Karen et Sultan

- Par l'auteur HDS Tyroler frantz -
Auteur couple.
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Récit libertin : Karen et Sultan Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-01-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Karen et Sultan
Karen et Sultan,

Depuis plusieurs années, Karen et moi pratiquions le candaulisme. Elle avait fait des études d’aide comptable, et moi j’étais chauffeur routier ce qui m’obligeais à être souvent éloigné de ma famille. Karen, elle était secrétaire dans une boite de distribution (une grande enseigne). Mon métier faisait que j’étais absent 5 jours, voir même 6 jours par semaine. De ce fait, Karen prenait les initiatives nécessaires pour la gestion familiale. Ainsi, Martine, sa fille, (d’un premier mariage) avait demandé de faire du cheval. Louise, sa meilleure copine, avait son père, veuf depuis un an, qui possédait un haras et donnait des leçons d’équitation. Alors Karen l’avait inscrite chez ce gars ce qui l’obligeait à l’amener deux fois par semaine au hara. Une fin de semaine ou j’avais terminé mon travail elle m’a proposé de l’accompagner pour chercher Martine. Lorsque j’ai vu "le gars", j’ai tout de suite compris pourquoi Karen n’avait pas rechigné à ces leçons. Jean, le gars en question, se trouvait être un très bel homme, genre Italien casanova, très sympa et surtout ne cachant pas son attirance pour ma femme. A notre arrivée, il est venu nous saluer, Karen nous a présenté et Jean nous a prévenu que Martine et sa fille, étaient dans un box pour s’occuper de Sultan, un magnifique pur sang arabe parce que le soir même, il prélèverait de la semence sur cet étalon pour honorer la commande d’un autre haras. Il nous a invité à cet évènement sexuel assez exceptionnel, surtout qu’il le faisait à l’ancienne, n’ayant pas le matériel moderne. Bien sûr Karen a tout de suite accepté l’invitation prévue le soir même à 20h00. Il nous invitait aussi à un petit apéritif.
Nous sommes rentrés à la maison avec Martine. Mais ce soir là, Martine et Michèle avaient prévus de sortir en boite et nous laissait donc seuls tous les trois pour l’apéritif, ce qui n’avait pas du tout l’air de contrarier Karen. Je comprenais très vite qu’elle avait une idée plus que coquine derrière la tête sinon entre les cuisses. Sa tenue pour nous rendre à l’invitation m’a confirmé que la fin de soirée se terminerait certainement dans un lit à trois. Elle n’avait pas mit de soutif sous son chemisier laissant son 105 C se balancer pornographiquement sous son chemisier de dentelles transparente, et même si elle avait mit une culotte, elle portait sa jupe de compétition, en cuir et mini très mini. A ma plaisanterie:
- Hé bien dis donc, tu en as envie à ce point ?
- Je pensais que tu l’avais compris, il m’a déjà "fait une cour très appuyée" plusieurs fois. J’ai toujours refusé parce que je voulais que tu sois là. Comme ce vendredi nous avons le w.e. pour nous reposer j’ai pensé que peut être... Alors oui j’en ai vraiment envie à ce point. En plus d’être très sexy, il a une réputation de bon coup, sans pour cela être super bien monté, il était surtout performant. Chantal l’a déjà essayé, c’est pour te dire. L’excuse du prélèvement sur son étalon, d’après Chantal, est son plan de drague préféré et parait il sans faille. Enfin on verra. Comme il lui posait des questions sur moi, elle en était arrivée à lui parler de notre mode de vie Candau. Alors, ce soir, s’il nous propose son plan de drague infaillible... je ne comprendrais pas ton refus.
- Oui, tu sais bien que je suis d’accord, et si c’est effectivement un bon coup, on pourra le garder pour d’autres fois.
- Oui, pourquoi pas, on verra et suivant, on en discutera plus sérieusement après. Mais, dans la semaine, lorsque je serais seule et trop en manque...qui sait, mais je te préviendrais. Il a bien gardé Chantal comme maîtresse pour de "temps en temps" et sans l’excuse du prélèvement. Elle en est contente, je crois même qu’elle en est amoureuse sans toutefois en être jalouse puisqu’elle m’en à parlé, à la limite d’une proposition d’essai.
Nous sommes arrivés au haras à 20 h 00 comme prévu. Visiblement, Jean nous attendait. Il a trouvé Karen étincelante et nous a installés autour d’un grand guéridon ou le champagne nous attendait. Nous étions en face un enclos ou Jean est allé attacher les pates de l’étalon pour la sécurité anti ruades.
Jean est revenu à notre table et nous a expliqué comment se déroulera le prélèvement. Il lui faut présenter un chiffon imbibé de l’odeur d’une jument en chaleur et lorsque l’étalon sera en totale érection, il lui placera un "masturbateur" au bout de son sexe et il faudra attendre l’éjaculation pour recueillir celle-ci dans une poche stérile qu’il congèlera. Pour cela, me regardant, il me demande s’il me serait possible de l’aider pour lui faciliter la pose du masturbateur. Tout d’abord surpris, mais comprenant qu’il lui serait certainement plus préférable d’être aidé plutôt par Karen, je me tourne vers elle et lui propose de l’aider, car, en tant que femme elle était plus à même de réussir ce genre de manipulation. Bien sûr, elle n’a même pas simulé une quelconque gêne et a accepté. Jean a alors posé deux tabourets de chaque côtés de Sultan et a fait assoir Karen sur un tabouret (très bas) la positionnant ainsi en face du sien de l’autre côté. Comme le tabouret était assez haut, Karen était obligée d’écarter les cuisses pour se stabiliser. Il lui a montré qu’il lui faudrait appuyer sa tête sur le ventre de Sultan pour se caler et se servir plus facilement de ses mains. J’avais bien sûr remarqué que son décolleté était grand ouvert et donc que Jean aurait un panorama très dégagé autant sur ses seins que sur l’entre jambe. J’étais sûr que Karen en était TRES consciente et qu’elle en était ravie. Il est allé de l’autre côté et s’asseyant sur son tabouret il n’a pu cacher ses regards sur le panorama.Il avait avec lui une grande sacoche. Il a prit une grosse boule de coton et l’a accrochée à la balustrade et l’a faite sentir à Sultan. Il a attendu un petit moment et l’érection a commencé à être de plus en plus visible ainsi que très spectaculaire. Jean s’est assis et a demandé à Karen de tenir fermement cette énorme queue frémissante pendant qu’il placerait le masturbateur au bout de celle-ci. Elle s’est retournée vers moi le regard en plein ravissement, me faisant comprendre que le moment était assez excitant. D’ailleurs, au bout d’un moment je l’ai entendu gémir, mélange d’excitation et de surprise. Elle m’a raconté ensuite qu’elle avait senti la jouissance de Sultan, autant par le front appuyé sur le ventre et par les nombreux passages de la jouissance. Surtout qu’elle sentait ces accoups tout en regardant les jets puissants qui remplissait la poche de prélèvement. Elle m’a dit qu’elle sentait effectivement les jets lorsqu’elle tenait ma queue lors d’une pipe, mais qu’avec Sultan cette sensation était multipliée par dix. Plus cette vue de voir les jets dont elle sentait la force, sortir du sexe qui rajoutait de l’excitation à la scène. C’est lorsqu’elle est revenue s’assoir à la table que j’ai compris à quel point Karen était excitée. Elle me regardait sans oser l’avouer à quel point cette expérience était surprenante et très sensuelle. En même temps elle n’essayait même pas de cacher l’érection de ses tétons qui étaient tendus comme rarement. Déjà son décolleté était ouvert de deux boutons supplémentaire. Ce qui faisait qu’il était quasiment ouvert et exhibait son 105 C avec des tétons d’au moins deux bons cms. C’était un spectacle qui n’arrivait que lors de ses fortes jouissances en DP, avec Amédé, son black TBM préféré. Elle s’est aperçue de mon regard amusé.
« - Oui, c’est vrai que ça m’a excitée, et même fortement. Entre Alain qui faisait une fixation sur foufoune et mon décolleté et le cheval qui jouissait ce que je sentais dans ma main, c’est vrai, je t’assure que j’ai, maintenant, foufoune en feu et je sens qu’elle coule tellement j’ai été proche de la jouissance. En plus j’ai compris que Jean, aussi, était très excité et donc qu’il serait au top pour une double. J’espère seulement que Chantal n’a pas menti sur son calibre moyen. S’il doit aller entre mes fesses je préfèrerais qu’il soit un calibre moyen. »
Alors que nous discutions, Jean a proposé à mon épouse en pleine chaleur de venir se laver les mains. Elle l’a suivie dans son atelier. Sultan, de son côté, commençait à débander. J’entendais des rires, des "messes basses" et l’eau couler. Mais toujours pas de retour. Alors, comprenant que Karen avait certainement commencé le rapprochement avec Jean, je me levais et allais doucement vers ce fameux atelier. Lorsque je jetais un oeil discret dans le petit bureau, j’ai pu voir Karen, debout, appuyée sur un meuble, le chemisier totalement ouvert, qui appuyait sur la tête de Jean qui, entre ses cuisses lui prodigait un cunni bien appuyé. Elle m’a vu et m’a souri en me faisant signe qu’elle était en pleine jouissance. Elle m’a fait comprendre qu’elle allait revenir à la table de l’apéritif pour engager LA soirée trio.
Lorsqu’ils sont revenus de l’atelier, j’ai bien vu la bosse dans le pantalon de Jean et Karen, elle, n’avait plus de chemisier qu’elle tenait à la main et donc, était seins nus, les tétons en alerte maxi. Elle avait le sourire de la femme heureuse. Elle avait tout de même la jupe, qui dejà courte, etait remontée jusqu’à moitié culotte. En avançant vers moi, pour m’envoyer son message habituel, elle s’est frotté les mains sur ses hanches. Elle l’avait donc masturbée, et même sucé puisqu’elle essuyait ses lèvres avec sa langue. Jean s’est assis en face moi et Karen à ses côtés. Elle gardait les cuisses écartées et comme elle ne portait plus de culotte je pouvais nettement voir l’humidité sur les poils de sa chatte. Elle devait avoir offert cette culotte à Jean qui avais accéléré la mise en chaleur de Karen. Posant une main très haut sur la cuisse de ma femme il m’a regardé comme pour voir ma réaction en me disant:
" - Karen m’a aidé si bien que j’espère que Sultan ne m’obligera pas à faire appel à votre si belle épouse à chaque prélèvement.
- Si cela devait se faire, et si cela peut vous aider, pourquoi pas ! "
Je donnais ainsi mon consentement pour une liaison éventuelle, ainsi que pour une aventure de cette fin de soirée. D’ailleurs Karen n’a pas hésité a donner ses lèvres à Jean pour un baiser bien baveux pour signifier sa propre acceptation. Il n’a pas résisté à une caresse sur le sein exposé alors qu’elle caressait une cuisse. Le baiser terminé, Jean a ouvert une bouteille de champagne et a rempli trois coupes.
Karen n’a pu se retenir d’un:« A nous trois ! Et à Sultan. »
Comme la soirée s’annonçait heureusement en trio, Karen a trouvé qu’il commençait à faire un peu frais. Jean nous a alors invités à rentrer dans la maison ou nous pourrons attendre nos filles de retour de boite.
Jean, après avoir gentiment enveloppé le chemisier sur les épaules de Karen et la prenant par la taille, ils se sont levés et je les suivais jusqu’à la maison. Jean avait laissé sa main se promener sur les fesses de Karen, elle m’a prit la mienne, la serrant fortement comme pour me remercier. Je me penchais et posais un baiser sur ses lèvres. Alors que j’ai bien senti sa langue essayer de chercher un baiser plus amoureux, je me penchais davantage pour embrasser un téton toujours aussi arrogant. Arrivés au salon, Jean a installé Karen sur le fauteuil et moi sur un autre un peu à l’écart se réservant celui a côté de mon épouse. Ainsi je me retrouvais, un nouvelle fois en position de spectateur devant un couple qui allait s’envoyer en l’air. Même si ce n’était pas la 1ère fois, je devenais spectateur d’une baise de mon épouse avec un amant, et j’ai tout de suite compris que Jean désirait qu’il en soit ainsi, sans ma participation immédiate, me réservant pour la 2ème partie. En fait j’aimais aussi bien voir et la regarder préparer son amant à la baiser, et ensuite lui faire accepter un trio avec son mari. Jean est allé derrière le fauteuil de Karen. Il s’est penché et a prit les deux globes laiteux et les a caressés calmement, amoureusement. Karen a relevé la tête, l’a regardé et leurs lèvres se sont jointe pour un long baiser bien appuyé. Il s’est redressé et a invité Karen a s’assoir sur ses genoux. Là, les grandes caresses ont flattées les courbes offertes. Karen gardait ses cuisses légèrement écartées lui donnant accès à foufoune. Bien sûr, Jean ne se privait pas de fouiller ainsi que de la doigter et de la branler. Très vite Karen a commencée à gémir alors qu’elle cherchait a caresser la braguette du pantalon. Elle s’est levée, mise à genoux entre les jambes de son amant. Elle s’est efforcée d’ouvrir cette braguette et a fini par sortir l’objet de sa convoitise et même si elle l’avait déjà sucée j’ai vu ce sexe tendu entrer dans la bouche accueillante de mon épouse. Ca toujours été le tableau le plus érotique de toutes mes préférences , même avant la DP. Maintenant elle le suçait avec un appétit féroce. Jean gardait les yeux fermés, même si quelques fois il ouvrait il les ouvrait pour la regarder lui donner ce plaisir tant apprécié de tous. Elle lui caressait les couilles avec tendresse, laissait ressortir cette queue, la regardait et la replongeait dans sa gorge. Je pouvais même voir qu’elle le laissait lui baiser la bouche car je pouvais voir cette queue enfler sa gorge à chaque passage ainsi qu’un peu de bave s’écouler du coin de ses lèvres à chaque retour. Puis Karen a accéléré ses mouvements à cadence rapide jusqu’au moment ou sentant la jouissance arriver, elle l’a fait jouir sur ses seins. A mesure que sa poitrine se faisait inonder, elle répandait ce plaisir, tout en observant Jean qui grognait de plaisir. Il s’est penché sur les seins pour téter ces deux biberons que Karen lui offrait avec ses mains façon soutient gorge. Karen me regardait souriante. Elle connaissait mon plaisir à l’admirer sucer, voir le sperme s’étaler sur sa poitrine pour le répandre. Elle prétendait que le sperme était une crème adoucissante pour la peau autant qu’il était un élixir pour l’amour. Je pense qu’elle avait raison, vu la douceur de sa peau. Jean, comme l’avait vanté Chantal, était effectivement performant et n’a pas débandé après la jouissance de la pipe de Karen. Il s’est levé et a fait pivoter Karen et après l’avoir mise en position de levrette, il a caressé la chatte baveuse avec le gland de sa bite et s’est enfoncé très lentement dans le ventre de mon épouse. Certes Karen n’était pas surprise, mais le cri qu’elle a poussé était plutôt un cri d’acceptation pour une pénétration attendue et puissante. Alors que Jean prenait une cadence lente, entrant, sortant de cet antre du plaisir, Karen accompagnait chaque entrée d’un "han" de satisfaction puis petit à petit cette satisfaction s’est transformée en demandes vulgaires de: « oui, vas y -plus fort- défonce moi- je suis ta pute-baise moi- plus fort.» De là, Jean a commencé à accélérer la cadence. Maintenant, ils criaient tous les deux jusqu’à la jouissance de Jean, suivie de celle de Karen. Ils sont restés un petit moment en pénétration, ronronnant leur plaisir Jean lui caressant les fesses, Karen l’empêchant de sortir en le serrant par les siennes. On aurait même penser qu’ils ne voulaient pas s’arrêter là, qu’ils attendaient un recommencement. C’est Karen qui s’est dégagée la première. S’est retournée, s’est blottie dans ses bras et ils se sont tendrement embrassés. Elle est venue vers moi, m’a tendu ses nichons que j’ai tété avec délice.
« - Ca t’a plu ? Pour moi, ça été super, surtout quand tu regardes, j’ai beaucoup aimé.
- Comme d’habitude, tu étais magnifiquement salope. Tu l’a merveilleusement sucé et je t’assure, j’ai vu que lui même a beaucoup apprécié. Comme j’aime te voir une queue dans ta bouche, et en plus on peut voir que tu aimes ça et que tu le fais avec ravissement. Et puis il t’a bien baisée, j’ai pu t’entendre jouir, et là tu sais que j’aime te voir et t’entendre jouir. Et il a inondé tes nichons, il y avait la dose, visiblement tu lui plais, il était enchanté. Oui, j’ai beaucoup aimé. Tu as été splendide. Tes nichons qui se balancent quand il te baise, la splendeur des splendeurs.
- On attend un peu et on remet ça, mais cette fois-ci on le fait à trois.
- Tu sais très bien que je n’attends que ça. On fait comme d’habitude? Le plus petit derrière? Aujourd’hui, c’est lui. Je lui laisse ce plaisir.
-Ok, comme c’est lui qui a la plus petite et je suis sûre qu’il appréciera. Chantal m’a dit qu’il sodomisait bien, qu’il faisait doucement. Je te ferais une bonne "royale"?
- Attends, va flirter un peu avec lui et demande lui de te sodomiser pendant que tu me suces, tu sais que j’aimes ça. En plus j’aime tant être dans ta bouche et le voir t’enculer, en plus j’aime sentir les coups de buttoir qui te font m’avaler plus profond, et comme toi, de ton côté, tu aimes sucer en gorges profondes…
- Sale vicieux, bien sûr que j’aime les profondes. En plus lui, il l’a assez petite. Je vais pouvoir la sentir entièrement au fond de la gorge. J’ai aussi remarqué qu’il fait une fixation sur mes nénés en plus de foufoune, il les caresse comme j’aime. C’est vrai qu’il baise bien, je le sens bien. Maintenant, dans le cul, ça me tarde. Et lorsqu’il sera bien dans mes entrailles tu pourras me prendre à ton tour par devant. Tu sais à quel point j’aime les DP et toi aussi. Je pense qu’il sera assez performant pour attendre que je jouisse. Allez viens, on le rejoint sur le lit, je le redémarre. Ce final va bien se passer. Il va se souvenir de moi. »
En fait, cette partie a duré plus d’une heure. Tous les trois nous avons pris un pieds énorme. Karen le revoyait de temps en temps. Un fois il avait invité 2 copains à lui. Karen m’a prévenu qu’elle était au haras avec 3 mecs qui la dévoraient des yeux. Elle m'a raconté que ça avait été une très bonne nuit car ils l’ont baisée à tour de rôle toute la nuit avec 2 DP. Elle a même mit deux jours pour récupérer ainsi que pour calmer les douleurs anales car un des deux invités était un super bien monté, un collègue à Amédé, son black préféré et initiateur à la bite noire.

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
En réponse au commentaire de "lectrice": Ok pour dialoguer par mail: f.tyroler2

Histoire Libertine
Je viens de découvrir quelques unes de vos histoires. Super. Aimerais bien dialoguer avec vous. Merci de m'écrire. Bises



Texte coquin : Karen et Sultan
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