Karim mon beau père 7
Récit érotique écrit par JulesLope [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur .
- • 9 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 0.0 • Cote moyenne attribuée par HDS : 0.0
- • L'ensemble des récits érotiques de JulesLope ont reçu un total de 59 940 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-05-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
Cette histoire de sexe a été affichée 6 008 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
Karim mon beau père 7
Dès le lendemain matin, j’entends beaucoup de bruit dans la maison, comme si mon beau-père était en train de déplacer des meubles, j’entendais des rires, des voix… puis je l’entends m’appeler, à deux reprises. Je décide d’y aller, les yeux encore fermés par la nuit, le corps endolori, parce que j’avais vécu la veille, je vois mon Karim, avec une bande de mec… le canapé a été mis au milieu de la pièce a été déplié comme un lit, les meubles ont été poussés, mon beau-père s’approche de moi, il me gifle devant tout le monde, parce que selon lui, je l’ai fait attendre, et que en plus je suis pas présentable, il me donne un coup de poing, il me dit que j’ai trois minutes pour me préparer.
Je reviens, en ayant un peu nettoyé mon visage, avec un string, des talons et un plug. Un des mecs que je ne connais pas me prends pas les cheveux et me fait m’installer à quatre pattes sur le canapé lit. Direct lève mon plug. Il m’encule à sec, ce qui commence à me faire crier, mon beau-père se place devant et me four sa queue en bouche.
« Me suce pas salope, j’en ai juste marre de t’entendre crier »
Inutile de donner les détails, la matinée s’est déroulé de la sorte, un dans mon cul, un dans ma bouche, un dans mon cul, un dans ma bouche…
À la fin, un mec est venu placer sa queue dans ma chatte et m’a inondé de pisse. Ils se sont rhabiller, et mon beau-père les a raccompagné à l’extérieur, en disant que je devais nettoyer illico. Après avoir nettoyé, j’ai passé la journée à dormir tellement, j’étais épuisé de tout ça… En fin d’après-midi, mon beau-père arrive, il me réveille, plutôt gentiment, il me dit :
« 1000 € hier et 400€ ce matin, ta chatte elle m’a rapporté un smic en deux jours, crois-moi que je vais en profiter jusqu’à ce que tu puisses même plus marcher, et que toute la ville te soit passée dessus ».
Pendant les jours qui ont suivi, il ne m’a pas touché, il ne m’a pas adressé la parole, ma mère est revenue, elle est restée un long moment quasiment un mois sans quitter la maison, et à part les quelques phrases que mon beau-père me disait discrètement qu’il ne s’est rien passé. Des phrases du genre « j’ai baisé la chatte puante de ta mère, mais c’est ta chatte à toi qui me fait bander », « je peux même pas mettre un doigt dans le cul de ta mère, alors que toi j’y fous ma bite ». Des fois, il me fait simplement sentir sa bite, en disant que il vient de baiser ma mère, des fois il s’amuse à à frotter sa queue sur ce que je vais manger. D’autres fois, il s’amuse à juter sur ma bouffe.
Voilà maintenant un mois et demi que je n’ai rien fait, et que mon beau-père ne m’a pas touché. Je suis continuellement en cage de chasteté, et je porte un plug que mon beau-père ne manque pas de titiller des qu’il en a envie. Ma mère s’absente pour une durée d’une semaine. Des son départ, je ne peux pas m’empêcher de chauffer mon Karim tellement je suis accro et en manque.
- « c’est bien ma pute, tu commences à réclamer la queue, mais cette semaine ça va être une semaine charnière pour toi, je crois que t’es pas prête pour ce qui t’attend »
- « Il va se passer quoi ? »
- « On va aller en Lozère, j’ai trouvé un mec qui cherche à faire des expériences bien particulières et qui m’a donné une fortune pour toi »
- « En Lozère, mais les cours ? Et puis il va faire quoi ? »
Et bim je me reçois une gifle. J’écoute les ordres de mon beau-père, et j’attends sagement sur le canapé. Il prépare son sac d’affaire puis nous prenons la route. Je suis autorisé à monter à côté de lui, j’ai même le droit de le masturber de temps en temps. J’ai interdiction de le faire jouir. Il roule pendant facilement trois bonnes heures. On arrive dans un coin perdu. Il sort de la voiture. Je vois qu’il passe un coup de téléphone et il attend. 20 minutes plus tard une fourgonnette arrive, un homme sort, salut mon beau-père, ils parlent et rigolent ensemble. Mon beau-père remonte dans la voiture, et nous suivons cette camionnette. On arrive dans un coin véritablement paumé, c’est un grand espace avec un corps de ferme, plusieurs bâtisse de part et d’autres.
Avant qu’ils ne sortent de la voiture, mon beau-père se tend vers moi. Il me dit que la première règle à respecter, c’est de surtout pas parler. Et que si j’ose poser la moindre question et parler, il sera obligé de me tabasser très fort.
Il sort de la voiture, il rentre avec cet homme dans la maison, puis ils ressortent 15 minutes plus tard. L’homme, qui s’appelle David, ouvre la porte, me détache et me fait sortir de la voiture en me prenant par les cheveux. Je m’écroule sur le sol, et essayer de me relever, David me maintient au sol avec son pied. Il prend une laisse avec un collier, qu’il met bien serré autour de mon cou. On se dirige ensuite vers une sorte de petite ferme. À l’intérieur, des chiens des cochons et même un cheval. je regarde mon beau-père en étant complètement apeuré, mais il détourne le regard. David tire sur la laisse, ce qui me force à continuer de marcher à quatre pattes. On traverse la grange, puis, dans une sorte de petits box recouverts de paille David retire le plug que je porte continuellement, puis il y en plaçait un de taille moyenne qui me fait pousser un cri strident. Il me tape sur la tête comme on l’aurait fait un clébard. Ensuite il vient placer un bâillon sur la bouche. Ce bâillon rouge est tellement gros, et il l’accroche de manière tellement serrée que ma bouche est vraiment écartelée. Il sort ensuite un vieux ciseaux, pour découper tous mes vêtements un par un, je me retrouve donc à poil, avec un bâillon dans la bouche, un plug en forme de queue de chien et une cage de chasteté. Mon beau-père sort une petite caméra portable qu’il a dû acheter car elle est toute neuve. Avec cette caméra, il commence à me filmer dans toutes les positions qu’il mordent, en gros plan, en plan large, je reçois un peu des gifles, des insultes bien sûr. Rien de bien nouveau, si ce n’est que je commence un peu à angoisser car on voit mon visage nettement. Après cette séance « cinéma » mon beau père et David partent.
Ils ne reviennent que quelques heures plus tard, il fait déjà nuit, David arrive avec une grosse couverture qu’il balance sur le sol, puis, à l’aide de mon beau-père, urine sur moi. David se penche vers moi, il me dit « tu vas passer la nuit ici ». Il rigolent et partent. Pensant qu’il disait ça, juste pour m’angoisser, je suis resté serein au début, puis voyons bien que la nuit était particulièrement sombre, je me suis résigné à m’endormir.
Entre l’odeur et le froid. La nuit fut courte, je suis réveillé très tôt le matin par les premières lueur du jour. J’entends ensuite mes deux hommes parler et arriver. David reprend la laisse et me fait marcher à quatre pattes. On passe par une sorte de grande cuisine avec plein d’outils, qui nous mène à une grande salle carré, route carrelé de blanc. David accroche, malaise sur une des parois de cette grande pièce, puis s’éloigne, récupère un gros jet d’eau très épais sur le sol, et il l’active en ma direction. La puissance de ce jet d’eau froid me maintient au sol tellement elle est forte, puis mon beau-père s’approche et à l’aide d’une éponge « gratte-gratte », métallique, me savonne le corps. la douleur est tellement puissante que mon cœur s’emballe, mes cris sont étouffé par le bâillon. Après cette douche, froide de torture, David et Karim recouvre mon corps de gel douche, l’un et l’autre commencent alors à me raser le moindres millimètres de peau. Une fois l’opération terminé, je suis rincé une nouvelle fois a l’eau froide. Ce n’est qu’un ensuite que nous nous dirigeons dans une autre pièce qui se trouve elle-même dans une autre partie de ferme. Dans cette salle, aux allures de chalet en bois, se trouve plusieurs éléments assez imposant, qui je le comprends assez vite sont des éléments de torture BDSM. C’est alors que je comprends ouf, mon beau-père m’a amené et ce qui m’attend pour les jours qui arrivent.
Je reviens, en ayant un peu nettoyé mon visage, avec un string, des talons et un plug. Un des mecs que je ne connais pas me prends pas les cheveux et me fait m’installer à quatre pattes sur le canapé lit. Direct lève mon plug. Il m’encule à sec, ce qui commence à me faire crier, mon beau-père se place devant et me four sa queue en bouche.
« Me suce pas salope, j’en ai juste marre de t’entendre crier »
Inutile de donner les détails, la matinée s’est déroulé de la sorte, un dans mon cul, un dans ma bouche, un dans mon cul, un dans ma bouche…
À la fin, un mec est venu placer sa queue dans ma chatte et m’a inondé de pisse. Ils se sont rhabiller, et mon beau-père les a raccompagné à l’extérieur, en disant que je devais nettoyer illico. Après avoir nettoyé, j’ai passé la journée à dormir tellement, j’étais épuisé de tout ça… En fin d’après-midi, mon beau-père arrive, il me réveille, plutôt gentiment, il me dit :
« 1000 € hier et 400€ ce matin, ta chatte elle m’a rapporté un smic en deux jours, crois-moi que je vais en profiter jusqu’à ce que tu puisses même plus marcher, et que toute la ville te soit passée dessus ».
Pendant les jours qui ont suivi, il ne m’a pas touché, il ne m’a pas adressé la parole, ma mère est revenue, elle est restée un long moment quasiment un mois sans quitter la maison, et à part les quelques phrases que mon beau-père me disait discrètement qu’il ne s’est rien passé. Des phrases du genre « j’ai baisé la chatte puante de ta mère, mais c’est ta chatte à toi qui me fait bander », « je peux même pas mettre un doigt dans le cul de ta mère, alors que toi j’y fous ma bite ». Des fois, il me fait simplement sentir sa bite, en disant que il vient de baiser ma mère, des fois il s’amuse à à frotter sa queue sur ce que je vais manger. D’autres fois, il s’amuse à juter sur ma bouffe.
Voilà maintenant un mois et demi que je n’ai rien fait, et que mon beau-père ne m’a pas touché. Je suis continuellement en cage de chasteté, et je porte un plug que mon beau-père ne manque pas de titiller des qu’il en a envie. Ma mère s’absente pour une durée d’une semaine. Des son départ, je ne peux pas m’empêcher de chauffer mon Karim tellement je suis accro et en manque.
- « c’est bien ma pute, tu commences à réclamer la queue, mais cette semaine ça va être une semaine charnière pour toi, je crois que t’es pas prête pour ce qui t’attend »
- « Il va se passer quoi ? »
- « On va aller en Lozère, j’ai trouvé un mec qui cherche à faire des expériences bien particulières et qui m’a donné une fortune pour toi »
- « En Lozère, mais les cours ? Et puis il va faire quoi ? »
Et bim je me reçois une gifle. J’écoute les ordres de mon beau-père, et j’attends sagement sur le canapé. Il prépare son sac d’affaire puis nous prenons la route. Je suis autorisé à monter à côté de lui, j’ai même le droit de le masturber de temps en temps. J’ai interdiction de le faire jouir. Il roule pendant facilement trois bonnes heures. On arrive dans un coin perdu. Il sort de la voiture. Je vois qu’il passe un coup de téléphone et il attend. 20 minutes plus tard une fourgonnette arrive, un homme sort, salut mon beau-père, ils parlent et rigolent ensemble. Mon beau-père remonte dans la voiture, et nous suivons cette camionnette. On arrive dans un coin véritablement paumé, c’est un grand espace avec un corps de ferme, plusieurs bâtisse de part et d’autres.
Avant qu’ils ne sortent de la voiture, mon beau-père se tend vers moi. Il me dit que la première règle à respecter, c’est de surtout pas parler. Et que si j’ose poser la moindre question et parler, il sera obligé de me tabasser très fort.
Il sort de la voiture, il rentre avec cet homme dans la maison, puis ils ressortent 15 minutes plus tard. L’homme, qui s’appelle David, ouvre la porte, me détache et me fait sortir de la voiture en me prenant par les cheveux. Je m’écroule sur le sol, et essayer de me relever, David me maintient au sol avec son pied. Il prend une laisse avec un collier, qu’il met bien serré autour de mon cou. On se dirige ensuite vers une sorte de petite ferme. À l’intérieur, des chiens des cochons et même un cheval. je regarde mon beau-père en étant complètement apeuré, mais il détourne le regard. David tire sur la laisse, ce qui me force à continuer de marcher à quatre pattes. On traverse la grange, puis, dans une sorte de petits box recouverts de paille David retire le plug que je porte continuellement, puis il y en plaçait un de taille moyenne qui me fait pousser un cri strident. Il me tape sur la tête comme on l’aurait fait un clébard. Ensuite il vient placer un bâillon sur la bouche. Ce bâillon rouge est tellement gros, et il l’accroche de manière tellement serrée que ma bouche est vraiment écartelée. Il sort ensuite un vieux ciseaux, pour découper tous mes vêtements un par un, je me retrouve donc à poil, avec un bâillon dans la bouche, un plug en forme de queue de chien et une cage de chasteté. Mon beau-père sort une petite caméra portable qu’il a dû acheter car elle est toute neuve. Avec cette caméra, il commence à me filmer dans toutes les positions qu’il mordent, en gros plan, en plan large, je reçois un peu des gifles, des insultes bien sûr. Rien de bien nouveau, si ce n’est que je commence un peu à angoisser car on voit mon visage nettement. Après cette séance « cinéma » mon beau père et David partent.
Ils ne reviennent que quelques heures plus tard, il fait déjà nuit, David arrive avec une grosse couverture qu’il balance sur le sol, puis, à l’aide de mon beau-père, urine sur moi. David se penche vers moi, il me dit « tu vas passer la nuit ici ». Il rigolent et partent. Pensant qu’il disait ça, juste pour m’angoisser, je suis resté serein au début, puis voyons bien que la nuit était particulièrement sombre, je me suis résigné à m’endormir.
Entre l’odeur et le froid. La nuit fut courte, je suis réveillé très tôt le matin par les premières lueur du jour. J’entends ensuite mes deux hommes parler et arriver. David reprend la laisse et me fait marcher à quatre pattes. On passe par une sorte de grande cuisine avec plein d’outils, qui nous mène à une grande salle carré, route carrelé de blanc. David accroche, malaise sur une des parois de cette grande pièce, puis s’éloigne, récupère un gros jet d’eau très épais sur le sol, et il l’active en ma direction. La puissance de ce jet d’eau froid me maintient au sol tellement elle est forte, puis mon beau-père s’approche et à l’aide d’une éponge « gratte-gratte », métallique, me savonne le corps. la douleur est tellement puissante que mon cœur s’emballe, mes cris sont étouffé par le bâillon. Après cette douche, froide de torture, David et Karim recouvre mon corps de gel douche, l’un et l’autre commencent alors à me raser le moindres millimètres de peau. Une fois l’opération terminé, je suis rincé une nouvelle fois a l’eau froide. Ce n’est qu’un ensuite que nous nous dirigeons dans une autre pièce qui se trouve elle-même dans une autre partie de ferme. Dans cette salle, aux allures de chalet en bois, se trouve plusieurs éléments assez imposant, qui je le comprends assez vite sont des éléments de torture BDSM. C’est alors que je comprends ouf, mon beau-père m’a amené et ce qui m’attend pour les jours qui arrivent.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par JulesLope
2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
J ai adore tous les episode me demande ce qu il va devenir maintenant
Hummm joli yva pas de suite