Kate au Château (devenue Chloris) - Saga se passant au Moyen-Age) – (suite de l'épisode N°1366)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-08-2020 dans la catégorie Dominants et dominés
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Kate au Château (devenue Chloris) - Saga se passant au Moyen-Age) – (suite de l'épisode N°1366)
Kate au Château (devenue Chloris) - Saga se passant au Moyen-Age) – (suite de l'épisode N°1366) -
Louise malgré tout cela, ne pouvait s’empêcher de mouiller abondement, ses instincts de soumission l’excitant grandement… Ce soir-là, ce fut Lucie qui veilla sur Louise mais elle était inquiète concernant Louise fiévreuse. Lucie décida donc d’aller prévenir Chloris. Cette dernière se hâta de visiter Louise.
- Que se passe-t-il ? demanda Chloris - Louise est brûlante, mon dieu, les orties devaient très certainement être vénéneuses. Vas vite chercher de l’eau froide et des linges propres pour la rafraichir. Préviens aussi le Seigneur d’Evans et Antonin
Lucie alla immédiatement chercher ce qu’il fallait, et revient avec les deux hommes. Après avoir également déduit que les orties avaient provoqué cette forte fièvre chez Louise, le Seigneur d’Evans fourmillait de rage mais se contenait, ayant une parfaite maîtrise affichée.
- Ce sombre crétin n’est qu’un pseudo dominant qui a dû voir ce genre de pratique dans une cabane de planches (bordel du Moyen-Age) de bas étage et n’y connait absolument rien. Si je ne connaissais pas son père depuis autant d’année et qui Me sert fidèlement je le ferais bannir voire exécuter sur l’heure.
Mais par considération pour Son fidèle garde-chasse le Seigneur d’Evans allait tout de même entendre ce que dirait cet Amaury pour sa défense, même si, et à juste titre, il était évidemment coupable...
Quelques jours plus tard, Antonin informa Chloris qu’il aimerait l’emmener faire une promenade dans les bois, lui rappelant qu’ils aimaient ainsi galoper et vagabonder dans l’immense foret lorsqu’ils étaient fiancés. Et donc dès le lendemain ils partirent peu de temps après le petit déjeuner. Après avoir quitté l’enceinte du Château, ils prirent la direction de la forêt des Pierres Dorées où ils avaient, autre fois leur habitude. Vers midi, arrivés au cœur de la forêt, ils mirent pieds à terre afin de laisser les chevaux se reposer et se désaltérer dans un petit ruisseau tout proche. Emportant avec eux la couverture et le panier repas.
- Il est encore tôt, on ne va pas diner tout de suite, attend moi ici, je vais aller préparer notre coin repas en attendant met-toi plus à l’aise, lui dit Antonin avec un sourire coquin sur le visage.
Chloris avait très bien compris ses intentions et en était ravie mais elle se demandait s’il la voulait en épouse ou en soumise, craignant de faire une erreur, elle l’attendit en position d’attente, tête baissée et légèrement perdue dans ses pensées qu’elle ne vit pas Antonin revenir, ce dernier la fit sursauter.
- Au nom du ciel, Chloris, ici ou nous sommes entièrement seuls, hormis les lapins, tu es ma femme, pas ma soumise.
Antonin l’aida à se mettre debout et Chloris s’approcha amoureusement de son mari, lui léchant le lobe de l’oreille, tout en le déshabillant doucement. Il fit délicatement la même chose tout en s’embrassant tendrement… Une fois tous les deux nus, Chloris approcha sa main du bas-ventre de son mari et lui caressait lentement son sexe qui réagit presque instantanément, quand elle s’agenouilla et finit par le prendre en bouche et lui procurer la plus exquise des fellations. Antonin l’emmena vers une clairière toute proche, là où il avait étendu la couverture et déposer leur panier repas. Il s’assit sur une souche recouverte de mousse, tout en écartant largement ses jambes et exhibant une belle verge droite, épaisse et dressée comme un I, gorgée de désirs.
- Continue ce que tu avais si bien commencé.
Chloris se remit à genoux et repris sa fellation, Antonin lui caressant les cheveux et passant sa main dans son abondante chevelure en douces caresses amoureuses. Il ferma les yeux et râla de plaisir savourant un bien-être mental et physique. Antonin sentit sa queue durcir encore plus dans la bouche de Chloris et la langue de la belle venir lui titiller son méat urinaire, et l’ensemble du gland violacé lui donnant de délicieux coups de langue sur le gland avant d’entreprendre un léchage cadencé. Son érection était à son paroxysme, sa bite gorgée de sang et droite comme un I, son gland gonflée et plus violacé que jamais. Chloris alterna alors entre ses mains et sa bouche prenant son temps afin de faire durer le plaisir un maximum. Ses douces lèvres enserrèrent la verge raidie en de long va-et-vient profonds. Chloris engloutit cette verge en gorge profonde jusqu’à presque suffoquer, elle se retira pour prendre une bonne bouffée d’air et recommença un long très long moment, tout en salivant grandement. Quand Antonin sentit qu’il ne tiendrait plus très longtemps, ce fut lui qui se retira et allongea sa belle Chloris dans l’herbe tendre et chaude de ce début d’été. Puis il la pénétra d’un seul coup de reins puissant. Elle était tellement trempée d’excitation et mouillait abondement en seulement quelques va-et-vient, Antonin, trop excité, ne put se retenir et se vida dans les profondeurs du vagin de son épouse. Chloris, elle, bien que très excitée n’eut pas le temps de jouir. Antonin ne voulant pas la priver d’un orgasme amplement mérité, entreprit à son tour de lui lécher de sa langue baladeuse, le clitoris tout en la doigtant énergiquement jusqu’à ce qu’elle jouisse et qu’il puisse déguster son jus qu’il adorait. Puis il la regarda avec amour en souriant, s’étendit à ses côtés sur l’herbe et la prit tendrement dans ses bras….
Quelques jours plus tard Louise allait beaucoup mieux. Le Seigneur d’Evans s’était, entre temps, entretenu avec Denis son garde-Chasse, au sujet d’Amaury.
- Denis, je suis très étonné, je ne savais pas que tu avais un fils.
- Quand j’ai quitté mon épouse il était très jeune j’ai préféré le laisser avec sa mère. Il y a quelque temps j’ai reçu de sa part une missive ou elle me disait ne plus s’en sortir avec lui et me demandait de m’en occuper de lui apprendre mon métier car à son âge, il ne gagne pas encore son pain. Il est arrivé il y a environ deux semaines.
Quelques jours plus tard eut lieu le jugement des faits. Toutes les personnes concernées directement ou indirectement étaient présentes. (Le Seigneur d’Evans, Antonin, Chloris, Ronan, Messire Léon, Denis, Alice, Louise et Amaury). Le Seigneur d’Evans pris la parole.
- Je suis naturellement au courant des faits, mais pour en être certain, nous allons les revoir chacun à son tour. Louise tu commences.
- Bien Maître, je sortais du cabanon lorsque j’ai entendu du bruit derrière la chapelle et je suis allé voir. C’est là que j’ai rencontré Alice et Amaury. Ce dernier m’a proposé de les accompagner, j’ai accepté.
- Et ensuite.
- Nous sommes arrivés dans une clairière flanquée de quelques arbres, il nous a attachées bras et jambes écartés entre deux arbres et face à face. Ensuite, il m’a posé une question en exigeant que je l’appelle Maître, j’ai refusé naturellement, il n’y a que Vous que je nomme Maître (regardant le Seigneur d’Evans), il a tout fait pour que je craque, je Vous suis restée fidèle, jamais je ne l’ai jamais appelé Maître.
- Louise, je suis fier de toi… Continue ta narration des faits.
- A un moment donné, j’ai vu qu’Alice avait pu se libérer et partir chercher de l’aide. J’ai lutté de toutes mes forces pour ne pas m’évanouir et ne pas faire remarquer la fuite d’Alice au risque de la rattraper. Quand elle est revenue accompagnée du Maître qui la soumet, j’ai cessé de lutter.
- Alice tout d’abord je tiens à te remercier d’avoir sauvé Ma Louise, et cela tu auras Ma reconnaissance éternelle… A ton tour de parler, Alice.
- Quand j’ai pu me détacher, j’ai d’abord voulu courir jusqu’au Château mais j’ai réalisé que la maison de Maître Denis était plus proche et que lui seul arriverai à raisonner son fils...
Ce fut Denis qui prit la parole.
- Alice, je n’ai pas voulu te croire quand tu m’as dit qu’Amaury t’avais malmenée. Mais si Vous saviez Monseigneur quand j’ai vu Louise ainsi attachée et évanouie, j’ai réalisé que mon fils est un malade car aucune personne saine d’esprit ne peut agir ainsi. J’ai ramené Louise chez moi et nettoyer comme j’ai pu ses blessures. C’est à ce moment- là qu’Alice est revenue avec Votre fils, Messires Léon et Antonin et Dame Chloris. La suite Vous la connaissez.
- Bien à toi, Amaury, maintenant qu’as- tu à dire pour ta défense ?
Amaury regardait le Seigneur d’Evans avec un air hautain, dédaigneux à la limite irrespectueux et insultant.
- Que voulez Vous que je Vous dise ? Je n’ai pas à me défendre, ni à me justifier, ce ne sont que des sales femelles soumises, des salopes, des chiennes à prendre à même la chaussée, elles sont là pour ça, non ?
Denis l’interrompit.
- Monseigneur, je Vous prie de l’excuser, à l’évidence il ne sait pas ce qu’il dit. Amaury est-ce cela que je t’ai appris ? Ne t’ai- je pas dit et redit que le respect allait dans les deux sens ? Si tu veux être respecté par une soumise, commence par la respecter.
- Si, mais ce n’est pas mon opinion. Pour moi, une soumise n’est rien d’autre qu’un objet de plaisir, une chose insignifiante, qu’il faut dresser à force de coups et si elle n’est plus utile, on s’en débarrasse tout simplement.
- Monseigneur, je Vous promets je n’ai jamais considéré ainsi aucune femme ou soumise, intervint Denis.
- Je sais Denis, à l’évidence ton fils est fou, pervers et méchant. Et je renonce à Ma décision initiale de le bannir sur l’heure, il faut l’enfermer dans un asclépiade (ancêtre de l’hôpital psychiatrique actuel), là où il ne pourra plus nuire à qui que ce soit. Ronan, Messire Léon, ayez l’obligeance d’emmener ce dangereux personnage hors de Ma vue.
- Sire, si Vous saviez comme je suis navré de cette scène. Je comprendrais si Vous ne me vouliez plus comme garde-chasse. Mais cependant, certes je ne le mérite pas, mais j’ai une faveur à Vous demander.
- Parles sans crainte et sache que je ne te considère en rien responsable des agissements de ton mauvais fils.
- Aussi ce n’est pas pour moi, mais pour Alice. Je sais car elle me l’a dit que son vœu le plus cher serait de pouvoir un jour être dominée par Vous, dans Votre Donjon, pourriez- Vous lui accorder cette chance ?
Le Seigneur d’Evans s’adressa alors à Alice.
- C’est vrai tu souhaiterais que je te domine, Moi le Seigneur Charles d’Evans dans Mon Donjon ?
- Monseigneur, ho ce serait un immense honneur et un réel bonheur, si Vous acceptiez.
- Tu as sauvé Louise, c’est bien le moins que je puisse faire. Je te ferai chercher le moment venu.
Denis repartit donc avec Alice pour rentrer chez lui. Le Seigneur d’Evans se retrouva seul avec Antonin, Chloris et Louise.
- Alors Louise, comment te sens- tu ?
- Beaucoup mieux Maître merci de Vous en souciez et merci d’avoir dit oui pour Alice, elle m’a sauvé la vie.
- Mais j’y pense tu n’es jamais allé dans Mon Donjon, Ma chienne ?
- Non Maître, l’occasion ne s’est jamais présentée.
- Eh bien ce sera l’occasion car vous y serez toutes les deux. Toi et Alice. Libre à toi, mon cher Antonin, de Dominer avec Moi.
- Avec plaisir mon cher Charles, avec grand plaisir répondit-il un sourire envieux sur les lèvres…
(A suivre …)
Louise malgré tout cela, ne pouvait s’empêcher de mouiller abondement, ses instincts de soumission l’excitant grandement… Ce soir-là, ce fut Lucie qui veilla sur Louise mais elle était inquiète concernant Louise fiévreuse. Lucie décida donc d’aller prévenir Chloris. Cette dernière se hâta de visiter Louise.
- Que se passe-t-il ? demanda Chloris - Louise est brûlante, mon dieu, les orties devaient très certainement être vénéneuses. Vas vite chercher de l’eau froide et des linges propres pour la rafraichir. Préviens aussi le Seigneur d’Evans et Antonin
Lucie alla immédiatement chercher ce qu’il fallait, et revient avec les deux hommes. Après avoir également déduit que les orties avaient provoqué cette forte fièvre chez Louise, le Seigneur d’Evans fourmillait de rage mais se contenait, ayant une parfaite maîtrise affichée.
- Ce sombre crétin n’est qu’un pseudo dominant qui a dû voir ce genre de pratique dans une cabane de planches (bordel du Moyen-Age) de bas étage et n’y connait absolument rien. Si je ne connaissais pas son père depuis autant d’année et qui Me sert fidèlement je le ferais bannir voire exécuter sur l’heure.
Mais par considération pour Son fidèle garde-chasse le Seigneur d’Evans allait tout de même entendre ce que dirait cet Amaury pour sa défense, même si, et à juste titre, il était évidemment coupable...
Quelques jours plus tard, Antonin informa Chloris qu’il aimerait l’emmener faire une promenade dans les bois, lui rappelant qu’ils aimaient ainsi galoper et vagabonder dans l’immense foret lorsqu’ils étaient fiancés. Et donc dès le lendemain ils partirent peu de temps après le petit déjeuner. Après avoir quitté l’enceinte du Château, ils prirent la direction de la forêt des Pierres Dorées où ils avaient, autre fois leur habitude. Vers midi, arrivés au cœur de la forêt, ils mirent pieds à terre afin de laisser les chevaux se reposer et se désaltérer dans un petit ruisseau tout proche. Emportant avec eux la couverture et le panier repas.
- Il est encore tôt, on ne va pas diner tout de suite, attend moi ici, je vais aller préparer notre coin repas en attendant met-toi plus à l’aise, lui dit Antonin avec un sourire coquin sur le visage.
Chloris avait très bien compris ses intentions et en était ravie mais elle se demandait s’il la voulait en épouse ou en soumise, craignant de faire une erreur, elle l’attendit en position d’attente, tête baissée et légèrement perdue dans ses pensées qu’elle ne vit pas Antonin revenir, ce dernier la fit sursauter.
- Au nom du ciel, Chloris, ici ou nous sommes entièrement seuls, hormis les lapins, tu es ma femme, pas ma soumise.
Antonin l’aida à se mettre debout et Chloris s’approcha amoureusement de son mari, lui léchant le lobe de l’oreille, tout en le déshabillant doucement. Il fit délicatement la même chose tout en s’embrassant tendrement… Une fois tous les deux nus, Chloris approcha sa main du bas-ventre de son mari et lui caressait lentement son sexe qui réagit presque instantanément, quand elle s’agenouilla et finit par le prendre en bouche et lui procurer la plus exquise des fellations. Antonin l’emmena vers une clairière toute proche, là où il avait étendu la couverture et déposer leur panier repas. Il s’assit sur une souche recouverte de mousse, tout en écartant largement ses jambes et exhibant une belle verge droite, épaisse et dressée comme un I, gorgée de désirs.
- Continue ce que tu avais si bien commencé.
Chloris se remit à genoux et repris sa fellation, Antonin lui caressant les cheveux et passant sa main dans son abondante chevelure en douces caresses amoureuses. Il ferma les yeux et râla de plaisir savourant un bien-être mental et physique. Antonin sentit sa queue durcir encore plus dans la bouche de Chloris et la langue de la belle venir lui titiller son méat urinaire, et l’ensemble du gland violacé lui donnant de délicieux coups de langue sur le gland avant d’entreprendre un léchage cadencé. Son érection était à son paroxysme, sa bite gorgée de sang et droite comme un I, son gland gonflée et plus violacé que jamais. Chloris alterna alors entre ses mains et sa bouche prenant son temps afin de faire durer le plaisir un maximum. Ses douces lèvres enserrèrent la verge raidie en de long va-et-vient profonds. Chloris engloutit cette verge en gorge profonde jusqu’à presque suffoquer, elle se retira pour prendre une bonne bouffée d’air et recommença un long très long moment, tout en salivant grandement. Quand Antonin sentit qu’il ne tiendrait plus très longtemps, ce fut lui qui se retira et allongea sa belle Chloris dans l’herbe tendre et chaude de ce début d’été. Puis il la pénétra d’un seul coup de reins puissant. Elle était tellement trempée d’excitation et mouillait abondement en seulement quelques va-et-vient, Antonin, trop excité, ne put se retenir et se vida dans les profondeurs du vagin de son épouse. Chloris, elle, bien que très excitée n’eut pas le temps de jouir. Antonin ne voulant pas la priver d’un orgasme amplement mérité, entreprit à son tour de lui lécher de sa langue baladeuse, le clitoris tout en la doigtant énergiquement jusqu’à ce qu’elle jouisse et qu’il puisse déguster son jus qu’il adorait. Puis il la regarda avec amour en souriant, s’étendit à ses côtés sur l’herbe et la prit tendrement dans ses bras….
Quelques jours plus tard Louise allait beaucoup mieux. Le Seigneur d’Evans s’était, entre temps, entretenu avec Denis son garde-Chasse, au sujet d’Amaury.
- Denis, je suis très étonné, je ne savais pas que tu avais un fils.
- Quand j’ai quitté mon épouse il était très jeune j’ai préféré le laisser avec sa mère. Il y a quelque temps j’ai reçu de sa part une missive ou elle me disait ne plus s’en sortir avec lui et me demandait de m’en occuper de lui apprendre mon métier car à son âge, il ne gagne pas encore son pain. Il est arrivé il y a environ deux semaines.
Quelques jours plus tard eut lieu le jugement des faits. Toutes les personnes concernées directement ou indirectement étaient présentes. (Le Seigneur d’Evans, Antonin, Chloris, Ronan, Messire Léon, Denis, Alice, Louise et Amaury). Le Seigneur d’Evans pris la parole.
- Je suis naturellement au courant des faits, mais pour en être certain, nous allons les revoir chacun à son tour. Louise tu commences.
- Bien Maître, je sortais du cabanon lorsque j’ai entendu du bruit derrière la chapelle et je suis allé voir. C’est là que j’ai rencontré Alice et Amaury. Ce dernier m’a proposé de les accompagner, j’ai accepté.
- Et ensuite.
- Nous sommes arrivés dans une clairière flanquée de quelques arbres, il nous a attachées bras et jambes écartés entre deux arbres et face à face. Ensuite, il m’a posé une question en exigeant que je l’appelle Maître, j’ai refusé naturellement, il n’y a que Vous que je nomme Maître (regardant le Seigneur d’Evans), il a tout fait pour que je craque, je Vous suis restée fidèle, jamais je ne l’ai jamais appelé Maître.
- Louise, je suis fier de toi… Continue ta narration des faits.
- A un moment donné, j’ai vu qu’Alice avait pu se libérer et partir chercher de l’aide. J’ai lutté de toutes mes forces pour ne pas m’évanouir et ne pas faire remarquer la fuite d’Alice au risque de la rattraper. Quand elle est revenue accompagnée du Maître qui la soumet, j’ai cessé de lutter.
- Alice tout d’abord je tiens à te remercier d’avoir sauvé Ma Louise, et cela tu auras Ma reconnaissance éternelle… A ton tour de parler, Alice.
- Quand j’ai pu me détacher, j’ai d’abord voulu courir jusqu’au Château mais j’ai réalisé que la maison de Maître Denis était plus proche et que lui seul arriverai à raisonner son fils...
Ce fut Denis qui prit la parole.
- Alice, je n’ai pas voulu te croire quand tu m’as dit qu’Amaury t’avais malmenée. Mais si Vous saviez Monseigneur quand j’ai vu Louise ainsi attachée et évanouie, j’ai réalisé que mon fils est un malade car aucune personne saine d’esprit ne peut agir ainsi. J’ai ramené Louise chez moi et nettoyer comme j’ai pu ses blessures. C’est à ce moment- là qu’Alice est revenue avec Votre fils, Messires Léon et Antonin et Dame Chloris. La suite Vous la connaissez.
- Bien à toi, Amaury, maintenant qu’as- tu à dire pour ta défense ?
Amaury regardait le Seigneur d’Evans avec un air hautain, dédaigneux à la limite irrespectueux et insultant.
- Que voulez Vous que je Vous dise ? Je n’ai pas à me défendre, ni à me justifier, ce ne sont que des sales femelles soumises, des salopes, des chiennes à prendre à même la chaussée, elles sont là pour ça, non ?
Denis l’interrompit.
- Monseigneur, je Vous prie de l’excuser, à l’évidence il ne sait pas ce qu’il dit. Amaury est-ce cela que je t’ai appris ? Ne t’ai- je pas dit et redit que le respect allait dans les deux sens ? Si tu veux être respecté par une soumise, commence par la respecter.
- Si, mais ce n’est pas mon opinion. Pour moi, une soumise n’est rien d’autre qu’un objet de plaisir, une chose insignifiante, qu’il faut dresser à force de coups et si elle n’est plus utile, on s’en débarrasse tout simplement.
- Monseigneur, je Vous promets je n’ai jamais considéré ainsi aucune femme ou soumise, intervint Denis.
- Je sais Denis, à l’évidence ton fils est fou, pervers et méchant. Et je renonce à Ma décision initiale de le bannir sur l’heure, il faut l’enfermer dans un asclépiade (ancêtre de l’hôpital psychiatrique actuel), là où il ne pourra plus nuire à qui que ce soit. Ronan, Messire Léon, ayez l’obligeance d’emmener ce dangereux personnage hors de Ma vue.
- Sire, si Vous saviez comme je suis navré de cette scène. Je comprendrais si Vous ne me vouliez plus comme garde-chasse. Mais cependant, certes je ne le mérite pas, mais j’ai une faveur à Vous demander.
- Parles sans crainte et sache que je ne te considère en rien responsable des agissements de ton mauvais fils.
- Aussi ce n’est pas pour moi, mais pour Alice. Je sais car elle me l’a dit que son vœu le plus cher serait de pouvoir un jour être dominée par Vous, dans Votre Donjon, pourriez- Vous lui accorder cette chance ?
Le Seigneur d’Evans s’adressa alors à Alice.
- C’est vrai tu souhaiterais que je te domine, Moi le Seigneur Charles d’Evans dans Mon Donjon ?
- Monseigneur, ho ce serait un immense honneur et un réel bonheur, si Vous acceptiez.
- Tu as sauvé Louise, c’est bien le moins que je puisse faire. Je te ferai chercher le moment venu.
Denis repartit donc avec Alice pour rentrer chez lui. Le Seigneur d’Evans se retrouva seul avec Antonin, Chloris et Louise.
- Alors Louise, comment te sens- tu ?
- Beaucoup mieux Maître merci de Vous en souciez et merci d’avoir dit oui pour Alice, elle m’a sauvé la vie.
- Mais j’y pense tu n’es jamais allé dans Mon Donjon, Ma chienne ?
- Non Maître, l’occasion ne s’est jamais présentée.
- Eh bien ce sera l’occasion car vous y serez toutes les deux. Toi et Alice. Libre à toi, mon cher Antonin, de Dominer avec Moi.
- Avec plaisir mon cher Charles, avec grand plaisir répondit-il un sourire envieux sur les lèvres…
(A suivre …)
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