Karen à la boum de sa fille

- Par l'auteur HDS Tyroler frantz -
Auteur couple.
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Récit libertin : Karen à la boum de sa fille Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-03-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Karen à la boum de sa fille
Karen invitée à la "surboum" de sa fille,
Je revenais d’Espagne ou j’avais livré ma semi remorque de moteur de voitures en provenance de Turquie. Karen et moi avions passés un week-end en amoureux très agréable et je devais repartir pour Marseille ou je rechargeais pour la Grèce et de là j’irais à nouveau en Turquie pour recharger des moteurs. La fille ainée de Karen, Martine, allait fêter ces 21 ans dans quelques jours et elle avait invité Karen à une "surboum" comme l’appelait les jeunes. Elle n’avait accepté l’invitation que parce qu’un des pères d’une de ses amies amènerait sa fille à la fameuse "boum". Karem m’avait prévenue que ce père en question, lui, était particulièrement intéressant. Bel homme, très souriant et surtout, très intéressé par son 105 C et ses fesses. Donc il devenait par la même occasion un but pour ma femme. C’était un père qui accompagnait toujours sa fille dans les boites de nuit et dans les surboums pour surveiller sa jeune chérie, même si celle-ci se trouvait ridiculisée par ce poids de surveillance. Mais j’étais persuadé que Karen arriverait à le distraire de cette surveillance. Je partais donc le dimanche soir, assuré que Karen passerait une bonne soirée à la surboum de sa fille, surement en compagnie de sa proie.
Je n’ais eu le rapport de cette soirée qu’au retour de ma mission. Voici donc ce rapport:
« Jacques et Michèle sont arrivés et elle est tout de suite allée rejoindre ses copines. Jacques, lui, est venu me présenter ses hommages, et comme il me demandait à qu’elle heure devait il revenir la rechercher je l’invitais à l’attendre en ma compagnie. Même s’il a hésité un petit moment, mon décolleté et ma mini jupe l’ont dissuadés de partir et de préférer accepter mon invitation. Pour cela, nous sommes entrés dans notre salon ou j’avais prévu du Champagne et quelques friandises. Je me suis assise dans le fauteuil en face le sien. Je savais que ma poitrine sans soutien gorge sous le chemisier devait attirer son attention ainsi que mon entre jambes sans culotte. Bien sûr, je m’étais assurée que tous mes atouts seraient très rapidement observés, et ce fut le cas. Je venais de "ferrer" le poisson. Maintenant j’était assurée que j’allais passer une bonne soirée. Je me levais et je savais qu’en me penchant pour poser les flutes de champagne, je lui ai offert une vue profonde dans mon décolleté. Par expérience je savais qu’il pouvait non seulement calibrer la rondeur de mes seins, observer mes tétons qui reflétaient mon degrés d’excitation, mais aussi, sans aller plus bas s’assurer du non port de culotte. Je continuais mon exhibition en remplissant les flutes de Champagne et pour prolonger son observation, je prenais bien soin de ne pas faire déborder le flutes. Reposant délicatement la bouteille dans le seau à glace, j’entamais une discussion à ne rien dire mais j’ai pu constater le niveau d’observation à la rougeur de ses joues et la brillance de ses yeux qui ont eu du mal à se détacher de mon décolleté baillant totalement. Jacques était plus que ferré, il était maintenant à ma merci. Je savais que, dans la surboum, les slows serviraient aux rapprochement des futurs jeunes couples de la soirée. Mais j’ai du attendre le troisième slow pour qu’il se décide enfin à m’inviter. Pour faire accélérer les choses, je n’ai pas attendu qu’il me serre dans ses bras, je me suis carrément collée à lui dès le départ. Même si je m’efforçais de tempérer la discussion avec des termes banals, je me décollais de lui afin de lui faire sentir mes seins ballotant qui balayaient sa poitrine, Jusqu’au moment ou nos visages se sont retrouvés face à face et que je me suis serrée contre lui. Bien sûr l’immanquable est arrivé, c’est même lui qui n’a pas résisté en collant ses lèvres aux miennes. Nous avons passionnément échangés ce baiser, ses mains sont arrivées le long de mes hanches puis ont finies sur le bord de mes fesses. J’ai fait de même sur les siennes. Nous venions de nous déclarer nos envies, sans savoir jusqu’ou nous avions l’intention d’aller. Moi je savais mais il fallait que je lui donne l’assurance sans ambiguïté de mon envie à moi. Tant pis si je passais pour une salope, j’en était une, alors...j’ai pris une de ses mains et l’ai posée sur un sein. Je l’ai senti le caresser et chatouiller le téton. Très réactif celui-ci, comme son frère, s’est dressé cherchant à transpercer mon petit chemisier. Il a penché la tête et "bisoutant" mon sein droit, a sauté sur le sein gauche qui l’a accueilli avec le téton fièrement dressé. Il s’est alors écarté de moi, et m’a regardé, les yeux brillants:
«Tu as des seins fabuleux, gros, fermes et tes tétons qui appellent à la caresse.
- Oui, ils avaient tellement envie de se faire remarquer, caresser, téter. Je sais que c’est une folie, mais tant pis, viens! Allons dans la chambre. Ici, un nos gosses risque d’entrer. Alors que dans la chambre, on pourra fermer la porte à clés.
- Effectivement, comme tu dis, c’est une folie. Mais vraiment il m’est impossible de refuser. Il y a longtemps que je t‘ai remarqué. Il y a donc longtemps que je suis amoureux. Je n’accompagne pas ma fille à toutes ses sorties mais lorsqu’elle m’a dit qu’elle était invitée chez Martine donc chez toi, je n’ai pas hésité. J’espérais tellement te voir, discuter avec toi et te faire une petite cour, même sans espoir. Et voilà que tu me laisse caresser ta splendide poitrine, et maintenant tu m’invites dans ta chambre, je suis l’homme le plus heureux de la terre. »
Et c’est comme ça que je l’ai amené dans la chambre. Il me tenait par la taille. Il continuait a regarder dans mon décolleté, il m’embrassait. Il avait la mine réjouie d’un homme fier de sa conquête, alors que c’était moi qui l’avait conquis. A peine arrivés dans la chambre, il m’a laissé fermer la serrure, et il m’a prise dans ses bras pour me rouler LA pelle d’enfer de l’amoureux transit, mais je dois avouer très agréable. Pour ne pas perdre de temps, il m’a ôté le chemisier ainsi que ma mini-jupette. Je me retrouvais donc entièrement nue devant ma conquête. Pour reprendre l’initiative j’ouvrais la ceinture de son pantalon et le faisais tomber à ses pieds. Son slip en porte drapeau montrait une très belle érection:
«- houaiaiai, c’est moi qui te mets dans cet état.
- Tu n’as pas conscience à quel point j’avais envie de te serrer dans mes bras, de te déshabiller, te caresser et te faire l’amour. Tu es d’une beauté qui ne peux que mettre tous les hommes à genoux devant toi. Je me suis souvent entiché de belles femmes. Mais pour toi, ce n’est pas pareil. Que de te voir, tu devenais mon seul centre d’intérêt, tu restais, même la nuit dans mes pensées, le seul motif de rêverie et de fantasme. Je n’oserai jamais te raconter tout ce que tu m’as autorisé à te faire ou que je me suis autorisé à te faire. Avec toi, j’ai réinventé toutes les positions du cama soutra. Le matin j’étais épuisé de t’avoir fait l’amour sans arrêt, sans poses, sans repos ni sommeil. Et aujourd’hui, je viens de te déshabiller et tu es en train de faire pareil pour moi. Non, je suis sûr que tu ne te rends pas compte.
- Ok, c’est très flatteur, je ne m’en étais jamais rendu compte. Pourtant tu me plaisais bien, tu aurais pu essayer plus tôt. Je ne t’aurais certainement pas refoulé. D’ailleurs regarde aujourd’hui, lorsque tu m’as demandé à quelle heure devais tu revenir je t’ai invité à rester, non sans arrière pensées. Par contre ça ne veux pas dire que je te prends définitivement comme amant. On profite de cette soirée et on arrêtera peut être là. On verra pour la suite. Mais pour le moment, se serait dommage de s’arrêter. On continu? Je veux profiter de nos envies sans attendre. Surtout après ce que je viens de constater.
Elle l’a amené directement au lit, l’a fait s’allonger et s’est occupée de sa queue en très forte érection. Après quelques coups de langues elle le prit totalement en bouche. Elle regardait fixement son amant. Elle voulait voir ses réactions. Visiblement ses réactions étaient bonnes, même si Jacques était toujours dans la surprise d’avoir si rapidement réalisé son fantasme. Il n’y a que deux heures qu’il est arrivé pour amener sa fille et voilà qu’il se trouvait dans la chambre de son fantasme et qu’il se faisait faire une pipe par cette salope. Dans quelques instants, il faudrait penser à aller surveiller les enfants au cas ou une des filles veuille repartir. Mais, il voudrait bien réaliser le fantasme en totalité, même si la sodomie serait, peut être refusée, pour cette première et étonnante soirée. Alors qu’elle retirait la queue de sa bouche, Karen a préféré se rhabiller pour surveiller les boumeurs. Nous sommes revenus au salon juste au moment ou Michèle venait nous prévenir que toute la bande avait décidé d’aller en boite. Jacques lui a demandé si ils avaient besoin d’une voiture et à la réponse négative il lui a donné l’autorisation de 1 h du matin ou il reviendrait la chercher et l’attendrait devant la porte avec Karen. Nous les avons regarder partir. A peine avaient elles tournées au coin de la rue que nous sommes rentrés (précipitamment) sans dire un mot. Jacques a prit Karen par la taille et l’a suivie dans la chambre. Visiblement, Jacques voulait développer toutes ses envies et les mettre en pratique. Il voulait tout. Mes seins, ma chatte, mon cul, mes mains, ma bouche. Et de mon côté, je voulais tout lui donner. Il voulait mes nichons? Alors je les lui offrais, il voulait me baiser ? J’accepterais. Il voulait que je le suces ? J’ai mis sa bitte au fond de ma gorge et je l’ai sucée jusqu’à ce qu’elle exprime sa joie, Il veut que je caresse sa bitte ? Je fais rouler ses couilles dans ma main et avec douceur, il va vouloir m’enculer ? Je l’aiderais à s’enfoncer dans mes entrailles. Il veut me voir à poils? Je m’arrangerais pour lui faire face en permanence. Il pourra caresser mes nichons à tous moment, me mettre le doigt dans mon petit fripé tant qu’il voudra. J’en profiterais pour chatouiller sa prostate, je lui plaquerais ma chatte sur sa bouche. Il pourra me cunnilinguer autant qu’il le désirera, je déverserais mon plaisir sur sa langue. Il pourra me "goûter" me sentir, me faire jouir et jouir à son tour. Nos peaux sont visiblement TRES compatibles. Il a envie de moi, j’ai terriblement envie de lui, de sa bitte, de son sperme que j’étalerais sur mes nichons, sur mon ventre, sur mes fesses, sur les paumes des deux mains, sur le coin de mes lèvres, sur ma langue, dans ma bouche, et même dans mon ventre. Je le ferais jouir autant de fois qu’il le voudra, qu’il le pourra. Je te raconte cela et j’ai encore l(impression de l’avoir dans la bouche, dans la chatte en train de me ramoner ou dans le cul en train de me fouiller. J’ai son odeur dans le nez, le goût de son plaisir sur le bout de la langue. J’ai même la sensation de ses mains sur mes nichons et sur mes fesses. C’est un véritablement un régal. Et même si je suis sûre de ne pas être amoureuse de lui, je dois avouer que sexuellement il m’a faite vibrer comme rarement. Il sait comment baiser et donner le plaisir. A part Amédé et Philippe, j’ai vraiment découvert l’amant idéal. Je vais me le garder quelques temps. J’aimerais même essayer un trio avec lui et Amédé. Lorsqu’il m’a sodomisée, j’ai pris mon pied dès le début jusqu’à ce qu’il se retire, c’était vraiment exceptionnel. D’ailleurs, à ma demande il m’a reprise une seconde fois dans le cul et ça été à nouveau un régal. En plus, je pense qu’il est particulièrement performant. Je voudrais bien renouveler au plus vite. Je vais lui proposer le trio, avec toi pour commencer et après, on verra pour Amédé ou Philippe.

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