Karine une femme dévouée 2 - histoire érotique

Le lendemain matin, au réveil, après le petit déjeuner, ils se mettent en route pour rentrer. Pendant le retour, Karine est très silencieuse. Ludovic l'interroge :

-Qu'est-ce que tu as ma chérie, cela ne va pas !


Karine broie du noir, bien qu'elle éprouve un sentiment pour Ludovic, elle répond avec des larmes plein les yeux :

-Je suis une garce, une trainée, sans aucune morale, en une seule journée, j'ai trompé mon mari deux fois, lui qui m'adore, comment suis-je tombée si bas, oh vous les hommes comme je vous haïs !

Ludovic, pour la consoler, tente de lui passer la main sous la jupe, mais c'est peine perdue, Karine serre les cuisses pour refuser l'accès à son amant. Elle marmonne dans son coin en reniflant souvent. Une fois arrivé, Ludovic s'arrête devant la maison de Karine pour la déposer. Elle reste un long moment sans sortir de la voiture. Elle dit :

-je vais tout lui dire, je ne peux pas garder ça pour moi !

Ludovic répond :

-Mais il va nous tuer, je viens avec toi, advienne que pourra !

Elle récupère sa valise et accompagnée de son patron, elle entre chez elle. Elle se jette dans les bras de son mari en sanglotant. Ludovic ne dit pas un mot, il assiste aux retrouvailles en appréhendant la suite. Roman, le mari, regarde sa femme et lui dit inquiet :

-Mais qu'est-ce que tu as ma chérie, il y a un problème !

Karine se détache de son mari et en prenant une grande aspiration, lui dit :

-Mon chéri, j'ai fait des trucs graves, j'ai trahi ta confiance, je ne te mérite pas, je suis une trainée !

Roman fronce les sourcils et dit :

-Mais raconte, qu'est-ce que tu as fait de si grave !

C'est en Béguant et en reniflant que Karine avoue. Elle lui raconte tout de A à Z, avec le client, et aussi avec son patron. Roman n'ose y croire et dit :

-Tu ne peux m'avoir fait ça, toi si honnête et si droite, là, je ne te reconnais plus !

Sa femme éclate en sanglot. Il regarde Ludovic intensément en se pinçant les lèvres. Le fautif s'explique :

-Eh bien voila, depuis que j'ai enrôlé Karine, je suis tombé amoureux fou d'elle, et hier comme elle n'était pas dans son état normal, je lui ai avoué mon amour pour elle et j'ai honteusement profité de la situation !

Roman se cabre, il se retient pour ne pas frapper, il dit en haussant le ton :

-Moi aussi, je l'aime comme un dingue, mon Dieu, ce qui m'arrive est un cauchemar !


Il regarde sa femme qui ne cesse de sangloter et lui dit :

-Et toi, tu l'aimes ce type ?


Entre deux sanglots, Karine répond :

-Je ne sais pas, je ne sais plus, je deviens folle !


Roman serre les poings et réplique :

-Mais on va tout de même pas te partager, tu n'es pas un jouet !

Puis pendant un moment, c'est le silence complet. Roman ajoute :

-Mais toi, tu as une femme, tu l'aimes, oui ou non !

Ludovic répond :

-Eh bien, je crois que oui, mais lorsque je suis au bureau avec Karine, je suis un autre homme !

Roman hoche la tête négativement en disant :

-Mon Dieu dans quel merdier on est, qu'est-ce qu'il faut faire alors !

Ludovic sans complexe répond :

-Tu l'as dit tout à l'heure en ce, la partage, je ne vois que cela, si ça arrange Karine !

Roman réplique :

-Mais je deviens fou, on marche sur la tête, alors toi, tu baises ma femme et moi, j'ai quoi pour compenser la tienne ?

Ludovic sursaute et répond :

-Mais pourquoi pas, cela ne serait que plus équitable, je vais tenter le coup avec ma femme et l'amener dans ton lit si possible !

Karine ne comprend plus rien, elle fait les gros yeux. Roman semble, apaisait, il dit en faisant un sourire :

-Elle baise comment ma femme !

Ludovic réplique en se demandant ce que cherche son mari :

-Un volcan, une bombe sexuelle !

Roman le regarde et ajoute :

-Et la tienne comment elle baise !

Ludovic en poussant un gros soupir :

- Pour être honnête, elle est volontaire, mais très maladroite, coincée sur certaine pratique, mais elle peut s'améliorer !

Roman, a les yeux qui pétillent, il dit :

-Oh la vache, j'adore éduquer les sexuellement, les femmes, d'ailleurs, tu en as un aperçu avec Karine, présente-moi vite cet oiseau rare, rien que d'y penser, je m'excite !

-Je te fais une fleur, si Karine le souhaite, je veux que tu la baises, là-devant moi !

Karine tombe des nues, mais elle ne reprend pas son mari. Elle a suivi la conversation de bout en bout, rien que le mot partage ne la laisse pas indifférente. Elle regarde son mari et lui dit :

-Tu es sûr de ce que tu dis, eh bien, j'accepte ta proposition, mais dès l'occasion, moi aussi, je veux te voir baiser sa femme !

Roman débarrasse la table basse du salon et dit avec le sourire :

-Cette petite table n'attend que vous, allez-y !

C'est Karine qui prend l'initiative, elle retire ses vêtements et dit :

-Tu vois, je ne me suis pas lavée depuis hier, profites de mon odeur nauséabonde, régale-toi !

Roman sourit et dit :

-Je vois que monsieur aime lorsqu'il y a des odeurs épaisses !

Ludovic n'en croit pas encore que maintenant Karine est aussi sa femme. Rapidement, il se retrouve à poils. Karine lui saisit la queue, la branle pour la rendre opérationnelle. Elle joue à la décalotter à chaque descente de son poignet. Rapidement, la bite se dresse et atteint sa grosseur maximum. Elle la maintient décalottée et en regardant son mari gobe le gland. Ses succions sont terribles, pendant qu'elle suce voracement le nœud de chair, habilement, elle lui triture les couilles.

Ludovic défaille, son amour lui fait une fellation d'enfer, il ne peut retenir ses gémissements. Une forte giclée est expulsée se sa verge, pour remplir la bouche de son amante. Qui regarde son mari avale et ouvre la bouche pour lui montrer qu'elle a tout avalée. Roman la complimente :

-Tu as bien retenu ta leçon ma chérie, bravo !

Ludovic la bascule doucement sur la table, et s'agenouille face à elle, instinctivement Karine ouvre les jambes. La bouche vorace de son amant se plaque contre sa vulve bouillonnante. L'affamé lui dévore la chatte sauvagement. Il est si brutal que Karine se cabre, mais elle adore être malmenée. La langue lui fouille chaque recoin sans en commettre un. Son clito a droit lui aussi de la visite de la bouche affamée.



Comme à l'hôtel, le bougre le mordille et tire dessus avec ses dents. Pour Karine, c'est de la démence, une fulgurante jouissance, la fait cabrer. Ludovic se redresse, sa bouche dégouline du jus que lui a offert généreusement son amante. Il place sa queue contre la chatte plus qu'humide et donne un coup de reins. Sa bite s'enfonce jusqu'aux couilles dans le ventre de Karine qui gémit sous la forte pénétration.

La chevauchée peut commencer. La verge gorgée de sang voyage dans le ventre de Karine en la faisant geindre de plaisir. Ludovic s'applique devant le mari de Karine. Il ressort entièrement sa bite du ventre et brutalement la replonge profondément dans le vagin malmené. Les assauts redoublent, Karine jouit encore une fois en gémissant comme une bête blessée. Enfin Ludovic lui remplit le ventre avec sa semence épaisse.

Il veut lui investir le cul, mais comme à l'hôtel, Karine refuse l'accès à son anus, car le client d'hier lui à bien défoncer le cul, et la douleur est toujours présente. Enfin, Ludovic se retire du ventre de son amante et regarde Roman, qui lui dit :

-Ce n'est pas mal, mais un peu rapide à mon goût, bon persuade ta femme. Tiens, venez déjeuner demain, comme c'est samedi, je vais enfin connaitre ma future amante !


Karine regarde son mari, elle ne sait, si elle est heureuse ou pas. Elle reconnait que Roman a bien pris la chose et que même, il l'offre à Ludovic, son rival. Elle sait qu'il attend quelque chose en contrepartie.