Karim, mon beau père

- Par l'auteur HDS JulesLope -
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Récit libertin : Karim, mon beau père Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-03-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Karim, mon beau père
Bonjour à tous, moi je m’appelle maxime, je suis étudiant en fac de psychologie à Montpellier. Aujourd’hui, je vis seul dans mon petit studio, mais avant de m’affranchir et d’obtenir la liberté, je vivais encore chez ma mère et chez mon beau-père.

Ma mère, une jeune cadre dynamique, qui occupe une fonction extrêmement importante, et est souvent en déplacement.

Mon beau-père, Karim, rencontré quatre ans auparavant, à la surprise de tous, puisque c’est un mec qui ne travaille que quand il en a envie, répare des voitures, il ne fait pas du tout partie du même monde que ma bourgeoise de mère.

Quant à moi, un petit jeune homosexuel, timide, coincé.

Bien que timide est coincé, je suis tout à fait à l’aise avec ma sexualité, sachant que ma mère doit certainement s’en douter, c’est surtout vis-à-vis de mon beau-père que je me cache, on ne s’entend pas particulièrement, il se montre tout juste correct quand ma mère est dans les parages, lorsqu’elle s’absente, il est particulièrement désagréable. C’est une torture de vivre avec lui, sachant qu’il est exactement tout ce que je désire chez un homme.

Le pire, c’était le voir le matin, avec un caleçon bien bombées, ou l’entendre en train de fourrer salement ma mère. Bien que légèrement cassos sur les bords, Karim est un homme très grand et très costaud, il entretient son corps, à raison de deux ou trois fois par semaine lorsqu’il va faire son footing. Lorsqu’il revient, c’est le même rituel, il file à la douche, et moi cela me laisse, un petit peu de temps pour pouvoir renifler son caleçon.
Je pourrais me droguer avec cette odeur, les mauvais jours, ça sent simplement la transpiration, mais lorsque je suis chanceux, c’est un mélange bien plus masculin, un mélange de pisse, de sperme… Je pourrais me droguer avec cette odeur…

Ce petit jeu dure depuis quelques mois, et je me contente très bien. Mais un jour, et c’est ainsi que tout comment ça…

Un jour, pendant sa douche, Karim a dû oublier son téléphone, et plutôt que d’éteindre l’eau, ce qui d’habitude est le signal que j’attends pour retourner dans ma chambre, celui-ci a continué de la faire couler pour revenir dans sa chambre, récupérer le téléphone. j’ai entendu la porte s’ouvrir, et nous regarde, se sont croisés, lui à poil, moi à quatre pattes en train de renifler son caleçon sale. Rouge de honte et le ventre douloureux de stress, je suis parti encore dans ma chambre.

Les jours qui ont suivi, j’ai évité de rentrer en contact avec lui, quelques semaines après, ma mère s’absente quatre jours pour le boulot, direction Lille. Dès son départ, mon beau-père a passé la journée entière à me donner des ordres, et à se trimbaler à poil dans la maison.

En une journée, j’ai dû m’occuper du linge, du ménage, de la poussière, du repas… J’avais trop honte, trop peur pour demander à Karim de se rhabiller. Le soir venu, j’entends Karim m’appeler dans le salon. Cet homme qui m’attirer, et me terrifier, été assis sur le canapé, jambes écartées, poutre apparente.

il s’est levé dans ma direction, et m’a tendu un caleçon sale, il m’a demandé de le renifler, voyant que je ne réagissais pas, parce que j’étais un peu surpris, je me reçois un crachat sur le visage. Déçu de l’odeur de la simple transpiration, car il en profite pour me foutre complètement à poil et se réinstalle dans le canapé.

- « Ahahahaha, je savais pas que t’avais un clito, sérieux, c’est la honte… Bon, il est temps pour moi de te parler, il est temps d’avoir une discussion entre hommes… Enfin si on peut dire ça comme ça… ».

- « Karim, je suis tellement désolé, je t’en supplie, excuse-moi, ça ne se reproduira plus, je voulais… »

-« Ferme ta gueule putain. Si jamais tu ouvres la bouche sans que je te le demande, je te cognerai tellement fort que tu seras méconnaissable. Je disais donc, ta mère a peut-être des doutes sur ton homosexualité, en ce qui me concerne, ça fait longtemps que je sais que t’es une tapette. Si tu crois que je sais pas que ça fait plusieurs mois que tu renifles mes calebuts… alors voilà ce qu’il va se passer. Maintenant, ta mère, je risque pas de la quitter, sans elle, je serais obligé de vivre dans un studio minable, là j’ai le confort de vie que je mérite le problème. Tu vois, c’est que ta mère, c’est vraiment un mauvais coup, des fois, je me demande si je baise une femme ou si je baise un sac à patate »…

- « Pourquoi tu parles d’elle comme ça, j’ai pas envie d’entendre ça »

De colère, il me balance la télécommande dessus, et il reprend de plus belle.

« Je pense que t’as pas bien compris ce qui allait se passer, mais c’est pas grave, tu comprendras vite à force de recevoir des coups, donc je disais, ta mère, je la quitterai pas, mais elle baise mal cette conne, et tu vois, moi j’ai de très très gros besoins, et des choses qu’elle pourrait même pas comprendre… Baiser une femme c’est pas possible, ça coûte trop cher et les femmes ça part en train… Donc j’ai pris l’habitude de trouver des petites putes comme toi, mais maintenant tout va changer »

- « Comment ça ? »

- «  Maintenant c’est toi qui va me servir de tir jus. Je compte bien t’éduquer et te former comme j’en ai envie… Et que tu le veuilles ou non ça a déjà commencé, regarde aujourd’hui, t’as passé la journée à obéir à tous mes ordres… Mais il reste le plus important, voir ce que tu vaux au lit ».

Il me demanda de me mettre à quatre pattes, chose que je fis. J’ai marché comme un chien jusqu’à lui, et il a repris la parole, il m’expliqua que son corps, c’était un temple, et que je devais lui rendre honneur tous les jours, chaque centimètre carré. Pour ce faire, il me demanda de lui lécher les pieds, le dessous, le dessus, entre les orteils… Pendant 10 grosses minutes, c’est ce que je fis.

- « C’est très bien, La prochaine fois je sortirai pas de la douche, tu feras la même chose après une grosse journée de boulot, par contre il y a quelque chose que j’ai pas lavé depuis trois jours, mais je pense que tu vas aimer, tu vas même commencer par respirer mes couilles, je te plains parce que il y a une sacrée odeur ».

J’ai à peine eu le temps de regarder mon beau-père dans les yeux et de prononcer la moindre phrase, qu’il me fout une gifle monumentale, qui me fait troubler la vision.

C’est à ce moment-là qu’il me prend par les cheveux, et qu’il vient frotter mon visage contre ses couilles. Elles étaient toute mouillée de sueur, l’odeur qui s’est dégagé, était particulièrement forte, et pendant quelques minutes, il s’est amusé à frotter mon petit visage, sur ses grosses couilles, poilue et puante.

« Voilà, je t’ai bien dégueulassé, ta petite tête de pute. Maintenant tu vas sortir ta langue, et tu vas lécher chaque centimètre pour bien nettoyer parce que c’est à toi de faire ce taf ».

Sans réfléchir, j’ai sorti ma langue, et j’ai commencé à lécher les couilles de mon beau-père, j’avais pas conscience de ce que je faisais, je m’en rends pas compte de ce que ça impliquait… Sa queue commençait à grossir, au fur et à mesure que ses couilles étaient propres. Bien que Compte de mon travail, ça ne l’empêchait pas de m’insulter et de me gifler.

Karim se releva, il me força me mettre à genoux en tirant mes cheveux. Je me retrouvais face à un homme que j’admirais, qui était en train de me faire découvrir le sexe, et pour qui j’aurais pu tout faire à ce moment-là.

- « Tu vas prendre ma bite entre tes mains, tu vas la décalotter tout doucement et tu vas sortir ta langue espèce de pute ».

J’obéis, je me retrouvais face à une bite qui me faisait peur, elle était grosse, elle était épaisse, Karim déposera son gland sur ma langue, et me demanda de lui nettoyer le bout. L’odeur, ce n’était rien à côté du goût, c’était comme avaler de la pisse et du sperme séché, c’était fort, et il a dû voir ma grimace. Il m’a alors demandé de le remercier, j’ai donc retiré son gland de ma bouche pour le remercier, ce qui n’a pas plu à mon beau-père, qui m’a attrapé la poitrine et la serrer si fort que j’ai cru hurler de douleur.

« Mon dieu ce que je vais te faire à toi… tu peux même pas imaginer, tu vas passer tes nuits et tes jours, les jambes écartées rempli de foutre ».

Il m’agrippe pas la tête avec ses mains, et il commença à faire des allers-retours, extrêmement lents et profond dans ma gorge… Achat, aller retour, il allait plus profondément, et il restait plus longtemps. Jusqu’au moment où j’arrivais enfin à encaisser entièrement sa bite. Les aller-retour devenait de plus en plus violent et de plus en plus profond. À tel point qu’au bout d’un moment j’ai vomi. Il y en avait de partout, sur mon torse, sur mon menton, sur le sol.

- « Roooh putain mais c’est pas vrai ça ! J’en ai rien a foutre, tu nettoieras après… Je te ferai lécher si il faut ».

Et pendant cinq minutes, il me bourrina la gueule comme un marteau-piqueur, j’avais de la mort et de la bave de partout, c’était vraiment pas beau à voir…

Ensuite, il se réinstalle sur le canapé, et me demanda de jouer avec sa bite, j’ai beaucoup apprécié ce moment, parce que je pouvais voir qu’il prenait vraiment son pied, et moi ça m’a permis un peu de répit, j’ai pu lui sucer et lui lécher la bite, comme j’en avais envie… C’était vraiment chouette.

Cinq petites minutes après, il se releva et dit : « je vais te doser la bouche, c’est la plus belle, des récompenses pour une merde comme toi, si tu en perds une seule goutte, je te fais dormir dans la cave ce soir ».

Je me surprends à lui répondre « oui maître ». Il rigola.

À peine quelques aller-retour, qu’il commença à accélérer lorsque c’est couilles et sa queue, on commençait à se contracter, il est rentré entièrement dans ma gorge, me bloquant la tête, pendant qu’il m’insultait de fils, de pute, de chienne, et de sous-merde… J’ai senti du liquide tombé directement dans ma gorge. Il a continué à faire quelques aller-retour… Il m’a demandé de bien lui nettoyer la bite, puis il a pris son téléphone, il a filmé la scène en me demandant de le remercier et en disant que son sperme était bon. J’obéis, après ça,, il s’est installé sur le canapé, il m’a demandé de nettoyer les cochonneries, il m’a dit de me barrer dans ma chambre parce que je le dégoûté.

Voilà pour la première partie de mon dépucelage… N’hésitez pas à m’envoyer vos commentaires et me dire ce que vous en pensez… Je vous écris la suite très très bientôt. Prenez bien soin de vous.

julessecret10@gmail.com

Les avis des lecteurs

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C'est de la torture... Et si tu aimes ça... Tant pis pour ton cul

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Hum !!! Très excitant !!!

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La suite???

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Un de mes fantasmes,très bien écrit vivement la suite

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