Karine et Peggy, belles danseuses

- Par l'auteur HDS ERIC64 -
Récit érotique écrit par ERIC64 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : Karine et Peggy, belles danseuses Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-01-2012 dans la catégorie Plus on est
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Karine et Peggy, belles danseuses
Karine et moi sommes tombés d'accord, on ne peut plus se passer de Peggy. Cela tombe très bien puisque cette salope ne jure plus que par nous. On se retrouve le plus souvent possible pour reconstituer notre trio inséparable.
Peggy est de plus en plus gourmande: de sexe, mais aussi de bonne bouffe. Karine se laisse entraîner dans ses désirs, et sans être grosses mes salopes deviennent de plus en plus rondelettes, appétissantes, comestibles.
On repart au restaurant où on s'est rencontré, et par chance on tombe sur une soirée animée par des danseuses orientales. De jeunes et très jolies femmes, en tenue légère mais correcte, qui parcourent la salle, plusieurs fois dans la soirée, au rythme de la musique pour offrir à tous un spectacle des plus charmants. Tous les hommes sont ravis, surtout les vicieux comme moi, mais aussi les femmes, surtout les chiennes lesbiennes ou bi comme mes deux compagnes.
Cette "attraction" a lieu une fois par semaine, et on n'en rate pas une.
On a une table réservée d'où on peut bien mâter, et les filles viennent jusqu'à nous pour nous montrer leurs charmes, comme à tous, peut-être plus comme clients fidèles.
Ce spectacle, tout à fait correct, familial, me fait bander comme il fait mouiller mes chéries, et elles le savent ces salopes. On est sur un canapé, et je suis entre elles. Je porte un pantalon de jogging mais qui fait habillé, et rien dessous.
La musique démarre, les danseuses sont là, toujours aussi ravissantes, désirables.
Comme presque tous on s'arrête de manger, pour dévorer des yeux. Peggy glisse aussitôt sa main sous la table, dans mon froc, et me branle, me pelote les couilles sans retenue. Elle sait y faire, et je bande sans délai. Elle me masturbe de plus en plus fort quand les filles s'approchent. Il y en une à un mètre de nous, qui se déhanche, se trémousse, fait bouger son ventre à toute vitesse. Je serre les dents pour ne pas gémir devant elle, et cette pute de Peggy m'astique de plus en plus fort.
Je ne sais si cette délicieuse poupée qui vibre devant nous se doute de ce que nous faisons, mais toujours est-il qu'elle s'accroupit en dansant sur place, se relève, puis s'éloigne avec un petit sourire malicieux. Elle a du deviner la main de ma voisine entre mes jambes, mais aussi sa chatte et celle de Karine, qu'elles lui ont offert les cuisses ouvertes sous leurs mini-jupes, sans culottes.
Les filles ont fini leur premier passage. Peggy se lève, et je la suis vers la sortie. On va au fonds du parking, dans un coin isolé, et elle me fait une pipe éclair. En moins d'une minute elle a déballé mon manche et m'a fait jouir dans sa bouche. Elle a tout engloutit, en grosse salope gourmande, et m'a nettoyé. On repart à notre table, rejoindre Karine.
On continue notre repas, sans se presser pour profiter de toutes les séances de danses. Les filles se renouvèlent, aussi jolies les unes que les autres, mais il y en a deux que j'adore, qui me font rêver. J'ai jouis juste après leur premier passage, et voilà que ce sont à nouveau elles.
Elles sont trop belles, et j'ai du mal à me retenir à leur vue et à la main de Karine qui s'active sur mon manche. Elles ont terminé, et il me faut une autre pipe. Karine a de nombreuses occasions de me pomper, et elle laisse à nouveau la place à Peggy qui ne demande pas mieux. On est dans un coin du parking, et elle me pompe à nouveau, bien fait vite fait, très bien fait. J'éjacule sans retenue, et elle dévore tout. On rejoint Karine.
On a finit de diner, le spectacle est terminé, et on va chez moi.

On va se faire un jeu de rôle comme je les adore. On imagine que mes deux danseuses préférées me rejoignent, et elles vont jouer leur rôle. Il y a longtemps que j'ai envie de ce plan, et elles ont pris quelques cours de danse. Elles seront sans doute moins douées que leur original, sans aucun doute plus plantureuses, mais je vais essayer de les oublier et me persuader que ce sont bien ces superbes danseuses tant admirées et désirées. On est chez moi, je suis au salon, et elles vont dans la chambre pour se changer. Elles ressortent sur le pallier, et sonne. Je vais ouvrir.

Elles ont une veste, qui m'empêche de savoir si elles ont une jupe, ou une robe, longue. Elles ont des perruques, identiques à la chevelure de mes deux jolies danseuses, et je me prend à rêver. Je reste bouche bée, et l'une d'elle rompt le silence:- Bonsoir, vous nous reconnaissez?
-Oui, bien sûr, vous travaillez au restaurant .................
- Oui, c'est ça. On peut entrer?
Bien sûr qu'elles peuvent et je m'excuse pour ma maladresse. Je m'attendais à Peggy et Karine, et suis surpris que ce soit elles. Elles m'expliquent que mes copines les ont contactées et persuadées de m'offrir une séance privée. L'idée ne leur a pas déplu, et elles ont accepté.
Elles se présentent, L--- et A---, 24 et 26 ans. Elles me donnent les règles de leur participation: c'est elles qui décident de tout, et je ne dois prendre aucune initiative. On décide de se tutoyer, et c'est parti.
On est au salon, et on pousse le mobilier pour faire de la place comme une petite piste de danse. Elles ont amené un cd de musique orientale, et on le démarre. Elles enlèvent leurs vestes et chaussures, et sont en tenue: une longue jupe légère, jusqu'aux chevilles, à la taille ultra basse, ras la moule. Un joli soutien gorge assorti. Je suis installé sur le canapé, et le spectacle commence.
Elles dansent toutes les deux, puis L--- vient s'asseoir contre moi, et pose sa main sur mon pantalon:- Alors, il paraît qu'on est tes filles préférées, et qu'on te fait bander? Ce soir on est là rien que pour toi, on va te faire triquer comme un âne.
Elle a glissé sa main dans mon froc:- Hummmm, elle te fait de l'effet ma copine. Ne bouge pas, et regarde comme je danse bien moi aussi.
Elle se lève, glisse quelque mots à l'oreille de sa partenaire et se met en mouvement. A--- vient à son tour contre moi et regarde ma bosse:- Déshabille toi, montre moi ta queue. J'aime faire bander les mecs, voir leur bite se dresser pour me rendre hommage.
Je me mets à poil, et mon sexe se dresse comme un ressort. Elle s'en saisit à pleine main pour s'assurer de la raideur, puis repart sur la piste en m'ordonnant de me branler.
Leur danse sensée être érotique mais sage, dérape rapidement. Ca devient chaud, lascif, torride, provoquant. Elles s'approchent de moi en se caressant la poitrine. Leurs soutien gorges se dégrafent par devant, et elles défont la pression pour lâcher leur beaux seins comprimés dans ces petits bouts de tissu. Elles se déchaînent, se trémoussent sans relâche, et leurs grosses mamelles sautent devant mes yeux désireux. Je ne dois pas bouger, et me masturbe plus activement.
Elles fixent ma queue comme je fixent leurs seins, et j'ai espoir qu'elles me désirent, comme je les désirent.
Elles se caressent les globes, puis leurs mains descendent sur leurs ventres, leur bas ventres. Elles défont leurs jupes dans un même mouvement, les laissent tomber au sol, et les poussent du pied. Elles non plus qu'un petit string pour tout vêtement. Je me secoue le manche à fonds la caisse.
Elles sont toujours en mouvement, se font face, et se collent l'une à l'autre. Leurs seins s'écrasent entre eux, leurs bouches se rejoignent, et elles avancent une cuisse pour la plaquer contre la chatte de l'autre. Elles m'offrent une séance brûlante, et j'ai du mal à ne pas les rejoindre. Elles se séparent, se couchent sur le tapis du salon et se positionne chatte contre chatte. Elles se frottent le minou, et gémissent sans discrétion. Elles me torturent ces salopes, à ne pas devoir les toucher.
Elles se relèvent, se plantent devant moi, enlèvent leur string, se l'enfile entièrement dans le vagin, puis se masturbe jusqu'à jouir, pour de vrai, aucune simulation.
L--- retire à peine son dessous intime, s'approche de moi. Elle pose un pied sur le dossier du canapé, ses cuisses sont grandes ouvertes, et elle me saisit par les cheveux pour me plaquer la gueule sur sa vulve:- Lèche moi salaud, tu vas bander pour quelque chose. Tu vas me nettoyer, puis bouffer mon string, le mâcher pour savourer ma mouille.
Je suis dans un état second, c'est trop beau pour être vrai, et je m'exécute avec grand plaisir. Elle se retire, je déguste sa petite culotte, puis la retire de ma bouche. A--- s'approche et me fait subir le même sort, un heureux sort.
Elles sont à nouveau sur la piste, et dansent, se caressent, avec toujours autant d'énergie.

Karine et Peggy ont laissé une grande poche à leur attention, avec quelques joujoux coquins, et elles fouillent dedans. Elles en retirent un très long gode, avec un gland à chaque extrémité. Chacune en lèche un, en prenant soin que je les vois bien, pour le lubrifier. Puis elles se l'enfoncent dans la fente et avancent l'une vers l'autre jusqu'à se rejoindre. Leurs ventres se mettent à nouveau en mouvement, et elles s'aiment sur cette longue double bite. Elles s'activent dessus, jusqu'à épuisement, et retirent leur engin. Elles le prennent en bouche, et je regarde bouche bée ce long engin s'enfouir dans leur gorge jusqu'à ce que leurs lèvres se rejoignent.
Elles se séparent et A--- revient à mes côtés, tandis que L--- fouille dans la poche à godes:- Si tu veux je te suce, j'ai trop envie. Mais je te préviens je ne suce pas à fonds, il faudra te retenir.
- Pas de souci, j'ai déjà jouis deux fois ce soir, et ne suis pas prêt de remettre ça.
J'ai à peine fini ma phrase, que je sens ma queue disparaître dans sa gorge profonde. Elle me garde jusqu'à suffoquer, se redresse un peu, salive à flots, et me reprend de plus belle. Je lui dit combien c'est bon, la traite de salope et m'excuse aussitôt. Elle relève la tête, me demande de l'insulter comme une chienne si ça doit m'exciter, puis me reprend. Je suis à nouveau tout en elle, et je sens sa main pousser mes couilles dans sa bouche pour me gober tout le paquet.
Pendant ce temps L--- a trouvé un superbe gode en verre avec un gland gros comme un œuf. Elle s'est installée sur un fauteuil, face à nous, les cuisses relevées sur les accoudoirs. Elle s'exhibe, pire que dans un porno, et on peut voir ce merveilleux toy aller et venir dans sa chatte et dans sa bouche.

A--- a envie de me baiser. Je luis promets à nouveau de ne pas jouir. Je m'allonge sur le tapis et elle m'enfourche. Elle saisit ma queue pour enfiler sa chounette puis se met en mouvement. Elle me chevauche, me monte, au pas, au trop, au galop. Elle s'emballe, et reprend sa danse du ventre sur ma trique. On ne m'a jamais aimé aussi bien, ma bite est au paradis.
Elle est en sueur, se retire pour souffler, et L--- la remplace. Je ne peux ni débander, ni jouir, comme si j'avais une crampe. Elle me baise avec autant d'ardeur que sa complice qui est sur ma gueule pour se faire brouter le minou. Elles se remplacent, et j'ai en permanence le contact de leurs huîtres voraces sur ma queue et ma bouche.
Je n'en peux plus et préviens que je vais bientôt jouir. Celle qui me baise se retire et récupère un préservatif dans la poche. Elle me le met, reviens sur moi, et me fais reluire le manche de toutes ses forces. Je n'en peux plus, et décharge enfin. Elles se relèvent et se lèchent la chatte pour se nettoyer. Elles me disent de ne pas bouger, que Karine et Peggy devraient rentrer. Elles se rhabillent vite fait et me laissent leurs petites culottes en souvenir. Elles s'en vont et mes copines sont là deux minutes après. Je suis toujours allongé, épuisé.

Peggy mate mon sexe couvert, et tout luisant de mouille, comme mon ventre, mes cuisses, mes couilles, tellement mes danseuses ont jouis en abondance. Elle est à quatre, penchée sur moi, et me lèche partout pour me nettoyer, et savourer ces liqueurs dont elle raffole. Puis elle me prend la queue en bouche, nettoie l'extérieur de la capote, puis la roule savamment avec ses lèvres et la gobe pour nettoyer l'intérieur. Elle la retire, la défait à l'envers, et la suce pour ne rien perdre. Puis elle savoure ma queue qui a trempé dans mon sperme. Trop salope, je l'adore.
Elles ont supposé dans leur jeu de rôle que mes invitées ne voulaient m'offrir leur cul, mais du coup le leur est en manque. Elles me demandent de les défoncer, mais j'en suis bien incapable.
Je leur propose de passer la nuit ensemble, et de les honorer dès que j'ai repris des forces. Elles sont ok, et je me sers à boire, tandis qu'elle vont s'aimer entre filles, histoire d'éteindre leur feu.
Elles se godent, se fistent, s'enculent avec de gros engins, et je les regarde, incapable de participer à leurs pénétrations anales et profondes. Elles s'en sont mis plein le cul ces salopes, et sont elles aussi épuisées.
On va dormir, sauf que j'ai envie de pisser. Peggy veut s'offrir comme urinoir, elle adore se faire remplir d'urine. On va à la salle de bain, elle s'agenouille dans le bac à douche, et sa bouche ouverte espère mon jet dru. Je me laisse aller, et me déverse en elle. Elle avale au maximum, mais ma pisse est trop abondante, et déborde de sa bouche. Elle se caresse pour tout étaler, sur ses seins, son ventre, sa vulve.
Je suis soulagé mais elle a encore soif. Karine se plante devant elle, et urine à flots sur sa jolie petite gueule et dans sa bouche. Elle engloutit à grandes gorgées, puis lèche la chatte de sa donatrice.
Elle a envie de pisser à son tour, et je m'agenouille avec Karine pour recevoir et se partager son pipi joli. J'adore ma Peggy cochonne qui se soulage, je ne connais rien de plus beau ni de meilleur.
On est épuisés tous les trois, et on se couche dans le même lit. Nul doute que la nuit sera agitée.

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