Karen dépuceleuse
Récit érotique écrit par Tyroler frantz [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-12-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Karen dépuceleuse
Karen devient "dépuceleuse",
Karen, ma deuxième épouse et moi parlions avec Chantal, sa copine d'enfance. Chantal avait un problème avec son fils, Bernard et de sa timidité qui était en fait un terrible handicap. Il avait un handicap physique qui lui donnait un complexe très fort et, de ce fait, il était d'une timidité qui le bloquait dans toute ses décisions. Et si cet handicap l'avait obligé à se réfugier dans une course pour avoir les meilleures notes dans ses études, il restait bloqué dans les livres. Chantal voyait bien que Bernard, son petit chéri, ne cherchait pas à flirter avec quelques copines prétextant qu'elle n'accepteraient de "sortir" que par pitié. . Donc, d'après Chantal, son fils adoré de 19 ans était toujours puceau, et il refusait même catégoriquement les propositions discrètes de son père qui voulait l'amener voir une prostituée. Pourtant Karen disait bien à Chantal que son fils était tout de même beau garçon et que son handicap n'avait rien de repoussant. Il était né avec une jambe légèrement plus courte que l'autre et cette différence le faisait légèrement boiter. Mais il était très intelligent et malgré tout beau garçon. Mais, pour ne rien arranger il refusait de faire du sport qui aurait pu lui donner un physique plus masculin. Comme je connaissais Karen, cette confidence n'était pas tombée dans l'oreille d'une sourde. Dès le soir venu, lorsque nous sommes rentrés chez nous, Karen, sans perdre de temps, m'a questionné :
« -que penses-tu de ce que nous a dit Chantal à propos de Bernard ? Elle sait pourtant qu'un jeune puceau ne m’a jamais désintéressé. Pourquoi me le demande t-elle pas directement ?
- Je penses qu'elle veut que ce soit toi qui prenne l'initiative. Pourquoi, ça t'intéresse ? Tu serais partante pour le dépuceler ? Surtout que elle croit qu’il est toujours puceau. Mais qui sait. Peut être qu’une fille à les même idées que toi. Tu accepterai de te le faire ?
-Pourquoi pas, il est mignon, intelligent et même s'il a ce défaut de jambes il reste tout de même beau garçon. En plus, ce n'est pas la 1ère fois que je le surprends en train de mâter dans mon décolleté. Qui sait, peut être que je l'intéresse un peu et qu'il aimerait bien essayer avec moi. Même si je n'y avais jamais pensé, maintenant, à y réfléchir ce serait peut être un bon coup. Mais si cela devait se faire il faut que je me préserve au cas ou il deviendrait un peu trop collant après. Je ne voudrais pas d'histoires avec Chantal ou Jacques. Je vais y penser et "étudier" la question. Qu'est ce que tu en penses, il vaudrait mieux que je la prévienne ?
-Je ne sais pas, c'est toi qui le vois. Si tu en as envie...pourquoi pas. La prévenir, tu la connais mieux que moi. C'est vrai que c'est drôle qu'elle te parle de lui pour des trucs aussi intimes, surtout te connaissant. Un jour, tu fais en sorte qu'il voit bien tes nichons mais aussi ton minou, tu verras bien son degrés intérêt pour toi. Et pour ça, je te fais entièrement confiance »
La soirée a été un peu chaude et le matin au réveil :
« - Oui, bon, sans le dire directement à Chantal, je vais d'abord lui poser quelques questions. Elle comprendra qu'il serait peut être possible que j’intervienne pour régler cette "infirmité"... »
Trois jours plus tard, Karen me prévenait que la décision était prise. Bernard, d'après Chantal, n'était pas du tout indifférent à ses atouts, surtout sa poitrine. Elle aussi l'avait surpris à zieuter dans son corsage et même qu'il se masturbait après un après midi en sa compagnie, mais il ne lui en avait jamais parlé. Chantal a compris pourquoi ces questions. Apparemment elle n'y était pas contre.
Comme par hasard, le dimanche midi suivant, nous étions invités à un pique-nique dans la clairière dans le bois à côté de chez eux. Une petite rivière traversait cette clairière et nous allions nous rafraîchir de temps en temps. Chantal savait très bien que Karen, comme elle, ferait les seins nus comme d'habitude. Pour cet après midi là, Karen avait mis un slip de maillot dit "ficelle"qui embellissait formidablement son fessier. Effectivement, de petite dimension, il moulait admirablement son minou et se cachait entre ses fesses avant le moulage. Elle était magnifique. Bien sûr, Bernard ne la quittait pas des yeux, je pourrais même dire qu'il la dévorait des yeux, au point qu'il n'avait pas osé sortir son short qui ne pouvait cacher une érection évidente. Même Chantal, un peu gênée, faisait des clin-d’œil à celle qui, peut être serait l'initiatrice de son fiston. Pour accélérer la provocation, elle à même invité Bernard à jouer "au badminton" sans avoir remit un soutien gorge sous prétexte qu'elle l'avait oublié. C'est donc les seins ballottant qu'elle c'était laisser battre par son adversaire dans tous ses états et lui a fait la bise de la perdante en l'entraînant se rafraîchir dans la rivière. C'était le piège. Car le slip de bain blanc, une fois mouillé était légèrement transparent et laissait deviner un minou orné de poils en ticket de métro. Elle s'est allongée sur sa serviette aux côtés de Bernard, tournée vers lui, les seins offerts aux regards insistant du vainqueur ainsi que son minou très bien moulé dans la culotte mouillée.Elle engageait la conversation avec lui, en plaisanteries et petites allusions coquines.
Soudain, Chantal et Bernard nous invitaient à rentrer chez eux pour regarder le match de rugby. J'y allais avec eux, laissant Karen et Bernard en pleine discussion. Karen invitait Bernard à une revanche au badminton. Bien sûr je devinait la suite et la récompense au gagnant(e). Le soir venu, rentrés à la maison, Karen s'est empressée de me raconter cette suite.
Dès que vous êtes partis, Bernard s'est empressé de vouloir jouer et d'après lui, pour que je puisse prendre ma revanche. En me levant, Bernard m'a fait remarquer que je m'étais taché la culotte avec la glace à la fraise, (qu’elle s’était faite sciemment). Alors comme la tache rouge se trouvait mal placée je feignais d'être gênée et trouvant que ce problème pouvait prêter à confusion, je lui demandais si cela le gênerait si je m'enlevais la culotte.
« -bof, tu es déjà seins nus alors un peu plus ou un peu moins, maintenant pourquoi pas.»
A peine avait il terminé la phrase que j'avais posé la culotte sur la chaise.
« -Au diable la pudeur, tu as déjà certainement vu une femme toute nue.
• belle comme toi, pas du tout. Mais, si ce ne sera qu'un plaisir supplémentaire, je suis sûr que tu fais ça pour me déstabiliser et gagner. Mais ta victoire me sera que plus agréable.
• D'accord mais il ne faudra pas le raconter.
Au troisième point gagné, je réclamais une entracte "boisson". Nous nous sommes assis sur l'herbe et nous nous sommes servis une bière fraîche.
« -tu vois j'étais sûr que c'était pour me déstabiliser. Maintenant tu as déjà 3 points.
-hé bien il faut, toi me déstabiliser aussi. Sors le short et même le slip, on sera à égalité.
Bernard a accepté mon idée mais je voyais bien qu'il était gêné. J'ai compris lorsqu'il a sorti le short. Son érection était une telle évidence qu'il m'a fallu le rassurer :
« - hé bien dis donc, c'est moi qui te fait un tel effet ? Ce n'est pas possible, j'ai 45 ans, je suis trop vieille pour te faire bander comme ça.
-Tu n'as pas l'air de te rendre compte comme tu es belle. Tu as une poitrine de rêve, des jambes fabuleuses, et je ne te parle même pas de tes fesses. Et non, je n'ai jamais vu une femme aussi "bandante" comme tu dis, que toi. J'en ai vu au lac, mais les seins étaient des gants de toilettes ou inexistant, en plus tu es jolie comme cœur et tu as une culotte de bain très suggestif, à faire rêver. Et il ne m'en fallait pas plus.
- C'est vrai que ma poitrine, comme mes fesses sont encore bien fermes même si je me sers de pommade. Mais faire bander un jeune de ton âge, c'est plutôt flatteur. Tiens, cette flatterie m'encourage, viens voir comme mes seins sont encore fermes.
Il est venu sans hésiter et a prit mes seins à pleines mains et les a malaxés plutôt que caressés. Je l'ai laissé faire surtout que je voyais son érection reprenait beaucoup de vigueur.
Alors je n'ai pas pu résister, j'ai entouré ce magnifique phallus et je l'ai caressé longuement. Bernard s'est penché et il m'a embrassé. J'ai accepté ce tendre baiser alors que je sentais une main quitter un sein et descendre caressant le ventre et arriver un mon minou qui n'attendait que ça. J'écartais les cuisses et m'allongeais, m'abandonnant à ses envies. Et là, j'ai compris qu'il n'était nullement le puceau que Chantal m'avait vendu. Il était doux, caressant, tendre, amoureux. Il trouvait mon clito et s'en amusait avec méthode et grand savoir. Maintenant il me tétait les seins, ce que j'ai toujours adoré. Petit a petit sa langue a remplacé ses doigts et il ma préparée avec un cunni savamment pénétrant. J'avais récupéré sa queue en totale érection et nous nous sommes retrouvés en 69 pour des préliminaires fabuleux dignes d'un Don-Juan. Ma bouche était pleine de la queue d'un bien monté. Au bout d'un moment il s'est retiré en disant qu'il lui fallait garder des forces.
« -Depuis le temps que je fantasme sur toi, il n'est pas question que je te loupe. Il faut que je garde mon sang froid et si tu peux m'aider à le garder, ce serait formidable.
-Moi non plus je ne veux pas te louper. Je ne fantasmais peut être pas sur toi, mais maintenant je veux que cette expérience soit totalement réussie, autant pour toi que pour moi. Ce sera un merveilleux souvenir, un splendide souvenir.
Là, je l'ai senti se mettre en position pour me baiser, je l'a aidé. J'ai enfin senti sa queue se positionner en face mon minou. En quelques mouvement de sa queue il chatouillait mes grandes lèvres, puis il a commencé à entrer. Même si la pénétration n'était pas nette ni flagrante, je comprenais qu'il prenait son temps, il me faisait languir. Il me tardait mais je résistais à lui ordonner de me baiser. J'étais à lui, j'allais réaliser son fantasme, baiser cette salope copine de sa mère. Mais il voulait attendre, enregistrer tous ces moments dont il avait tant rêver. Puis lentement, très lentement, je l'ai senti appuyer, se faufiler dans mon vagin béant, ruisselant, attentif à toutes ses initiatives. Puis tout à coup, d'un coup, il m'a prise, il m'a donné le plaisir d'être baisée. C'était sauvage, mais comme j'appréciais cette merveilleuse sauvagerie. Et il a commencé, il entrait, il sortait replongeait, repartait me faisant attendre une replongée. Une autre sauvagerie m'a faite sursauté, je ne pouvais retenir mes gémissements et j'ai même bloqué ma bouche dans son cou pour hurler silencieusement. J'entendais ses grognements, graves, forts, longs. Son souffle était puissant. Il me couvrait de baisers et chapelait des mots tendres, d'amour, de jouissance. Je soufflais aussi fortement que lui mais j'étouffais mes jouissances, mes plaisirs. J'attendais sa jouissance, je voulais sentir lorsqu'il me remplirait de son plaisir. Mais il continuait, sortait entrait, il me défonçait littéralement. Je me suis faite souvent envahir ainsi, défoncée comme aujourd'hui, mais je voulais que ce soit ma plus belle jouissance. Je la sentais arriver, la chaleur m'envahissait, je me suis sentie vibrer, trembler et elle a éclatée juste au moment ou le fond de mon vagin se faisait noyer. Il a étouffé mon beuglement avec un baiser très appuyé. Je l'entendais jouir en même temps que mon cœur éclatait dans ma poitrine. Il continuait à caresser mes seins gonflés par le plaisir, pinçait mes tétons, ils bandaient tant et tant que mes aréoles avaient presque disparues. Nous avons continués à étouffer nos jouissances encore un bon moment avant d'atterrir. Nous sommes restés un long moment enlacés comme deux jeunes tourtereaux pour leur première découverte.
-oh ma chérie. Comme ça été bon, je n'ai jamais eu un tel plaisir.
• Pour moi aussi ça été formidable. Toutefois, je préférerais que ça ne reste qu'un trop bon moment. Mais il faudra le garder comme un souvenir, un merveilleux souvenir
• - Pourquoi, tu ne voudras pas continuer avec moi ?
• - Mais mon chéri, nous deux ce ne sera pas possible. Non il vaudra mieux en rester là. A la rigueur, de temps en temps, pourquoi pas. Je t'assure que j'ai beaucoup apprécié notre aventure, mais ce n'était qu'un écart. D'abord je suis mariée et puis j'aurais très vite moi aussi les seins en gant de toilette, je vais vieillir comme les autres. ».
Nous avons discutés un long moment et j'ai fini par lui faire accepter d'espacer nos rencontres par trimestre. J'ai assuré à ,Chantal qu'il était un amant particulièrement à mon goût, tendre, expérimenté, endurant et visiblement amoureux. Que je ferais attention de ne pas le rendre malheureux.
Notre liaison c'est renouvelée pendant deux trimestres et c'est Bernard lui même qui, par jalousie, a préféré arrêter ayant apprit notre mode de vie candaulistes, comme le fait que tu seras au courant de notre liaison. Mais il ne pouvait s'empêcher de me relancer de temps en temps ce qui a fait que nous nous sommes revus 6 ou 7 fois, chez nous lorsque tu étais sur la route.
Karen, ma deuxième épouse et moi parlions avec Chantal, sa copine d'enfance. Chantal avait un problème avec son fils, Bernard et de sa timidité qui était en fait un terrible handicap. Il avait un handicap physique qui lui donnait un complexe très fort et, de ce fait, il était d'une timidité qui le bloquait dans toute ses décisions. Et si cet handicap l'avait obligé à se réfugier dans une course pour avoir les meilleures notes dans ses études, il restait bloqué dans les livres. Chantal voyait bien que Bernard, son petit chéri, ne cherchait pas à flirter avec quelques copines prétextant qu'elle n'accepteraient de "sortir" que par pitié. . Donc, d'après Chantal, son fils adoré de 19 ans était toujours puceau, et il refusait même catégoriquement les propositions discrètes de son père qui voulait l'amener voir une prostituée. Pourtant Karen disait bien à Chantal que son fils était tout de même beau garçon et que son handicap n'avait rien de repoussant. Il était né avec une jambe légèrement plus courte que l'autre et cette différence le faisait légèrement boiter. Mais il était très intelligent et malgré tout beau garçon. Mais, pour ne rien arranger il refusait de faire du sport qui aurait pu lui donner un physique plus masculin. Comme je connaissais Karen, cette confidence n'était pas tombée dans l'oreille d'une sourde. Dès le soir venu, lorsque nous sommes rentrés chez nous, Karen, sans perdre de temps, m'a questionné :
« -que penses-tu de ce que nous a dit Chantal à propos de Bernard ? Elle sait pourtant qu'un jeune puceau ne m’a jamais désintéressé. Pourquoi me le demande t-elle pas directement ?
- Je penses qu'elle veut que ce soit toi qui prenne l'initiative. Pourquoi, ça t'intéresse ? Tu serais partante pour le dépuceler ? Surtout que elle croit qu’il est toujours puceau. Mais qui sait. Peut être qu’une fille à les même idées que toi. Tu accepterai de te le faire ?
-Pourquoi pas, il est mignon, intelligent et même s'il a ce défaut de jambes il reste tout de même beau garçon. En plus, ce n'est pas la 1ère fois que je le surprends en train de mâter dans mon décolleté. Qui sait, peut être que je l'intéresse un peu et qu'il aimerait bien essayer avec moi. Même si je n'y avais jamais pensé, maintenant, à y réfléchir ce serait peut être un bon coup. Mais si cela devait se faire il faut que je me préserve au cas ou il deviendrait un peu trop collant après. Je ne voudrais pas d'histoires avec Chantal ou Jacques. Je vais y penser et "étudier" la question. Qu'est ce que tu en penses, il vaudrait mieux que je la prévienne ?
-Je ne sais pas, c'est toi qui le vois. Si tu en as envie...pourquoi pas. La prévenir, tu la connais mieux que moi. C'est vrai que c'est drôle qu'elle te parle de lui pour des trucs aussi intimes, surtout te connaissant. Un jour, tu fais en sorte qu'il voit bien tes nichons mais aussi ton minou, tu verras bien son degrés intérêt pour toi. Et pour ça, je te fais entièrement confiance »
La soirée a été un peu chaude et le matin au réveil :
« - Oui, bon, sans le dire directement à Chantal, je vais d'abord lui poser quelques questions. Elle comprendra qu'il serait peut être possible que j’intervienne pour régler cette "infirmité"... »
Trois jours plus tard, Karen me prévenait que la décision était prise. Bernard, d'après Chantal, n'était pas du tout indifférent à ses atouts, surtout sa poitrine. Elle aussi l'avait surpris à zieuter dans son corsage et même qu'il se masturbait après un après midi en sa compagnie, mais il ne lui en avait jamais parlé. Chantal a compris pourquoi ces questions. Apparemment elle n'y était pas contre.
Comme par hasard, le dimanche midi suivant, nous étions invités à un pique-nique dans la clairière dans le bois à côté de chez eux. Une petite rivière traversait cette clairière et nous allions nous rafraîchir de temps en temps. Chantal savait très bien que Karen, comme elle, ferait les seins nus comme d'habitude. Pour cet après midi là, Karen avait mis un slip de maillot dit "ficelle"qui embellissait formidablement son fessier. Effectivement, de petite dimension, il moulait admirablement son minou et se cachait entre ses fesses avant le moulage. Elle était magnifique. Bien sûr, Bernard ne la quittait pas des yeux, je pourrais même dire qu'il la dévorait des yeux, au point qu'il n'avait pas osé sortir son short qui ne pouvait cacher une érection évidente. Même Chantal, un peu gênée, faisait des clin-d’œil à celle qui, peut être serait l'initiatrice de son fiston. Pour accélérer la provocation, elle à même invité Bernard à jouer "au badminton" sans avoir remit un soutien gorge sous prétexte qu'elle l'avait oublié. C'est donc les seins ballottant qu'elle c'était laisser battre par son adversaire dans tous ses états et lui a fait la bise de la perdante en l'entraînant se rafraîchir dans la rivière. C'était le piège. Car le slip de bain blanc, une fois mouillé était légèrement transparent et laissait deviner un minou orné de poils en ticket de métro. Elle s'est allongée sur sa serviette aux côtés de Bernard, tournée vers lui, les seins offerts aux regards insistant du vainqueur ainsi que son minou très bien moulé dans la culotte mouillée.Elle engageait la conversation avec lui, en plaisanteries et petites allusions coquines.
Soudain, Chantal et Bernard nous invitaient à rentrer chez eux pour regarder le match de rugby. J'y allais avec eux, laissant Karen et Bernard en pleine discussion. Karen invitait Bernard à une revanche au badminton. Bien sûr je devinait la suite et la récompense au gagnant(e). Le soir venu, rentrés à la maison, Karen s'est empressée de me raconter cette suite.
Dès que vous êtes partis, Bernard s'est empressé de vouloir jouer et d'après lui, pour que je puisse prendre ma revanche. En me levant, Bernard m'a fait remarquer que je m'étais taché la culotte avec la glace à la fraise, (qu’elle s’était faite sciemment). Alors comme la tache rouge se trouvait mal placée je feignais d'être gênée et trouvant que ce problème pouvait prêter à confusion, je lui demandais si cela le gênerait si je m'enlevais la culotte.
« -bof, tu es déjà seins nus alors un peu plus ou un peu moins, maintenant pourquoi pas.»
A peine avait il terminé la phrase que j'avais posé la culotte sur la chaise.
« -Au diable la pudeur, tu as déjà certainement vu une femme toute nue.
• belle comme toi, pas du tout. Mais, si ce ne sera qu'un plaisir supplémentaire, je suis sûr que tu fais ça pour me déstabiliser et gagner. Mais ta victoire me sera que plus agréable.
• D'accord mais il ne faudra pas le raconter.
Au troisième point gagné, je réclamais une entracte "boisson". Nous nous sommes assis sur l'herbe et nous nous sommes servis une bière fraîche.
« -tu vois j'étais sûr que c'était pour me déstabiliser. Maintenant tu as déjà 3 points.
-hé bien il faut, toi me déstabiliser aussi. Sors le short et même le slip, on sera à égalité.
Bernard a accepté mon idée mais je voyais bien qu'il était gêné. J'ai compris lorsqu'il a sorti le short. Son érection était une telle évidence qu'il m'a fallu le rassurer :
« - hé bien dis donc, c'est moi qui te fait un tel effet ? Ce n'est pas possible, j'ai 45 ans, je suis trop vieille pour te faire bander comme ça.
-Tu n'as pas l'air de te rendre compte comme tu es belle. Tu as une poitrine de rêve, des jambes fabuleuses, et je ne te parle même pas de tes fesses. Et non, je n'ai jamais vu une femme aussi "bandante" comme tu dis, que toi. J'en ai vu au lac, mais les seins étaient des gants de toilettes ou inexistant, en plus tu es jolie comme cœur et tu as une culotte de bain très suggestif, à faire rêver. Et il ne m'en fallait pas plus.
- C'est vrai que ma poitrine, comme mes fesses sont encore bien fermes même si je me sers de pommade. Mais faire bander un jeune de ton âge, c'est plutôt flatteur. Tiens, cette flatterie m'encourage, viens voir comme mes seins sont encore fermes.
Il est venu sans hésiter et a prit mes seins à pleines mains et les a malaxés plutôt que caressés. Je l'ai laissé faire surtout que je voyais son érection reprenait beaucoup de vigueur.
Alors je n'ai pas pu résister, j'ai entouré ce magnifique phallus et je l'ai caressé longuement. Bernard s'est penché et il m'a embrassé. J'ai accepté ce tendre baiser alors que je sentais une main quitter un sein et descendre caressant le ventre et arriver un mon minou qui n'attendait que ça. J'écartais les cuisses et m'allongeais, m'abandonnant à ses envies. Et là, j'ai compris qu'il n'était nullement le puceau que Chantal m'avait vendu. Il était doux, caressant, tendre, amoureux. Il trouvait mon clito et s'en amusait avec méthode et grand savoir. Maintenant il me tétait les seins, ce que j'ai toujours adoré. Petit a petit sa langue a remplacé ses doigts et il ma préparée avec un cunni savamment pénétrant. J'avais récupéré sa queue en totale érection et nous nous sommes retrouvés en 69 pour des préliminaires fabuleux dignes d'un Don-Juan. Ma bouche était pleine de la queue d'un bien monté. Au bout d'un moment il s'est retiré en disant qu'il lui fallait garder des forces.
« -Depuis le temps que je fantasme sur toi, il n'est pas question que je te loupe. Il faut que je garde mon sang froid et si tu peux m'aider à le garder, ce serait formidable.
-Moi non plus je ne veux pas te louper. Je ne fantasmais peut être pas sur toi, mais maintenant je veux que cette expérience soit totalement réussie, autant pour toi que pour moi. Ce sera un merveilleux souvenir, un splendide souvenir.
Là, je l'ai senti se mettre en position pour me baiser, je l'a aidé. J'ai enfin senti sa queue se positionner en face mon minou. En quelques mouvement de sa queue il chatouillait mes grandes lèvres, puis il a commencé à entrer. Même si la pénétration n'était pas nette ni flagrante, je comprenais qu'il prenait son temps, il me faisait languir. Il me tardait mais je résistais à lui ordonner de me baiser. J'étais à lui, j'allais réaliser son fantasme, baiser cette salope copine de sa mère. Mais il voulait attendre, enregistrer tous ces moments dont il avait tant rêver. Puis lentement, très lentement, je l'ai senti appuyer, se faufiler dans mon vagin béant, ruisselant, attentif à toutes ses initiatives. Puis tout à coup, d'un coup, il m'a prise, il m'a donné le plaisir d'être baisée. C'était sauvage, mais comme j'appréciais cette merveilleuse sauvagerie. Et il a commencé, il entrait, il sortait replongeait, repartait me faisant attendre une replongée. Une autre sauvagerie m'a faite sursauté, je ne pouvais retenir mes gémissements et j'ai même bloqué ma bouche dans son cou pour hurler silencieusement. J'entendais ses grognements, graves, forts, longs. Son souffle était puissant. Il me couvrait de baisers et chapelait des mots tendres, d'amour, de jouissance. Je soufflais aussi fortement que lui mais j'étouffais mes jouissances, mes plaisirs. J'attendais sa jouissance, je voulais sentir lorsqu'il me remplirait de son plaisir. Mais il continuait, sortait entrait, il me défonçait littéralement. Je me suis faite souvent envahir ainsi, défoncée comme aujourd'hui, mais je voulais que ce soit ma plus belle jouissance. Je la sentais arriver, la chaleur m'envahissait, je me suis sentie vibrer, trembler et elle a éclatée juste au moment ou le fond de mon vagin se faisait noyer. Il a étouffé mon beuglement avec un baiser très appuyé. Je l'entendais jouir en même temps que mon cœur éclatait dans ma poitrine. Il continuait à caresser mes seins gonflés par le plaisir, pinçait mes tétons, ils bandaient tant et tant que mes aréoles avaient presque disparues. Nous avons continués à étouffer nos jouissances encore un bon moment avant d'atterrir. Nous sommes restés un long moment enlacés comme deux jeunes tourtereaux pour leur première découverte.
-oh ma chérie. Comme ça été bon, je n'ai jamais eu un tel plaisir.
• Pour moi aussi ça été formidable. Toutefois, je préférerais que ça ne reste qu'un trop bon moment. Mais il faudra le garder comme un souvenir, un merveilleux souvenir
• - Pourquoi, tu ne voudras pas continuer avec moi ?
• - Mais mon chéri, nous deux ce ne sera pas possible. Non il vaudra mieux en rester là. A la rigueur, de temps en temps, pourquoi pas. Je t'assure que j'ai beaucoup apprécié notre aventure, mais ce n'était qu'un écart. D'abord je suis mariée et puis j'aurais très vite moi aussi les seins en gant de toilette, je vais vieillir comme les autres. ».
Nous avons discutés un long moment et j'ai fini par lui faire accepter d'espacer nos rencontres par trimestre. J'ai assuré à ,Chantal qu'il était un amant particulièrement à mon goût, tendre, expérimenté, endurant et visiblement amoureux. Que je ferais attention de ne pas le rendre malheureux.
Notre liaison c'est renouvelée pendant deux trimestres et c'est Bernard lui même qui, par jalousie, a préféré arrêter ayant apprit notre mode de vie candaulistes, comme le fait que tu seras au courant de notre liaison. Mais il ne pouvait s'empêcher de me relancer de temps en temps ce qui a fait que nous nous sommes revus 6 ou 7 fois, chez nous lorsque tu étais sur la route.
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Délicieuse histoire