Karen et l'auto-stoppeur

- Par l'auteur HDS Tyroler frantz -
Auteur couple.
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Récit libertin : Karen et l'auto-stoppeur Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-04-2024 dans la catégorie Plus on est
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Karen et l'auto-stoppeur
Karen un auto-stoppeur,

Ce soir là, nous revenions d’une fête familiale. Même si Karen s’était bien faite draguée par plusieurs gars, le seul gars qui l’aurait intéressée, un superbe black, célibataire, n’avait non seulement pas répondu à ses nombreux "messages", mais n’avait, par contre, pas refusé les avances de la sœur de notre hôtesse. C’était ce genre d’échec qui avait mis Karen dans un état de frustration pouvant en arriver à une revanche. Certes, elle avait un peu abusé du vin rosé un peu trop frais sur la terrasse plein soleil. Elle en était même arrivée à changer son soutien gorge pourtant bien échancré contre un redresse-sein sous un chemisier dont la transparence quasi obscène ne cachait plus les mamelons qui du même fait laissaient les tétons tendre le chemisier. A peine cinq minutes que nous roulions vers chez nous, que Karen s’était mise en demi sommeil allongée sur son siège, légèrement tournée vers moi. J’aimais ce genre d’abandon ou je pouvais la mettre en position d’exhibition pour mon plaisir personnel, mais aussi pour les routiers qui pouvaient zieuter. J’avais déboutonné son chemisier de façon à ouvrir son décolleté au maximum. Sa mini jupette était retroussée à la limite de sa culotte ou plutôt de son string. Nous allions sortir d’Orléans et j’ai aperçu une forme sur le bord de la route. Lorsque j’ai réalisé que c’était un militaire, faisant du stop, j’ai regardé Karen et j’ai tout de suite réalisé le magnifique tableau que j’allais offrir à ce garçon, peut être à jeun sexuellement. J’étais sûr également qu’elle ne serait pas contre une revanche à l’échec de cet après midi. Je dépassais le soldat de quelques mètres et m’arrêtais. Je descendais de la voiture. Il allait à Cahors. Nous avons mis sa valise dans le coffre et le prévenais de la présence de mon épouse assoupie, allongée sur le siège avant. Il est monté derrière moi et nous sommes repartis. J’ai très vite constaté que "Rambo" s’était tout de suite intéressé au splendide tableau que donnait la position de Karen. L’arrêt devait d’ailleurs avoir perturbé son sommeil et elle était maintenant entièrement allongée sur le dos. Mais en changeant la position, son chemisier avait le décolleté totalement ouvert et découvrait entièrement sa poitrine et sa jupe entièrement retroussée ne cachait plus de tout son string en dentelle transparente. Rambo et moi discutions de sa vie militaire sans pour cela qu’il n’écarte son champ de vision. Le redresse-seins laissait un vue directe sur ses mamelons et les tétons en érection. Pouvant voir très nettement les tétons dressés, j’étais persuadé qu’elle était au courant de la présence de notre passager et qu’elle en profiterait pour lui donner une entière satisfaction visuelle de sa 1/2 nudité. Le regardant dans le rétro, sûr de le savoir en train de zieuter, ce qui était normal, je lui disais :
«- Elle est belle, hein !
- Et pas qu’un peu. Elle est très belle. Je fais beaucoup de stop, mais il ne m’était jamais arrivé de tomber sur un tel tableau. Elle a non seulement une poitrine magnifique, mais en plus, un corps parfait. Longues jambes et hanches délicieuses c’est une beauté de rêve, surtout pour un gars qui n’a pas vu de telle beauté depuis 2 mois.
- Et en plus nous sommes un couple libertin. Voyez...vous pouvez jouer au loto. C’est votre jour de chance. »
En même temps je lui caressais un sein et je titillais un téton qui réagissais comme un ressort. Je glissais une main vers foufoune et glissant dans son string je peignais sa petite toison, prenant bien soin de soulever et de retrousser ce string pour dénuder ce petit trésor.
- Je ne sais pas si elle dort vraiment, mais, en tout cas elle mouille pas mal. En plus ses nichons sont tellement agréables à caresser, elle a la peau si douce que c’est un régal. Je ne m’en lasse pas. Tiens vas-y, caresse lui les seins tu vas voir.
- Oh non, je risque de la réveiller, je ne veux pas d’histoire.
-Elle a un peu trop bu de rosé cet après midi, je suis sûr que là elle dort bien. Elle mouille par réflexe tu peux la caresser, tu ne risques rien. Et puis même, la connaissant, je ne pense pas qu’une petite caresse puisse la traumatiser. Tu peux même te risquer à foufoune, tu verras qu’elle mouille vraiment.
Rambo n’a plus hésité. Il a d’abord délicatement posé sa main sur un sein et n’ayant remarqué aucune réaction il l’a caressé, puis il est passé à l’autre et revenu au premier. Il l’a caressée un long moment. Visiblement il y prenait plaisir. Et tout à coup il s’est décidé il s’est aventuré vers foufoune. Je l’ai vu la doigter, de chercher le clito, de l’énerver, de le réveiller si ce n’était pas déjà fait. Maintenant, voyant ses yeux tressauter, j’avais compris que Karen, non seulement était réveillée mais qu’elle se plaisait dans ce petit jeu. Avec un gémissement de plaisir elle a remué et, surpris Rambo a arrêté ses caresses. Elle a ouvert ses yeux et regardant autour d’elle, ignorant la présence de l’inconnu, m’a demandé ou on était.
« - Il faudrait s’arrêter , je voudrais aller aux toilettes. Ah, bonjour. Jean a prit un auto-stoppeur, et un militaire en plus? Jusqu’ou allez-vous?
- Chez mes parents à Montauban.
- Ho mon Dieu, je suis à moitié à poil. Tu aurais pu me couvrir tout de même.
- ho mais ça ne nous a pas dérangé au contraire. Notre ami a même pu constater que tes seins étaient bien fermes.
-Ah c’est ça que je sentais, je pensais que c’était mon vicieux de mari qui profitait.
-et bien non, ce n’était pas que moi, il a même pu constater que tu mouilles comme une jeunette.
-Tu sais très bien que je réagis très vite à toutes caresses, vous êtes des salops vous avez profité que je dorme pour me caresser.
- Excusez moi madame, mais c’est votre mari qui…
- oh je sais très bien ce n’est pas de votre faute. Enfin, … Si ça vous a plu. Grand bien vous fasse. Jean a toujours eu le fantasme de me prêter. La, vous en avez profité. Bon, Jean, n’oublie pas, il faut me faut des toilettes.»
Je suis entré sur une aire de repos et me suis garé devant la cabane des toilettes. Pendant qu’elle était aux toilettes, je me retournais vers Rambo qui se désolait d’avoir fâché Karen :
« - Désolé ? Oh mais pas du tout, au contraire. Tu verras, lorsqu’elle reviendra, ouvres lui la porte de son côté, et tu verras elle montera avec toi derrière. Elle sortira des toilettes, elle ouvrira sa veste et, dessous, elle sera à poils. C’est pour te dire qu’elle est d’accord pour toute ce qui risque de se passer après. Tu pourras la caresser tant que tu voudra. Elle même te caresseras, et même si ta queue lui convient elle te fera sa fameuse royale, une pipe à damner un saint. Et en plus elle avale. Qui sait, même peut être plus encore.»
A peine avais je fini, que Karen revenait. A mi chemin, elle ouvrait sa veste et elle était effectivement totalement nue. Effectivement elle avait sorti string et redresse seins et regardait Rambo avec un sourire enjôleur. Bien sûr, notre ami s’est empressé d’ouvrir la portière et l’a aidée à s’asseoir à ses côtés. Au début, Rambo, prit au dépourvu, n’a pas osé avoir une quelconque réaction. C’est Karen qui posant une main sur ses cuisses s’est penchée pour lui donner un baiser. Rambo l’a alors prise dans ses bras pour lui rouler la pelle demandée. Il en a profité pour reprendre les seins en main. Karen de son côté avait posé une main sur la braguette du pantalon que Rambo n’a pas tardé à ouvrir largement avec la ceinture. Karen s’est empressée d’extraire avec insistance une queue en grande forme et même très grande forme au point ou elle lui a demandé si c’était elle qui la mettait dans un tel état. Elle a prit sa tête des deux mains pour la plaquer sur un tétons pour se faire téter. Rambo avait prit le sein dans ses deux mains et dévorait littéralement le sein offert. Elle lui a murmuré à l’oreille qu’elle en avait deux, qu’elle aimait ça et des "-vas y mon chéri, tètes les. Régale toi, régale moi." Pendant qu’elle offrait sa poitrine elle caressait la queue bien raide de Rambo. Elle me lançait un regard "plein rêve", les yeux à moitiés fermés. Elle était en train de se venger de l’échec de cet après midi avec le black. Maintenant j’étais sûr que Rambo aurait droit à une bonne -Royale- dont elle a le secret et que tout le monde lui réclame lors des soirées pipes sur notre parking. Rambo avait lâché le sein ruisselant de salive et commençait a couvrir la peau de Karen de petits baisers amoureux caressant les hanches et est allé insister sur foufoune. Il s’était un peu décollé du corps de mon épouse et a regardé cette main de salope qui le masturbait. Trop excité, il craignait de partir avant de se faire sucer. Karen l’a comprit :
«- T’en fait pas mon chou, tu vas l’avoir. Je suis sûre qu’il t’a parlé de ma royale. Je vais m’y appliquer. Surtout que j’ai, là, en main, un support qui me pousse à la perfection. Tu as du en faire gueuler des femmes avec un tel engin. Bon assez parlé. Ca ne se fait pas de parler la bouche pleine je vais me taire un bon moment. Toi par contre il ne t’es pas interdit de donner les appréciations comme tu le ressens. »
J’ai pu voir Karen plonger sa tête et disparaître entre les sièges et Rambo me regarder d’un regard étonné. Il venait de sentir qu’elle avait enfourné sa queue dans la bouche. Il était étonné de me trouver souriant alors que ma femme lui faisait sa fameuse gâterie. Le pouce en l’air, je le rassurais en voulant savoir si tout allait bien. Pour toute réponse j’ai perçu le ronronnement de Karen qui prenait plaisir à lui donner ce plaisir avec lequel tous les gars se régalaient. Il a baissé la tête, a cherché à constater la disparition de sa queue. Il m’a regardé à nouveau et a prit l’air béta de l’homme heureux. Il opinait de la tête les yeux à demi fermés puis repartait de temps en temps à la recherche de sa queue cachée. Jusqu’à ce que au bout d’un bon moment, la bouche grande ouverte il a poussé le râle de l’homme des cavernes. Je comprenais qu’il s’était libéré. Karen l’a gardé encore un moment dans la bouche, continuant à le pomper, puis de quelques coups de langue à essuyé la queue encore bandante. Elle a levé les yeux sur l’homme heureux et, hypocritement, lui a demandé :
« -Alors, ça t’a plu ? Mon mari t’avait prévenu pourtant. Je suis une experte. Salope ET experte.
- c’est à dire qu’on m’a jamais sucé comme ça. C’était super. MERCI .»
Karen a relevé la tête et la bouche entrouverte elle exhibait la réussite de sa pipe, la langue couverte du sperme de notre Rambo et se tournant vers lui elle a tout avalé.
« - hé bien dis donc, que te donne t’on à manger au mess. En tout cas, tu as mangé drôlement épicé. C’était bon mais épicé. Tu es à jeun depuis combien de temps mon chou? Tu étais plein ma parole, j’ai avalé double dose. Il y avait le paquet. Tu t’étais réservé pour ce soir… MERCI. On va bientôt arriver, si tu pouvais me remercier. j’ai foufoune qui frétille. Une petite léchouille ne me déplairait pas. Regarde elle ruisselle. J’ai pris la douche juste avant de partir, elle est nickel, tu peux lécher tant que tu peux.»
Rambo, ne pouvant pas refuser, s’est collé à sa portière, à écarté les cuisses de Karen et s’est littéralement jeté sur foufoune comme un affamé. Karen a poussé un petit cri de surprise, a posé ses deux mains dur la tête du suceur. Elle même s’est plaquée contre sa portière et a laissé Rambo lui dévorer foufoune avec l’appétit d’un affamé. J’entendais les gémissements de Karen ainsi que les bruits que faisait Rambo à laper foufoune. Et là, c’est Karen qui s’est lâchée la première. Un fort et long gémissement ont annoncé une bonne jouissance. Elle a fait relever la tête de Rambeau et lui a donné un long baiser de remerciement.
«  - Merci mon chou, tu m’as fait le cadeau de la soirée. J’ai beaucoup aimé, c’était délicieux. Ce doit être bon de se faire prendre par toi, dommage que nous arrivions, peut être une autre fois. Qui sait le hasard.
-Ah mais j’ai tout mon temps, s’il faut.
- Je regrette mais il faut que nous rentrions, mais c’est vrai que j’aurais bien accepté un petit coup rapide. Surtout que j’étais très chaude après ta léchouille.»
Effectivement nous étions arrivés à Montauban. Il nous a guidé tout en rajustant son uniforme. Nous l’avons laissé et nous sommes rentrés chez nous.
Ç’est resté un bon souvenir. Nous ne l’avons pas revu.

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