Karim mon beau père 9 - histoire érotique

Après cette séance de torture extrême, je suis abandonné dans cette pièce, attaché par une laisse en métal, reliée au sol. Nue, mon corps recouvert de bleus, de marques, de brûlures… Je n’ai plus aucune notion du temps, du réel ou de l’imaginaire. J’en viens à me demander si tout ceci est réel. Les heures passes, et ne pouvant plus me retenir et sans même m’en rendre compte dans un moment d’assouplissement, je me fais dessus. Recouverts de ma propre pisse et de mon propre excrément. Je n’ai même pas honte. Juste peur de la réaction de mes deux maîtres.
Je patauge dans ça pendant encore une éternité, je commence à être transit de froid. J’entends des bruits, une discussion, mes maîtres.

Karim « Oh putain degeulasse, t’arrives même pas à te retenir… Même un clébard serait plus propre que toi. Tu me dégoûtes. »

David - « c’est pas grave, elle va réparer son erreur, elle va lécher le sol »

Tu sais, même me poser la moindre question, je commence à lécher le sol. David me caresse gentiment la tête. Et accompagne son geste par « c’est bien, c’est tes bien ».

Il détache la laisse, il me ramène dans la pièce carrelée toute blanche. Il me regarde et il me dit « tu sais ce qu’il te reste à faire ».

Je me mets donc à quatre pattes, en levrette, les cuisses très écartées, et David, me nettoie avec un jet d’eau froid, très puissant.

Une fois que c’est fait, il s’approche de moi, il me dit « ce soir, tu vas nous faire un bon repas, et si tu es sage et que c’est réussi, tu auras le droit de te faire baiser »

«merci maître David, merci maître Karim »

Ils se regardent en souriant, et ils ont l’air satisfait. Je suis amené dans la résidence personnelle de David. Une vieille bâtisse de campagne, très très grande, un peu vieillot. Là, David et mon beau-père s’assoit sur le canapé en regardant des vidéos « instructive » pour le sm. Moi je me dépêche en cuisine.
Je fais une cuisse de mouton rôti accompagné de frites. Une salade en entrée. Je mets la table. Une fois que tout est prêt je cris « c’est prêt ». Presque en courant. David vient vers moi et me serre les couilles tellement fort que je me mets immédiatement à quatre pattes. Il hurle

« mais pour qui tu te prends espèce de sous-merde pour qui tu te prends dis-moi ! Comment tu oses nous parler, la prochaine fois, je t’arrache les couilles »

Mes deux maîtres passent à table. Quant à moi. naturellement je me mets dessous et j’attends les ordres. Un coup, je lèche les pieds, l’autre les couilles, puis le bout de la bite. C’est ça tout le long du repas. Je vois que mon beau-père commence à bande bien fort. Il se penche, me prend par les cheveux et tire violemment dessous la table. Il me relève, je suis debout contre lui, il me penche brusquement, ma tête vient heurter la table.

« ton beau-père va te baiser, toi tu vas te laisser faire, tu vas pas couiner, tu vas pas pleurer, tu vas te laisser faire comme une bonne lope. »

- « David, viens lui tenir les bras s’il te plaît, je veux pas qu’elle bouge »
-
David se lève, me tire les bras avec toute sa puissance. Mon beau-père écarte un peu ma chatte, et il rentre en moi assez facilement. Sans pouvoir calculer, ni le retenir, je laisse échapper un couinement. David réagit immédiatement en foutant une gifle monumentale.
Et pendant cinq minutes, mon beau-père me baise comme ça. Je vois que cela excite David qui commence à bander et naturellement avec ma bouche, je cherche à avaler son sexe. Il me félicite « bravo, c’est bien ma petite truie, t’es vachement goulu, allez tu peux sucer »

Mon beau-père se retire. Il va jouir dans un coin de la cuisine. David ne me change pas de position et continue de me déglinguer la gorge. Il se retire et fais la même chose que mon beau-père.

Ils s’assoient à table, je débarrasse. Après avoir fait la vaisselle, David récupère les restes. Il me demande de m’asseoir sur le sol et me demande de le regarder faire.

David sort une gamelle, et dans ses mains, prends un petit peut la viande, les frites et la salade que j’ai préparé. Avec mon beau-père, il s’amusent et en faire des petits morceau, de la bouillie presque. Mais ils frottent les frites et la viande sous leurs aisselles, ils crachent dedans, mollardent meme, secouent et frottent leurs bites à ce qui va être mon repas. David s’amuse même à écraser ma nourriture avec ses pieds à même le sol. Tout en faisant cela mes deux maîtres rigolent aux éclats.

Ils posent enfin la gamelle sur le sol. Ils partent a nouveau dans le salon. Je vais rester là une demi-heure sans rien faire me refusant à manger ceci. Pourtant, mon ventre hurle la faim, ils reviennent. Mon beau père, presque désespéré soupir « mon dieu qu’elle me fait honte, j’en peux plus ».

David « non mais la pauvre il faut la comprendre, ça doit être un peu sec ce qu’on a préparé. Attends tu vas voir ».

David reprend la gamelle, la positionne vers sa bite, et ce que je craignais arriva. Il a commencé à pisser dans ma nourriture. Il a reposé la gamelle. Il a claquer des doigts et je suis immédiatement allé manger.

David « tu vois, je te l’avais dit c’était un peu sec. Maintenant c’est beaucoup mieux »

Karim « tu as plus l’habitude, c’est mon premier esclave. Avant ça j’ai dû me supporter sa mère, et crois-moi que à baiser il faut être courageux »

David « oui, j’ai vu les photos je te plains, elle a pas l’air d’aimer le cul, et elle a pas l’air d’être douée. Mais t’es bien tombé avec sa fille, parce que il y a un bon niveau et il y a surtout beaucoup de potentiel »

Karim « ouais je suis content, ça m’évitera d’être frustré et ça m’évitera d’aller baiser des beurettes. Parce que entre la peur de les foutre enceinte et la peur qu’elles parlent.

David « avec elle, c’est sûr que tu risques pas de la mettre enceinte, et parler elle osera jamais, elle prendra pas le risque »

Ils explosent de rire, et moi je finis ma gamelle.
Après m’avoir féliciter pour avoir tout fini, je suis ramené dans la petite ferme pour y passer la nuit.

Le lendemain matin, c’est mon beau-père qui vient me chercher et me raccompagne dans la maison principale. Toujours obligé de marcher à quatre pattes dans le froid, malgré la douleur. Quand j’arrive, je dois préparer le petit déjeuner. Une fois fini, je suis attaché et menotte sur la table pendant que mes deux maîtres se préparent à un footing.

Au bout d’une heure et demie, ils reviennent. Ils se mettent à poils, et presque euphorique me disent « Séance décrassage pour la lope ».

Je commence donc à me mettre à genoux, David me balance une bonne tarte juste pour le plaisir. Mon beau père en fait de même.
Je passe des pieds de David au pied de Karim. Pareil pour les aisselles, j’ai enfin l’honneur de pouvoir nettoyer les deux grosses paires de couilles devant moi. Je suis obsédé et attiré par les odeurs de mal. C’est quelque chose qui agit sur moi comme une drogue. Karim et david échangent un regard. Et Karim se retourne, écarte légèrement les fesses, et me dit « viens lécher mon trou » je bouge pas et je regarde David parce que je ne sais pas quoi faire. Mon beau-père se retourne, je suis encore à genoux, et dans un excès de rage que je n’avais jamais vu avant, il commence à m’étrangler de manière si forte et si violente que David est même obligé de lui dire de faire attention. C’était la première fois que je voyais un regard aussi noir, presque meurtrier à mon beau-père. J’ai cru que mes yeux allaient sortir de leurs orbites.
Je tousse quand même malade, et je reprends un peu mes esprits, mon beau-père se positionne une nouvelle fois, et David me prend fermement par les cheveux et me fourre le visage contre le cul de mon beau-père. Au début je ne respire pas et j’attends que ça passe. Mon beau père va pour se retourner mais ayant peur de sa réaction je finir par céder. Je finis donc par respirer cette odeur. Et surtout je commence à lécher le cul transpirant de Karim. Je suis dégoûté par l’odeur, dégoûté par tous ces poils… Mais je n’ai pas le choix. Une fois que Karim semble satisfait de son décrassage, c’est au tour de David. Même sensation. David présente sa queue, et instinctivement, j’ouvre la bouche. Il me pisse dessus, pas seulement en bouche, mais surtout le visage. Une fois terminée, il est suit les quelques gouttes sur mes lèvres. Une nouvelle fois ils échangent un regard. Ils commencent alors à me mettre une série de gifle qui troublent ma visons. Karim commence alors à présenter sa bite et une nouvelle fois j’ouvre la bouche pour recevoir la pisse. Sauf qu’à ce moment-là, David sort son téléphone et filme la scène. Une fois terminée, j’ai la possibilité de voir la vidéo. C’est humiliant mais je ne dis rien.

- « avec David, on a décidé de te faire un book, on va faire une série de photos et de vidéos car on a décidé de te faire faire la tapin »

- « oui, à terme, c’est ton beau-père qui va en profiter mais là je vais l’aider pour te mettre sur le trottoir ».

- « D’ailleurs ça va commencer. Dès maintenant, on va passer la journée à faire les photos et les vidéos et ce soir on va te mettre sur le trottoir ».