Karim, mon beau père 2 - histoire érotique

Après cette première aventure absolument dingue avec Karim, je pensais ne pas pouvoir dormir de la nuit, finalement je me suis écroulé de fatigue… le lendemain matin c’est les bruits de Karim dans la maison qui m’ont réveillé. Impossible pour moi de bouger, je ne savais pas ce qui pouvait se passer…
Après un temps passé sur mon téléphone, j’entends les pas de Karim se faire plus proche… il entre dans ma chambre, en caleçon, la main en train de toucher son paquet.

« Aller salope, aujourd’hui c’est le grand jour, tu vas devenir femelle. À partir de maintenant tu devras me réveiller en venant me sucer ! Peu importe l’heure. »

Je me lève je vais pour chercher quelques vêtements mais mon beau père ne l’entend pas pareil.

« À POIL PUTAIN, tu dois être à poil jours et nuits, tes trous complètement accessibles ! »

Je le suis dans la cuisine, et par pudeur et automatisme je cache mon sexe avec mes mains, il n’en faut pas plus pour Karim pour prendre une cuillère en bois et me frapper les mains.

« Ça sert à rien de cacher ton clito »

Il vient palper et secouer ma bite ce qui crée un début de petite erection . En colère il tire fort dessus, attrape mes couilles et les serres dans ses mains.

« Je vais m’en occuper de ça, tu seras plus capable de t’en servir ».

Karim prend le petit dej, et moi je le regarde à genoux, des fois sans raison il me gifle… il me dit que ce matin c’est la dernière fois qu’il se prépare son petit déjeuner, et que dorénavant ce sera ma mission. Après son petit déjeuner Karim me dit de nettoyer pendant qu’il va faire des courses.

La matinée passe très lentement, j’ai la boule au ventre mdr que j’attend le retour de mon beau père. Quasiment deux heures plus tard j’entends la serrure de la porte.

Les mains remplis de sacs il arrive, presque fière de ses achat. Devant lui, à genoux selon ses ordres il me présente les achats qu’il a fait.

« Des tenus de belle chienasse, string, porte jarretelle, jupette, talon, des bon gros god aussi, des bonnes tailles pour ta chatte ! Du maquillage pour un futur projet… »

Il continue et moi je suis ébahit…

« Des plugs que tu portera en permanence, prête à l’emploi ! Une laisse car tes qu’une grosse merde de clebard, une gamelle car tu vas bouffer comme ça dorénavant et pour finir une jolie cage pour ton clito ».

Choqué par tout ces achat, un mélange de hâte et de stress m’envahit.

« Bon aller, tu vas te tourner, tête au sol et cul en l’air, je vais te foutre un plug »

Il a la gentillesse de mollarder mon cul pour faire glisser le plug plus facilement. Je suis étonné de voir que ce plug rentre facilement. Il s’en aperçoit et le retire immédiatement pour en placer un autre, la taille intermédiaire.

Un cris m’échappe car il n’y va pas de main morte, sa réponse : un simple ta gueule.

- « Avant de cadenacer ton clito je vais un peu m’amuser avec »

- « Comment ça ? Tu veux me sucer ? »

La, c’est une main forte et sèche qui s’abat sur mes couiles, me pliant de douleur…

« Tu crois quand même pas que vais m’abaisser à ça, mais en fait tu comprends vraiment rien toi… c’est la manière forte qu’il te faut… »

Il me passe la laisse, me fait porter talon et porte jarretelle. Il me demande de me mettre à quatre pattes bien cambrée au milieu du salon. De sa main gauche il tient fermement la laisse, de l’autre il filme la scène. Me demandant de faire telle ou telle chose, de lécher le sol, me crachant au visage, mollard dans la bouche, me demandant de dire qu’il est mon maître…

Après cette étape, il m’a fait marcher à quatre patte jusqu’à son lit. Allongé sur le dos, jambes et bras écartées, attachées aux pieds du lit par des bandeaux de tissus.

« Tu vas maintenant morfler, mais c’est pour que tu apprennes la leçons… »

S’en est suivit une session de plus d’une demie heure où il m’a détruit la bite et les couilles. Des coups, des gifles, avec ses mains, avec la ceinture, avec des épingles à linges, avec des coups de pieds… à la fin, mes couilles étaient bleues, complètement insensibles. Mais le plus surprenant c’est que j’ai jouis sans même toucher ma queue.
Karim avait l’air d’être autant surpris que moi ! Il a ramassé les quelques petites gouttes de sperme pour les étaler sur mon visage. M’enfonçant au passage les doigts dans la gorge.

Mon beau père est retourné dans le salon pour récupérer la cage de chasteté, après l’avoir installé, il m’a demandé d’aller aux toilettes pour me voir pisser. Karim m’a regardé, je me sentais un peu mal à l’aise, et j’ai pissé, problème, c’est que même assi, il y a eu des petites gouttes un peu sur la cuvette et sur le sol.

« Hooooo putain mais quelle sale merde tu es ! T’es crade ptn ! »

Je le regarde comme un chien battu et je me surprend à m’excuser alors que peux pas faire autrement… De colère, Karim me prend par la laisse et m’ordonne de me mettre à quatre pattes

« Va au sol et nettoie grosse merde, sors ta langue et nettoie de suite »

L’idée me dégoûte, j’ai donc essuyé les quelques petites gouttes avec ma main.

« Ah tu veux jouer, tu veux désobéir ! À genoux devant moi sale pute ».

Karim sors sa queue, et bien évidement je savais ce qui allait arriver, quelque instants après, peut-être 2 minutes, je recevais la pisse de mon beau père sur le visage, dans les cheveux… elle coulait sur mon corps, jusqu’au sol…

Il a range son chibre alors que quelques gouttes de pisse étaient encore en train de sortir.

« Tu vas baigner dans la pisse, et estime toi heureuse que je ne t’ai pas fait avaler sous merde »

Karim est parti chercher de quoi me faire nettoyer, mdr ce temps il a passé des appels, faire deux trous bricoles…

5 / 10 minutes plus tard, il me prends par la laisse et me fait venir au canapé…

« Aller salope, comme hier, tu vas commencer par mes pieds, mes couilles et ma bite »

Je m’y attaque, j’obéis aux ordres sans même rechigner…

« Bouge toi car la tu vas juste me faire durcir, une fois bien dure, je vais te déchirer »

L’entendre me dire ça c’était horrible, ça me glaçait le sang mais j’étais quand même excité…

Comme la veille, je me suis occupé de ses pieds, couilles, de sa queue. 5 grosses minutes suffisent pour voir la queue de mon beau père raide et dure comme du béton.

« Aller kahba, au pieu, je vais te troncher salement »

Je vais dans le lit, assis au pied du lit, mon beau-père arrive, me pousse à la renverse, et me relève les jambes, après avoir enlevé laisses et vêtements, il prend en vidéo ma chatte, enlève le plug, doigte et crèche dessus, il ne parle qu’en arabe. Je ne comprends rien.

Il pose son téléphone, me positionne en levrette, je sens la chaleur corporelle de mon beau père derrière moi, ses cuisses touche les miennes, sa queue sur mes fesses, ses mains sur mes hanches, mon dos… il me fait devenir comptent chienne, j’ai honte d’éprouver du plaisir par les mains deon beau père, mais je suis envahit par des vagues de chaleurs et des frissons…

Il empoigne sa queue et la frotte sur mes fesses, simule un acte sexuel… Puis il me retourne, comme une crêpe.

« Ecarte les cuisses, mon dieu que tu me rend dure, ma vie est vraiment magnifique… je vais te déchirer comme ça. Tu vas couiner… »

Sur ses paroles, et après un simple crachat mon beau-père positionne son gland sur ma petite chatte vierge. Avec fermeté il pousse son gland dans ma chatte. Une sorte de craquement, de déchirure me crispe… je pose ma main sur la cuisse de mon beau père et je gémis :

- «  Aïe aïe aïe, attends, stop, j’ai trop mal… »

- « Ferme la, j’arrête pas, j’ai rentré que le gland salope »

- « Une seconde vraiment mets du lubrifiant, je t’en supplie »

- « Je vais te déchirer toi ! Je n’ai rien à foutre que tu aies mal, t’es juste là pour écarter les cuisses, te faire déchirer, et me remercier ! Tu peux chialer te débattre de douleur, ça va m’exciter et ça me poussera à te faire encore plus chialer »

Il a enlevé ma main de sa cuisse, à placer ses mains sur mes jambes pour les écartés encore plus, et m’a perforé la chatte avec toute la longueur de sa queue.

« Tiens prends salope, je te dégomme ta chatte Oueld El Kahba, t’es serré putain c’est bon, ta mal hein, tu mérite, tu vas chialer fort la »

Il retire sa queue, me la re-rentre à fond, et fait ça plusieurs fois d’affilé. À chaque coups, c’est un cris de douleur pour moi et une gifle de mon Karim.

« Chiale salope, ça me fait encore plus durcir, supplie moi d’arrêter et j’arrêterai »

J’ai des larmes qui coulent, je lui demande d’arrêter parce que ça me brûle et que j’ai l’impression que je suis déchiré. Il se retire et regarde mon trou, il rigolait il me dit

« et ben c’est pas qu’une impression, je t’ai bien déchiré… On dirait une fille qui se fait dépuceler, tu saignes, tu chiale, mais c’est ton rôle, je vais te dégommer le cul »

Il a repris sa position et il s’est remis en moi, il m’a culbuté en rentrant sa bite et on la sortant de mon cul pendant quelques minutes, puis il m’a mis en levrette, et il m’a dit « un conseil, serre les dents »

Il m’a bien fait cambrer, il m’a rentré sa queue d’un seul coup, il m’a baisé comme un marteau-piqueur, j’avais ses couilles qui frappaient mes fesses, je sentais sa respiration sur mon cou, il me tirait les cheveux en arrière, et il me balançait des gifles, il était en sueur, et moi aussi ! Au bout d’un moment, il s’est retiré, et je me suis écroulé sur le lit. Il semblait fière de voir que j’étais déjà bien élargis…
À ce moment, j’ai écarté mes fesses pour lui présenter mon orifice, il a adoré.

« Ahhh voilà ça commence, c’est bien fait ta pute, hmmm c’est bien ».

Et là, il a fait des grands et profonds aller-retour dans mon cul… Les bruits étaient dingues, c’était violent, mais c’était bon… À chaque coup de bite, je couinais comme une chienne, il arrêtait pas de m’encourager, de m’insulter, de me merder, putain de fessées… Dans ces moments, j’avais toujours peur que les voisins entendent…

Il s’est allongé sur le dos et m’a fais chevaucher sa queue, j’ai pu faire les allers-retours que j’avais envie, prendre le temps, aller vite, doucement… c’était bonnnnnn.

À un moment, il a vu que j’étais épuisé…

« Alors elle est déjà épuisée, la petite pute allez, à quatre pattes sur le lit, je vais te plomber et te remplir maintenant »

Et là, il a recommencé à me culbuter, c’était dingue, j’avais le cul en feu, les fesses toutes rouges… Je me faisais insulter et pas fait par mon beau-père, et j’en redemander… Je cuisinais fort, ça l’existait encore encore plus.

- « Vas-yyyyyyy oui sale chienne, c’est bon laaaaa, putain je sens que ça monte, je vais me vider dans ta chatte, je vais te la plomber, je vais te foutre enceinte, putain continue sale pute, vas-y plus vite, plus fort… Continue, sale pute, je vais te remplir comme une truie sale Ateye »

- « Hmmm oui vas-y pitié » ( à ce moment-là, j’étais vraiment en transe, je crois que j’aurais pu me faire baiser par Karim devant la place publique tellement j’étais en trans et tellement c’était bon…)

- « Ohhhhh putainnnnn ouiii, encaisse saloooope, gros sac à foutre, putain arghhhhhhhhhh … oh mon dieu, putain kahba »

Je sentais encore ça que très haïr dans mon cul, je sentais mon beau-père en moi, ses mains en train de serrer très très fort mes hanches. Il a retiré sa bite, puis il a rerentrer… Il a fait encore quelques instants… Il a pris son téléphone. Il a encore filmé ma chatte. Il s’est allongé dans le lit, il m’a dit « Allez, viens nettoyer tête de bite ».

J’avais sa bite, à demi molle, dans la bouche, plein de sperme, de sueur… C’était exceptionnellement, bon ! 5 grosses minutes après, il m’a fait dégager de la chambre, et m’a dit :

« repose-toi, ce soir, ce sera une soirée spéciale pour toi »

Comme d’habitude, j’espère que vous allez aimer cette nouvelle étape de mon récit, n’hésitez pas à me faire vos commentaires sur mon mail ( julessecret10@gmail.com)