Karim mon beau père 6
Récit érotique écrit par JulesLope [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-04-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Couleur du fond :
Karim mon beau père 6
Mon beau-père énumère toute la liste :
- Scato, uro, sang, fist, cage de chasteté, zoo, vomis…
Et encore quelques autres choses…
« Bon ma petite chienne, pour ce qui est des trois premiers, le sang c’est déjà fait, si tu voyais l’état de ton petit cul, l’uro, tu vas passer la semaine à boire ma pisse et je te laverais avec, scato je suis pas un crado moi, par contre tu vas lécher les chiottes ».
J’étais encore sonné sur le sol, j’arrivais pas à me rendre compte de ce que mon beau-père venait de me faire subir. Il m’était quasiment impossible de bouger tellement les coups sur mes fesses me brûlaient. Mon beau-père me demande d’aller jusqu’aux toilettes, et je rampe péniblement une fois aux toilettes, mon beau-père me met à quatre pattes, filme la scène, et il me fait nettoyer les chiottes avec ma langue. Plus je chiale plus il rigole et plus il me fait lécher, c’est un cercle vicieux.
Mon beau-père m’a laissé tranquille pour la journée, le soir, mon beau-père m’ordonne de préparer un repas, j’obéis, pendant ce temps mon beau-père s’amuse à me mettre des doigts, me mettre des fessées, ou me rentrer des objets dans le cul. Une fois que le repas est servi, mon beau-père sert ma part dans la gamelle pour chiens, il me fait manger au sol à quatre pattes.
« Allez la lope, c’est l’heure de ton dessert »
Sur ces mots, mon beau-père me prépare un yaourt avec quelques morceaux de bananes, il mélange tout ça, puis il vient, il versait liquide qui était dans un verre rangé dans un placard.
« Ouvre bien la bouche, je vais te faire goûter ma pisse espèce de salope »
Je bouge pas, je pleure pas, je me laisse faire et peti met à petit , j’avale ce que mon beau-père me donne.
« Et ben, tu prends bien grosse chienne, biberon un peu, je vais te servir directement à la source ».
Il place sa bite le plus loin, possible dans ma bouche, sa queue encore molle, puis je sens mon beau-père en train de me pisser dessus, au début, ça remplit ma bouche, puis j’ouvre ma gorge et je me laisse faire… Il est en train d’uriner en moi, et je me laisse faire.
Il se retire, et il suit son gland sur ma joue. Avant de s’en aller de me demander de débarrasser la table, il me sourit, et il me caresse la tête en disant simplement « bon clebard ».
Ce simple geste de sympathie et d’affection, m’a rempli de bonheur. Ce n’est que plus tard dans la nuit que j’ai trouvé terrifiant le retournement de situation. J’étais heureux de voir que mon beau-père se montrait sympathique après m’avoir utilisé comme urinoir. Il y a encore quelques semaines, nous avions une relation toute somme classique.
- « Tu vas aller à la douche, te raser, porter une tenue la plus pute possible, je veux que tu te maquilles comme une poufiasse et que tu mettes une jupe ras le cul, tu vas porter un plug, soirée spéciale ce soir… »
- « Mais on va rentrer tard ? J’ai cours moi demain »
Un simple regard noir de mon beau-père m’a fait comprendre que je devais fermer ma bouche, je suis vite parti, me doucher et me préparer comme il le voulait.
Mon beau-père m’installe une laisse, et il se prépare à sortir, il doit être 22:00
« Mais enfin je peux pas sortir comme ça si on me voit »
Un coup de poing dans le ventre, et un coup sec
sur la laisse pour me faire suivre et obéir.
On prend l’ascenseur, on descend les étages, et on arrive directement au parking souterrain, je suis assis à côté de mon beau-père qui conduit, on traverse toute la ville pour se rendre dans un quartier « chaud ».
Mon beau-père me demande de rester ici, il sort de la voiture, puis il revient 3 petites minutes plus tard. On marche une cinquantaine de mètres avant d’arriver dans au pied, d’une énorme tour, avec un groupe de mecs devant l’entrée, j’ai l’impression de vivre une scène irréaliste, je suis diriger par une laisse, devant un groupe de parfait inconnu, qui a ma grande surprise, ne semble pas du tout surpris.
On descend vers le sous-sol, et après une longue marche dans un labyrinthe de couloir et des petites pièces, j’entends de la musique au loin. Des gens qui parlent fort, une ambiance de fête…
Quand j’arrive, c’est une dizaine de mecs qui me font face. Que des arabes, quelques noirs, certains sont habillés, d’autres sont déjà la queue à la main. Ça sent le mâle, la transpi, la beuh… le sexe…
Ils se parlent en arabe, mon beau-père me fait tourner, me fait pencher contre un mur, et me fait écarter les fesses. À la suite de quoi il me dirige dans une salle, avec une lumière, un très grand matelas et une petite commode de nuit
Les ordres de mon beau-père sont secs et précis, je dois attendre ici, à quatre pattes et surtout bien cambré .
20 minutes plus tard, deux hommes entrent dans la pièce. le premier, me prend par les cheveux et me fait sucer son pote, et inversement. Une fois que l’un des deux est assez dur, il se positionne derrière moi, enlève le plug, avec un gros « ploc ». Quand j’ai essayé de tourner la tête pour voir ce qu’il faisait, le premier m’a pris par les cheveux, les a tirés bien fort pour me faire continuer la pipe. Le deuxième a commencé à me culbuter, très lentement, au début, et j’ai directement pris du plaisir. J’étais même surpris de cette douceur dont je n’étais pas habitué, celui qui m’a enculé a très rapidement joui, le deuxième n’a pas pu goutter mon cul.
Pendant une grosse heure, le rythme était lancé, j’en su un, pendant que l’autre prenait mon cul, certains ont échangé les positions…
Comme envahi d’une vague de chaleur et de frissons, je prenais grave mon pied, j’avais presque envie de pleurer et de les remercier …
Mon beau père est enfin venu me voir…
« Tu me rends tellement fière ma petite pute, on va te laisser un petit peu tranquille, le temps pour toi de pouvoir boire et manger un petit quelque chose parce que tu vas en avoir besoin. La deuxième partie de soirée va commencer… »
Après une grosse demie heure à attendre, je commençais même à avoir froid, le bruit derrière la porte de ma cellule se faisait de plus en plus important. Mon père est arrivé avec deux hommes, et comme pour inaugurer la soirée, il m’a fait boire sa pisse et ma bien gifler.
La deuxième partie de soirée a commencé, le principe est resté le même, un homme devant, un homme derrière, mais cette fois-ci, c’était avec des hommes particulièrement bourrin et violent.
Cette fois-ci, il n’y avait aucune douceur, ni aucune pitié, je me faisais enculer avec des grands coups de rein, qui me provoque des douleurs jusqu’en bas du dos, je me faisais malmener la poitrine et maltraiter la gorge. Plusieurs fois j’ai vomi, plusieurs fois, je me suis fait cogner sans aucune raison, Ils utilisaient mes cheveux pour guider ma tête, la racine de mes cheveux était devenu si douloureuse, que je ne sentais plus rien.
Vers le milieu de la deuxième partie, le premier mec est allongé et m’a demandé de le chevaucher, pendant que je suçais le deuxième, celui-ci s’est arrêté pour venir se placer derrière. Voyant que j’étais assez apeuré et que je commençais à me crisper, il a d’abord demandé à un de ses collègues de venir les rejoindre, le nouvel arrivant est venu placer sa bite encore molle et sale dans ma bouche, me forçant à tout prendre et à ne respirer que très brièvement. Pendant que le deuxième s’est passé derrière moi pour tenter une double sodomie qui fut un déchirement si brutal, que j’ai cru perdre connaissance quelques secondes… les suppliant, d’y aller doucement et de ralentir, et de toutes mes forces, les coups de reins de ses mecs étaient encore plus violent.
Les derniers mecs, qui ont suivi, ont profité du sale état dans lequel j’étais pour pouvoir me prendre également double. À la fin de cette séance qui aura duré au final plus de quatre heures, mon beau-père est arrivé avec quatre ou cinq mecs parce qu’ils voulaient « me finir à la pisse ».
J’étais là, complètement endolori, incapable de bouger, tellement, j’avais des courbatures, de partout, à genoux, en train d’ouvrir la bouche devant tous ces mecs pour recevoir la pisse . Après cette douche, mon beau-père m’a rhabiller avec le peu de vêtements que j’avais, puis nous sommes repartis. Juste devant la voiture, je suis allé de moi-même vers la banquette arrière, afin de pouvoir m’allonger étant incapable de m’asseoir sur le cul.
De retour à la maison, mon beau-père m’a pris ma douche, à l’eau froide…
Une fois installé dans mon lit, et déjà quasiment endormi. Mon beau-père est arrivé pour une inspection. Un téléphone à la main et ses gros doigts de l’autre, mon beau-père s’est amusé avec mon trou pendant quelques secondes avant de me montrer la vidéo. C’était plus un trou, c’était un chou-fleur tellement j’ai été abusé. Rouge / violet, rempli d’un liquide qui doit être un mélange de mouilles et de sperme, je reconnaissais même pas mon propre corps…
« Tu m’as rendu extrêmement fière, ta première séance de tapinage s’est très bien passée, et regarde, en plus de me me vider les couilles, maintenant tu vas me faire des couilles en or »
Dans une enveloppe transparente en plastique, une liasse de billets comme je n’avais jamais vu.
J’étais tellement épuisé par ma soirée, que je n’entendais quasiment plus. Mon beau-père me parlait, j’étais déjà en train de sombrer dans un sommeil de plomb.
- Scato, uro, sang, fist, cage de chasteté, zoo, vomis…
Et encore quelques autres choses…
« Bon ma petite chienne, pour ce qui est des trois premiers, le sang c’est déjà fait, si tu voyais l’état de ton petit cul, l’uro, tu vas passer la semaine à boire ma pisse et je te laverais avec, scato je suis pas un crado moi, par contre tu vas lécher les chiottes ».
J’étais encore sonné sur le sol, j’arrivais pas à me rendre compte de ce que mon beau-père venait de me faire subir. Il m’était quasiment impossible de bouger tellement les coups sur mes fesses me brûlaient. Mon beau-père me demande d’aller jusqu’aux toilettes, et je rampe péniblement une fois aux toilettes, mon beau-père me met à quatre pattes, filme la scène, et il me fait nettoyer les chiottes avec ma langue. Plus je chiale plus il rigole et plus il me fait lécher, c’est un cercle vicieux.
Mon beau-père m’a laissé tranquille pour la journée, le soir, mon beau-père m’ordonne de préparer un repas, j’obéis, pendant ce temps mon beau-père s’amuse à me mettre des doigts, me mettre des fessées, ou me rentrer des objets dans le cul. Une fois que le repas est servi, mon beau-père sert ma part dans la gamelle pour chiens, il me fait manger au sol à quatre pattes.
« Allez la lope, c’est l’heure de ton dessert »
Sur ces mots, mon beau-père me prépare un yaourt avec quelques morceaux de bananes, il mélange tout ça, puis il vient, il versait liquide qui était dans un verre rangé dans un placard.
« Ouvre bien la bouche, je vais te faire goûter ma pisse espèce de salope »
Je bouge pas, je pleure pas, je me laisse faire et peti met à petit , j’avale ce que mon beau-père me donne.
« Et ben, tu prends bien grosse chienne, biberon un peu, je vais te servir directement à la source ».
Il place sa bite le plus loin, possible dans ma bouche, sa queue encore molle, puis je sens mon beau-père en train de me pisser dessus, au début, ça remplit ma bouche, puis j’ouvre ma gorge et je me laisse faire… Il est en train d’uriner en moi, et je me laisse faire.
Il se retire, et il suit son gland sur ma joue. Avant de s’en aller de me demander de débarrasser la table, il me sourit, et il me caresse la tête en disant simplement « bon clebard ».
Ce simple geste de sympathie et d’affection, m’a rempli de bonheur. Ce n’est que plus tard dans la nuit que j’ai trouvé terrifiant le retournement de situation. J’étais heureux de voir que mon beau-père se montrait sympathique après m’avoir utilisé comme urinoir. Il y a encore quelques semaines, nous avions une relation toute somme classique.
- « Tu vas aller à la douche, te raser, porter une tenue la plus pute possible, je veux que tu te maquilles comme une poufiasse et que tu mettes une jupe ras le cul, tu vas porter un plug, soirée spéciale ce soir… »
- « Mais on va rentrer tard ? J’ai cours moi demain »
Un simple regard noir de mon beau-père m’a fait comprendre que je devais fermer ma bouche, je suis vite parti, me doucher et me préparer comme il le voulait.
Mon beau-père m’installe une laisse, et il se prépare à sortir, il doit être 22:00
« Mais enfin je peux pas sortir comme ça si on me voit »
Un coup de poing dans le ventre, et un coup sec
sur la laisse pour me faire suivre et obéir.
On prend l’ascenseur, on descend les étages, et on arrive directement au parking souterrain, je suis assis à côté de mon beau-père qui conduit, on traverse toute la ville pour se rendre dans un quartier « chaud ».
Mon beau-père me demande de rester ici, il sort de la voiture, puis il revient 3 petites minutes plus tard. On marche une cinquantaine de mètres avant d’arriver dans au pied, d’une énorme tour, avec un groupe de mecs devant l’entrée, j’ai l’impression de vivre une scène irréaliste, je suis diriger par une laisse, devant un groupe de parfait inconnu, qui a ma grande surprise, ne semble pas du tout surpris.
On descend vers le sous-sol, et après une longue marche dans un labyrinthe de couloir et des petites pièces, j’entends de la musique au loin. Des gens qui parlent fort, une ambiance de fête…
Quand j’arrive, c’est une dizaine de mecs qui me font face. Que des arabes, quelques noirs, certains sont habillés, d’autres sont déjà la queue à la main. Ça sent le mâle, la transpi, la beuh… le sexe…
Ils se parlent en arabe, mon beau-père me fait tourner, me fait pencher contre un mur, et me fait écarter les fesses. À la suite de quoi il me dirige dans une salle, avec une lumière, un très grand matelas et une petite commode de nuit
Les ordres de mon beau-père sont secs et précis, je dois attendre ici, à quatre pattes et surtout bien cambré .
20 minutes plus tard, deux hommes entrent dans la pièce. le premier, me prend par les cheveux et me fait sucer son pote, et inversement. Une fois que l’un des deux est assez dur, il se positionne derrière moi, enlève le plug, avec un gros « ploc ». Quand j’ai essayé de tourner la tête pour voir ce qu’il faisait, le premier m’a pris par les cheveux, les a tirés bien fort pour me faire continuer la pipe. Le deuxième a commencé à me culbuter, très lentement, au début, et j’ai directement pris du plaisir. J’étais même surpris de cette douceur dont je n’étais pas habitué, celui qui m’a enculé a très rapidement joui, le deuxième n’a pas pu goutter mon cul.
Pendant une grosse heure, le rythme était lancé, j’en su un, pendant que l’autre prenait mon cul, certains ont échangé les positions…
Comme envahi d’une vague de chaleur et de frissons, je prenais grave mon pied, j’avais presque envie de pleurer et de les remercier …
Mon beau père est enfin venu me voir…
« Tu me rends tellement fière ma petite pute, on va te laisser un petit peu tranquille, le temps pour toi de pouvoir boire et manger un petit quelque chose parce que tu vas en avoir besoin. La deuxième partie de soirée va commencer… »
Après une grosse demie heure à attendre, je commençais même à avoir froid, le bruit derrière la porte de ma cellule se faisait de plus en plus important. Mon père est arrivé avec deux hommes, et comme pour inaugurer la soirée, il m’a fait boire sa pisse et ma bien gifler.
La deuxième partie de soirée a commencé, le principe est resté le même, un homme devant, un homme derrière, mais cette fois-ci, c’était avec des hommes particulièrement bourrin et violent.
Cette fois-ci, il n’y avait aucune douceur, ni aucune pitié, je me faisais enculer avec des grands coups de rein, qui me provoque des douleurs jusqu’en bas du dos, je me faisais malmener la poitrine et maltraiter la gorge. Plusieurs fois j’ai vomi, plusieurs fois, je me suis fait cogner sans aucune raison, Ils utilisaient mes cheveux pour guider ma tête, la racine de mes cheveux était devenu si douloureuse, que je ne sentais plus rien.
Vers le milieu de la deuxième partie, le premier mec est allongé et m’a demandé de le chevaucher, pendant que je suçais le deuxième, celui-ci s’est arrêté pour venir se placer derrière. Voyant que j’étais assez apeuré et que je commençais à me crisper, il a d’abord demandé à un de ses collègues de venir les rejoindre, le nouvel arrivant est venu placer sa bite encore molle et sale dans ma bouche, me forçant à tout prendre et à ne respirer que très brièvement. Pendant que le deuxième s’est passé derrière moi pour tenter une double sodomie qui fut un déchirement si brutal, que j’ai cru perdre connaissance quelques secondes… les suppliant, d’y aller doucement et de ralentir, et de toutes mes forces, les coups de reins de ses mecs étaient encore plus violent.
Les derniers mecs, qui ont suivi, ont profité du sale état dans lequel j’étais pour pouvoir me prendre également double. À la fin de cette séance qui aura duré au final plus de quatre heures, mon beau-père est arrivé avec quatre ou cinq mecs parce qu’ils voulaient « me finir à la pisse ».
J’étais là, complètement endolori, incapable de bouger, tellement, j’avais des courbatures, de partout, à genoux, en train d’ouvrir la bouche devant tous ces mecs pour recevoir la pisse . Après cette douche, mon beau-père m’a rhabiller avec le peu de vêtements que j’avais, puis nous sommes repartis. Juste devant la voiture, je suis allé de moi-même vers la banquette arrière, afin de pouvoir m’allonger étant incapable de m’asseoir sur le cul.
De retour à la maison, mon beau-père m’a pris ma douche, à l’eau froide…
Une fois installé dans mon lit, et déjà quasiment endormi. Mon beau-père est arrivé pour une inspection. Un téléphone à la main et ses gros doigts de l’autre, mon beau-père s’est amusé avec mon trou pendant quelques secondes avant de me montrer la vidéo. C’était plus un trou, c’était un chou-fleur tellement j’ai été abusé. Rouge / violet, rempli d’un liquide qui doit être un mélange de mouilles et de sperme, je reconnaissais même pas mon propre corps…
« Tu m’as rendu extrêmement fière, ta première séance de tapinage s’est très bien passée, et regarde, en plus de me me vider les couilles, maintenant tu vas me faire des couilles en or »
Dans une enveloppe transparente en plastique, une liasse de billets comme je n’avais jamais vu.
J’étais tellement épuisé par ma soirée, que je n’entendais quasiment plus. Mon beau-père me parlait, j’étais déjà en train de sombrer dans un sommeil de plomb.
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