Karen au mariage de Chantal
Récit érotique écrit par Tyroler frantz [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-05-2024 dans la catégorie Plus on est
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Karen au mariage de Chantal
Karen et moi étions invités au mariage de Chantal,
Chantal était une amie de longue date, mais ses parents avaient déménagés. Elle habitait maintenant dans un studio et faisait ses études à Angoulème. Nous sommes allés lui rendre visite et nous avons fait la connaissance de son petit copain, André, un métis d’un père sénégalais, Georges, marié avec Josette, une belle blonde. André était très raciste. Mais, chose amusante, comme son père, il était raciste contre les blacks. Six mois après, Chantal nous apprenait qu’elle attendait un enfant et qu’elle nous invitait pour son mariage pour le week-end du 14 juillet. Nous voilà donc dans un petit village à côté d’Angoulème. La fête du mariage devait se dérouler chez les parents d’André ou il y aurait toute la nombreuse famille autant de Josette que Georges. C’est donc ce qui à fait que nous nous sommes installés dans un hangar car le père de Chantal était vigneron et avait une vaste propriété au milieu des vignes.
Connaissant trop bien l’attrait que Karen avait pour les blacks, je n’ai pas été surpris de la vitesse pour laquelle elle avait lié d’amitié avec les frères et cousins de Georges. J’étais assuré que Karen se trouverait bien un amant parmi ses admirateurs. Etant AT 100%, je n’assistais à l’office que du fond de la chapelle. Je me suis aperçu très vite que Karen était constamment entourée de trois gaillards qui ne voulaient pas garder que de l’amitié avec mon épouse. C’est après le repas que je me suis aperçu de l’absence, non seulement de Karen, mais des trois gaillards. Les gens s’amusaient, riaient, buvaient alors j’ai décidé de chercher mon épouse, certainement en train d’apaiser ses envies sexuelles. Après cinq minutes de recherches je décidais de chercher plutôt dans les endroits, en principe non visitables. Et c’est ainsi que j’allais en direction des chais. J’ai ouvert la grande porte en bois. Ne voyant personne, j’allais faire demi tour lorsque j’ai entendu un gars dire:
« -Vas-y, c’est ton tour. Elle est super, je t’assure.
Et j’ai entendu la voix de Karen:
-Oui, viens, toi aussi, viens mon chéri. Je vous veux tous les trois. Ail, attends, non, pas dans l’cul, nooonnn. Non, arrêtes, ressorts ça fait trop mal.»
Alors je m’avançais doucement en direction des gémissements et de grognements. Et là, tout à coup, entre deux tonneaux, j’ai vu. Karen était nue, couchée sur une sorte d’estrade, sur un matelas, entourée de ses trois lascars et d’André, sans chemises sans pantalons, les bittes en porte drapeau et qui visiblement attendaient leur tour. Son ventre était déjà luisant des plaisirs dejà éjaculés, ses jambes sur les épaules de celui qui la prenait, ses mains forçant sur les cuisses tous muscles tendus imprimant des va et viens rapides pendant que le chéri concerné commençait la visite buccale de ma femme. Les deux autres caressaient les nichons tout aussi luisant que le ventre. Elle avait du sperme sur les joues, dans les cheveux, je l’entendais pomper comme elle le fait pour toutes ses fameuses "royales“. Je pouvais être au moins sûr d’une chose: elle était largement consentante. Elle avait le même comportement que lorsque elle participait à un gang bang blacks. Le sucé c’est provisoirement retiré pour laisser un autre le remplacer; Comme dans toute tournante, chacun prenait la place de l’autre pendant que le 4 ème restait calme tout en restant en érection. Les yeux de Karen, ont un quart de seconde croisés les miens. Elle a compris que j’étais là. Alors elle a continué de gémir, de les insulter, de les provoquer, d’employer des mots très crus, vulgairement crus, elle allait jusqu’à se traiter de putain. Elle demandé de lui chercher un jeune pour l’enculer, un jeune blanc surtout. Un des gars est partis et 10 minutes plus tard il revenait avec un adolescent d’une 15aine d’années.
« -Tiens, vas-y c’est pour cette salope, elle veux une bitte dans le cul pendant que mon frère la baise. Vas-y, n’ai pas peur c’est elle qui le demande. Tu vois, je ne t’ai pas raconté d’histoire.
- Oui, c’est vrai, viens mon poulet prends moi derrière. Regarde, avec leurs queues ils vont me déchirer, je préfère un jeune gars comme toi. Tiens prends du lubrifiant, fais tout de même doucement. Avec lui devant, il ne reste pas beaucoup de place. Alors fais doucement. »
Le jeune gars c’est avancé, tout content de l’aubaine. Il a versé du lubrifiant sur le trou de balle de ma femme et après l’avoir bien étalé, il a positionné sa queue devant le fripé tout luisant et a poussé. Karen a poussé un petit cri de surprise.
« -Oui, vas-y, mon poulet. Pousse, vas-y, encore, vas-y, pousse pousse. Oui comme ça oui vas-y ça rentre. Oh bon sang que c’est bon mes chéris. Ca fait déjà deux fois aujourd’hui, bon sang que j’aime ça. Bon sang que c’est bon d’être une salope. De toute façon, vous y êtes tous passés, il n’y en a plus après! Alors les deux derniers donnez moi tout. Faites moi monter au ciel. »
Ils l’ont besogné plus de dix minutes, Karen bougonnait la bouche toujours pleine. Le gars lui avait enfoncé sa queue au plus profond de la gorge. Les bruits de succions résonnaient dans le chai comme des échos. Puis le petit jeune est parti en premier mais Karen le suppliait de rester. Et le baiseur la ramonait de plus belle. Il y en a un qui lui caressait la poitrine qui lui a demandé:
« - Tu reste là ce soir? Parce que je fais venir des copains et on remet ça toute la nuit. On en trouve pas souvent des salopes comme toi.
Karen se rhabillait après s’être rincée de tout le plaisir dégoulinant de ses seins, de sa bouche, dans ses cheveux. Elle a demandé au petit jeune si ça lui avait plu et de lui nettoyer les reins et les fesses.
- Non, mon mari veut repartir. On habites loin. Il faut qu’on reparte. C’est dommage. Mais de toute façon, là, je suis fatiguée. Vous étiez quatre quand même. Vous m’avez prise deux fois chacun, et avec les deux doubles, je n’en peux plus. Surtout que même André, lui aussi m’a prise deux fois, comme vous. Alors dix fois plus deux doubles, excusez moi mais mon cul réclame du repos. C’est dommage pour toi mon poulet, tu ne m’as eu qu’une fois. A moi aussi ça m’a plus, tu as été excellent, je t’ai bien senti. »
Tout le monde c’est remit sur son 31 et ont rejoint la fête. Arrivée à la porte, Karen s’est arrêtée et est venue me rejoindre:
« -Pourquoi tu ne m’as pas prévenue. Je suis arrivé c’était déjà à moitié fini,
- je croyais que tu m’avais vu partir avec eux. Je n’allais pas crier: attends je vais baiser et je reviens!
-Bon ce n’est pas grave, j’en ai vu une bonne partie. Tu as eu ce que tu voulais?
-Oh oui! Et même plus. Mais au départ, c’est André qui m’a amenée là. Et je peux dire qu’il est vraiment
bien monté lui aussi. Et lorsqu’il est parti il m’a dit: attends, je t’envois mes cousins. Tu te rends compte, j’ai fais ma copine cocue le jour de ses noces. Je suis vraiment une salope.
-Bon hé! Elle te connait, elle savait très bien que tu allais t’en trouver un ou deux.
- Oui elle me l’avait dit au départ. Tu as tout ce que tu aimes là.
Mais de là a baiser avec son mari tout de même.
Lorsque nous sommes revenus à la fête, Karen est venue me voir et m’a demandé de partir. Ses parents ont su pour ce qui c’est passé. Le petit poulet, c’était le petit neveu.
Chantal et Karen ne se sont revus qu’une fois. Elle n’avait pas su pour Karen et lui. Elle avait divorcée d’André, trop cavaleur!
Chantal était une amie de longue date, mais ses parents avaient déménagés. Elle habitait maintenant dans un studio et faisait ses études à Angoulème. Nous sommes allés lui rendre visite et nous avons fait la connaissance de son petit copain, André, un métis d’un père sénégalais, Georges, marié avec Josette, une belle blonde. André était très raciste. Mais, chose amusante, comme son père, il était raciste contre les blacks. Six mois après, Chantal nous apprenait qu’elle attendait un enfant et qu’elle nous invitait pour son mariage pour le week-end du 14 juillet. Nous voilà donc dans un petit village à côté d’Angoulème. La fête du mariage devait se dérouler chez les parents d’André ou il y aurait toute la nombreuse famille autant de Josette que Georges. C’est donc ce qui à fait que nous nous sommes installés dans un hangar car le père de Chantal était vigneron et avait une vaste propriété au milieu des vignes.
Connaissant trop bien l’attrait que Karen avait pour les blacks, je n’ai pas été surpris de la vitesse pour laquelle elle avait lié d’amitié avec les frères et cousins de Georges. J’étais assuré que Karen se trouverait bien un amant parmi ses admirateurs. Etant AT 100%, je n’assistais à l’office que du fond de la chapelle. Je me suis aperçu très vite que Karen était constamment entourée de trois gaillards qui ne voulaient pas garder que de l’amitié avec mon épouse. C’est après le repas que je me suis aperçu de l’absence, non seulement de Karen, mais des trois gaillards. Les gens s’amusaient, riaient, buvaient alors j’ai décidé de chercher mon épouse, certainement en train d’apaiser ses envies sexuelles. Après cinq minutes de recherches je décidais de chercher plutôt dans les endroits, en principe non visitables. Et c’est ainsi que j’allais en direction des chais. J’ai ouvert la grande porte en bois. Ne voyant personne, j’allais faire demi tour lorsque j’ai entendu un gars dire:
« -Vas-y, c’est ton tour. Elle est super, je t’assure.
Et j’ai entendu la voix de Karen:
-Oui, viens, toi aussi, viens mon chéri. Je vous veux tous les trois. Ail, attends, non, pas dans l’cul, nooonnn. Non, arrêtes, ressorts ça fait trop mal.»
Alors je m’avançais doucement en direction des gémissements et de grognements. Et là, tout à coup, entre deux tonneaux, j’ai vu. Karen était nue, couchée sur une sorte d’estrade, sur un matelas, entourée de ses trois lascars et d’André, sans chemises sans pantalons, les bittes en porte drapeau et qui visiblement attendaient leur tour. Son ventre était déjà luisant des plaisirs dejà éjaculés, ses jambes sur les épaules de celui qui la prenait, ses mains forçant sur les cuisses tous muscles tendus imprimant des va et viens rapides pendant que le chéri concerné commençait la visite buccale de ma femme. Les deux autres caressaient les nichons tout aussi luisant que le ventre. Elle avait du sperme sur les joues, dans les cheveux, je l’entendais pomper comme elle le fait pour toutes ses fameuses "royales“. Je pouvais être au moins sûr d’une chose: elle était largement consentante. Elle avait le même comportement que lorsque elle participait à un gang bang blacks. Le sucé c’est provisoirement retiré pour laisser un autre le remplacer; Comme dans toute tournante, chacun prenait la place de l’autre pendant que le 4 ème restait calme tout en restant en érection. Les yeux de Karen, ont un quart de seconde croisés les miens. Elle a compris que j’étais là. Alors elle a continué de gémir, de les insulter, de les provoquer, d’employer des mots très crus, vulgairement crus, elle allait jusqu’à se traiter de putain. Elle demandé de lui chercher un jeune pour l’enculer, un jeune blanc surtout. Un des gars est partis et 10 minutes plus tard il revenait avec un adolescent d’une 15aine d’années.
« -Tiens, vas-y c’est pour cette salope, elle veux une bitte dans le cul pendant que mon frère la baise. Vas-y, n’ai pas peur c’est elle qui le demande. Tu vois, je ne t’ai pas raconté d’histoire.
- Oui, c’est vrai, viens mon poulet prends moi derrière. Regarde, avec leurs queues ils vont me déchirer, je préfère un jeune gars comme toi. Tiens prends du lubrifiant, fais tout de même doucement. Avec lui devant, il ne reste pas beaucoup de place. Alors fais doucement. »
Le jeune gars c’est avancé, tout content de l’aubaine. Il a versé du lubrifiant sur le trou de balle de ma femme et après l’avoir bien étalé, il a positionné sa queue devant le fripé tout luisant et a poussé. Karen a poussé un petit cri de surprise.
« -Oui, vas-y, mon poulet. Pousse, vas-y, encore, vas-y, pousse pousse. Oui comme ça oui vas-y ça rentre. Oh bon sang que c’est bon mes chéris. Ca fait déjà deux fois aujourd’hui, bon sang que j’aime ça. Bon sang que c’est bon d’être une salope. De toute façon, vous y êtes tous passés, il n’y en a plus après! Alors les deux derniers donnez moi tout. Faites moi monter au ciel. »
Ils l’ont besogné plus de dix minutes, Karen bougonnait la bouche toujours pleine. Le gars lui avait enfoncé sa queue au plus profond de la gorge. Les bruits de succions résonnaient dans le chai comme des échos. Puis le petit jeune est parti en premier mais Karen le suppliait de rester. Et le baiseur la ramonait de plus belle. Il y en a un qui lui caressait la poitrine qui lui a demandé:
« - Tu reste là ce soir? Parce que je fais venir des copains et on remet ça toute la nuit. On en trouve pas souvent des salopes comme toi.
Karen se rhabillait après s’être rincée de tout le plaisir dégoulinant de ses seins, de sa bouche, dans ses cheveux. Elle a demandé au petit jeune si ça lui avait plu et de lui nettoyer les reins et les fesses.
- Non, mon mari veut repartir. On habites loin. Il faut qu’on reparte. C’est dommage. Mais de toute façon, là, je suis fatiguée. Vous étiez quatre quand même. Vous m’avez prise deux fois chacun, et avec les deux doubles, je n’en peux plus. Surtout que même André, lui aussi m’a prise deux fois, comme vous. Alors dix fois plus deux doubles, excusez moi mais mon cul réclame du repos. C’est dommage pour toi mon poulet, tu ne m’as eu qu’une fois. A moi aussi ça m’a plus, tu as été excellent, je t’ai bien senti. »
Tout le monde c’est remit sur son 31 et ont rejoint la fête. Arrivée à la porte, Karen s’est arrêtée et est venue me rejoindre:
« -Pourquoi tu ne m’as pas prévenue. Je suis arrivé c’était déjà à moitié fini,
- je croyais que tu m’avais vu partir avec eux. Je n’allais pas crier: attends je vais baiser et je reviens!
-Bon ce n’est pas grave, j’en ai vu une bonne partie. Tu as eu ce que tu voulais?
-Oh oui! Et même plus. Mais au départ, c’est André qui m’a amenée là. Et je peux dire qu’il est vraiment
bien monté lui aussi. Et lorsqu’il est parti il m’a dit: attends, je t’envois mes cousins. Tu te rends compte, j’ai fais ma copine cocue le jour de ses noces. Je suis vraiment une salope.
-Bon hé! Elle te connait, elle savait très bien que tu allais t’en trouver un ou deux.
- Oui elle me l’avait dit au départ. Tu as tout ce que tu aimes là.
Mais de là a baiser avec son mari tout de même.
Lorsque nous sommes revenus à la fête, Karen est venue me voir et m’a demandé de partir. Ses parents ont su pour ce qui c’est passé. Le petit poulet, c’était le petit neveu.
Chantal et Karen ne se sont revus qu’une fois. Elle n’avait pas su pour Karen et lui. Elle avait divorcée d’André, trop cavaleur!
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