Karine femme dévoué 5
Récit érotique écrit par linsee [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-08-2024 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Karine femme dévoué 5
Ludovic se retire du ventre de Karine et l'aide à se relever. Roman passe sa main sur la chatte détrempée d'Adeline, la caresse un court instant puis pose deux doigts sur son anus. Une petite pression suffit pour que les premières phalanges des deux visiteurs pénètrent le temple de Sodome. Adeline pousse un gémissement. Roman, appuie plus fort, les doigts s'enfoncent entièrement dans son rectum. Adeline trouve cela immoral, mais pour l'instant ne se révolte pas.
Sans précipitation, Roman, leur fait faire des demi-rotations, et commence un très lent va-et-vient. Adeline agite doucement sa croupe en gémissant, elle a honte de subir une telle soumission, qui est pour elle contre-nature.
Elle voudrait ruer, se dérober, mais la seule chose qu'elle est capable pour l'instant, c'est de se cabrer. Roman fouille l'antre en regardant les réactions d'Adeline. Il accélère légèrement, puis retire ses doigts. Il offre à la bouche de la soumise les visiteurs en, en ajoutant un supplémentaire. Une fois bien lubrifier par la salive.
Roman les représente à l'anus, qui, comme pris d'hystérie, ne cesse de s'ouvrir et de se refermer constamment. Il les enfonce totalement et commence un ramonage qui devient de plus en plus violent. Jamais Adeline n'a subi un tel acte. Elle se sent humiliée, elle a bien supporté la langue, mais la pénétration digitale, ce n'est plus la même histoire. Elle serre les dents en se cabrant, dit :
-Non, non, pas ça, Roman, non, c'est monstrueux de me faire ça !
Il continue de lui ramoner la rondelle, et en souriant lui répond :
-N'est crainte ma chérie, je prépare le passage pour ma queue, tu vas voir cela va être fabuleux, tu vas connaitre la jouissance anale pour la première fois de ta vie, ne résiste pas, détends-toi !
Adeline craint le pire, déjà les doigts ne sont pas simples à supporter, alors la bite, cela va être autre chose. Enfin son calvaire cesse pour l'instant. Roman, retire ses doigts et présente à la chatte ruisselante, sa verge tendue. Il faut dire que la nature a gâté le gredin. Il la décalotte et commence à faire des montées et des descentes sur la fente entrouverte. Adeline, en sentant contre sa chatte le manche de chair, se crispe légèrement.
Roman s'accroche à ses hanches et pousse doucement. Les grandes lèvres s'écartent, et le gland s'engage dans le conduit brûlant. Instinctivement, Adeline s'agrippe à son amant. Lentement, la verge, puissante, progresse dans la gaine en surchauffe. Roman sait être doux quand il le faut. Plus la verge s'enfonce en elle, plus Adeline s'ouvre en gémissant. Enfin les bourses velues viennent en contacte avec sa chatte. Elle sent le gland appuyer fortement contre le col de son utérus. Elle se cabre en soufflant comme un dragon, en tirant fortement sur les fesses de son amant, pour être empalée totalement.
Roman commence les allers et retours, ce que ressent Adeline est une immense excitation. Plus la vitesse augmente, plus Adeline geint. Le va-et-vient est incessant, il augmente en intensité au fur et à mesure du temps. Ma méthode change, Roman ralentit, pour accélérer à nouveau après. Souvent, il réitère ce mouvement. Adeline défaille, jamais son mari ne l’a baisée de cette manière. Le col de son utérus est très sollicité, Roman prend un malin plaisir à le malmener. Pour Adeline, ce n'est que du bonheur.
En poussant un hurlement, elle se cabre et jouit comme jamais. Dans son délire, elle répète :
-Oui, oui, encore, plus fort mon chéri, oh comme tu me prends bien, encore, encore !
Ludovic se sent rabaissé, en entendant les paroles de sa femme jouisseuse. Il serre les dents pour ne pas rugir. Roman donne des grands coups de reins, soudain, il retire sa bite du puits débordant de bonheur, et la présente à l'anneau ridé. Il appuie le gland contre le muscle rectal, et pousse fortement. Adeline se cabre, en poussant un hurlement de douleur, son anus vient de céder et avale lentement la bite monstrueuse.
Elle grimace, la douleur est terrible, elle crie :
-Non, non, ça fait trop mal, Roman, retire-toi, pitié, pitié, non, non, pas ça !
Roman ne l'écoute pas, il saisit le haut des cuisses de son amante et pousse encore plus fort. Adeline croit que son cul va s'ouvrir en deux, elle secoue la tête négativement en grimaçant. Une fois bien ancré dans le cul d'Adeline, Roman cesse de pousser. C'est un petit répit pour Adeline qui ne cesse de grimacer. Le va-et-vient quoique très lent et difficile à supporter. Adeline grogne :
-Roman, tu veux me faire mourir, arrête, arrête, Ludovic, empêche-le !
Les allers et retours sont très, très lents. Dilatée comme jamais, Adeline ne peut que subir la sodomie. Mais comme par miracle, peu à peu la douleur s'estampe, et laisse la place au plaisir. Le gland puissant racle fortement les muqueuses sensibles de la gaine étroite. Pour Adeline, c'est le début d'un ramonage, dont Adeline, n'est pas près d'oublier le plaisir que celui-ci va lui procurer.
Elle s'accroche à son amant en gémissant comme une bête tombée dans un piège. À chaque enfoncement de la bite dans son rectum distendu, Adeline pousse un râle rauque. Elle qui redoutait et qui trouvait même ça immoral et contre-nature, la coquine prend un plaisir intense à la sodomie. Un long gémissement, suivit, d'un cabrage, prouvent qu'Adeline vient de jouir du cul pour la première fois.
Elle ne peut retenir :
-Oh, c'est merveilleux, Ludovic, tu me prendras par là aussi mon chéri, oh comme c'est bon !
Roman en bon amant retire sa bite du cul pour la replonger dans la chatte dégoulinante. Il donne quelques estocades puis réinvestit le cul qu'il bourre comme un sauvage. Pour Adeline, c'est le summum du bonheur, une seconde jouissance du cul la fait cabrer. Roman grince des dents et donne un violent coup de reins, il reste bloqué au fond de la fournaise pour y déverser sa semence. Enfin, il se retire. Ludovic en profite pour prendre la place. Adeline subit en quelques minutes une deuxième sodomie. Elle y prend autant de plaisir, et jouit aussi intensément du cul.
Adeline est initiée aussi à la double pénétration, ainsi que Karine. Les femmes sont baisées jusqu'à plus soif, ce sont les couilles vident, et épuisés que les deux hommes demandent une pause. Un encas réparateur recharge les batteries. C'est après avoir repris des forces que les femmes sont encore sollicitées par les deux mâles en ruts.
Adeline très excitée accepte une double anale, et une double vaginale. Karine veut, elle aussi, veut avoir le même traitement, elle l'obtient. Une fois bien remplit de jus, les femmes pour remercier leurs bienfaiteurs. Appliquent sur les hommes ce dont elles sont le plus douées. Karine décalotte Ludovic et lui lèche le gland, ses coups de langue bien ajustés sur le cèpe gascon, font gémir le soumit. Mais une fois qu'elle gobe le gland et se met à le sucer, Ludovic délire :
-Oui ma chérie, suce-moi, bouffe-moi la queue, oh comme tu es bonne, je vais jouir, oui, oui, c'est trop bon !
Une ultime décharge remplit la bouche de Karine qui avale en se léchant les lèvres. Adeline imite Karine, sous les conseils de Roman. Les quatre se retrouvent régulièrement, pour une bonne baisse. Adeline évolue à chaque rencontre. Quant à Karine, elle est toujours au top.
Sans précipitation, Roman, leur fait faire des demi-rotations, et commence un très lent va-et-vient. Adeline agite doucement sa croupe en gémissant, elle a honte de subir une telle soumission, qui est pour elle contre-nature.
Elle voudrait ruer, se dérober, mais la seule chose qu'elle est capable pour l'instant, c'est de se cabrer. Roman fouille l'antre en regardant les réactions d'Adeline. Il accélère légèrement, puis retire ses doigts. Il offre à la bouche de la soumise les visiteurs en, en ajoutant un supplémentaire. Une fois bien lubrifier par la salive.
Roman les représente à l'anus, qui, comme pris d'hystérie, ne cesse de s'ouvrir et de se refermer constamment. Il les enfonce totalement et commence un ramonage qui devient de plus en plus violent. Jamais Adeline n'a subi un tel acte. Elle se sent humiliée, elle a bien supporté la langue, mais la pénétration digitale, ce n'est plus la même histoire. Elle serre les dents en se cabrant, dit :
-Non, non, pas ça, Roman, non, c'est monstrueux de me faire ça !
Il continue de lui ramoner la rondelle, et en souriant lui répond :
-N'est crainte ma chérie, je prépare le passage pour ma queue, tu vas voir cela va être fabuleux, tu vas connaitre la jouissance anale pour la première fois de ta vie, ne résiste pas, détends-toi !
Adeline craint le pire, déjà les doigts ne sont pas simples à supporter, alors la bite, cela va être autre chose. Enfin son calvaire cesse pour l'instant. Roman, retire ses doigts et présente à la chatte ruisselante, sa verge tendue. Il faut dire que la nature a gâté le gredin. Il la décalotte et commence à faire des montées et des descentes sur la fente entrouverte. Adeline, en sentant contre sa chatte le manche de chair, se crispe légèrement.
Roman s'accroche à ses hanches et pousse doucement. Les grandes lèvres s'écartent, et le gland s'engage dans le conduit brûlant. Instinctivement, Adeline s'agrippe à son amant. Lentement, la verge, puissante, progresse dans la gaine en surchauffe. Roman sait être doux quand il le faut. Plus la verge s'enfonce en elle, plus Adeline s'ouvre en gémissant. Enfin les bourses velues viennent en contacte avec sa chatte. Elle sent le gland appuyer fortement contre le col de son utérus. Elle se cabre en soufflant comme un dragon, en tirant fortement sur les fesses de son amant, pour être empalée totalement.
Roman commence les allers et retours, ce que ressent Adeline est une immense excitation. Plus la vitesse augmente, plus Adeline geint. Le va-et-vient est incessant, il augmente en intensité au fur et à mesure du temps. Ma méthode change, Roman ralentit, pour accélérer à nouveau après. Souvent, il réitère ce mouvement. Adeline défaille, jamais son mari ne l’a baisée de cette manière. Le col de son utérus est très sollicité, Roman prend un malin plaisir à le malmener. Pour Adeline, ce n'est que du bonheur.
En poussant un hurlement, elle se cabre et jouit comme jamais. Dans son délire, elle répète :
-Oui, oui, encore, plus fort mon chéri, oh comme tu me prends bien, encore, encore !
Ludovic se sent rabaissé, en entendant les paroles de sa femme jouisseuse. Il serre les dents pour ne pas rugir. Roman donne des grands coups de reins, soudain, il retire sa bite du puits débordant de bonheur, et la présente à l'anneau ridé. Il appuie le gland contre le muscle rectal, et pousse fortement. Adeline se cabre, en poussant un hurlement de douleur, son anus vient de céder et avale lentement la bite monstrueuse.
Elle grimace, la douleur est terrible, elle crie :
-Non, non, ça fait trop mal, Roman, retire-toi, pitié, pitié, non, non, pas ça !
Roman ne l'écoute pas, il saisit le haut des cuisses de son amante et pousse encore plus fort. Adeline croit que son cul va s'ouvrir en deux, elle secoue la tête négativement en grimaçant. Une fois bien ancré dans le cul d'Adeline, Roman cesse de pousser. C'est un petit répit pour Adeline qui ne cesse de grimacer. Le va-et-vient quoique très lent et difficile à supporter. Adeline grogne :
-Roman, tu veux me faire mourir, arrête, arrête, Ludovic, empêche-le !
Les allers et retours sont très, très lents. Dilatée comme jamais, Adeline ne peut que subir la sodomie. Mais comme par miracle, peu à peu la douleur s'estampe, et laisse la place au plaisir. Le gland puissant racle fortement les muqueuses sensibles de la gaine étroite. Pour Adeline, c'est le début d'un ramonage, dont Adeline, n'est pas près d'oublier le plaisir que celui-ci va lui procurer.
Elle s'accroche à son amant en gémissant comme une bête tombée dans un piège. À chaque enfoncement de la bite dans son rectum distendu, Adeline pousse un râle rauque. Elle qui redoutait et qui trouvait même ça immoral et contre-nature, la coquine prend un plaisir intense à la sodomie. Un long gémissement, suivit, d'un cabrage, prouvent qu'Adeline vient de jouir du cul pour la première fois.
Elle ne peut retenir :
-Oh, c'est merveilleux, Ludovic, tu me prendras par là aussi mon chéri, oh comme c'est bon !
Roman en bon amant retire sa bite du cul pour la replonger dans la chatte dégoulinante. Il donne quelques estocades puis réinvestit le cul qu'il bourre comme un sauvage. Pour Adeline, c'est le summum du bonheur, une seconde jouissance du cul la fait cabrer. Roman grince des dents et donne un violent coup de reins, il reste bloqué au fond de la fournaise pour y déverser sa semence. Enfin, il se retire. Ludovic en profite pour prendre la place. Adeline subit en quelques minutes une deuxième sodomie. Elle y prend autant de plaisir, et jouit aussi intensément du cul.
Adeline est initiée aussi à la double pénétration, ainsi que Karine. Les femmes sont baisées jusqu'à plus soif, ce sont les couilles vident, et épuisés que les deux hommes demandent une pause. Un encas réparateur recharge les batteries. C'est après avoir repris des forces que les femmes sont encore sollicitées par les deux mâles en ruts.
Adeline très excitée accepte une double anale, et une double vaginale. Karine veut, elle aussi, veut avoir le même traitement, elle l'obtient. Une fois bien remplit de jus, les femmes pour remercier leurs bienfaiteurs. Appliquent sur les hommes ce dont elles sont le plus douées. Karine décalotte Ludovic et lui lèche le gland, ses coups de langue bien ajustés sur le cèpe gascon, font gémir le soumit. Mais une fois qu'elle gobe le gland et se met à le sucer, Ludovic délire :
-Oui ma chérie, suce-moi, bouffe-moi la queue, oh comme tu es bonne, je vais jouir, oui, oui, c'est trop bon !
Une ultime décharge remplit la bouche de Karine qui avale en se léchant les lèvres. Adeline imite Karine, sous les conseils de Roman. Les quatre se retrouvent régulièrement, pour une bonne baisse. Adeline évolue à chaque rencontre. Quant à Karine, elle est toujours au top.
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6 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Je ne découvre femme fontaine, merci Linsee
Juliana
Juliana
Comme cela donne envie d'être à la place d'Adeline, pour qui c'est une grande révélation.
Cela tourne à la partouze, mais on entend aussi Adeline appeler Roman "mon chéri". Comment vont évoluer les deux couples?
Cela tourne à la partouze, mais on entend aussi Adeline appeler Roman "mon chéri". Comment vont évoluer les deux couples?
Toujours au top
Loan
Loan
Trop bon
Roger (de l'Oise)
Roger (de l'Oise)
Encore, on ne se lasse jamais de tes récits Linsee
Francie et Luc
Francie et Luc
Que du bonheur