Karolyn
Récit érotique écrit par Jpj [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-02-2021 dans la catégorie Pour la première fois
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Couleur du fond :
Karolyn
Fillette de Bordeaux, robe de velours noir sans manches, courte.
Blonde tu étais. Blonde des blés en cette soirée des Chartrons.
Tu étais un peu chavirée gamine dans cette boum de filles de ta classe du lycée. Elles te moquaient. Les filles de quinze ans sont fragiles. Toi tu l’étais assurément, toute jeune dans cette classe de filles plus vieilles, bien plus vieilles que toi.
Et les garçons ce soir-là n’avaient d’yeux que pour ces grandes, filles lourdement nibarées aux yeux de biche, Frank Alamo.
Toi, tu n’étais rien ce soir-là dans cet appart bourgeois de Bordeaux. Toi ton petit corps de gamine aux petits pointus incapables de gonfler le devant de velours noir de la robe. Toi tes cuissettes de reinette fines longues nues sans bas ni collant.
Et cette robe de velours noir courte courte qui t’habillait vaguement lors que tu dansais le jerk comme folle.
Noir c’est noir, Johnny, et les Beatles aussi et les Stones, Paint it black.
Petite fille, tu es venue à moi comme à un secours. Tu m’a serré en slow sur Procol Arum, tu m’as parlé et tu te pendais à mon cou.
Et c’était moi qui en étais tout chaviré.
Moi le mec, l’hombrePetite chose toute frèle dans mes brasEt tu me disais tes misères de fille trop jeune en classe de terminale au milieu des grandes trop grandes rompues aux gars en mercredis après-midi de tripotage sur des lits étroits de soi-disant jeunes filles. Tu parles...
Toi, tu ne savais rien des sentiments, juste tu devinais un peu.
Ça s’est fait tout seul, sans que ni toi ni moi ne l’ayons cherché.
Sous ta robe de velours noir tu ne portais qu’une culotte de coton blanc. Immaculée. Haute sur tes hanches.
Une simple culotte sans même de gousset pour emballer ton abricot et tes trois poils fins clairs d’ado prépubère.
Les filles de la boum te mataient, te surveillaient. Elles étaient attentives. Elles te voyaient flirter avec pudeur et regardaient tes lèvres en effleurement tendre des miennes. Elles voyaient ton thorax plat insipide frotter mon veston bcbg de petit con bordelais au blason brodé sur la poche devant et les deux tétons pointer, insolents.
Karolyn, au bac, une semaine plus tard, tu as eu mention très bien. Les connes n’étaient plus que des connes, des rien. Et toi tu étais dans mes bras, fière et moi j’étais fier de toi.
Je suis venu te retrouver à ta maison de Villenave d’Ornon. Tu préparais la soupe et épluchais des légumes. Gamine en responsabilité ménagère pour sa famille.
J’ai pris tes petits seins par derrière dans mes mains. Les tétons pointaient tant que je me suis cru autorisé. Ta robe était légère et ta culotte bien fine.
Il a suffit de presque rien. Et simplement ça s’est fait facilement que tu n’es plus pucelle.
Comme un grand frère, comme un copain.
De presque rien, Karolyn...
Blonde tu étais. Blonde des blés en cette soirée des Chartrons.
Tu étais un peu chavirée gamine dans cette boum de filles de ta classe du lycée. Elles te moquaient. Les filles de quinze ans sont fragiles. Toi tu l’étais assurément, toute jeune dans cette classe de filles plus vieilles, bien plus vieilles que toi.
Et les garçons ce soir-là n’avaient d’yeux que pour ces grandes, filles lourdement nibarées aux yeux de biche, Frank Alamo.
Toi, tu n’étais rien ce soir-là dans cet appart bourgeois de Bordeaux. Toi ton petit corps de gamine aux petits pointus incapables de gonfler le devant de velours noir de la robe. Toi tes cuissettes de reinette fines longues nues sans bas ni collant.
Et cette robe de velours noir courte courte qui t’habillait vaguement lors que tu dansais le jerk comme folle.
Noir c’est noir, Johnny, et les Beatles aussi et les Stones, Paint it black.
Petite fille, tu es venue à moi comme à un secours. Tu m’a serré en slow sur Procol Arum, tu m’as parlé et tu te pendais à mon cou.
Et c’était moi qui en étais tout chaviré.
Moi le mec, l’hombrePetite chose toute frèle dans mes brasEt tu me disais tes misères de fille trop jeune en classe de terminale au milieu des grandes trop grandes rompues aux gars en mercredis après-midi de tripotage sur des lits étroits de soi-disant jeunes filles. Tu parles...
Toi, tu ne savais rien des sentiments, juste tu devinais un peu.
Ça s’est fait tout seul, sans que ni toi ni moi ne l’ayons cherché.
Sous ta robe de velours noir tu ne portais qu’une culotte de coton blanc. Immaculée. Haute sur tes hanches.
Une simple culotte sans même de gousset pour emballer ton abricot et tes trois poils fins clairs d’ado prépubère.
Les filles de la boum te mataient, te surveillaient. Elles étaient attentives. Elles te voyaient flirter avec pudeur et regardaient tes lèvres en effleurement tendre des miennes. Elles voyaient ton thorax plat insipide frotter mon veston bcbg de petit con bordelais au blason brodé sur la poche devant et les deux tétons pointer, insolents.
Karolyn, au bac, une semaine plus tard, tu as eu mention très bien. Les connes n’étaient plus que des connes, des rien. Et toi tu étais dans mes bras, fière et moi j’étais fier de toi.
Je suis venu te retrouver à ta maison de Villenave d’Ornon. Tu préparais la soupe et épluchais des légumes. Gamine en responsabilité ménagère pour sa famille.
J’ai pris tes petits seins par derrière dans mes mains. Les tétons pointaient tant que je me suis cru autorisé. Ta robe était légère et ta culotte bien fine.
Il a suffit de presque rien. Et simplement ça s’est fait facilement que tu n’es plus pucelle.
Comme un grand frère, comme un copain.
De presque rien, Karolyn...
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