoir embrassé – sur les deux joues – pour lui souhaiter la bienvenue, nous nous dirigeâmes vers le parking des voitures, moi au milieu des deux hommes les tenant chacun par une main. Je sentais toute la puissance du garçon dans son immense main calleuse. En comparaison, la mienne était toute petite. L’envie me prit de lui caresser la paume pour déjà lui montrer que mes intentions n’étaient pas pures et que je le voulais. Il se laissa caresser tout en marchant ; de temps en temps il pressait légèrement sur ma main, comme pour me signifier qu’il appréciait mes caresses. Par moment, il tournait la tête vers moi pour me regarder et me sourire. Lotfi lui était comme absent. Son visage était fermé, même s’il avait un air très serein. C’était comme s’il était en attente de quelque chose d’essentiel, qui allait le délivrer d’une attente insupportable.
Aucun de nous trois ne parla pendant tout le trajet. Quand nous arrivâmes chez nous – un appartement cossu dans un beau quartier d’Alger - ce fut moi qui passai devant pour montrer le chemin à notre invité, en dandinant fortement du cul pour donner un avant goût de mon corps à AEK. J’allais directement dans le salon, suivi comme mon ombre par notre invité, pendant que Lotfi alla dans la chambre déposer les bagages et se mettre à l’aise. Je crois que c’était surtout pour nous laisser seuls, mon futur amant et moi, afin de faire connaissance et entamer les préliminaires. En fait de connaissance et de préliminaires, AEK ne me laissa même pas le temps de me retourner pour lui faire face. Dès que j’arrivai à hauteur du grand canapé qui trônait contre le mur du fond, il posa ses immenses palluches sur mes fesses pour en tester la fermeté.
- C’est exactement comme cela que je les imaginais : ferme et imposantes ! Je sens que je vais me régaler ! Je les avais déjà matées sur les photos de Lotfi, mais en vrai, elles sont encore plus bandantes. Tu sais que je vais commencer par t’enculer ! Depuis des heures, depuis que j’ai vu les photos, je ne pense qu’à ça et je n’arrête pas de bander comme un âne.
Je ne me retournais pas pour lui faire face. J’aimais cette position où il était derrière moi et où je ne pouvais rien voir. Mon plaisir immédiat était dans l’attente. L’attente de ce qui allait se passer. L’attente, dans ces moments là, était pour moi merveilleuse. Je ne pensais jamais à rien d’autre qu’au moment où le beau zob de mon amant – jusque là ça avait toujours été celui de Lotfi - allait se poser à l’entrée d’un de mes trous et d’un coup brusque me le défoncer. J’adorais ce moment où je poussais un petit cri de douleur et où le monstre faisait son chemin en force dans un de mes tunnels. C’était toujours le moment où j’aimais titiller mon amant – et me titiller moi-même – par des paroles ordurières en arabe qui accroissaient notre excitation, déjà à son paroxysme, et nous faisaient pâmer de désir. Je voulais en faire de même avec mon nouvel amant.
- Déjà tu veux m’enculer ! Qui te dit que j’aime être enculée ?
- Rien ! Mais moi je veux t’enculer et je vais le faire ! Je vais te prendre comme une pute - une Qahba. Tu m’as tellement fait bander depuis le début de l’après-midi que je ne serais heureux que quand j’aurais défoncé ton gros cul ! Je ne veux même pas que tu te déshabilles. Tu abaisses ton pantalon et tu te mets à quatre pattes, le front posé sur le canapé. Et vite !
Le salaud s’avérait être une brute. Et ce n’était pas pour me déplaire. J’étais sûre que j’allais vivre un moment exceptionnel. Ce qui me paraissait bizarre, c’était mon manque total de curiosité : je ne voulais pas voir ce que faisait l’homme derrière moi ; ni même regarder son engin avant qu’il ne me pénètre. Je voulais tout simplement le sentir et deviner, au moment où il m’éclaterait l’anus, les proportions du monstre. J’étais dans une merveilleuse attente ! Je n’eus rien à faire, ni pour descendre mon pantalon et ma petite culotte sur mes chevilles, ni pour me mettre à quatre pattes ; il s’en chargea lui-même avec la même brutalité qu’il avait mise pour me parler. J’étais là les fesses en l’air, attendant le bon vouloir de mon nouveau maître. Je me faisais cette réflexion – qui accroissait encore plus mon désir – que j’étais devenue l’esclave de l’homme. Il me faisait faire tout ce qu’il voulait, sans même que je ne proteste. Et j’adorais ce nouveau sentiment !
J’attendais les évènements qui allaient suivre, le cœur battant et la bave dégoulinant de ma bouche. J’imaginais l’homme dégrafer sa ceinture et déboutonner son pantalon. J’entendis le bruit si particulier du zip de la braguette qui s’ouvrait et une seconde plus tard deux mains puissantes s’emparer de mes hanches pour les positionner au bon niveau. Je sentis son énorme main, s’emparer de ma vulve pour lui appliquer des frottements qui me firent tirer un tout petit gémissement de plaisir. Il se rendit compte que j’étais déjà complètement mouillée.
- Quahba ! (Espèce de pute !) Sou’etek m’chemkha! (ta chatte est déjà mouillée !)
Je ne répondis rien à cette attaque qui avait encore accru mon désir du zob qui allait me pénétrer d’un moment à l’autre. Je continuais d’attendre, le cœur battant, ce qui allait se passer. J’avais envie de me retourner pour voir. Mais je me l’interdisais ; l’attente était tellement délicieuse ! Je sentis les doigts qui frottaient ma vulve se déplacer vers le haut ; vers mon anus. J’avais déjà été enculée - même avant de connaître Lotfi et de l’épouser - par un petit ami qui n’avait pas droit à ma chatte, par peur du dépucelage – et j’avais fini par y prendre goût. Je n’avais donc pas peur de la sodomisation. Mais intuitivement, je savais que cette fois-ci cela allait être différent. D’abord parce que l’homme qui était aujourd’hui sur le point de me défoncer l’anus, allait le faire brutalement ; et puis je ne connaissais pas la taille de son zob ; je ne faisais que supputer qu’il devait être énorme.
Les doigts qui farfouillaient entre mes fesses étaient mouillés par le liquide qu’ils avaient ramassé à l’entrée de ma chatte. Je sentais que l’homme était entrain d’humidifier mon anus pour permettre une bonne pénétration. Les doigts firent encore plusieurs allers-retours entre ma chatte et mon anus pour y déposer le plus de mouille possible. Puis je sentis un doigt et puis deux pénétrer brusquement à l’intérieur de mon rectum, me procurant au passage une sensation de chaleur et de bien-être. Les doigts étaient gros et longs ; ils allèrent très loin dans le boyau, me faisant pâmer de plaisir. A chaque aller-retour des doigts, je poussais un petit gémissement rauque, que je sentais sortir du fin fond de mes poumons.
- T’habi sba’έa fi ga’έarek ! (Tu aimes être doigté comme cela !) T’habi ki yedkhoul hakdha ! (Tu aimes quand il te pénètre comme cela !) Ki irouh ou i weli fi ga’έarek! (quand il fait le va-et-vient dans ton cul !)
- N’hab ! N’hab ! Wach testena bach t’nik ni! (j’adore! J’adore! Qu’est-ce que tu attends pour me niquer!)
- Qahba ! Dhork en nikek ! (Espèce de pute, je vais te baiser !) Dhork en kessarlek ga’arek ! (Je vais bientôt de défoncer le cul !) Dhork etthassi zeb s’hih fi ga’arek! (Tu vas bientôt ressentir un vrai zob dans ton cul !)
Tout en m’insultant ainsi, il élargissait l’entrée de mon cul avec ses deux doigts. Je les sentais qui glissaient facilement dans mon rectum. Je me disais qu’en fin de compte, il ne me fera pas mal en me pénétrant avec son manche. J’en étais un peu déçue. Je voulais sentir la force d’un sexe dans mon anus. Je voulais avoir mal pour pouvoir ensuite sentir la douceur et la chaleur des va-et-vient qui suivront, quand la douleur se sera calmée ! Mais même comme cela j’attendais ! J’attendais de sentir le gland posé sur l’anneau, temporiser une fraction de seconde et puis pénétrer brutalement dans le boyau. Et je sentis effectivement la tête du gland de mon amant se poser à l’entrée de mon cul. Elle était en même temps douce et dure. Je sentais qu’elle avait du mal à se positionner tant elle semblait énorme. Et puis je sentis mon cul exploser ! Je poussais un cri inhumain.
- Aiiiiieeee ! wadja’έatni ! Wach d’khel fi ga’έari ! (Tu m’as fait mal ! Qu’est-ce tu m’as mis à l’intérieur de mon cul !) Mouhal i koun zeb ! (impossible que ça soit un zob !) Bezzaf kchin ou touil! (Il est trop gros et trop long !)
- Ĥadhak ĥoua zebi ! Zeb li yekessar el bibane emsakrine (C’est cela mon zob ! Un zob qui défonce les portes fermées !) Tehassilou mlih ? (Tu le sens bien ?)
- En’hesslou ki el sefoud ! (Je le sens comme un tison incandescent !) Ĥa’ou yehraq fiya ! (il me brule !) Kemel ĥakdhak ! (Continue comme cela !) Mlih ! (C’est bon !) Zid ! Zid ! Zid li ! (Encore ! Encore ! Continue !) N’heb zebek ! Enmout a’ala zebek ! (J’aime ton zob ! J’adore ton zob !) Ma tahbesch ! (N’arrête pas !) ‘έamar li ga’έari ! (Remplis moi le cul !) Rani enhas raĥi djaïa ! (Je sens que je vais jouir !)
- T’hebi ki en nikek mel lour ! (Tu aimes que je te baise par derrière !) Gouli li n’heb zebek ! (dis-moi que tu aimes mon zob !)
- N’heb zebek ! N’heb zebek ! N’heb zebek ! N’heb zeb……….. !
Je n’eus pas le loisir de continuer ma phrase. J’eus un immense orgasme. Le plus fort orgasme que j’ai eu grâce à une sodomisation, depuis que je me rappelle. Je sentais ma chatte qui coulait comme une fontaine et j’eus un râle de plaisir qui dura tellement longtemps que je me sentis défaillir. Je sentais que je ne contrôlais plus rien ; ma tête partait dans tous les sens ; de ma bouche sortait des litres de bave, qui allaient s’étaler sur le carrelage du salon ; ma respiration était tellement rapide que je sentais que j’allais mourir étouffée. Mais mon Dieu que le plaisir était intense ! Je sentis ma jouissance partir du centre de mon rectum, aller dans mon bas ventre, pénétrer dans mon vagin, aller titiller mon clitoris, puis se répandre sur tout mon corps, en suivant le chemin de ma colonne vertébrale.
C’était tellement bon ! Je suivais le cheminement de l’orgasme en me disant que j’allais mourir de plaisir ! Je voulais vraiment mourir de plaisir ! Cela aurait été la plus belle des morts! Et pendant tout ce temps, mon merveilleux amant continuait son œuvre de démolition de mon cul. Il ahanait comme un bucheron qui tentait d’abattre un arbre. Lui ce n’était pas à un arbre qu’il s’attaquait, mais à mon cul. Maintenant, il hurlait – en arabe – que je n’allais plus pouvoir m’assoir sur mes fesses pendant longtemps. Qu’il était fier de lui ! Fier de l’œuvre de démolition de sa hache ! Qu’il aimait les culs comme le mien ! Aussi accueillants ! Aussi chauds ! Aussi doux ! Qu’il aimait mes fesses !
- Enmout alla tramek ! (J’adore tes fesses !) Mazal ennikek melour ! (Je vais encore te baiser par derrière !) Zebi y heb i nik ensa men ga’έarhoum ! (Mon zob aime baiser les femmes par leur anus !) En hass bli djaïa ! Rahi djaïa ! (Je sens que je vais jouir ! Je vais jouir !)
Et je sentis mon bel amant soudain se raidir, enfoncer ses ongles profondément dans la chair de mes hanches, arrêter sa respiration et exploser dans mon cul, en poussant un hurlement de dément et en propulsant avec une force inouïe un premier jet de sperme brulant et épais que je sentis ressortir comme pompé par l’immense engin qui allait et venait dans mon boyau, se répandre sur le carrelage, en suivant la rainure de mes grandes lèvres. AEK continua encore un moment les va-et-vient furieux de sa splendide queue, éjacula encore trois ou quatre fois, puis s’affala, exténué, sur mon dos.
Il resta comme cela un long moment, son zob encore vigoureux, toujours planté dans mon anus ; il reprenait lentement sa respiration. Au bout de quelques minutes, pendant lesquelles moi aussi j’avais repris tout mon souffle, il sortit son engin d’entre mes fesses, s’assit par terre et me fit me retourner pour admirer le spectacle. AEK était assis sur le carrelage, cul nu, le pantalon et le slip abaissés sur ses chevilles et le zob encore dégoulinant de sperme et enduit d’un liquide de couleur brunâtre, brandi vers le plafond comme un sabre. C’était la première fois que je voyais un tel engin. Même dans les films pornographiques que nous visionnons parfois, Lotfi et moi, j’avais rarement vu une queue aussi grande et aussi belle. Elle était vraiment immense – trente-cinq centimètres minimum avec une circonférence qu’une seule main ne peut pas entourer. Et en plus elle était vraiment belle : toute lisse et brillante, sans une seule trace de poils, y compris sur son pubis. Et elle était surmontée d’un gland en forme de champignon, avec une base très large, mais se terminant en pointe.
Je tendis la main pour toucher le superbe engin et en tâter la fermeté ; il était très doux –malgré la viscosité des restes de la sodomisation – et très dur. Du marbre, pensai-je ! Il se laissa faire en me regardant avec des yeux de prédateur non encore rassasié.
- Je veux maintenant que tu te déshabille ! J’ai envie de te regarder toute nue et me rincer les yeux avec ton corps. J’aurais dû le faire avant même de t’entreprendre tout à l’heure, mais j’étais tellement excité que je n’avais pu me retenir. J’espère que tu ne m’en veux pas trop. Je crois que tu as autant joui que moi ! Ce n’est qu’un début ! Tu vois comme il a encore envie ! Allez enlève-moi tous ces habits !
Je me levais pour lui obéir, quand je vis Lotfi, assis dans un fauteuil à côté, nous regardant avec des yeux brillants de mille feux. Je l’avais – nous l’avions – totalement oublié. Il avait lui aussi sorti son zob – il était moins impressionnant que celui d’AEK, mais il était lui aussi très beau et très bien entretenu – et était entrain de le caresser. Il se caressait doucement ; il ne se masturbait pas. C’était comme s’il ne faisait qu’entretenir une érection qu’il voulait garder à son maximum. Il ne cherchait pas à jouir en se branlant. Il semblait se contenter de bander comme cela au maximum, en attendant je ne sais quoi. J’allais l’interpeller, mais je m’arrêtais net en voyant le signe qu’il me fit de ne pas m’occuper de lui et de continuer ma partie de plaisir avec AEK. Je ne fis pas prier. Rapidement j’enlevais tous mes habits et me retrouvais complètement nue devant les yeux écarquillés de mon amant.
- Tu es vraiment splendide ! Lotfi a vraiment une chance de cocu (sans jeu de mots) ! Tu étais très belle dans les photos que j’ai regardées tantôt, mais en vrai, tu l’es encore plus ! Tu es magnifique ! Viens me déshabiller ! Je veux que cela soit toi qui t’occupe de m’enlever mes habits. Commence par mes chaussures !
Et ce fut comme cela que je me mis à enlever les habits de mon amant, en faisant en sorte qu’il ne se lève pas pour ne pas tomber nez à nez avec Lotfi. Je commençais par les souliers que je délaçais et enlevais l’un après l’autre ; je les posais précautionneusement par terre, sur le côté du canapé. Je lui enlevais ensuite les socquettes noires en coton, que je mis chacune dans sa chaussure d’origine. Puis je passais à son pantalon et son slip que j’enlevais facilement, puisqu’ils étaient déjà sur ses chevilles. Je pliais soigneusement le pantalon que je posais sur le canapé puis entrepris de lui enlever la veste, puis le chemise que je pliais aussi et posais sur le canapé. Il ne restait plus que le maillot de corps que j’enlevais en un tour de main pour le déposer sur le canapé à côté des autres habits.
Pendant que je m’efforçais de le déshabiller, AEK continuait de bander comme un bouc qui avait senti la présence d’une chèvre en chaleur. Et j’étais cette chèvre là. Pour le déshabiller j’avais dû me frotter à lui et la chaleur et la douceur de ma peau – et de mes mains qui le caressaient au passage – avait exaspéré son désir. Je voyais son magnifique zob qui tressaillait à chacune de mes caresses et qui continuait de grossir à vue d’œil (comme si cela était encore possible !). Il attrapa ma main droite et la porta au niveau de son sexe pour qu’elle le caresse. Puis il se ravisa.
- Suce-le ! me dit-il d’un ton qui n’admettait pas de réplique.
Je venais de remarquer que quand AEK était tiraillé par le désir, il devenait brutal. Sa voix perdait de sa douceur naturelle et devenait aussi dure que celle d’un adjudant qui s’adressait à des troufions. Et moi j’adorais ! Je voulais un homme, un vrai ! Et AEK, tout jeune qu’il fût, était un homme, un vrai ! Je n’avais pourtant pas envie de sucer le beau sexe de mon homme ; il sortait de mon cul et était encore plein de mes sécrétions anales. Mais au ton de sa voix, je savais que je devais obéir. Qu’il n’admettrait pas que je rouspétasse.
Je lui demandais donc de se mettre à genoux face à moi (tournant le dos à Lotfi, que moi je continuais de voir entrain de se caresser la queue, en nous regardant, les yeux toujours aussi brillants de désir) et de me tendre son sabre pour que je le nettoie avec ma bouche pour ensuite lui faire une fellation du tonnerre. Il accueillit ma proposition avec un sourire de carnassier.
- Tu es vraiment à la hauteur ! Lotfi ne m’a pas menti quand il me disait que tu étais née pour faire l’amour et pour rendre tes hommes fous de bonheur ! Je vais te baiser par la bouche ! (en nikek men foumek !)
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J’avais été interpellé par son message, qui d’une part était bien écrit – contrairement à beaucoup des commentaires que je recevais – et d’autre part par l’envie qu’il avait d’être le personnage central – avec Kamila, bien entendu – d’être le personnage central d’une aventure érotique identique. J’avais donc entamé une correspondance avec lui, avec comme objectif de lui faire préciser ses désirs et de finir par faire sa connaissance et celle de son épouse. Je voulais m’assurer – comme je l’avais fait auparavant pour Wassila,/Warda le personnage principal – et réel – de quelques uns de mes récits précédents.
J’avais fini par les rencontrer tous les deux et de lier avec eux une relation amicale. C’était un couple vraiment assorti : ils avaient pratiquement le même âge – trente-cinq ans - et étaient aussi beaux l’un que l’autre. Et d’évidence, ils s’adoraient.
Lui était assez grand – presque un mètre quatre-vingt – brun, cheveux noirs coupés très courts, épaules larges, bras puissants, taille fine, hanches étroites et longues jambes musculeuses. Tout en lui indiquait l’homme qui pratiquait régulièrement un sport d’entretien (salle de musculation et/ou course à pied) et qui prenait un soin infini de son apparence physique. Mais c’était surtout son visage lumineux et souriant qui attirait le plus l’attention. En le voyant pour la première fois, je m’étais dit qu’avec un tel sourire et son regard perçant, ce devait être un grand séducteur. Un bourreau de cœurs pour toutes les midinettes qu’il rencontrait. Et même devant son épouse, il ne se gênait pas pour entreprendre toutes les femmes qui lui plaisaient. Mais, me disait Kamila, il n’allait jamais jusqu’à conclure. Du moins pas encore.
Elle aussi était brune mais avec une peau blanche tellement brillante, qu’on l’aurait cru transparente. Elle était assez grande – un mètre soixante seize, m’avait-elle précisé – avec un corps aux proportions parfaites. En la voyant, je m’étais fait la réflexion qu’elle devait avoir pratiqué le mannequinat, tellement elle était gracieuse dans sa démarche et avait tout ce qu’il fallait comme formes, aux endroits qu’il fallait. Elle semblait avoir un peu forci, par rapport à ce qu’elle devait être à vingt ans, mais les rondeurs qui s’étaient légèrement surajoutées à ses formes initiales lui donnaient un surplus de sensualité. Tout en elle faisait fatalement penser au sexe et à l’érotisme. Même au repos, alors qu’elle ne pensait à rien de particulier, il se dégageait d’elle une sensualité torride qui faisait naître dans l’esprit des hommes qui la regardaient des pensées pleines de concupiscence. Tous ceux qui la voyaient – pour peu qu’ils soient normalement constitués – ne pouvaient s’empêcher d’avoir des pensées cochonnes et de rêver à milles choses qui mettaient leurs sens en émoi.
Sa bouche surtout, était un piège à fantasmes. Sans être grande et lippue - à l’image de celle de la fameuse stagiaire du président Clinton (Monika Lewinsky qui avait en son temps fait fantasmer tant d’hommes dans le monde) - la forme de sa bouche et de ses lèvres faisait inévitablement penser à une belle chatte de forme oblongue, aux grandes lèvres superbement ourlées et fermes, légèrement ouvertes pour laisser deviner les images du paradis qui se trouvait à l’intérieur.
Lotfi m’assura par la suite que c’était cette particularité de sa femme – qu’il savait faire bander tous les hommes qui la regardaient - qui avait fini par l’amener – après une courte période de forte jalousie – à imaginer tout ce que les hommes voulaient faire à sa femme. Ce qui l’entraina petit à petit, presque malgré lui, à fantasmer sur elle entrain de prendre un plaisir infini sous les coups de boutoirs d’un autre homme (et parfois même avec d’autres hommes). Cela avait fini par devenir son plus grand fantasme sexuel, qu’il lui fallait absolument concrétiser.
Je mis un certain temps, avant d’avoir le courage de questionner Kamila sur cet aspect de son mari. Lotfi m’avait assuré en avoir parlé avec elle, qui après avoir été scandalisée par une telle pensée, et après une longue période de refus de plus en plus mou, avait fini par penser sérieusement à faire pousser des cornes sur le front de son mari.
Malgré cela, je voulais m’assurer par moi-même qu’il disait vrai et me mis à questionner Kamila pour connaître le fond de sa pensée.
- Lotfi m’a dit que tu as aimé les récits érotiques que j’ai écrit sur le couple Wassila / Salim. C’est vrai ?
- Oui ! Ils sont très bien écrits et super bandants !
- Tu as aimé le fait que le grand fantasme érotique de Salim consistait à offrir sa femme à d’autres hommes et à en tirer un immense plaisir ?
- Au départ, cela m’avait un peu choqué ; un homme qui dit aimer sa femme avec autant de force, ne pouvait pas prendre du plaisir à la voir faire l’amour avec un autre homme. C’est la même chose pour une femme. Puis petit à petit, en lisant tout ce que Wassila racontait de ses aventures érotiques avec d’autres hommes, je me suis mise à y penser de plus en plus fort.
- J’imagine que Lotfi poussait fortement dans ce sens !
- Oh oui ! Et pas qu’un peu ! J’avais remarqué que plus il me parlait de cela et qu’il m’imaginait à la place de Wassila, il bandait tellement fort qu’il me faisait l’amour de manière encore plus intense que d’habitude ; il jouissait – et me faisait jouir – beaucoup plus fort que d’habitude. Pendant que nous batifolions ensemble, moi je m’imaginais entre les bras d’un Apollon avec une queue immense qui explorait en force tous mes trous et me transportait au septième ciel; et lui il jouissait en se transformant en voyeur, qui nous regardait, mon étalon et moi, hurler de plaisir.
- Et maintenant, tu rêves d’aventures extraconjugales !
- Oui ! De plus en plus ! Et de plus en plus fort ! C’est même entrain de devenir une obsession ! Comme pour Lotfi ! J’attends avec impatience que cela arrive ! Nous sommes entrain de chercher – Lotfi et moi – l’homme exceptionnel qui deviendra mon amant de cœur et de lit et qui me fera vivre les moments exceptionnels qu’a vécu Wassila dans tes histoires. Je sais que j’aimerais profondément un homme qui nous donnera à moi et à Lotfi autant de plaisir; en même temps que je continuerais d’aimer mon mari. Je sais maintenant que c’est possible. Je crois même que je me sens prête à m’offrir à deux hommes en même temps: le deuxième pouvant être mon mari, tout en préférant que ça soit quelqu’un d’autre – Lotfi pourra toujours se servir après eux. Je vais même t’avouer quelque chose que je n’ai pas encore osé dire à mon époux : je me délecte à l’imaginer entrain de me sucer la vulve après m’être faite enfournée par mes amants. C’est entrain de devenir un de mes autres fantasmes. Et je suis certaine aujourd’hui de le vivre intensément dans peu temps.
Voila comment j’avais fait la connaissance du couple, qui fait maintenant partie de mes amis intimes. Peu de temps après les avoir rencontrés, ils avaient sauté le pas et ont commencé une série d’aventures érotiques qui leur avaient procuré énormément de plaisir – ils parlaient même de bonheur. Nous nous voyions régulièrement, depuis, et parlions sans tabous de leurs aventures érotiques. Ils me racontaient, chacun à sa manière et sans aucune précaution de langage, les aventures extraconjugales du Kamila.
Le récit à deux voix qui suit raconte la première aventure extraconjugale de Kamila qui s’offrit corps et âme à un jeune étalon nommé Abdelkrim, sous le regard émerveillé et la participation active – par la voix et les instructions - de son mari Lotfi.
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Première voix : Lotfi
Ce fut moi qui le premier avait rencontré Abdelkrim. J’étais en mission à Paris et m’apprêtais à rentrer au pays. J’étais dans la salle d’embarquement de l’aéroport d’Orly Sud, attendant l’annonce du décollage de mon avion. Il avait déjà près d’une demi-heure de retard. Et cela ne semblait pas s’arranger; la voix qui sortait des hauts parleurs annonçait une prolongation indéfinie du retard et nous demandait de patienter et de nous rapprocher du représentant d’Air Algérie pour plus d’information, et pour récupérer un ticket qui nous donnerait droit à un repas.
Je pris mon mal en patience et ouvrit mon micro portable pour travailler un peu en attendant la suite des évènements. Je venais à peine de l’allumer quand une voix masculine derrière moi me posa une question que je ne compris pas immédiatement.
- Comment s’appelle cette actrice qui s’affiche ainsi sur l’écran de votre portable ? Elle est vraiment superbe ! Je ne la connais pas.
Je me retournai pour voir qui posait cette question et pour m’assurer qu’il s’adressait bien à moi. Je découvris un superbe jeune homme d’environ vingt deux vingt trois ans, très grand, les épaules très larges, la taille fine, les hanches étroites et de longues jambes. C’était certainement un sportif d’élite ; il était tout en muscles et n’avait pas un seul gramme de graisse. D’ailleurs, il me semblait l’avoir déjà vu quelque part. Sa silhouette ne m’était pas inconnue.
Je suivis son regard qui était figé sur mon ordinateur et compris qu’il parlait de la photo qui emplissait l’écran. Il s’agissait de la photo de mon épouse Kamila que j’avais insérée comme fond d’écran pour qu’elle soit toujours avec moi. Il devait penser que je devais être un fan d’une artiste et que j’avais mis son portrait comme fond d’écran de mon ordi.
- Il s’agit de ma femme, répondis-je d’une voix assez neutre pour ne pas le mettre dans la gêne.
- Oh excusez-moi ! Je croyais que c’était une actrice ou quelque chose d’approchant ! Je ne m’imaginais pas qu’une femme « normale » puisse être aussi belle !
- Elle vous plait vraiment ? C’est vrai qu’elle est belle, mais je ne réalisais pas qu’elle pouvait ressembler à une actrice de cinéma ! Quand je vais le lui dire, elle n’en croira pas ses oreilles !
- Elle est vraiment splendide, si vous me permettez de vous dire cela ! Vous en avez de la chance !
Il y avait chez cet homme une forte dose d’inconscience ou alors une telle assurance en soi qu’il pouvait se permettre de dire des choses, qui en temps normal lui aurait attiré les pires ennuis. Chez nous, on ne dit pas à un mari que sa femme est superbe. Haram ! La réponse immédiate aurait dû être un coup de poing ou de boule sur la gueule ou au moins une injure bien sentie, pour le remettre à sa place ! Dans nos contrées, il s’agit de question d’honneur ! De nif ! Au lieu de cela, il trouva en moi un homme qui gardait un sourire avenant et qui l’invita même à s’assoir à ses côtés pour discuter.
- Je suis sûr de vous connaître ; vous devez être quelqu’un de connu. Vous êtes certainement passé à la télévision. Ou alors on a dû souvent parler de vous dans la presse écrite. J’ai raison ?
- Oui, je suis souvent passé aux informations sportives à la télévision ; on a aussi parlé de moi dans les journaux. Je suis judoka, champion d’Algérie et d’Afrique des poids moyens. Je m’appelle Abdelkader X.
- C’est ça ! Abdelkader ! Vous venez de gagner, pour la deuxième fois consécutive, le titre de champion d’Afrique de judo et vous préparez les championnats du monde qui vont se dérouler dans quelques mois. Vraiment enchanté de vous connaître ! Et félicitations !
Et nous restâmes ensemble pendant toute la période d’attente du décollage de notre avion. Pendant tout ce temps, je jaugeais Abdelkader sur les plans physique et moral. Physiquement, il était parfait : jeune, beau, vigoureux, volontaire. Je me demandais seulement s’il était bien membré – il fallait un homme exceptionnellement bien monté pour ma Kamila - Vu sa grande taille et sa corpulence, je ne courrais aucun risque à parier sur une réponse éminemment positive. Moralement, il ressortait de la discussion que nous avions entamée sur beaucoup de sujets, que malgré son très jeune âge, AEK était très cultivé (il finissait une licence en commerce international) et avait l’esprit très ouvert sur beaucoup des problèmes qui traversaient notre société.
J’avais été frappé par le fait qu’il défendait fermement l’idée que chaque individu était libre de vivre sa vie comme il l’entendait et que personne n’avait le droit de lui imposer quoi que ce soit au nom des tabous sociaux ou même de la religion. En le regardant, je me mis à penser au couple idéal qu’il formerait avec Kamila et me l’imaginai entre ses immenses bras. L’idée d’en faire l’amant de ma femme commençait à s’ancrer de plus en plus fort dans mon esprit ; elle se mit même à faire son effet au niveau de mon bas-ventre. Je sentais mon sexe palpiter et se réveiller petit à petit, jusqu’à atteindre son niveau extrême de bandaison. J’avais une très forte envie de me toucher, pour ne pas dire de me masturber en m’imaginant la scène. J’étais assis, et personne ne pouvait se rendre compte du phénomène, mais j’avais du mal, à retenir ma main qui voulait s’emparer de mon manche pour le caresser et éteindre quelque peu le feu qui me consumait.
Il me fallait trouver l’ouverture pour présenter à Abdelkader mon idée – folle pour un esprit normal – de lui mettre entre les bras ma belle Kamila. Il fallait lui présenter la chose de manière à ne pas le scandaliser – j’avais un peu peur, que malgré ses apparences d’homme à l’esprit ouvert, il ne soit en réalité qu’un parangon de vertu. Je voulais aussi – et surtout – éviter d’essuyer un refus qui m’aurait mis la honte.
- Tu la trouves vraiment belle et sensuelle ? lui dis-je, en le tutoyant pour la première fois et en pointant du doigt l’écran de mon ordi.
J’avais pris un air détaché pour essayer de ne pas paraître trop intéressé par la réponse ; je ne voulais pas l’effaroucher. Pourtant au fond de moi, j’étais vraiment anxieux d’entendre sa réponse. Je voulais absolument le présenter à Kamila. Connaissant ses goûts en matière d’hommes – de mâles devrais-je dire - j’étais sûr que AEK lui plaira dès le premier abord. Elle m’avait assez décrit, pendant nos discussions sur le cocufiage, l’homme avec lequel elle aimerait me tromper, pour ne pas le reconnaitre immédiatement en le rencontrant. Cet homme - ce mâle - c’était Abdelkader !
J’étais certain que dès qu’elle l’aura vu, elle voudra en faire, sans délai, son amant. Mais je bloquais sur la manière de présenter la chose à celui que je considérais déjà comme l’étalon qu’elle attendait – que nous attendions – depuis longtemps. L’étalon qui nous amènera, elle et moi, sur le chemin de l’adultère, du plaisir érotique et du bonheur. J’imaginais déjà ma superbe femme grimper aux rideaux et prendre un immense plaisir à me tromper avec un le bel éphèbe assis à côté de moi dans la salle d’embarquement de l’aéroport d’Orly-Sud. Je le voyais déjà chevauchant ma belle pouliche et la labourer en force en la traitant de « Qahba ! » (« Pute ») et de « Kelba » (« Chienne »), la posséder dans toutes les postures du kamasoutra et n’arrêter de la tirer que parce que mort de fatigue, après un nombre incalculable de coups. J’imaginais avec délectation Kamila entrain de hurler son plaisir de se faire brutaliser par «radjel li a’andou zeb k’bir » (« un homme qui a un si gros zob ») et l’inciter par des mots crus à intensifier le rythme et la force de pénétration de l’immense manche qui la possédait, en bavant de bonheur sur le gout miel (a’acel) et de sucre (sukkar) du zob du bonhomme.
J’avais toujours adoré ma Kamila qui dans ses moments de jouissance se mettait à hurler des obscénités en rabe. C’était tellement jouissif ! L’arabe, dans son vocabulaire obscène, était pour moi la langue de l’érotisme. La langue qui donnait plus d’intensité à mes désirs et accroissait mon plaisir jusqu’au plus haut niveau.
../..
- Tu veux voir d’autres photos d’elle ? Plus intimes !
- …
Il ne répondit pas à ma question. Il me regarda avec un air étonné, se demandant surement si j’étais quelqu’un de normal.
- Il n’y a absolument aucun lézard. J’ai plein de photos de Kamila dans mon ordi. Et je serai bien content de les faire admirer à un connaisseur. Ma femme est un peu du genre exhibitionniste et adore se faire admirer.
- Pourquoi pas ! répondit-il d’une voix neutre.
Je rentrais dans le fichier renfermant la centaine de photographies que j’avais faites de Kamila et les montrais à Abdelkrim, en commençant par les plus sages. Je voulais prendre le temps d’étudier ses réactions et me préparer une voie de repli dans le cas où les choses ne se dérouleraient pas comme prévu. Il les regardait avec attention, sans pour autant faire de commentaires. Puis, petit à petit, je passais à des photos de plus en plus dévêtues jusqu’à arriver à celles où elle était complètement nue, vautrée sur le lit dans une position sans équivoque.
- Elle est magnifique, n’est-ce pas ? dis-je en le regardant avec angoisse.
- Elle est superbe ! Je ne comprends pas pourquoi tu me montres ça. Ce n’est certainement pas moi qui ferais une telle chose ! Je mourrais de jalousie !
- Elle adore être admirée ! Et pas seulement cela ! Je vais certainement te scandaliser en te disant qu’elle est actuellement à la recherche d’un Apollon pour goûter avec lui aux plaisirs de l’amour extraconjugal ! Jusqu’à maintenant elle n’a connu qu’un seul homme : moi ! Depuis quelque temps, elle fantasme – nous fantasmons – sur un amant que je lui offrirai pour lui faire découvrir d’autres facettes de l’érotisme.
- Tu veux dire qu’elle cherche un amant et que toi, son mari, tu serais d’accord pour lui en trouver un ?
- Oui ! Tu me trouves anormal ?
- Un peu ! Mais enfin c’est ta liberté. Tous les goûts sont dans la nature.
- Tu serais d’accord pour faire sa connaissance et aller plus loin si elle te plait ?
- …
- Je te jure qu’il n’y a absolument aucun lézard. Tu réponds absolument à l’image qu’elle s’est faite de l’homme avec lequel elle aimerait me cocufier. Et moi aussi je trouve que tu corresponds exactement à l’amant de nos rêves.
- …
- Dès que l’on nous annoncera le décollage de l’avion, je l’appellerai pour qu’elle vienne nous attendre à l’aéroport d’Alger. Je ne lui parlerai pas de toi. Je te laisse toute latitude pour décider toi-même de la suite à donner à ma proposition. Si en la voyant, tu la trouves à ton goût, tu t’approcheras de nous et je te la présenterais. Et bien sûr, tu viendras avec nous à la maison. Et là vous ferez tout ce qui vous plaira, sans que je n’intervienne dans quoi que ce soit, sinon, si tu es d’accord, assister à vos ébats.
L’homme ne me donna pas de réponse claire. Il opina légèrement de la tête, puis continua à regarder la photographie de Kamila nue. J’en profitais pour faire défiler lentement le reste du film où Kamila était dans des positions de plus en plus impudiques et érotiques. AEK en devint tout rouge d’excitation. J’étais certain qu’il bandait comme un âne, à la vue des appâts qui s’exposaient ainsi devant lui. Il ne dit rien pendant toute l’opération, mais je l’entendais qui respirait de plus en plus difficilement, tant il était excité. Et puis, n’arrivant plus à se retenir il poussa un long soupir et lâcha cette phrase qui me fit dire que j’avais gagné :
- Putain ce que j’ai envie de cette femme !
Le reste du temps se passa en discussions, parfois anodines sur la pluie et le beau temps, parfois plus spécifique sur Kamila et se goûts en amour. Il voulait presque tout savoir d’elle avant de la connaitre intimement : comment qu’elle était au lit ; qu’est-ce qu’elle aimait qu’on lui fasse ; qu’est-ce qu’elle aimait faire ; aimait-elle la douceur ; la brutalité ; etc. Je ne répondis à aucune de ses questions, me contentant de lui affirmer qu’il ne sera pas déçu. Pendant le vol de retour, nous restâmes silencieux ; chacun de nous pensant à Kamila. Moi réfléchissant à la manière dont les choses allaient se passer – j’avais dis à ma femme, sans plus d’explications, que je lui réservais une merveilleuse surprise – et à comment j’allais m’y prendre pour les amener elle et son amant à faire tout ce que moi je voudrais qu’ils fassent. Dans mon esprit malade, j’avais imaginé plein de scénarii pour tirer le maximum de plaisir de l’aventure érotique de ma femme.
Il y avait plein de choses que je voulais que le couple fasse devant moi. Mon esprit de candauliste contrarié, me dictait de conduire moi-même la séance d’amour hard que devait avoir ma femme avec l’amant que je lui amenai. Je voulais leur faire faire toutes sortes de choses en allant crescendo : je voulais tout d’abord qu’elle sorte le manche de l’homme et qu’elle le fasse bander en le caressant et en promenant ses lèvres et sa langue sur le gland, la hampe, les couilles ; qu’ensuite elle le suce, d’abord tout doucement, puis de plus en plus énergiquement en faisant entrer le monstre jusque dans sa gorge ; je voudrais ensuite que AEK prenne les rênes et se mette à baiser ma femme par la bouche en lui faisant mal et en l’amenant presque à l’étouffement ; je voudrais enfin qu’il jouisse une première fois dans sa bouche et qu’il la remplisse d’un beau sperme, bien épais, visqueux et brulant et qu’il lui ordonne de tout avaler. Je voudrais par la suite, qu’il l’encule en force et sans précaution. Je voudrais…..
Mais même dans ma folie, j’étais conscient, que je n’avais absolument rien à dicter à des amants complètement pris dans leur soif de plaisir et ayant des désirs qui ne pouvaient pas obligatoirement correspondre aux miens. Je finis même par me faire une raison, en me disant que la seule chose que je pouvais exiger – et encore à la condition que AEK ne soit pas du genre à débander dans de telles conditions – c’était d’être le spectateur passif de l’opération. Je connaissais assez les goûts érotiques de Kamila pour être rassuré quant à tout ce qu’elle fera et qu’elle fera faire à son amant.
Je supputais que Abdelkader devait lui aussi penser à ce qui l’attendait cette nuit dans un appartement à Alger et faisait tout un cinéma sur la suite de la journée. D’évidence ; il était séduit par cette femme qui s’exhibait en photos dans le micro portable de son mari. Elle était tellement bandante ! Il était sûr qu’au lit elle devait vraiment assurer. Il se posait pourtant la question de savoir s’il allait être à la hauteur du défi que la dame allait certainement lui imposer. Il s’agissait peut-être d’une nymphomane qu’il serait dans l’incapacité de satisfaire complètement. Il savait qu’il avait des capacités sexuelles au dessus de la normale ; même s’il était encore très jeune, il avait eu assez d’aventures érotiques pour se rassurer sur ce domaine ; les filles et femmes qu’il avait tirées avaient toutes été satisfaites et en avaient toujours redemandé. Mais malgré cela, il n’était pas complètement à l’aise.
A notre arrivée à l’aéroport d’Alger, nous la trouvâmes Kamila qui attendait (elle ne savait pas encore pour Abdelkrim). En me voyant, elle me fit des grands signes pour m’indiquer sa présence et se précipita sur moi pour m’embrasser (un baiser sur chaque joue, pour tenir compte du fait que nous sommes en public). Elle s’arrêta brusquement, en se rendant compte que je n’étais pas seul. Elle avait vu l’homme qui était resté derrière moi et qui semblait la regarder avec un intérêt évident. Il avait un sourire encore un peu crispé. Elle me lança un regard où se lisait l’étonnement, en même temps que de l’intérêt. D’évidence AEK l’intéressait; elle n’arrêtait pas de le regarder de manière presque impudique; avec sur les lèvres le petit sourire carnassier qu’elle avait toujours, quand quelque chose l’intéressait vraiment et qu’elle voulait s’en accaparer. Ce soir là, c’était mon nouvel ami qui était cet objet.
- Je te présente Abdelkrim ! Il vient passer la nuit avec nous.
Elle eut vraiment l’air intrigué mais content. Intrigué parce que c’était la première fois que j’amenais comme cela quelqu’un passer la nuit chez nous, sans que je l’en aie avertie par avance. Contente parce qu’elle venait de comprendre que l’homme était la merveilleuse surprise que je lui avais promise au moment où je l’avais appelé pour lui annoncer que je venais d’embarquer et que l’avion allait décoller. Elle toisa un long moment le garçon, lui envoya un sourire lumineux, et l’embrassa lui aussi sur les deux joues.
- Bienvenue, Abdelkrim !
../..
Deuxième voix : Kamila
Dans toute ma vie amoureuse – mis à part Lotfi mon mari, qui lui est hors compétition – Abdelkrim constitue sans conteste ce qui m’était arrivé de mieux. J’avais eu – en même temps que lui et bien après lui - d’autres aventures érotiques qui m’avaient donnée beaucoup de plaisir et même, pour certaines d’entre elles, du bonheur. Mais ma référence en amour reste – et restera très longtemps - AEK (contrairement à Lotfi qui l’appelait toujours Abdelkrim, moi je préférai ces trois initiales qui me le rendaient unique).
Malgré son très jeune âge, et son manque d’expérience de femmes comme moi – mûres, passionnées, possessives et faisant du sexe le fondement même de leur vie – j’ai connu avec cet homme des moments de jouissance suprême et de vrai bonheur. Ce qu’il m’avait apportée dans ma vie amoureuse est presque impossible à décrire, tant il était intense et avait été vécu pleinement par nous - AEK, Lotfi et moi – et nous avait apporté la félicité. Car c’était bien de félicité qu’il s’agissait – ce bonheur parfait proche de la béatitude – pendant toute la période où il était resté avec nous, avant de se marier – deux années plus tard - et de quitter le pays pour s’installer au Canada, le nouvel Eldorado des cadres algériens qui quittent le pays.
J’avais bien sûr eu avec Lotfi, mon mari, de merveilleux moments de bonheur à deux. Y compris physiques, grâce à nos étreintes quotidiennes, libres, sans tabous, intenses et pleines de passion. Longtemps, nous avions tous les deux situé notre nid d’amour au septième ciel ; un lieu que nous fréquentions assidument. Nous accordions Lotfi et moi une place particulière à la relation sexuelle, sans tabous et librement vécue. Tous les deux nous aimions faire l’amour en essayant, chaque fois que c’était possible, de vivre pleinement nos fantasmes. Au cours des dix dernières années – cela fait maintenant une douzaine d’années que nous nous sommes connus et mariés - nous avions tout essayé de ce qui pouvait se pratiquer à deux : toutes les positions possibles du Kamasoutra, et tout ce que les moralistes de tous bords qualifiaient des perversions sexuelles : fellation, sodomisation, double pénétration avec des godes, éjaculations corporelles, buccales et faciales, sperme et cyprine avalés, etc. Pendant tout ce temps là nous étions heureux de vivre sereinement notre sexualité et notre amour.
Longtemps nous avions évité de penser à franchir une nouvelle étape dans notre vie sexuelle : celle qui ferait appel à d’autres personnes que nous deux : l’amour à trois ou plus. Nous avions gardé cachés en nous, le désir de gouter à autre chose. Moi je pensais qu’une telle envie, si je venais à l’exprimer serait mal perçue par Lotfi ; je croyais qu’il prendrait cela pour une trahison. Et lui aussi était dans le même état d’esprit. Sans que notre amour n’en ait eu à pâtir vraiment – nous continuions à nous aimer avec autant de force - nos relations sexuelles commençaient à avoir un goût de déjà vu. Nous ne montions plus aussi souvent, et surtout aussi intensément, au septième ciel. Et cela me manquait beaucoup. A lui aussi. Et puis petit à petit, nous nous mîmes à lire des histoires érotiques et à découvrir, chez d’autres couples, le même problème, solutionné par l’appel à un troisième larron, selon qu’il s’agisse d’un besoin féminin - offrir son mari à une autre femme – ou d’un besoin masculin – offrir sa femme à un autre homme.
A la fin de chaque histoire (parfois il pouvait s’agir de vidéos) nous nous regardions presque timidement et l’un ou l’autre faisait une remarque, dans laquelle se lisait l’envie de vivre une aventure identique. Le plus souvent, c’était Lotfi qui parlait. De nous deux, c’était lui qui semblait le plus désireux d’aller vers des aventures de cette nature. Je compris assez vite, qu’il venait de prendre conscience d’un fantasme sexuel profondément ancré en lui, appelé candaulisme, en relation avec un mythe de la Grèce antique dans lequel Candaule, roi de Lydie, trouvait sa femme tellement belle qu’il voulait que tous les hommes la voient et aient envie d’elle. Il mit longtemps à m’avouer ce fantasme ; de peur que je le prenne très mal. Et de fait, la première fois qu’il m’en avait parlé, je l’avais assez mal pris. Je pensais que mon mari ne m’aimait plus. Car s’il m’aimait vraiment, il n’aurait pas un seul instant pensé à m’offrir à un autre homme.
Et puis petit à petit, l’idée avait commencé à s’insinuer en moi et avait fini par devenir obsessionnelle. D’abord parce que je voyais l’effet que faisait sur mon mari le seul fait de m’imaginer entre les bras d’un autre homme : il bandait tellement fort, qu’il redevenait un vrai taureau au lit et m’emmenait vers les plus hauts sommets du plaisir. Ensuite, moi-même je m’étais inconsciemment mise à voir dans chaque bel homme que je rencontrais un éventuel amant. Surtout je m’imaginais tout ce qu’il pouvait me faire, parmi toutes ces choses interdites qui me mettaient en émoi ; et que Lotfi ne pouvait pas me faire. Je pensais beaucoup en ce temps là à la double pénétration, qui était mon fantasme absolu.
Nous l’avions pratiquée souvent, Lotfi et moi, mais de manière indirecte par l’intermédiaire d’un godemichet. Mais ce dernier ne peut en aucun cas remplacer un homme, avec son poids sur moi, ses coups de boutoir furieux, sa respiration, ses han de bucheron, ses paroles obscènes et aussi, ses sécrétions (j’ai toujours adoré ressentir un zob éjaculer en moi ou couvrir mon corps d’un sperme abondant et épais et même si je n’avais jamais réellement apprécié son goût, ni sa viscosité, j’avais fini – d’abord pour faire plaisir à mon mari qui adorait cela - par avaler tout le sperme qu’il me versait dans la bouche et sur le visage). J’avais longtemps rêvé de vivre une vraie double pénétration, pratiquée sur moi par deux hommes – l’un d’eux devant être obligatoirement mon mari (c’était du moins ce que je pensais à l’époque, car depuis, mon mari avait été souvent remplacé, avec son assentiment, par un autre homme, et même une fois, par deux hommes).
Ce fut cette envie irrépressible d’être pénétrée par deux hommes et par mes deux trous à la fois, qui m’amena à voir d’un œil neuf et favorable, le désir de mon mari de m’offrir à un autre homme- et à y prendre du plaisir. Et quand Lotfi, ce jour là m’avait présente AEK qui débarquait du même avion que lui, j’en avais été immédiatement chamboulée. D’abord, le garçon - il était tellement jeune ! - était beau, grand, fort et - j’en étais absolument sûre - formidablement membré. Ensuite, il avait un air tellement avenant et sympathique, qu’il m’avait plu immédiatement. Dès le départ je m’étais vue toute nue, offerte à ses coups de reins. Je crois même que j’en avais mouillé ma culotte !
Je ne lui avais rien caché de mes pensées. Après l’avoir embrassé – sur les deux joues – pour lui souhaiter la bienvenue, nous nous dirigeâmes vers le parking des voitures, moi au milieu des deux hommes les tenant chacun par une main. Je sentais toute la puissance du garçon dans son immense main calleuse. En comparaison, la mienne était toute petite. L’envie me prit de lui caresser la paume pour déjà lui montrer que mes intentions n’étaient pas pures et que je le voulais. Il se laissa caresser tout en marchant ; de temps en temps il pressait légèrement sur ma main, comme pour me signifier qu’il appréciait mes caresses. Par moment, il tournait la tête vers moi pour me regarder et me sourire. Lotfi lui était comme absent. Son visage était fermé, même s’il avait un air très serein. C’était comme s’il était en attente de quelque chose d’essentiel, qui allait le délivrer d’une attente insupportable.
Aucun de nous trois ne parla pendant tout le trajet. Quand nous arrivâmes chez nous – un appartement cossu dans un beau quartier d’Alger - ce fut moi qui passai devant pour montrer le chemin à notre invité, en dandinant fortement du cul pour donner un avant goût de mon corps à AEK. J’allais directement dans le salon, suivi comme mon ombre par notre invité, pendant que Lotfi alla dans la chambre déposer les bagages et se mettre à l’aise. Je crois que c’était surtout pour nous laisser seuls, mon futur amant et moi, afin de faire connaissance et entamer les préliminaires. En fait de connaissance et de préliminaires, AEK ne me laissa même pas le temps de me retourner pour lui faire face. Dès que j’arrivai à hauteur du grand canapé qui trônait contre le mur du fond, il posa ses immenses palluches sur mes fesses pour en tester la fermeté.
- C’est exactement comme cela que je les imaginais : ferme et imposantes ! Je sens que je vais me régaler ! Je les avais déjà matées sur les photos de Lotfi, mais en vrai, elles sont encore plus bandantes. Tu sais que je vais commencer par t’enculer ! Depuis des heures, depuis que j’ai vu les photos, je ne pense qu’à ça et je n’arrête pas de bander comme un âne.
Je ne me retournais pas pour lui faire face. J’aimais cette position où il était derrière moi et où je ne pouvais rien voir. Mon plaisir immédiat était dans l’attente. L’attente de ce qui allait se passer. L’attente, dans ces moments là, était pour moi merveilleuse. Je ne pensais jamais à rien d’autre qu’au moment où le beau zob de mon amant – jusque là ça avait toujours été celui de Lotfi - allait se poser à l’entrée d’un de mes trous et d’un coup brusque me le défoncer. J’adorais ce moment où je poussais un petit cri de douleur et où le monstre faisait son chemin en force dans un de mes tunnels. C’était toujours le moment où j’aimais titiller mon amant – et me titiller moi-même – par des paroles ordurières en arabe qui accroissaient notre excitation, déjà à son paroxysme, et nous faisaient pâmer de désir. Je voulais en faire de même avec mon nouvel amant.
- Déjà tu veux m’enculer ! Qui te dit que j’aime être enculée ?
- Rien ! Mais moi je veux t’enculer et je vais le faire ! Je vais te prendre comme une pute - une Qahba. Tu m’as tellement fait bander depuis le début de l’après-midi que je ne serais heureux que quand j’aurais défoncé ton gros cul ! Je ne veux même pas que tu te déshabilles. Tu abaisses ton pantalon et tu te mets à quatre pattes, le front posé sur le canapé. Et vite !
Le salaud s’avérait être une brute. Et ce n’était pas pour me déplaire. J’étais sûre que j’allais vivre un moment exceptionnel. Ce qui me paraissait bizarre, c’était mon manque total de curiosité : je ne voulais pas voir ce que faisait l’homme derrière moi ; ni même regarder son engin avant qu’il ne me pénètre. Je voulais tout simplement le sentir et deviner, au moment où il m’éclaterait l’anus, les proportions du monstre. J’étais dans une merveilleuse attente ! Je n’eus rien à faire, ni pour descendre mon pantalon et ma petite culotte sur mes chevilles, ni pour me mettre à quatre pattes ; il s’en chargea lui-même avec la même brutalité qu’il avait mise pour me parler. J’étais là les fesses en l’air, attendant le bon vouloir de mon nouveau maître. Je me faisais cette réflexion – qui accroissait encore plus mon désir – que j’étais devenue l’esclave de l’homme. Il me faisait faire tout ce qu’il voulait, sans même que je ne proteste. Et j’adorais ce nouveau sentiment !
J’attendais les évènements qui allaient suivre, le cœur battant et la bave dégoulinant de ma bouche. J’imaginais l’homme dégrafer sa ceinture et déboutonner son pantalon. J’entendis le bruit si particulier du zip de la braguette qui s’ouvrait et une seconde plus tard deux mains puissantes s’emparer de mes hanches pour les positionner au bon niveau. Je sentis son énorme main, s’emparer de ma vulve pour lui appliquer des frottements qui me firent tirer un tout petit gémissement de plaisir. Il se rendit compte que j’étais déjà complètement mouillée.
- Quahba ! (Espèce de pute !) Sou’etek m’chemkha! (ta chatte est déjà mouillée !)
Je ne répondis rien à cette attaque qui avait encore accru mon désir du zob qui allait me pénétrer d’un moment à l’autre. Je continuais d’attendre, le cœur battant, ce qui allait se passer. J’avais envie de me retourner pour voir. Mais je me l’interdisais ; l’attente était tellement délicieuse ! Je sentis les doigts qui frottaient ma vulve se déplacer vers le haut ; vers mon anus. J’avais déjà été enculée - même avant de connaître Lotfi et de l’épouser - par un petit ami qui n’avait pas droit à ma chatte, par peur du dépucelage – et j’avais fini par y prendre goût. Je n’avais donc pas peur de la sodomisation. Mais intuitivement, je savais que cette fois-ci cela allait être différent. D’abord parce que l’homme qui était aujourd’hui sur le point de me défoncer l’anus, allait le faire brutalement ; et puis je ne connaissais pas la taille de son zob ; je ne faisais que supputer qu’il devait être énorme.
Les doigts qui farfouillaient entre mes fesses étaient mouillés par le liquide qu’ils avaient ramassé à l’entrée de ma chatte. Je sentais que l’homme était entrain d’humidifier mon anus pour permettre une bonne pénétration. Les doigts firent encore plusieurs allers-retours entre ma chatte et mon anus pour y déposer le plus de mouille possible. Puis je sentis un doigt et puis deux pénétrer brusquement à l’intérieur de mon rectum, me procurant au passage une sensation de chaleur et de bien-être. Les doigts étaient gros et longs ; ils allèrent très loin dans le boyau, me faisant pâmer de plaisir. A chaque aller-retour des doigts, je poussais un petit gémissement rauque, que je sentais sortir du fin fond de mes poumons.
- T’habi sba’έa fi ga’έarek ! (Tu aimes être doigté comme cela !) T’habi ki yedkhoul hakdha ! (Tu aimes quand il te pénètre comme cela !) Ki irouh ou i weli fi ga’έarek! (quand il fait le va-et-vient dans ton cul !)
- N’hab ! N’hab ! Wach testena bach t’nik ni! (j’adore! J’adore! Qu’est-ce que tu attends pour me niquer!)
- Qahba ! Dhork en nikek ! (Espèce de pute, je vais te baiser !) Dhork en kessarlek ga’arek ! (Je vais bientôt de défoncer le cul !) Dhork etthassi zeb s’hih fi ga’arek! (Tu vas bientôt ressentir un vrai zob dans ton cul !)
Tout en m’insultant ainsi, il élargissait l’entrée de mon cul avec ses deux doigts. Je les sentais qui glissaient facilement dans mon rectum. Je me disais qu’en fin de compte, il ne me fera pas mal en me pénétrant avec son manche. J’en étais un peu déçue. Je voulais sentir la force d’un sexe dans mon anus. Je voulais avoir mal pour pouvoir ensuite sentir la douceur et la chaleur des va-et-vient qui suivront, quand la douleur se sera calmée ! Mais même comme cela j’attendais ! J’attendais de sentir le gland posé sur l’anneau, temporiser une fraction de seconde et puis pénétrer brutalement dans le boyau. Et je sentis effectivement la tête du gland de mon amant se poser à l’entrée de mon cul. Elle était en même temps douce et dure. Je sentais qu’elle avait du mal à se positionner tant elle semblait énorme. Et puis je sentis mon cul exploser ! Je poussais un cri inhumain.
- Aiiiiieeee ! wadja’έatni ! Wach d’khel fi ga’έari ! (Tu m’as fait mal ! Qu’est-ce tu m’as mis à l’intérieur de mon cul !) Mouhal i koun zeb ! (impossible que ça soit un zob !) Bezzaf kchin ou touil! (Il est trop gros et trop long !)
- Ĥadhak ĥoua zebi ! Zeb li yekessar el bibane emsakrine (C’est cela mon zob ! Un zob qui défonce les portes fermées !) Tehassilou mlih ? (Tu le sens bien ?)
- En’hesslou ki el sefoud ! (Je le sens comme un tison incandescent !) Ĥa’ou yehraq fiya ! (il me brule !) Kemel ĥakdhak ! (Continue comme cela !) Mlih ! (C’est bon !) Zid ! Zid ! Zid li ! (Encore ! Encore ! Continue !) N’heb zebek ! Enmout a’ala zebek ! (J’aime ton zob ! J’adore ton zob !) Ma tahbesch ! (N’arrête pas !) ‘έamar li ga’έari ! (Remplis moi le cul !) Rani enhas raĥi djaïa ! (Je sens que je vais jouir !)
- T’hebi ki en nikek mel lour ! (Tu aimes que je te baise par derrière !) Gouli li n’heb zebek ! (dis-moi que tu aimes mon zob !)
- N’heb zebek ! N’heb zebek ! N’heb zebek ! N’heb zeb……….. !
Je n’eus pas le loisir de continuer ma phrase. J’eus un immense orgasme. Le plus fort orgasme que j’ai eu grâce à une sodomisation, depuis que je me rappelle. Je sentais ma chatte qui coulait comme une fontaine et j’eus un râle de plaisir qui dura tellement longtemps que je me sentis défaillir. Je sentais que je ne contrôlais plus rien ; ma tête partait dans tous les sens ; de ma bouche sortait des litres de bave, qui allaient s’étaler sur le carrelage du salon ; ma respiration était tellement rapide que je sentais que j’allais mourir étouffée. Mais mon Dieu que le plaisir était intense ! Je sentis ma jouissance partir du centre de mon rectum, aller dans mon bas ventre, pénétrer dans mon vagin, aller titiller mon clitoris, puis se répandre sur tout mon corps, en suivant le chemin de ma colonne vertébrale.
C’était tellement bon ! Je suivais le cheminement de l’orgasme en me disant que j’allais mourir de plaisir ! Je voulais vraiment mourir de plaisir ! Cela aurait été la plus belle des morts! Et pendant tout ce temps, mon merveilleux amant continuait son œuvre de démolition de mon cul. Il ahanait comme un bucheron qui tentait d’abattre un arbre. Lui ce n’était pas à un arbre qu’il s’attaquait, mais à mon cul. Maintenant, il hurlait – en arabe – que je n’allais plus pouvoir m’assoir sur mes fesses pendant longtemps. Qu’il était fier de lui ! Fier de l’œuvre de démolition de sa hache ! Qu’il aimait les culs comme le mien ! Aussi accueillants ! Aussi chauds ! Aussi doux ! Qu’il aimait mes fesses !
- Enmout alla tramek ! (J’adore tes fesses !) Mazal ennikek melour ! (Je vais encore te baiser par derrière !) Zebi y heb i nik ensa men ga’έarhoum ! (Mon zob aime baiser les femmes par leur anus !) En hass bli djaïa ! Rahi djaïa ! (Je sens que je vais jouir ! Je vais jouir !)
Et je sentis mon bel amant soudain se raidir, enfoncer ses ongles profondément dans la chair de mes hanches, arrêter sa respiration et exploser dans mon cul, en poussant un hurlement de dément et en propulsant avec une force inouïe un premier jet de sperme brulant et épais que je sentis ressortir comme pompé par l’immense engin qui allait et venait dans mon boyau, se répandre sur le carrelage, en suivant la rainure de mes grandes lèvres. AEK continua encore un moment les va-et-vient furieux de sa splendide queue, éjacula encore trois ou quatre fois, puis s’affala, exténué, sur mon dos.
Il resta comme cela un long moment, son zob encore vigoureux, toujours planté dans mon anus ; il reprenait lentement sa respiration. Au bout de quelques minutes, pendant lesquelles moi aussi j’avais repris tout mon souffle, il sortit son engin d’entre mes fesses, s’assit par terre et me fit me retourner pour admirer le spectacle. AEK était assis sur le carrelage, cul nu, le pantalon et le slip abaissés sur ses chevilles et le zob encore dégoulinant de sperme et enduit d’un liquide de couleur brunâtre, brandi vers le plafond comme un sabre. C’était la première fois que je voyais un tel engin. Même dans les films pornographiques que nous visionnons parfois, Lotfi et moi, j’avais rarement vu une queue aussi grande et aussi belle. Elle était vraiment immense – trente-cinq centimètres minimum avec une circonférence qu’une seule main ne peut pas entourer. Et en plus elle était vraiment belle : toute lisse et brillante, sans une seule trace de poils, y compris sur son pubis. Et elle était surmontée d’un gland en forme de champignon, avec une base très large, mais se terminant en pointe.
Je tendis la main pour toucher le superbe engin et en tâter la fermeté ; il était très doux –malgré la viscosité des restes de la sodomisation – et très dur. Du marbre, pensai-je ! Il se laissa faire en me regardant avec des yeux de prédateur non encore rassasié.
- Je veux maintenant que tu te déshabille ! J’ai envie de te regarder toute nue et me rincer les yeux avec ton corps. J’aurais dû le faire avant même de t’entreprendre tout à l’heure, mais j’étais tellement excité que je n’avais pu me retenir. J’espère que tu ne m’en veux pas trop. Je crois que tu as autant joui que moi ! Ce n’est qu’un début ! Tu vois comme il a encore envie ! Allez enlève-moi tous ces habits !
Je me levais pour lui obéir, quand je vis Lotfi, assis dans un fauteuil à côté, nous regardant avec des yeux brillants de mille feux. Je l’avais – nous l’avions – totalement oublié. Il avait lui aussi sorti son zob – il était moins impressionnant que celui d’AEK, mais il était lui aussi très beau et très bien entretenu – et était entrain de le caresser. Il se caressait doucement ; il ne se masturbait pas. C’était comme s’il ne faisait qu’entretenir une érection qu’il voulait garder à son maximum. Il ne cherchait pas à jouir en se branlant. Il semblait se contenter de bander comme cela au maximum, en attendant je ne sais quoi. J’allais l’interpeller, mais je m’arrêtais net en voyant le signe qu’il me fit de ne pas m’occuper de lui et de continuer ma partie de plaisir avec AEK. Je ne fis pas prier. Rapidement j’enlevais tous mes habits et me retrouvais complètement nue devant les yeux écarquillés de mon amant.
- Tu es vraiment splendide ! Lotfi a vraiment une chance de cocu (sans jeu de mots) ! Tu étais très belle dans les photos que j’ai regardées tantôt, mais en vrai, tu l’es encore plus ! Tu es magnifique ! Viens me déshabiller ! Je veux que cela soit toi qui t’occupe de m’enlever mes habits. Commence par mes chaussures !
Et ce fut comme cela que je me mis à enlever les habits de mon amant, en faisant en sorte qu’il ne se lève pas pour ne pas tomber nez à nez avec Lotfi. Je commençais par les souliers que je délaçais et enlevais l’un après l’autre ; je les posais précautionneusement par terre, sur le côté du canapé. Je lui enlevais ensuite les socquettes noires en coton, que je mis chacune dans sa chaussure d’origine. Puis je passais à son pantalon et son slip que j’enlevais facilement, puisqu’ils étaient déjà sur ses chevilles. Je pliais soigneusement le pantalon que je posais sur le canapé puis entrepris de lui enlever la veste, puis le chemise que je pliais aussi et posais sur le canapé. Il ne restait plus que le maillot de corps que j’enlevais en un tour de main pour le déposer sur le canapé à côté des autres habits.
Pendant que je m’efforçais de le déshabiller, AEK continuait de bander comme un bouc qui avait senti la présence d’une chèvre en chaleur. Et j’étais cette chèvre là. Pour le déshabiller j’avais dû me frotter à lui et la chaleur et la douceur de ma peau – et de mes mains qui le caressaient au passage – avait exaspéré son désir. Je voyais son magnifique zob qui tressaillait à chacune de mes caresses et qui continuait de grossir à vue d’œil (comme si cela était encore possible !). Il attrapa ma main droite et la porta au niveau de son sexe pour qu’elle le caresse. Puis il se ravisa.
- Suce-le ! me dit-il d’un ton qui n’admettait pas de réplique.
Je venais de remarquer que quand AEK était tiraillé par le désir, il devenait brutal. Sa voix perdait de sa douceur naturelle et devenait aussi dure que celle d’un adjudant qui s’adressait à des troufions. Et moi j’adorais ! Je voulais un homme, un vrai ! Et AEK, tout jeune qu’il fût, était un homme, un vrai ! Je n’avais pourtant pas envie de sucer le beau sexe de mon homme ; il sortait de mon cul et était encore plein de mes sécrétions anales. Mais au ton de sa voix, je savais que je devais obéir. Qu’il n’admettrait pas que je rouspétasse.
Je lui demandais donc de se mettre à genoux face à moi (tournant le dos à Lotfi, que moi je continuais de voir entrain de se caresser la queue, en nous regardant, les yeux toujours aussi brillants de désir) et de me tendre son sabre pour que je le nettoie avec ma bouche pour ensuite lui faire une fellation du tonnerre. Il accueillit ma proposition avec un sourire de carnassier.
- Tu es vraiment à la hauteur ! Lotfi ne m’a pas menti quand il me disait que tu étais née pour faire l’amour et pour rendre tes hommes fous de bonheur ! Je vais te baiser par la bouche ! (en nikek men foumek !)
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5 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Kamila,
J'ai lu avec intérêt votre récit charnel concernant les scènes d'amour avec votre
jeune amant.
En présence de ma femme, je ne pourrais pas avoir une relation chzarnelle averc une
autre femme, cela me déstabiliserais mais j'ai pu consatter que vous aimez les
plaisirs du corps quelle chance qu'il a votre époux, moi sur ce coté charnel, je n'ai
pas de chance je suis avec une femme qui hait l'amour et moi je suis tout le contraire
j'aime désirer charnellement une femme plusieurs fois par jours pour lui faire
comprendre que j'aime son corps et que je ne pense qu'à elle.
En attente de vous lire, cordialement georges
J'ai lu avec intérêt votre récit charnel concernant les scènes d'amour avec votre
jeune amant.
En présence de ma femme, je ne pourrais pas avoir une relation chzarnelle averc une
autre femme, cela me déstabiliserais mais j'ai pu consatter que vous aimez les
plaisirs du corps quelle chance qu'il a votre époux, moi sur ce coté charnel, je n'ai
pas de chance je suis avec une femme qui hait l'amour et moi je suis tout le contraire
j'aime désirer charnellement une femme plusieurs fois par jours pour lui faire
comprendre que j'aime son corps et que je ne pense qu'à elle.
En attente de vous lire, cordialement georges
Je suis impatient de lire la suite de cette histoire. Je découvre pour la première fois
cette oeuvre. Que cela fait du bien (sans jeu de mots) de lire une histoire qui est bien
rédigée, où le suspens est maintenu, sans tabou et où l'auteur semble quelqu'un de tout
à fait "normal". Merci encore
cette oeuvre. Que cela fait du bien (sans jeu de mots) de lire une histoire qui est bien
rédigée, où le suspens est maintenu, sans tabou et où l'auteur semble quelqu'un de tout
à fait "normal". Merci encore
j'aimerai bien participer avec une femme mure je suis partant!! trop bandant!!!
merci beaucoup tres belles histoire et bonne continuation
Magnifique merci