Karen drague au resto
Récit érotique écrit par Tyroler frantz [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-07-2024 dans la catégorie Plus on est
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Karen drague au resto
Karen drague au resto,
C’était un vendredi soir et je revenais d’une livraison en Hongrie, la dernière journée avait été assez dure autant en heures de route qu’en manutention. Karen, comprenant que je ne serais pas spécialement "opérationnel" alors qu’elle était en grande envie, m’a proposé une soirée exhib. avec possibilité de lui trouver un amant ou même deux. Alors je lui proposais de commencer par notre resto. C’est un resto sympa, que nous avions connu pour des possibilités de rencontre. Bien sûr, comme il s’agirait d’exhib, Karen s’était habillée en conséquence. J’ai tout de suite compris qu’autant l’exhib que la drague serait particulièrement sexualisé. Au resto, Josée, notre serveuse habituelle nous a prise en charge dès notre arrivée (elle sait avoir toujours un bon pourboire) et nous a trouvé une table dans la 2ème salle. Un peu plus intime, cette salle n’a que 4 tables, dont 3 étaient déjà occupées. Placés comme nous nous étions assis, Karen faisait face à l’homme de la table à côté et moi face à la femme de la table suivante. Karen, me chuchotait des commentaires sur l’homme en face d’elle, (que j’appellerais Jean)et m’a prévenu que sa drague avait commencée. Elle s’était glissée sur la banquette, les jambes exagérément écartées sachant que Jean s’apercevrait obligatoirement son non port de culotte. Ensuite, légèrement tournée vers lui, elle avait retroussée sa mini jupe à mi cuisses, déboutonné son chemisier approfondissant son décolleté qui découvrait une aréole ou l’autre au moindre mouvement. De temps en temps elle me chuchotait ses commentaires sur l’avancée de son exhibition et de sa drague.
"Il a du mal pour discuter avec sa vis à vis et en même temps regarder mon exhib qui l’intéresse davantage visiblement. Je vais l’attirer aux toilettes, je verrai bien. A tout à l’heure"
Tout en fixant Jean avec le sourire, elle s’est extirpée de la banquette et s’est dirigée vers les toilettes, s’est retournée pour le regarder et est entrée. A peine la porte fermée que Jean s’est levé à son tour pour la rejoindre. Comme il me regardait avant d’entrer, je lui fit un très léger signe de la tête avec un petit sourire. Il était maintenant au courant de mon acceptation. Au bout de dix longues minutes, c’est Jean qui est ressorti en premier. En passant il m’a fait un large sourire avec un rictus de satisfaction et de remerciements. Puis Karen est arrivée, tout sourire (donc réussite) refermant son décolleté (il avait donc caressé ses seins), tout en frottant ses mains sur les côtés de sa jupe (donc elle l’avait caressé). Elle s’est reglissée sur sa banquette.
" - Il me trouve très jolie et que je suis sacrément bien roulée. Il a caressé mes seins, les a tétés, pendant que je sortais sa queue de la braguette. J’ai entamé une petite branlette. Il est bien monté. C’est un 19/4 au moins, en totale érection, il m’a embrassée. Comme il me donnait un rendez-vous, je l’ai refusé, mais lui ai donné rendez-vous à la fin du repas peut être pour une pipe. Je lui ai demandé de te remercier en passant car tu es au courant.
- il l’a fait. Mais, pour la pipe que tu lui a promise, faudra la faire lui entière, ce sera ton pousse café.
-Tu es un salop, tu veux que j’avale?
- Bien sûr, c’est toi la salope.
- bon, comme tu veux, de toute façon, tu sais que j’aime ça.
- C’est bien pour ça. Et en plus ça te mettra en forme pour l’exhib sur le parking.
- Je suis déjà en très grande forme pour ce soir. Les habitués vont être surpris, tu verra ça !"
Nous en étions arrivés au dessert lorsque Karen, qui n’avait pas calmé ses désirs, m’a prévenu qu’elle allait prendre son pousse-café. Comme la 1ère fois, elle est allée aux toilettes avec ses appels des yeux pour Jean. Celui-ci ne l’a pas faite attendre. Il m’a gratifié d’un large sourire au passage avant de la rejoindre aux toilettes. Cette fois-ci, c’est elle qui est ressorti en premier. Elle c’est essuyée les lèvres avec la langue, elle l’avait donc effectivement sucé et avait avalé le sperme du bien heureux. Elle c’est assise à sa place, les yeux étincelants et un sourire radieux. Elle a ouvert la bouche pour me montrer qu’effectivement elle avait gardé les traces de la jouissance éjaculatoire de Jean.
« - Je vois qu’il y a prit plaisir !
- Oui, crois moi, il a non seulement apprécié, mais visiblement il était en grande forme. Je peux même te dire qu’il a été performant. Il m’a fait sucer longtemps avant de m’envoyer des jets très puissants, il y avait la dose. C’était bon, épicé, mais très bon. Je ne regrette pas et lui non plus. C’est vrai que ça m’a foutu la pêche. Je lui ai dit que nous irions sur le parking après. Il va ramener sa compagne et viendra pour voir si nous y sommes toujours. Je me réserverais pour lui pendant demi-heure mais pas plus. Il serait d’accord pour aller au Campanule s’il le faut. T’es d’accord ?
-Tu sais très bien que je suis d’accord. Qu’as tu prévu. Une sodo ou une DP ?
- Bof, pour cette 1ère fois, je vais lui accorder la sodo. Je verrai bien si on peut le revoir.
Josée, notre serveuse habituelle, nous a prévenu que l’apéritif et le café avaient été réglés. Nous sommes allés sur notre parking "exhibition". Il y avait déjà plusieurs voitures d’exhibitionnistes et pas mal de voyeurs qui tournaient autours. Nous y avons repérés quelques habitués comme Josette et Gérard venus certainement chercher un ou deux gars pour la nuit. Nous nous sommes garés comme à l’accoutumé en fond de parking, au bord d’un bosquet avec table pique nique et banc. Karen appréciait ce petit coin, la table lui servant de litière si besoin était. Nous n’avons pas attendu très longtemps. Deux jeunes sont arrivés et tournant autour de la voiture ils caressaient la braguette de leur pantalon en lorgnant Karen qui avait largement ouvert son chemisier et retroussé sa jupette dévoilant son non port de culotte. Pour le moment ils étaient accrochés et visiblement espéraient au minimum, une caresse ou une pipe. Elle les a laissés la zieuter un bon moment puis, levant les yeux, elle leur a fait un large sourire tout en fixant leurs mains carresssant leur braguette. Surpris par ces regards engageant, un des deux gars, après deux ou trois caresses bien appuyées a ouvert sa braguette et après avoir cherché sa queue déjà fortement en érection, il l’a sortie. Karen m’a alors grommelé un:
« -Ah mais il bande fort ce petit jeune. Elle est appétissante. Je vais le caresser un peu, et je verrai bien s’il vaut le coup. Je vais quand même attendre de voir son copain. S’il bande pareil, peut être qu’ils pourraient me faire passer un moment intéressant les deux ensemble. Regarde, il bande aussi fort que son copain. On les amène aux "trois sapins" et on verra bien. Ou je me laisse baiser, ou je les suce, ils sont jeunes, bien mignons, deux belles bites, et apparemment mes nichons les intéresse. Pourquoi pas. Allez on les laisse nous suivre.»
Et c’est là que Jean est arrivé. Karen, l’ayant aperçu, lui a fait un grand signe pour qu’il nous rejoigne. Elle a alors prévenue nos deux lascars que ce nouveau venu serait un supplément à notre petite "tournante":
« -Ca vous dit un petit gang bang à cinq, on va aux "trois sapins"? A cette heure il n’y a personne, on va passer un bon moment. Venez, si ça vous dit, le plus petit pourra me prendre entre les fesses. On a tout ce qu’il faut, lubrif, capotes et de quoi se nettoyer. OK ? »
Arrivés aux 3 sapins, Karen a laissé nos deux petits jeunes lui caresser se nichons, pendant qu’elle astiquait énergiquement les deux queues bien bandantes de nos deux lascars. Et s’adressant à Jean:
« -Tu as bien fait de venir. Tu ne seras pas de trop avec mes deux amoureux. Je vais me donner au maxi. Par contre, j’ai déjà promis mes fesses à la plus petite. Pour les autres, ce sera ma chatte ou ma bouche avec capotes bien sûr. Tout à l’heure je t’ai déjà sucé, ce ne sera pas toi qui aura mes fesses, peut être un de mes deux amoureux, ou à la rigueur mon mari. Même si ce n’est pas la plus petite, il a l’habitude et ne m’encule jamais comme un sauvage. On va commencer par le début. Lequel je suce en premier? »
Jean, s’adressant aux deux jeunes, allez-y, j’y ai déjà eu droit. Elle suce super c’était vraiment le top. Vous verrez. Allez-y.
J’avait déjà distribué les capotes et tout le monde était équipé. C’est le plus jeune, encouragé par son copain qui a présenté sa queue devant la bouche de ma femme. Assise sur le banc, elle était ainsi à la bonne hauteur. Et j’ai pu voir le visage tout surpris de gamin alors que sa bite rentrait dans la bouche de ma femme. Jean s’était approché et caressait les nichons ballotant. Les tétons qui pointaient fortement, reflétaient la forte excitation de la suceuse qui venait d’attraper la queue du deuxième lascars. De temps en temps, elle faisait sortir la queue et demandait si cela lui plaisait. Le gars qui planait, les yeux hagards, surpris par tant de plaisir ne répondait même pas. Il caressait tendrement les cheveux de cette salope qui lui taillait une super pipe. D’ailleurs, Karen y mettait tout son savoir. Elle lui faisait cette superbe royale que d’habitude tous les bienheureux appréciaient. Et là, indéniablement , il appréciait mais surtout Karen appréciait de sucer un jeune alors qu’un autre attendait et un troisième, visiblement expérimenté, pour la baiser et peut être même la sodomiser. Et pour le moment ce 3ème larron était en train de la doigter merveilleusement la poussant ainsi à parfaire ses fellations. Le premier jeune, maintenant arrivait au summum du plaisir et se préparait à lâcher son plaisir. J’ai vu Karen serrer fortement sa queue pour arrêter l’éjaculation, la sortir de sa bouche et diriger les jets de plaisir sur sa poitrine. Le gars émettait des gémissements continus les yeux fermés la bouche grande ouverte. Il laissait Karen le masturber pour lui faire cracher le superflu. Il a regardé ma femme avec des étincelles plein les yeux et en remerciements, il s’est penché et a embrassé les lèvres qui lui avaient donné tant de plaisir. Son copain s’est présenté sans laisser le temps à Karen de s’essuyer les nichons que son copain avait inondés, quelques gouttes arrivaient aux tétons et s’égouttaient sur la main que Karen mettait en protection sous sa poitrine. Elle avait prit la queue du second lascar et le masturbait doucement pour lui donner une bonne "consistance" avant de le prendre en bouche. Elle lui a tout même demandé:
« Ne me jouis pas dans la bouche s’il te plait, ton copain m’en a laissé un petit peu, mais c’est réservé à mon homme. J’ai pu me retirer juste à temps. Merci mon chou. »
Elle a avancé la tête et à peine la queue était elle rentrée que le gars a donné un bon coup de rein pour rentrer plus vite et a appuyé sur la tête de Karen pour lui imposer la profondeur. Elle l’a retirée de la bouche et lui a dit:
« -Laisse moi faire mon chéri, je sais faire les profondes, t’en fait pas tu l’aura, comme ton copain. Ca te plaira, tu verras. Laisse moi faire.»
Elle a reprit la pipe et le gars l’a laissée faire. Elle lui a encore fait la royale et la laissée pénétrer au fond de sa gorge. Elle l’a laissée un long moment ainsi avant de revenir en arrière. Visiblement il était bien plus performant que son copain. Elle l’a sucé un long moment avec quelques stations en fond de gorge. Jusqu’au moment ou il lui a dit:
« -Fais attention, je vais jouir, ça y est, oh bon sang, que c’est bon!»
Il a jouit sur les seins inondant encore plus les nichons. Karen a prit la serviette que j’avais préparée et c’est essuyé la poitrine. Jean lui a prit la serviette des mains et, précautionneusement a fini le travail.
« - tu as été magnifique. C’était super bandant de te regarder les sucer et on voit de suite ta grande expérience à vouloir donner le plus de plaisir possible tout en t’en réservant le maximum. Visiblement tu aimes sucer, tu sais sucer et veux sucer. C’était vraiment super.
- C’est vrai que j’ai toujours aimé sucer et j’ai aimé ces deux pipes. En attendant, ça m’a bien excitée. Maintenant j’aimerais bien vous voir tous les 4 à l’oeuvre. Venez mes chéris, chose promise, chose due. Venez me baiser, toi le petit jeune, c’est toi qui a la plus petite. C’est à toi que reviendra le plaisir de me prendre entre mes fesses. Mon mari te donnera du lubrifiant. Même petite, ton inexpérience me met en garde même si j’ai l’habitude.»
Sur ce, Karen c’est allongée sur la table, laissant ses jambes écartées pendre au bout de la table. Je me suis assis à ses côtés sur le banc. Je voulais la regarder jouir, la voir jouir, l’entendre jouir pendant que les trois lascars allaient se partager le corps de ma salope de femme. C’est Jean qui a commencé, la prenant par les hanches et enfonçant doucement sa queue dans la chatte lubrifiée naturellement. Je caressais les seins de mon épouse, les tétons tendus au max réagissaient comme des ressorts. Ils faisaient bien leur deux cms chacun tellement ils se dressaient de fierté. Puis les seins ont commencés à se balancer au rythme des pénétrations de Jean. Il voulait certainement la défoncer comme il n’arrêtait pas de répéter. Il transpirait tellement il s’activait aux demandes de Karen:
« -Vas-y mon salop, défonce moi foufoune, plus fort, encore, encore, oh bon sang, mais vas-y encore. Baise, baise, pour une fois que tu peux baiser une pute gratuitement, profite, vas-y, encore, vas-y, c’est bon, je prends mon plaisir, continus. Attends, repose toi un peu, tu me reprendra plus tard, laisses en pour les amoureux. Allez viens toi, c’est à toi, je t’ai promis mon cul, viens, prends moi. Attends, mon mari me met du lubrifiant. Voilà ça y est vas-y, encule moi, oui, là, vas-y, enfonce toi. Ah, Aa ahahhh, oui vas-y oh bon sang heureusement qu’il y a du lubrifiant, oh salop que c’est bon. Je la sens bien, elle n’est pas si petite que ça en fait. Vas-y fait comme Jean, défonce moi, n’arrêtes pas, plus fort.»
Le jeune lascar l’a littéralement défoncée. Il lui a défoncé le cul pendant plus de dix minutes, je lui avais laissé les nichons auquel il s’agrippait, les jambes de ma femme se balançaient sur ses épaules. Karen ayant tendance à trop resserrer ses cuisses, j’étais obligé de les desserrer. Le petit jeune s’activait sans s’arrêter. Son copain l’encourageait:
« - vas y, elle aime ça, défonce la, c’est elle qui le demande. Allez, vas-y prends ton pieds. Celle la c’est la 1ere fois que je la vois. Je te l’avais dis, de toute façon on tirera notre coup. Mais je ne pensais pas rencontrer, une salope pareille. En plus elle même se dit salope et le revendique. Alors ne te gêne pas, vas-y, encule-la fort. Elle en redemande.
- Bien sûr que j’en redemande, personne n’aurait la bonne idée d’en mettre une dans ma bouche? Surtout que bientôt, le petit jeune qui me prend par le cul va me faire… gloup, gloup»
Et à ce moment, j’ai vu ma femme trémousser des fesses. Elle était en train de prendre son pied et le jeune lascar lâchait toute la purée, les yeux remerciant le ciel de lui avoir permis de trouver cette merveille aux gros nichons et au cul si accueillant. En plus devant son copain, il se faisait une réputation de sacré baiseur, et à son âge ça compte. S’il en parlait à la bande il pourrait peut être se faire Joelle. Depuis le temps qu’elle se fait farcir par les autres copains sans l’accepter parce qu’il est trop jeune…
« - Merci mon chéri, tu m’as fait monter au ciel. C’était formidable, j’ai toujours apprécié la sodo, mais là, vraiment, t’as été un champion. Si ton copain est comme toi, j’aurais passé une sacré soirée, déjà Jean me l’a mise comme il faut, toi qui m’a donné le 2ème ciel, allez, c’est à toi maintenant. En plus tu as l’air d’être drôlement bien monté. Si tu sais t’en servir, je vais connaître le summum. Par contre j’aimerais bien que mon mari me prenne en double, debout tous les trois. J’ai le cul déjà bien ouvert, alors une double, ça finirait bien la soirée. 2 sodos dans la même soirée, je m’en rappellerais. Et rien ne m’empêchera de sucer les deux autres. Ca fera un mini gang bang. »
Ainsi fut fait, le 2ème lascar et moi avons transportés Karen au 7ème ciel. Même si nous n’avons jamais revu les trois participants, cette soirée est restée un très bon souvenir.
C’était un vendredi soir et je revenais d’une livraison en Hongrie, la dernière journée avait été assez dure autant en heures de route qu’en manutention. Karen, comprenant que je ne serais pas spécialement "opérationnel" alors qu’elle était en grande envie, m’a proposé une soirée exhib. avec possibilité de lui trouver un amant ou même deux. Alors je lui proposais de commencer par notre resto. C’est un resto sympa, que nous avions connu pour des possibilités de rencontre. Bien sûr, comme il s’agirait d’exhib, Karen s’était habillée en conséquence. J’ai tout de suite compris qu’autant l’exhib que la drague serait particulièrement sexualisé. Au resto, Josée, notre serveuse habituelle nous a prise en charge dès notre arrivée (elle sait avoir toujours un bon pourboire) et nous a trouvé une table dans la 2ème salle. Un peu plus intime, cette salle n’a que 4 tables, dont 3 étaient déjà occupées. Placés comme nous nous étions assis, Karen faisait face à l’homme de la table à côté et moi face à la femme de la table suivante. Karen, me chuchotait des commentaires sur l’homme en face d’elle, (que j’appellerais Jean)et m’a prévenu que sa drague avait commencée. Elle s’était glissée sur la banquette, les jambes exagérément écartées sachant que Jean s’apercevrait obligatoirement son non port de culotte. Ensuite, légèrement tournée vers lui, elle avait retroussée sa mini jupe à mi cuisses, déboutonné son chemisier approfondissant son décolleté qui découvrait une aréole ou l’autre au moindre mouvement. De temps en temps elle me chuchotait ses commentaires sur l’avancée de son exhibition et de sa drague.
"Il a du mal pour discuter avec sa vis à vis et en même temps regarder mon exhib qui l’intéresse davantage visiblement. Je vais l’attirer aux toilettes, je verrai bien. A tout à l’heure"
Tout en fixant Jean avec le sourire, elle s’est extirpée de la banquette et s’est dirigée vers les toilettes, s’est retournée pour le regarder et est entrée. A peine la porte fermée que Jean s’est levé à son tour pour la rejoindre. Comme il me regardait avant d’entrer, je lui fit un très léger signe de la tête avec un petit sourire. Il était maintenant au courant de mon acceptation. Au bout de dix longues minutes, c’est Jean qui est ressorti en premier. En passant il m’a fait un large sourire avec un rictus de satisfaction et de remerciements. Puis Karen est arrivée, tout sourire (donc réussite) refermant son décolleté (il avait donc caressé ses seins), tout en frottant ses mains sur les côtés de sa jupe (donc elle l’avait caressé). Elle s’est reglissée sur sa banquette.
" - Il me trouve très jolie et que je suis sacrément bien roulée. Il a caressé mes seins, les a tétés, pendant que je sortais sa queue de la braguette. J’ai entamé une petite branlette. Il est bien monté. C’est un 19/4 au moins, en totale érection, il m’a embrassée. Comme il me donnait un rendez-vous, je l’ai refusé, mais lui ai donné rendez-vous à la fin du repas peut être pour une pipe. Je lui ai demandé de te remercier en passant car tu es au courant.
- il l’a fait. Mais, pour la pipe que tu lui a promise, faudra la faire lui entière, ce sera ton pousse café.
-Tu es un salop, tu veux que j’avale?
- Bien sûr, c’est toi la salope.
- bon, comme tu veux, de toute façon, tu sais que j’aime ça.
- C’est bien pour ça. Et en plus ça te mettra en forme pour l’exhib sur le parking.
- Je suis déjà en très grande forme pour ce soir. Les habitués vont être surpris, tu verra ça !"
Nous en étions arrivés au dessert lorsque Karen, qui n’avait pas calmé ses désirs, m’a prévenu qu’elle allait prendre son pousse-café. Comme la 1ère fois, elle est allée aux toilettes avec ses appels des yeux pour Jean. Celui-ci ne l’a pas faite attendre. Il m’a gratifié d’un large sourire au passage avant de la rejoindre aux toilettes. Cette fois-ci, c’est elle qui est ressorti en premier. Elle c’est essuyée les lèvres avec la langue, elle l’avait donc effectivement sucé et avait avalé le sperme du bien heureux. Elle c’est assise à sa place, les yeux étincelants et un sourire radieux. Elle a ouvert la bouche pour me montrer qu’effectivement elle avait gardé les traces de la jouissance éjaculatoire de Jean.
« - Je vois qu’il y a prit plaisir !
- Oui, crois moi, il a non seulement apprécié, mais visiblement il était en grande forme. Je peux même te dire qu’il a été performant. Il m’a fait sucer longtemps avant de m’envoyer des jets très puissants, il y avait la dose. C’était bon, épicé, mais très bon. Je ne regrette pas et lui non plus. C’est vrai que ça m’a foutu la pêche. Je lui ai dit que nous irions sur le parking après. Il va ramener sa compagne et viendra pour voir si nous y sommes toujours. Je me réserverais pour lui pendant demi-heure mais pas plus. Il serait d’accord pour aller au Campanule s’il le faut. T’es d’accord ?
-Tu sais très bien que je suis d’accord. Qu’as tu prévu. Une sodo ou une DP ?
- Bof, pour cette 1ère fois, je vais lui accorder la sodo. Je verrai bien si on peut le revoir.
Josée, notre serveuse habituelle, nous a prévenu que l’apéritif et le café avaient été réglés. Nous sommes allés sur notre parking "exhibition". Il y avait déjà plusieurs voitures d’exhibitionnistes et pas mal de voyeurs qui tournaient autours. Nous y avons repérés quelques habitués comme Josette et Gérard venus certainement chercher un ou deux gars pour la nuit. Nous nous sommes garés comme à l’accoutumé en fond de parking, au bord d’un bosquet avec table pique nique et banc. Karen appréciait ce petit coin, la table lui servant de litière si besoin était. Nous n’avons pas attendu très longtemps. Deux jeunes sont arrivés et tournant autour de la voiture ils caressaient la braguette de leur pantalon en lorgnant Karen qui avait largement ouvert son chemisier et retroussé sa jupette dévoilant son non port de culotte. Pour le moment ils étaient accrochés et visiblement espéraient au minimum, une caresse ou une pipe. Elle les a laissés la zieuter un bon moment puis, levant les yeux, elle leur a fait un large sourire tout en fixant leurs mains carresssant leur braguette. Surpris par ces regards engageant, un des deux gars, après deux ou trois caresses bien appuyées a ouvert sa braguette et après avoir cherché sa queue déjà fortement en érection, il l’a sortie. Karen m’a alors grommelé un:
« -Ah mais il bande fort ce petit jeune. Elle est appétissante. Je vais le caresser un peu, et je verrai bien s’il vaut le coup. Je vais quand même attendre de voir son copain. S’il bande pareil, peut être qu’ils pourraient me faire passer un moment intéressant les deux ensemble. Regarde, il bande aussi fort que son copain. On les amène aux "trois sapins" et on verra bien. Ou je me laisse baiser, ou je les suce, ils sont jeunes, bien mignons, deux belles bites, et apparemment mes nichons les intéresse. Pourquoi pas. Allez on les laisse nous suivre.»
Et c’est là que Jean est arrivé. Karen, l’ayant aperçu, lui a fait un grand signe pour qu’il nous rejoigne. Elle a alors prévenue nos deux lascars que ce nouveau venu serait un supplément à notre petite "tournante":
« -Ca vous dit un petit gang bang à cinq, on va aux "trois sapins"? A cette heure il n’y a personne, on va passer un bon moment. Venez, si ça vous dit, le plus petit pourra me prendre entre les fesses. On a tout ce qu’il faut, lubrif, capotes et de quoi se nettoyer. OK ? »
Arrivés aux 3 sapins, Karen a laissé nos deux petits jeunes lui caresser se nichons, pendant qu’elle astiquait énergiquement les deux queues bien bandantes de nos deux lascars. Et s’adressant à Jean:
« -Tu as bien fait de venir. Tu ne seras pas de trop avec mes deux amoureux. Je vais me donner au maxi. Par contre, j’ai déjà promis mes fesses à la plus petite. Pour les autres, ce sera ma chatte ou ma bouche avec capotes bien sûr. Tout à l’heure je t’ai déjà sucé, ce ne sera pas toi qui aura mes fesses, peut être un de mes deux amoureux, ou à la rigueur mon mari. Même si ce n’est pas la plus petite, il a l’habitude et ne m’encule jamais comme un sauvage. On va commencer par le début. Lequel je suce en premier? »
Jean, s’adressant aux deux jeunes, allez-y, j’y ai déjà eu droit. Elle suce super c’était vraiment le top. Vous verrez. Allez-y.
J’avait déjà distribué les capotes et tout le monde était équipé. C’est le plus jeune, encouragé par son copain qui a présenté sa queue devant la bouche de ma femme. Assise sur le banc, elle était ainsi à la bonne hauteur. Et j’ai pu voir le visage tout surpris de gamin alors que sa bite rentrait dans la bouche de ma femme. Jean s’était approché et caressait les nichons ballotant. Les tétons qui pointaient fortement, reflétaient la forte excitation de la suceuse qui venait d’attraper la queue du deuxième lascars. De temps en temps, elle faisait sortir la queue et demandait si cela lui plaisait. Le gars qui planait, les yeux hagards, surpris par tant de plaisir ne répondait même pas. Il caressait tendrement les cheveux de cette salope qui lui taillait une super pipe. D’ailleurs, Karen y mettait tout son savoir. Elle lui faisait cette superbe royale que d’habitude tous les bienheureux appréciaient. Et là, indéniablement , il appréciait mais surtout Karen appréciait de sucer un jeune alors qu’un autre attendait et un troisième, visiblement expérimenté, pour la baiser et peut être même la sodomiser. Et pour le moment ce 3ème larron était en train de la doigter merveilleusement la poussant ainsi à parfaire ses fellations. Le premier jeune, maintenant arrivait au summum du plaisir et se préparait à lâcher son plaisir. J’ai vu Karen serrer fortement sa queue pour arrêter l’éjaculation, la sortir de sa bouche et diriger les jets de plaisir sur sa poitrine. Le gars émettait des gémissements continus les yeux fermés la bouche grande ouverte. Il laissait Karen le masturber pour lui faire cracher le superflu. Il a regardé ma femme avec des étincelles plein les yeux et en remerciements, il s’est penché et a embrassé les lèvres qui lui avaient donné tant de plaisir. Son copain s’est présenté sans laisser le temps à Karen de s’essuyer les nichons que son copain avait inondés, quelques gouttes arrivaient aux tétons et s’égouttaient sur la main que Karen mettait en protection sous sa poitrine. Elle avait prit la queue du second lascar et le masturbait doucement pour lui donner une bonne "consistance" avant de le prendre en bouche. Elle lui a tout même demandé:
« Ne me jouis pas dans la bouche s’il te plait, ton copain m’en a laissé un petit peu, mais c’est réservé à mon homme. J’ai pu me retirer juste à temps. Merci mon chou. »
Elle a avancé la tête et à peine la queue était elle rentrée que le gars a donné un bon coup de rein pour rentrer plus vite et a appuyé sur la tête de Karen pour lui imposer la profondeur. Elle l’a retirée de la bouche et lui a dit:
« -Laisse moi faire mon chéri, je sais faire les profondes, t’en fait pas tu l’aura, comme ton copain. Ca te plaira, tu verras. Laisse moi faire.»
Elle a reprit la pipe et le gars l’a laissée faire. Elle lui a encore fait la royale et la laissée pénétrer au fond de sa gorge. Elle l’a laissée un long moment ainsi avant de revenir en arrière. Visiblement il était bien plus performant que son copain. Elle l’a sucé un long moment avec quelques stations en fond de gorge. Jusqu’au moment ou il lui a dit:
« -Fais attention, je vais jouir, ça y est, oh bon sang, que c’est bon!»
Il a jouit sur les seins inondant encore plus les nichons. Karen a prit la serviette que j’avais préparée et c’est essuyé la poitrine. Jean lui a prit la serviette des mains et, précautionneusement a fini le travail.
« - tu as été magnifique. C’était super bandant de te regarder les sucer et on voit de suite ta grande expérience à vouloir donner le plus de plaisir possible tout en t’en réservant le maximum. Visiblement tu aimes sucer, tu sais sucer et veux sucer. C’était vraiment super.
- C’est vrai que j’ai toujours aimé sucer et j’ai aimé ces deux pipes. En attendant, ça m’a bien excitée. Maintenant j’aimerais bien vous voir tous les 4 à l’oeuvre. Venez mes chéris, chose promise, chose due. Venez me baiser, toi le petit jeune, c’est toi qui a la plus petite. C’est à toi que reviendra le plaisir de me prendre entre mes fesses. Mon mari te donnera du lubrifiant. Même petite, ton inexpérience me met en garde même si j’ai l’habitude.»
Sur ce, Karen c’est allongée sur la table, laissant ses jambes écartées pendre au bout de la table. Je me suis assis à ses côtés sur le banc. Je voulais la regarder jouir, la voir jouir, l’entendre jouir pendant que les trois lascars allaient se partager le corps de ma salope de femme. C’est Jean qui a commencé, la prenant par les hanches et enfonçant doucement sa queue dans la chatte lubrifiée naturellement. Je caressais les seins de mon épouse, les tétons tendus au max réagissaient comme des ressorts. Ils faisaient bien leur deux cms chacun tellement ils se dressaient de fierté. Puis les seins ont commencés à se balancer au rythme des pénétrations de Jean. Il voulait certainement la défoncer comme il n’arrêtait pas de répéter. Il transpirait tellement il s’activait aux demandes de Karen:
« -Vas-y mon salop, défonce moi foufoune, plus fort, encore, encore, oh bon sang, mais vas-y encore. Baise, baise, pour une fois que tu peux baiser une pute gratuitement, profite, vas-y, encore, vas-y, c’est bon, je prends mon plaisir, continus. Attends, repose toi un peu, tu me reprendra plus tard, laisses en pour les amoureux. Allez viens toi, c’est à toi, je t’ai promis mon cul, viens, prends moi. Attends, mon mari me met du lubrifiant. Voilà ça y est vas-y, encule moi, oui, là, vas-y, enfonce toi. Ah, Aa ahahhh, oui vas-y oh bon sang heureusement qu’il y a du lubrifiant, oh salop que c’est bon. Je la sens bien, elle n’est pas si petite que ça en fait. Vas-y fait comme Jean, défonce moi, n’arrêtes pas, plus fort.»
Le jeune lascar l’a littéralement défoncée. Il lui a défoncé le cul pendant plus de dix minutes, je lui avais laissé les nichons auquel il s’agrippait, les jambes de ma femme se balançaient sur ses épaules. Karen ayant tendance à trop resserrer ses cuisses, j’étais obligé de les desserrer. Le petit jeune s’activait sans s’arrêter. Son copain l’encourageait:
« - vas y, elle aime ça, défonce la, c’est elle qui le demande. Allez, vas-y prends ton pieds. Celle la c’est la 1ere fois que je la vois. Je te l’avais dis, de toute façon on tirera notre coup. Mais je ne pensais pas rencontrer, une salope pareille. En plus elle même se dit salope et le revendique. Alors ne te gêne pas, vas-y, encule-la fort. Elle en redemande.
- Bien sûr que j’en redemande, personne n’aurait la bonne idée d’en mettre une dans ma bouche? Surtout que bientôt, le petit jeune qui me prend par le cul va me faire… gloup, gloup»
Et à ce moment, j’ai vu ma femme trémousser des fesses. Elle était en train de prendre son pied et le jeune lascar lâchait toute la purée, les yeux remerciant le ciel de lui avoir permis de trouver cette merveille aux gros nichons et au cul si accueillant. En plus devant son copain, il se faisait une réputation de sacré baiseur, et à son âge ça compte. S’il en parlait à la bande il pourrait peut être se faire Joelle. Depuis le temps qu’elle se fait farcir par les autres copains sans l’accepter parce qu’il est trop jeune…
« - Merci mon chéri, tu m’as fait monter au ciel. C’était formidable, j’ai toujours apprécié la sodo, mais là, vraiment, t’as été un champion. Si ton copain est comme toi, j’aurais passé une sacré soirée, déjà Jean me l’a mise comme il faut, toi qui m’a donné le 2ème ciel, allez, c’est à toi maintenant. En plus tu as l’air d’être drôlement bien monté. Si tu sais t’en servir, je vais connaître le summum. Par contre j’aimerais bien que mon mari me prenne en double, debout tous les trois. J’ai le cul déjà bien ouvert, alors une double, ça finirait bien la soirée. 2 sodos dans la même soirée, je m’en rappellerais. Et rien ne m’empêchera de sucer les deux autres. Ca fera un mini gang bang. »
Ainsi fut fait, le 2ème lascar et moi avons transportés Karen au 7ème ciel. Même si nous n’avons jamais revu les trois participants, cette soirée est restée un très bon souvenir.
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