Karine femme dévouée 4
Récit érotique écrit par linsee [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-08-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Karine femme dévouée 4
Enfin, ils arrivent chez leurs hôtes. Une fois installés au salon, Roman sert l'apéro. Lui et Adeline ne cessent de se regarder, ils échangent de nombreux sourires. Le bougre de dragueur la flatte, la complimente sur sa tenue et sur sa silhouette. Il ignore qu'elle est au courant de leur complot. Adeline se laisse charmer, l'homme ne lui déplait pas, son mari avait raison, Roman est un bel homme.
Adeline regarde Karine en lui faisant les gros yeux. Karine est mal à l'aise, son intuition féminine lui fait comprendre qu'Adeline doit savoir ce qui s'est passé, pendant le voyage avec son mari. En souriant, Adeline demande :
-Je crois savoir que vous avez sauvée l'entreprise de mon mari, vous voulez me raconter comment vous avez fait Karine !
Très gênée, Karine ne sait que répondre. C'est Ludovic qui prend la parole en prenant une grande aspiration :
-Arrêtons de nous prendre la tête, j'ai tout raconté à ma femme et dans les moindres détails, donc soyons adultes et assumons, ce qui est fait, est fait, nous ne pouvons pas revenir en arrière !
Karine dit :
-Eh bien, c'est mieux comme ça !
Les apéros sont nombreux, les esprits commencent à s'échauffer. Enfin, on passe à table. Roman se met à côté d'Adeline et Ludovic près de Karine, son cœur à côté de son amour impossible bat la chamade. Adeline et Roman semblent faire bon ménage. Ils ne cessent de papoter comme de vieux amis, chaque plat à son vin. Les deux femmes, qui ne boivent que de l'eau en général, commencent à être un peu grisées. Les deux hommes le remarquent rapidement. Ils échangent un clin d'œil complice.
Roman pose sa main sur la cuisse d'Adeline et la caresse doucement, il lui dit :
-Comme votre peau est douce, on dirait du satin !
En disant cela, il regarde sa femme en lui souriant. Soudain Karine sursaute, la main de son voisin vient de se poser sur sa cuisse, et lentement passe sous la jupe. Karine reste figée, elle ne veut pas se faire remarquer.
Quant à Adeline, euphorique, se laisse caresser. La main de Roman glisse sous sa jupe et s'engage entre ses cuisses. Adeline ouvre progressivement les jambes. Avec douceur, l'intruse atteint l'entrejambe, et passe plusieurs fois sur la fente que seul un fin tissu protège.
Karine entend Adeline soupirer. Elle se doute que son mari est passé à l'action, le bougre commence sa vengeance. Elle repousse doucement la main de Ludovic, ses yeux le supplient de ne pas aggraver les choses. Résigné et très déçu, Ludovic termine son verre. Il regarde sa femme qui ferme les yeux en soupirant de nombreuses fois.
Sa culotte est rapidement humide, Roman lui souffle à l'oreille :
- Il faudrait mieux l'ôter, je crains qu'elle va être trempée ta petite culotte ma chérie !
Adeline lui sourit et saisit son verre, le vide d'un coup et en se tortillant sur sa chaise, retire l'objet encombrant, qui effectivement est bien mouillé. Les doigts agiles se promènent sur la chatte qui mouille de plus en plus. Adeline se dit qu'elle a beaucoup à apprendre avec Roman. La tension monte dans son corps, elle ne pense qu'à son plaisir, plus rien n'excite autour d'elle.
Elle souffle comme un taureau, les doigts de Roman lui triturent monstrueusement le clito. Adeline défaille, elle s'agite sur sa chaise en gémissement. Son mari et Karine discrètement se déplacent pour voir ce qui se passe exactement. Les deux voyeurs écarquillent les yeux. Ils voient Adeline, jambes largement écartées, et les doigts de Roman lui massacrer le clito, une petite flaque de liquide s'étend sur le sol. Soudain dans un cri qu'elle tente d'étouffer en se mordant la main jusqu'au sang. Son corps est cambré et garde la pose un moment, avant de retomber lourdement sur la chaise.
Roman lui prend la main et l'entraine sur le canapé, rapidement, elle se retrouve nue et allongée. Il joue avec ses seins, les malmène, en enfonçant ses longs doigts dans les chairs souples. Il les pétrit un long moment avant, de gober à tour de rôle les mamelons qui ne cessent de prendre du volume. Adeline croît rêvé, elle trompe son mari avec un amant qui semble plein de ressources.
Sans gêne, le bougre, devant les deux voyeurs éberlués, dévore les mamelons plantés au centre des aréoles brunes d'Adeline, qui geint comme une bête blessée. Elle s'accroche au canapé comme elle peut, en geignant terriblement, sa chatte est devenue aussi brulante qu'un brasier de forge. Roman délaisse sa proie, et ôte ses vêtements. Sa bite dressée comme un mat oscille fièrement sur son bas-ventre.
Adeline les yeux embuées par le plaisir regarde en salivant la verge qui va surement la faire jouir comme un animal. Roman s'approche d'elle, là regarde un long moment et en souriant à sa femme lui fait un signe de tête, elle s'approche, il lui dit :
- Normalement, c'est moi qui le fais, mais je t'en laisse la primeur. Prépare-la bien, je vais la démonter comme jamais, elle ne l'a été, je vais lui faire la totale, je crois qu'elle le mérite bien !
Karine dit en faisant de gros yeux :
-Tu veux vraiment que je m'occupe d'elle, tu sais que je ne suis pas lesbienne, et qu'elle n'en plus, je crois, mais je promets de faire de mon mieux mon chéri !
Roman répond :
-Oui fais ton possible, branle-lui le clito comme je te l'ai appris, tu me dois bien ça non, mets-toi à poil quand même !
Adeline, elle est hors sol, elle n'a rien compris à ce qu'a dit son amant, elle attend, les yeux vitreux, qu'il se passe quelque chose. Karine retire ses vêtements et s'agenouille devant Adeline. Elle sort de son écrin la perle sensible et la presse entre ses deux pouces et commence un branlage très efficace, car Adeline en quelques secondes défaille :
-Oh mon Dieu que c'est bon, mais comment tu fais, tu es le diable en personne, ou vous êtes à plusieurs !
En même temps qu'elle branle le clito d'une étrange manière, elle le presse fortement de temps en temps, pour stimuler et faire cabrer Adeline. La boule magique est méconnaissable, elle est aussi grosse qu'une noix. Soudain Karine l'aspire, Adeline se cambre comme un pont en geignant comme une bête blessée. La bouche est très performante, elle suce tète comme une affamée le clito monstrueux, il ne faut pas attendre longtemps pour, qu'une puissante giclée de cyprine vient lui remplir la bouche de la suceuse. Adeline croit mourir tellement elle jouit fort. Karine, elle aussi, s'excite en dévorant la chatte d'Adeline.
Mais ce n'en est pas encore fini pour elle. La langue rappeuse de Karine s'enfonce profondément dans son vagin et en fouille chaque recoin. Les gémissements d'Adeline sont inhumains, une seconde jouissance la fait cabrer. Karine se redresse, son mari la stoppe :
-Non, j'ai dit la totale !
Karine replonge sa tête entre les cuisses de sa rivale et enfonce sa langue dans la vulve en ébullition pour récupérer du liquide. Avec agilité, la langue passe sur l'anus d'Adeline, qui se cambre fortement. Jamais un tel attouchement n'a été pratiqué sur elle, encore moins sur son anus. Ce qu'elle ressent est très agréable, voire délicieux. Karine lui enduit de liquide vaginal l'anus, en faisant plusieurs allers et retours chatte, anus, pour bien badigeonner le muscle rectal.
Roman caresse la chevelure de sa femme et lui dit :
-Vas-y, ma chérie, c'est le moment !
La langue de Karine appuie fortement sur l'anus, mais il résiste et refuse l'entrée à l'intruse. Mais avec persévérance et ténacité. Il finit par céder. C'est un délire pour Adeline, la langue lui fouille sur quelques centimètres la gaine étroite. Elle hurle :
-Mon Dieu, mon Dieu, mais c'est démentiel ce truc, oh putain, je vais mourir, Ludovic, viens à mon secours !
Ludovic bande comme un poney, sa bite emprisonnée dans son pantalon est douloureuse, elle serre les dents sans perdre une image de ce qui se passe. Roman à pitié de lui, il lui dit en faisant un grand sourire :
-Pendant qu'elle lui bouffe le cul, baise-là, oui, baise-là !
Sans se le faire répéter, Ludovic retire ses vêtements. Et se place dernière Karine. Il présente sa queue au trou ruisselant de cyprine. Et d'un coup de reins, l'enfonce jusqu'aux couilles dans le ventre de la soumise qui se cabre en poussant un gémissement. Karine affectionne la levrette, c'est dans cette position que la verge s'enfonce le plus loin dans son corps. Elle reprend en geignant l'anneau qu'elle avait délaissé. Les deux gémissements ensemble, Adeline est au bord de la syncope, jamais une langue ou quoi que ce soit lui est pénétré le cul jusqu'à présent.
Ludovic s'acharne, ses coups de pilons sont terribles, à chaque enfoncement, Karine pousse un grognement. Pendant de longues minutes, il lui défonce la chatte en rugissant comme un fauve. Soudain, Karine se tend comme un arc et en poussant un long gémissement, jouit. C'est si fort qu'elle se plie, sa tête est entre ses bras au sol. Elle respire difficilement, mais Ludovic continue de la déglinguer. Il lui envoie plusieurs giclées de sperme en remplissant remplit le ventre de Karine qui peine à retrouver ses esprits.
Adeline regarde Karine en lui faisant les gros yeux. Karine est mal à l'aise, son intuition féminine lui fait comprendre qu'Adeline doit savoir ce qui s'est passé, pendant le voyage avec son mari. En souriant, Adeline demande :
-Je crois savoir que vous avez sauvée l'entreprise de mon mari, vous voulez me raconter comment vous avez fait Karine !
Très gênée, Karine ne sait que répondre. C'est Ludovic qui prend la parole en prenant une grande aspiration :
-Arrêtons de nous prendre la tête, j'ai tout raconté à ma femme et dans les moindres détails, donc soyons adultes et assumons, ce qui est fait, est fait, nous ne pouvons pas revenir en arrière !
Karine dit :
-Eh bien, c'est mieux comme ça !
Les apéros sont nombreux, les esprits commencent à s'échauffer. Enfin, on passe à table. Roman se met à côté d'Adeline et Ludovic près de Karine, son cœur à côté de son amour impossible bat la chamade. Adeline et Roman semblent faire bon ménage. Ils ne cessent de papoter comme de vieux amis, chaque plat à son vin. Les deux femmes, qui ne boivent que de l'eau en général, commencent à être un peu grisées. Les deux hommes le remarquent rapidement. Ils échangent un clin d'œil complice.
Roman pose sa main sur la cuisse d'Adeline et la caresse doucement, il lui dit :
-Comme votre peau est douce, on dirait du satin !
En disant cela, il regarde sa femme en lui souriant. Soudain Karine sursaute, la main de son voisin vient de se poser sur sa cuisse, et lentement passe sous la jupe. Karine reste figée, elle ne veut pas se faire remarquer.
Quant à Adeline, euphorique, se laisse caresser. La main de Roman glisse sous sa jupe et s'engage entre ses cuisses. Adeline ouvre progressivement les jambes. Avec douceur, l'intruse atteint l'entrejambe, et passe plusieurs fois sur la fente que seul un fin tissu protège.
Karine entend Adeline soupirer. Elle se doute que son mari est passé à l'action, le bougre commence sa vengeance. Elle repousse doucement la main de Ludovic, ses yeux le supplient de ne pas aggraver les choses. Résigné et très déçu, Ludovic termine son verre. Il regarde sa femme qui ferme les yeux en soupirant de nombreuses fois.
Sa culotte est rapidement humide, Roman lui souffle à l'oreille :
- Il faudrait mieux l'ôter, je crains qu'elle va être trempée ta petite culotte ma chérie !
Adeline lui sourit et saisit son verre, le vide d'un coup et en se tortillant sur sa chaise, retire l'objet encombrant, qui effectivement est bien mouillé. Les doigts agiles se promènent sur la chatte qui mouille de plus en plus. Adeline se dit qu'elle a beaucoup à apprendre avec Roman. La tension monte dans son corps, elle ne pense qu'à son plaisir, plus rien n'excite autour d'elle.
Elle souffle comme un taureau, les doigts de Roman lui triturent monstrueusement le clito. Adeline défaille, elle s'agite sur sa chaise en gémissement. Son mari et Karine discrètement se déplacent pour voir ce qui se passe exactement. Les deux voyeurs écarquillent les yeux. Ils voient Adeline, jambes largement écartées, et les doigts de Roman lui massacrer le clito, une petite flaque de liquide s'étend sur le sol. Soudain dans un cri qu'elle tente d'étouffer en se mordant la main jusqu'au sang. Son corps est cambré et garde la pose un moment, avant de retomber lourdement sur la chaise.
Roman lui prend la main et l'entraine sur le canapé, rapidement, elle se retrouve nue et allongée. Il joue avec ses seins, les malmène, en enfonçant ses longs doigts dans les chairs souples. Il les pétrit un long moment avant, de gober à tour de rôle les mamelons qui ne cessent de prendre du volume. Adeline croît rêvé, elle trompe son mari avec un amant qui semble plein de ressources.
Sans gêne, le bougre, devant les deux voyeurs éberlués, dévore les mamelons plantés au centre des aréoles brunes d'Adeline, qui geint comme une bête blessée. Elle s'accroche au canapé comme elle peut, en geignant terriblement, sa chatte est devenue aussi brulante qu'un brasier de forge. Roman délaisse sa proie, et ôte ses vêtements. Sa bite dressée comme un mat oscille fièrement sur son bas-ventre.
Adeline les yeux embuées par le plaisir regarde en salivant la verge qui va surement la faire jouir comme un animal. Roman s'approche d'elle, là regarde un long moment et en souriant à sa femme lui fait un signe de tête, elle s'approche, il lui dit :
- Normalement, c'est moi qui le fais, mais je t'en laisse la primeur. Prépare-la bien, je vais la démonter comme jamais, elle ne l'a été, je vais lui faire la totale, je crois qu'elle le mérite bien !
Karine dit en faisant de gros yeux :
-Tu veux vraiment que je m'occupe d'elle, tu sais que je ne suis pas lesbienne, et qu'elle n'en plus, je crois, mais je promets de faire de mon mieux mon chéri !
Roman répond :
-Oui fais ton possible, branle-lui le clito comme je te l'ai appris, tu me dois bien ça non, mets-toi à poil quand même !
Adeline, elle est hors sol, elle n'a rien compris à ce qu'a dit son amant, elle attend, les yeux vitreux, qu'il se passe quelque chose. Karine retire ses vêtements et s'agenouille devant Adeline. Elle sort de son écrin la perle sensible et la presse entre ses deux pouces et commence un branlage très efficace, car Adeline en quelques secondes défaille :
-Oh mon Dieu que c'est bon, mais comment tu fais, tu es le diable en personne, ou vous êtes à plusieurs !
En même temps qu'elle branle le clito d'une étrange manière, elle le presse fortement de temps en temps, pour stimuler et faire cabrer Adeline. La boule magique est méconnaissable, elle est aussi grosse qu'une noix. Soudain Karine l'aspire, Adeline se cambre comme un pont en geignant comme une bête blessée. La bouche est très performante, elle suce tète comme une affamée le clito monstrueux, il ne faut pas attendre longtemps pour, qu'une puissante giclée de cyprine vient lui remplir la bouche de la suceuse. Adeline croit mourir tellement elle jouit fort. Karine, elle aussi, s'excite en dévorant la chatte d'Adeline.
Mais ce n'en est pas encore fini pour elle. La langue rappeuse de Karine s'enfonce profondément dans son vagin et en fouille chaque recoin. Les gémissements d'Adeline sont inhumains, une seconde jouissance la fait cabrer. Karine se redresse, son mari la stoppe :
-Non, j'ai dit la totale !
Karine replonge sa tête entre les cuisses de sa rivale et enfonce sa langue dans la vulve en ébullition pour récupérer du liquide. Avec agilité, la langue passe sur l'anus d'Adeline, qui se cambre fortement. Jamais un tel attouchement n'a été pratiqué sur elle, encore moins sur son anus. Ce qu'elle ressent est très agréable, voire délicieux. Karine lui enduit de liquide vaginal l'anus, en faisant plusieurs allers et retours chatte, anus, pour bien badigeonner le muscle rectal.
Roman caresse la chevelure de sa femme et lui dit :
-Vas-y, ma chérie, c'est le moment !
La langue de Karine appuie fortement sur l'anus, mais il résiste et refuse l'entrée à l'intruse. Mais avec persévérance et ténacité. Il finit par céder. C'est un délire pour Adeline, la langue lui fouille sur quelques centimètres la gaine étroite. Elle hurle :
-Mon Dieu, mon Dieu, mais c'est démentiel ce truc, oh putain, je vais mourir, Ludovic, viens à mon secours !
Ludovic bande comme un poney, sa bite emprisonnée dans son pantalon est douloureuse, elle serre les dents sans perdre une image de ce qui se passe. Roman à pitié de lui, il lui dit en faisant un grand sourire :
-Pendant qu'elle lui bouffe le cul, baise-là, oui, baise-là !
Sans se le faire répéter, Ludovic retire ses vêtements. Et se place dernière Karine. Il présente sa queue au trou ruisselant de cyprine. Et d'un coup de reins, l'enfonce jusqu'aux couilles dans le ventre de la soumise qui se cabre en poussant un gémissement. Karine affectionne la levrette, c'est dans cette position que la verge s'enfonce le plus loin dans son corps. Elle reprend en geignant l'anneau qu'elle avait délaissé. Les deux gémissements ensemble, Adeline est au bord de la syncope, jamais une langue ou quoi que ce soit lui est pénétré le cul jusqu'à présent.
Ludovic s'acharne, ses coups de pilons sont terribles, à chaque enfoncement, Karine pousse un grognement. Pendant de longues minutes, il lui défonce la chatte en rugissant comme un fauve. Soudain, Karine se tend comme un arc et en poussant un long gémissement, jouit. C'est si fort qu'elle se plie, sa tête est entre ses bras au sol. Elle respire difficilement, mais Ludovic continue de la déglinguer. Il lui envoie plusieurs giclées de sperme en remplissant remplit le ventre de Karine qui peine à retrouver ses esprits.
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16 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Histoire génialement excitante, bien écrite, bravo !
Ouah, j'ai joui comme une dingue.
Votre don pour l’écriture et l’intensité de vos récits provoque de belle erections à chaque lecture … et de belles maststurbation, cela va sans dire
très bon récit je vais devoir aller me faire un 5vs1 j aurais bien voulu une petite chatte poilue ,une main ou une bouche féminine
La suite sera toujours plus torride, car Adeline va être enfin possédée par Ronan, dont la revanche est totale! C'est excellentissime
Je vais être une fidèle lectrice de tes récits Linsee.
Marion des Yvelines
Marion des Yvelines
Je dois changer ma culotte, c'est trop bon, merci Linsee
Josette
Josette
Commentaires inutiles, nous sommes bouches bées devant cet excellent récit.
Miriame et Victor (nouveaux lecteurs)
Miriame et Victor (nouveaux lecteurs)
Merci, chers lecteurs et lectrices, pour vos commentaires encourageants
Malgré mon âge, ma queue palpite dans mon pantalon, merci L'auteure
Julien de Rennes
Julien de Rennes
Masturbation obligatoire
Manon
Manon
Je mouille comme une fontaine
Loana
Loana
Que du bonheur
Francine et Luc
Francine et Luc
Merci encore pour ce récit
Adeline
Adeline
Toujours aussi bandant
Roger de (l'Oise)
Roger de (l'Oise)
Excellent comme dab
Lucien
Lucien