Karen et sa 1ère partouze
Récit érotique écrit par Tyroler frantz [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur couple.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-02-2024 dans la catégorie Plus on est
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Karen et sa 1ère partouze
Karen et sa première partouze,
Cette expérience s’est déroulée 6 mois après celles racontées "au bandeau" et "bandeau suite". Nous avions revus Pédro plusieurs fois pour des trios et Pédro était toujours aussi enthousiaste pour revoir Karen. Une semaine ou nous étions allés en Turquie , Pédro et moi, Pédro m’a fait part de son envie d’organiser une partouze avec 4 ou 5 couples, et bien sûr il aurait été ravi de nous y voir. Karen, à ma connaissance, n’avait jamais participée à une partouze. Et donc si elle acceptait cette invitation, ce serait une première. De retour à la maison, Pédro, comme d’habitude, mangeait à la maison. Il n’a pas manqué de parler "innocemment" de son envie, sans pour autant nous y inviter. C’est Karen elle même qui avait reprit la discussion et qui demandait plus de renseignements. Au bout de 3 renseignements, Pédro, étonné de ses questions, lui a fait cette remarque:
« - hé bien il y aura déjà 3 couples d’amis libertins. Et j’en cherche encore 1 ou 2 autres. Pourquoi? Ça t’intéresse ? Moi, tu sais bien que je serais d’accord mais je n’osais pas vous le proposer. Je ne savais pas que tu serais volontaire pour une partouze. Bon, pour des trios, je sais, mais pour des partouzes, sans connaitre les autres participants, ça je ne savais pas. C’est toujours délicat.
- Je n’ai jamais participé à ce genre d’expérience. Mais si tu connais bien les participants, pourquoi pas et en plus, pour moi, ce serait une première.
- Ha mais si tu es d’accord, moi je suis ravi au possible aussi, bien sûr vous y êtes invités.
- Bon, on en parle ce soir avec Frantz et il te donnera notre réponse, mais en principe...»
Bien sûr le soir même je téléphonais à Pédro pour lui donner notre accord. La partouze aurait lieu dans quinze jours, chez lui, à la campagne avec cinq couples très sympas. Je ne vous raconterais que les rapports de Karen avec ses différents amants dans différentes situations. Pour la fluidité du récit, j’éviterais de préciser pour ce qui est des poses de préservatifs. Pour ce soir là, Karen c’était maquillée sans outrance mais avait mit son rose à lèvres que j’adorais, rose pailleté brillant. Ce rouge à lèvres lui donnait air de gover-gearl de luxe, très sensuelle. Comme en plus elle portait sa mini jupette en cuir, fendue et fermée avec un bouton en forme de préservatif, un chemisier pas assez opaque pour cacher son redresse seins ni ses tétons bien ronds. Des talons hauts qui lui faisaient cambrer merveilleusement ses reins et mettaient ainsi son 105 C en valeur si besoin était. Quelques bijoux argentés réhaussaient sensuellement l’apparence. Nous sommes arrivés à 21 h comme il était prévu. Déjà quelques voitures et les fenêtres tamisées, une terrasse fleurie, la porte d’entrée ornée de deux rideaux dorés, donnaient un aspect de décor de film érotique. Deux couples étaient arrivés, et surprise il y avait Chantal, une amie, très en beauté avec son mari, Henri, que je connaissais comme très amoureux de Karen. L’autre couple, très jeune, la vingtaine, elle brune d’apparence italienne et, un zézémant ravissant et très bandant. Pédro nous a installés autour d’une table, coupes de champagne gâteaux secs, amuses gueules et autres friandises. Nous discutions de tout et de rien dérivant de plus en plus sur le sexe. Tout le monde riait, souriait s’amusait et déjà des décolletés se sont échancrés. Les couples étant tous arrivés, les hommes se sont retrouvés torses nus en groupe d’un côté et les femmes en face les yeux bandés elles devaient attraper un inconnu à l’aveugle pour en faire une première envolée pour faire connaissance. C’est ainsi que Annie, la femme de Pédro est devenue ma cavalière (ou ma jument) pour la première prise de connaissance. Karen avait ferré un rouquin, Remi, mari d’une rouquine plantureuse avec des seins énormes. Déjà, avant qu’on lui bande les yeux, elle l’avait repéré. Elle lui souriait obstinément et, peut être, le hasard a voulu qu’elle tombe sur lui, même s’il a apparemment aidé à se laisser ferrer. La musique, (un slow bien entendu) les a aidé au rapprochement. C’est très rapidement qu’elle m’a fait signe qu’avec lui, "c’était OK". Apparemment la réponse ainsi que la décision, avaient été rapides. Vraiment le désir, ou l’ambiance maintenant très érotisée, ou une courte discussion très dissuasive ? Elle me racontera par la suite. Lui même m’avait repérée grâce à mon décolleté, mais au slow j’ai pu constater qu’il bandait très fort. Et cette bandaison était très prometteuse. Visiblement, l’affaire était conclue entre eux. Le slow terminé ils en étaient déjà à, non seulement, se rouler une pelle d’enfer, mais Rémi visitait sans discrétion le corsage grand ouvert de sa cavalière totalement consentante tandis qu’elle l’encourageait d’une main sur le gonflement de son pantalon. D’autres couples avaient donnés le là pour le lancement de cette partouze. Les uns après les autres, ils se vautraient sur les matelas qui servaient de moquettes dans le salon attenant. Karen et son Rémi s’escrimaient à se déshabiller mutuellement. Tandis que Rouquin malaxait un sein d’une main, et descendait la fermeture de la mini jupette de l’autre main tout en essayant de ne pas interrompre leur baiser amoureux, Karen, elle, après avoir ouvert la braguette du pantalon et extrait difficilement un sexe en totale érection, elle dégrafait la ceinture pour faire tomber ce pantalon. Très vite ils se sont retrouver nus poursuivant les caresses et le baiser super baveux. C’est Rémi qui le premier s’est mit à genoux. Une main gardant un sein et l’autre sur une hanche il a placé sa bouche sur le haut de la fourrure de la chatte et après quelques bisous, il est allé honorer le sexe brillant de ma femme. Karen a plaqué la tête de Rouquin pour l’obliger à rester la, pour la sucer et la cunnilinguer d’une langue fouilleuse. Je les regardais s’aimer alors que Chantal réchauffait ma queue dans sa bouche. Elle aussi était nue, ses seins qui se balançaient ont été bloqués par un "célibataire" qui profitait d’un sein par ici, d’une chatte par là complétait les caresses de chaque couple. La femme, qui elle même se faisait lécher a voulu constater la fermeté des nichons de Karen qui a gonflé sa poitrine comme pour lui en donner davantage. Elle s’est penchée, et prenant la bouche de cette participante, elles se sont à leur tour roulés une sacré pelle amoureuse. Karen en a profitée pour caresser sa petite poitrine aux tétons arrogants. Passant un bras entre les cuisses de Karen, Rémi est allé entre les fesses pour doigter le petit fripé. Comme pour l’encourager dans cette caresse Karen balançait son cul d’avant en arrière faisant ressortir ou entrer un doigt explorateur, et donnant ainsi son consentement en vue d’une possible sodomie. Surtout que Rouquin, interprétant très favorablement ce balancement en était déjà à son deuxième doigt et même essayant un troisième pour s’assurer de ce consentement. Karen, non seulement laissait faire mais, visiblement prenait plaisir à cette caresse. Rouquin, encouragé, a redoublé son cunni. Maintenant, Karen avait la bouche grande ouverte et certainement émettait des gémissements encourageant. De mon côté, je me retirais de la bouche de Chantal. Elle me fixait comme pour m’entendre la féliciter. Alors, tout de même concentré sur les prestations de Karen avec son Rouquin, je lui lançais un:
« - Je comprends pourquoi j’ai toujours aimé te regarder sucer. C’est vraiment un plaisir inoubliable. Tu es l’égale de Karen. Et je la croyais être la meilleure, et pourtant tu suces aussi bien qu’elle. Tu as du en faire des heureux. Je vais essayer de te rendre le même plaisir. Donnes moi foufoune, j’ai bien l’intention de te faire gueuler, si ce n’est pas avec ma bouche je le ferais avec popaul.»
Je l’ai aidée à se relever, j’en ai profité pour téter ses nénés, certes plus petits que ceux de Karen mais avec des tétons tout aussi pointeur. Je me suis agenouillé et me suis retrouvé face à foufoune toute luisante de son excitation. En la prenant par ses fesses, je profitais que le gars d’a côté observait pour écarter les fesses de Chantal et lui en faire profiter. Il eut le réflexe de caresser les fesses exhibées pour les câliner et engager une petite caresse qu’elle a accueilli par un gémissement encourageant. Et il revint à sa cavalière pour lui arracher un gémissement de jouissance. Je mettais ma tête entre les cuisses de Chantal et entamais un cunni que je voulais très profond. Il fallait que je tienne ma parole. Si elle ne gueulait pas là, je le ferais à la sodomie. Surtout que je la connaissais redouter les sodomies avec des bittes un peu trop épaisse. Elle s’est mise à gémir assez rapidement. Comme Karen, elle était friande de cunnis. Alors j’ai approfondi mon exploration. Elle appuyait fortement sur ma tête pour m’y encourager . Alors, reprenant l’idée du gars d’à côté, je la doigtais à mon tour. D’abord d’un doigt, et répondant à son balancement fessier j’y mis deux doigts et commençais un troisième . Mais elle m’a stoppé avec sa main. Alors je m’efforçais de la pénétrer seulement avec deux doigts et ainsi lui baisais le cul. Mais je voulais voir ou en était Karen et son Rouquin. Alors, faisant mine de reprendre la respiration je jetais un coup d’oeil. Et là, surprise, "célibataire à tout faire" qui se satisfaisait des seins de droite, des fesses de gauche, il était maintenant allongé sur Karen, allongée elle même sur Rémi. Elle se faisait double pénétrer par ses deux amants tout heureux d’être tombés sur la salope de la soirée. Elle n’avait même pas à bouger. Les deux bougres s’en donnaient à coeur joie en lui donnant tout le plaisir possible. Elle avait les yeux hagards, la bouche ouverte et ses nichons se balançaient dans tous les sens. Oui, c’était elle que j’entendais gueuler comme je l’aurais voulu pour Chantal. Elle, certes, prenait plaisir à mon cunni. Mais j’avais égaré ma concentration. Mais je ne pouvais pas oublier Karen et sa jouissance. Les deux bougres, eux, ne s’étaient pas déconcentrés, au contraire. Ils s’activaient au prorata des jouissances de Karen. Au point que plusieurs couples avaient ralenti leur baise pour les regarder s’envoyer en l’air. Même Chantal se prit au jeux du voyeurisme. Elle avait ralenti ses gémissements, les réglant au rythme faiblissant de mon cunni. Elle s’est penché vers moi et:
« - Regarde là. Ils l’ont prise en sandwich, elle jouit comme une folle. Elle est splendide. Bon? C’est vrai elle a toujours aimé les sandwichs. Elle me racontait pour toi avec le black, les pieds qu’elle prenait. C’est grâce à elle que j’ai essayé moi aussi. J’avais été conne de n’avoir pas essayé plus tôt et pourtant Joël me l’a souvent proposé. Il faudra essayer un soir lorsqu’il y aura votre black si Karen est d’accord.»
Suite au prochain épisode ou Karen a vraiment été la reine de la soirée.
Cette expérience s’est déroulée 6 mois après celles racontées "au bandeau" et "bandeau suite". Nous avions revus Pédro plusieurs fois pour des trios et Pédro était toujours aussi enthousiaste pour revoir Karen. Une semaine ou nous étions allés en Turquie , Pédro et moi, Pédro m’a fait part de son envie d’organiser une partouze avec 4 ou 5 couples, et bien sûr il aurait été ravi de nous y voir. Karen, à ma connaissance, n’avait jamais participée à une partouze. Et donc si elle acceptait cette invitation, ce serait une première. De retour à la maison, Pédro, comme d’habitude, mangeait à la maison. Il n’a pas manqué de parler "innocemment" de son envie, sans pour autant nous y inviter. C’est Karen elle même qui avait reprit la discussion et qui demandait plus de renseignements. Au bout de 3 renseignements, Pédro, étonné de ses questions, lui a fait cette remarque:
« - hé bien il y aura déjà 3 couples d’amis libertins. Et j’en cherche encore 1 ou 2 autres. Pourquoi? Ça t’intéresse ? Moi, tu sais bien que je serais d’accord mais je n’osais pas vous le proposer. Je ne savais pas que tu serais volontaire pour une partouze. Bon, pour des trios, je sais, mais pour des partouzes, sans connaitre les autres participants, ça je ne savais pas. C’est toujours délicat.
- Je n’ai jamais participé à ce genre d’expérience. Mais si tu connais bien les participants, pourquoi pas et en plus, pour moi, ce serait une première.
- Ha mais si tu es d’accord, moi je suis ravi au possible aussi, bien sûr vous y êtes invités.
- Bon, on en parle ce soir avec Frantz et il te donnera notre réponse, mais en principe...»
Bien sûr le soir même je téléphonais à Pédro pour lui donner notre accord. La partouze aurait lieu dans quinze jours, chez lui, à la campagne avec cinq couples très sympas. Je ne vous raconterais que les rapports de Karen avec ses différents amants dans différentes situations. Pour la fluidité du récit, j’éviterais de préciser pour ce qui est des poses de préservatifs. Pour ce soir là, Karen c’était maquillée sans outrance mais avait mit son rose à lèvres que j’adorais, rose pailleté brillant. Ce rouge à lèvres lui donnait air de gover-gearl de luxe, très sensuelle. Comme en plus elle portait sa mini jupette en cuir, fendue et fermée avec un bouton en forme de préservatif, un chemisier pas assez opaque pour cacher son redresse seins ni ses tétons bien ronds. Des talons hauts qui lui faisaient cambrer merveilleusement ses reins et mettaient ainsi son 105 C en valeur si besoin était. Quelques bijoux argentés réhaussaient sensuellement l’apparence. Nous sommes arrivés à 21 h comme il était prévu. Déjà quelques voitures et les fenêtres tamisées, une terrasse fleurie, la porte d’entrée ornée de deux rideaux dorés, donnaient un aspect de décor de film érotique. Deux couples étaient arrivés, et surprise il y avait Chantal, une amie, très en beauté avec son mari, Henri, que je connaissais comme très amoureux de Karen. L’autre couple, très jeune, la vingtaine, elle brune d’apparence italienne et, un zézémant ravissant et très bandant. Pédro nous a installés autour d’une table, coupes de champagne gâteaux secs, amuses gueules et autres friandises. Nous discutions de tout et de rien dérivant de plus en plus sur le sexe. Tout le monde riait, souriait s’amusait et déjà des décolletés se sont échancrés. Les couples étant tous arrivés, les hommes se sont retrouvés torses nus en groupe d’un côté et les femmes en face les yeux bandés elles devaient attraper un inconnu à l’aveugle pour en faire une première envolée pour faire connaissance. C’est ainsi que Annie, la femme de Pédro est devenue ma cavalière (ou ma jument) pour la première prise de connaissance. Karen avait ferré un rouquin, Remi, mari d’une rouquine plantureuse avec des seins énormes. Déjà, avant qu’on lui bande les yeux, elle l’avait repéré. Elle lui souriait obstinément et, peut être, le hasard a voulu qu’elle tombe sur lui, même s’il a apparemment aidé à se laisser ferrer. La musique, (un slow bien entendu) les a aidé au rapprochement. C’est très rapidement qu’elle m’a fait signe qu’avec lui, "c’était OK". Apparemment la réponse ainsi que la décision, avaient été rapides. Vraiment le désir, ou l’ambiance maintenant très érotisée, ou une courte discussion très dissuasive ? Elle me racontera par la suite. Lui même m’avait repérée grâce à mon décolleté, mais au slow j’ai pu constater qu’il bandait très fort. Et cette bandaison était très prometteuse. Visiblement, l’affaire était conclue entre eux. Le slow terminé ils en étaient déjà à, non seulement, se rouler une pelle d’enfer, mais Rémi visitait sans discrétion le corsage grand ouvert de sa cavalière totalement consentante tandis qu’elle l’encourageait d’une main sur le gonflement de son pantalon. D’autres couples avaient donnés le là pour le lancement de cette partouze. Les uns après les autres, ils se vautraient sur les matelas qui servaient de moquettes dans le salon attenant. Karen et son Rémi s’escrimaient à se déshabiller mutuellement. Tandis que Rouquin malaxait un sein d’une main, et descendait la fermeture de la mini jupette de l’autre main tout en essayant de ne pas interrompre leur baiser amoureux, Karen, elle, après avoir ouvert la braguette du pantalon et extrait difficilement un sexe en totale érection, elle dégrafait la ceinture pour faire tomber ce pantalon. Très vite ils se sont retrouver nus poursuivant les caresses et le baiser super baveux. C’est Rémi qui le premier s’est mit à genoux. Une main gardant un sein et l’autre sur une hanche il a placé sa bouche sur le haut de la fourrure de la chatte et après quelques bisous, il est allé honorer le sexe brillant de ma femme. Karen a plaqué la tête de Rouquin pour l’obliger à rester la, pour la sucer et la cunnilinguer d’une langue fouilleuse. Je les regardais s’aimer alors que Chantal réchauffait ma queue dans sa bouche. Elle aussi était nue, ses seins qui se balançaient ont été bloqués par un "célibataire" qui profitait d’un sein par ici, d’une chatte par là complétait les caresses de chaque couple. La femme, qui elle même se faisait lécher a voulu constater la fermeté des nichons de Karen qui a gonflé sa poitrine comme pour lui en donner davantage. Elle s’est penchée, et prenant la bouche de cette participante, elles se sont à leur tour roulés une sacré pelle amoureuse. Karen en a profitée pour caresser sa petite poitrine aux tétons arrogants. Passant un bras entre les cuisses de Karen, Rémi est allé entre les fesses pour doigter le petit fripé. Comme pour l’encourager dans cette caresse Karen balançait son cul d’avant en arrière faisant ressortir ou entrer un doigt explorateur, et donnant ainsi son consentement en vue d’une possible sodomie. Surtout que Rouquin, interprétant très favorablement ce balancement en était déjà à son deuxième doigt et même essayant un troisième pour s’assurer de ce consentement. Karen, non seulement laissait faire mais, visiblement prenait plaisir à cette caresse. Rouquin, encouragé, a redoublé son cunni. Maintenant, Karen avait la bouche grande ouverte et certainement émettait des gémissements encourageant. De mon côté, je me retirais de la bouche de Chantal. Elle me fixait comme pour m’entendre la féliciter. Alors, tout de même concentré sur les prestations de Karen avec son Rouquin, je lui lançais un:
« - Je comprends pourquoi j’ai toujours aimé te regarder sucer. C’est vraiment un plaisir inoubliable. Tu es l’égale de Karen. Et je la croyais être la meilleure, et pourtant tu suces aussi bien qu’elle. Tu as du en faire des heureux. Je vais essayer de te rendre le même plaisir. Donnes moi foufoune, j’ai bien l’intention de te faire gueuler, si ce n’est pas avec ma bouche je le ferais avec popaul.»
Je l’ai aidée à se relever, j’en ai profité pour téter ses nénés, certes plus petits que ceux de Karen mais avec des tétons tout aussi pointeur. Je me suis agenouillé et me suis retrouvé face à foufoune toute luisante de son excitation. En la prenant par ses fesses, je profitais que le gars d’a côté observait pour écarter les fesses de Chantal et lui en faire profiter. Il eut le réflexe de caresser les fesses exhibées pour les câliner et engager une petite caresse qu’elle a accueilli par un gémissement encourageant. Et il revint à sa cavalière pour lui arracher un gémissement de jouissance. Je mettais ma tête entre les cuisses de Chantal et entamais un cunni que je voulais très profond. Il fallait que je tienne ma parole. Si elle ne gueulait pas là, je le ferais à la sodomie. Surtout que je la connaissais redouter les sodomies avec des bittes un peu trop épaisse. Elle s’est mise à gémir assez rapidement. Comme Karen, elle était friande de cunnis. Alors j’ai approfondi mon exploration. Elle appuyait fortement sur ma tête pour m’y encourager . Alors, reprenant l’idée du gars d’à côté, je la doigtais à mon tour. D’abord d’un doigt, et répondant à son balancement fessier j’y mis deux doigts et commençais un troisième . Mais elle m’a stoppé avec sa main. Alors je m’efforçais de la pénétrer seulement avec deux doigts et ainsi lui baisais le cul. Mais je voulais voir ou en était Karen et son Rouquin. Alors, faisant mine de reprendre la respiration je jetais un coup d’oeil. Et là, surprise, "célibataire à tout faire" qui se satisfaisait des seins de droite, des fesses de gauche, il était maintenant allongé sur Karen, allongée elle même sur Rémi. Elle se faisait double pénétrer par ses deux amants tout heureux d’être tombés sur la salope de la soirée. Elle n’avait même pas à bouger. Les deux bougres s’en donnaient à coeur joie en lui donnant tout le plaisir possible. Elle avait les yeux hagards, la bouche ouverte et ses nichons se balançaient dans tous les sens. Oui, c’était elle que j’entendais gueuler comme je l’aurais voulu pour Chantal. Elle, certes, prenait plaisir à mon cunni. Mais j’avais égaré ma concentration. Mais je ne pouvais pas oublier Karen et sa jouissance. Les deux bougres, eux, ne s’étaient pas déconcentrés, au contraire. Ils s’activaient au prorata des jouissances de Karen. Au point que plusieurs couples avaient ralenti leur baise pour les regarder s’envoyer en l’air. Même Chantal se prit au jeux du voyeurisme. Elle avait ralenti ses gémissements, les réglant au rythme faiblissant de mon cunni. Elle s’est penché vers moi et:
« - Regarde là. Ils l’ont prise en sandwich, elle jouit comme une folle. Elle est splendide. Bon? C’est vrai elle a toujours aimé les sandwichs. Elle me racontait pour toi avec le black, les pieds qu’elle prenait. C’est grâce à elle que j’ai essayé moi aussi. J’avais été conne de n’avoir pas essayé plus tôt et pourtant Joël me l’a souvent proposé. Il faudra essayer un soir lorsqu’il y aura votre black si Karen est d’accord.»
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