Kate au Château (devenue Chloris) - Saga se passant au Moyen-Age)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 26-08-2020 dans la catégorie Dominants et dominés
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Kate au Château (devenue Chloris) - Saga se passant au Moyen-Age)
Kate au Château (devenue Chloris) - Saga se passant au Moyen-Age) – (suite de l'épisode précédent N°1395) -
Messire Léon infligea à esclave Matthieu une cinquantaine de coups de cravache bien placée sur la croupe, puis sortit en ordonnant au gardien de lui mettre de suite une lourde cage de chasteté munie de picots... Puis, assez pressé d’une envie urgente, Messire Léon se dirigea au milieu de la grande cour du Château en direction où Alice devait toujours être attachée comme un animal à un imposant poteau de bois profondément planté dans le sol. Il repassait en tête les propos du Seigneur d’Evans :
- … Au beau milieu du parc, elle sera attachée à un poteau, comme un chien à sa niche et avec notre semence séchée sur sa peau nue. Ensuite, elle sera aussi souillée par quiconque Dominants (tes) ou soumis (ses) autorisés (ées) auront le droit de l’arrêter pour se soulager uniquement la vessie dans sa bouche ou sur elle. Ainsi attachée et exhibée au regard de tous, elle puera de notre semence et aussi de diverses urines, le temps que j’aurai décidé…
Messire Léon arriva au milieu de la cour et suite à un autre ordre complémentaire du Seigneur, il trouva Alice nue et attachée, poignets et chevilles largement écartés, mais couchée sur le sol dans une sorte de rigole de la margeur du corps et peu profonde, creusée dans la terre, laquelle rigole avait pour vocation principale l’écoulement des eaux jusqu’aux douves du Château. Ainsi tous ceux qui passaient dans la cour pouvaient à souhait lui uriner dessus avec une soumise positionnée différemment. Cette rigole permettait aussi aux femmes de se mettre accroupie, une jambe de chaque côté de la rigole afin de bien diriger le jet d’urine sur la partie voulue du corps de la soumise. La plupart lui pissait directement dans la bouche, sur les cheveux ou sur le visage, et parfois sur les seins… Messire Léon eut à son tour une envie pressante et ordonna à Alice d’ouvrir largement la bouche. Il défit ses chausses, exhiba sa verge semi-molle et visa la cavité buccale de la soumise qui reçut un généreux et long jet d’urine. Alice eut toute la peine du monde à garder la bouche ouverte afin de ne pas s’étouffer… Une fois soulagé, Messire Léon repartit comme il était venu ! Il se servit donc juste du corps d’Alice comme un simple urinoir !
Il revint une petite heure après, mais cette fois avec esclave Matthieu tenu en laisse avec un collier de métal qui a l’instar de sa lourde cage de chasteté était aussi muni de picots pointus…
- Tient, le chien tu vas remplacer soumise Alice. Je viens d’avoir la consigne du Seigneur d’Evans de te mettre à la place d’Alice. Alice, je vais te détacher et tu iras de suite à la fontaine principale du Château te laver soigneusement, tu pues trop la pisse. Ensuite tu iras rejoindre le Seigneur d’Evans qui t’attends dans le grand salon…
C’est ainsi que l’esclave Matthieu se retrouva couché et attaché dans la rigole à la place d’Alice. La différence, c’est qu’il y resta 3 jours entiers et 3 nuits, étant détaché juste pour se nourrir dans une gamelle à même le sol… Il fut ainsi maintes fois utilisé car tous ceux qui en avaient envie pouvait aussi le sodomiser en le détachant pour le rattacher au poteau en position de levrette, ou posséder sa bouche pour se vider les couilles, et pour ensuite et après utilisation, le remettre dans la rigole afin qu’il serve d’urinoir…
Quelques jours plus tard Louis-Etienne, Manon et Adam devaient repartir. Et tous étaient sur le perron du Château pour leur souhaiter un bon retour. Avant de partir Adam s’adressa au Seigneur d’Evans
- Si Vous le permettez, Messire, peut être Louise pourra t’elle venir passer quelques jours au Manoir de Maisondieu ?
Et Louis-Etienne partit rejoindre ses parents qui l’attendaient… Depuis son départ et celui de sa famille la vie au Château reprenait son cours normal. Et chaque jour, Chloris et Louise se retrouvaient dans la grande bibliothèque pour les leçons de Louise, qui se trouvait être une élève très douée et apprenait vite et fut rapidement capable de déchiffrer elle-même les missives de Messire Adam. Mais l’écriture était plus complexe et Chloris les rédigeaient pour elle. Une fin de matinée, comme cela arrivait régulièrement ces dernier temps, Chloris, alla porter au Seigneur d’Evans la missive de réponse de Louise, comme convenu entre eux lors du départ d’Adam et ses parents. Chloris frappa à la porte du cabinet de travail où se trouvaient, naturellement, le Seigneur d’Evans, Marion entre Ses cuisses en train de le sucer avidement et Antonin profitant du spectacle et attendant son tour. Voyant ce qu’elle avait dans les mains :
- Pose-ça sur la table et viens t’occuper de Mon ami, qui patiente depuis un long moment déjà, exigea le Seigneur d’Evans.
En voyant l’excitation évidente d’Antonin, Chloris se mit à genoux devant lui et voulu commencer par le caresser comme Antonin aimait tant, mais ce dernier l’arrêta :
- Ta tenue est-elle celle d’une soumise ?
Se souvenant tout à coup qu’elle était encore habillée comme pour la préparation du déjeuner, elle répondit :
- Non Maître car l’envie de vous satisfaire immédiatement m’a fait oublier ma tenue. De plus, j’ignorais que j’étais ici en tant que soumise. Je vais me dévêtir de suite…
Mais Chloris prit trop de temps à défaire tous les boutons de sa longue robe, alors Antonin (qui était loin d’être un homme violent) voyant que la robe se fermait par un nombre impressionnant de boutons, l’arracha énergiquement faisant sauter tous les boutons d’un seul coup... Nue et déjà fort excitée sous la robe, elle retrouva de suite dans la tenue d’Eve…
- Pour une fois que ma chienne daigne se dénuder rapidement, ironisa Antonin d’un ton taquin, faisant un clin d’œil complice à Chloris….
Chloris ainsi excitée se mit à le sucer avec application au même moment où le Seigneur d’Evans renvoya Marion qui venait de Le faire jouir... Le Seigneur d’Evans décida de les laisser forniquer à leur manière et alla s’installer au fond de la pièce, à Sa table de travail et entre autres lire la missive de Louise à Adam…Antonin faisait de son mieux pour se retenir et faire durer le plaisir et finit par jouir en de profonds râles jouissifs au bout de très très longues minutes. Après cela Chloris entreprit de le nettoyer si consciencieusement qu’elle finit par lui redonner de la vigueur.
- Met-toi à quatre pattes, tu vas bientôt pouvoir jouir toi aussi… je vais te prendre par le cul et la chatte, salope !
- Merci Maître.
- Mon cher Charles, veux-tu te joindre à nous et profiter de sa bouche pendant que je la lime ?
- Bien volontiers, Mon ami tu sais que j’ai toujours aimé sa bouche de chienne.
Et tandis qu’Antonin passait de sa chatte à son cul, Chloris, elle, essayant de garder un rythme plus ou moins constant pour bien prendre en bouche, le Seigneur d’Evans. Quand soudain d’un simple regard les deux amis allaient bientôt jouir, Antonin ordonna alors enfin à Chloris qui luttait et sentait ses forces diminuer.
- Jouit ma chienne maintenant, je l’exige….
Alors, ils éclatèrent tous les trois ensembles en jouissance dans un concert de cris, râles et plaisirs orgasmiques… Ensuite Chloris s’écroula, épuisée certes, mais tellement heureuse d’avoir reçu la Noble semence des deux hommes, les plus importants de sa vie à ses yeux, et d’avoir elle aussi eu droit au plaisir….
(A suivre …)
Messire Léon infligea à esclave Matthieu une cinquantaine de coups de cravache bien placée sur la croupe, puis sortit en ordonnant au gardien de lui mettre de suite une lourde cage de chasteté munie de picots... Puis, assez pressé d’une envie urgente, Messire Léon se dirigea au milieu de la grande cour du Château en direction où Alice devait toujours être attachée comme un animal à un imposant poteau de bois profondément planté dans le sol. Il repassait en tête les propos du Seigneur d’Evans :
- … Au beau milieu du parc, elle sera attachée à un poteau, comme un chien à sa niche et avec notre semence séchée sur sa peau nue. Ensuite, elle sera aussi souillée par quiconque Dominants (tes) ou soumis (ses) autorisés (ées) auront le droit de l’arrêter pour se soulager uniquement la vessie dans sa bouche ou sur elle. Ainsi attachée et exhibée au regard de tous, elle puera de notre semence et aussi de diverses urines, le temps que j’aurai décidé…
Messire Léon arriva au milieu de la cour et suite à un autre ordre complémentaire du Seigneur, il trouva Alice nue et attachée, poignets et chevilles largement écartés, mais couchée sur le sol dans une sorte de rigole de la margeur du corps et peu profonde, creusée dans la terre, laquelle rigole avait pour vocation principale l’écoulement des eaux jusqu’aux douves du Château. Ainsi tous ceux qui passaient dans la cour pouvaient à souhait lui uriner dessus avec une soumise positionnée différemment. Cette rigole permettait aussi aux femmes de se mettre accroupie, une jambe de chaque côté de la rigole afin de bien diriger le jet d’urine sur la partie voulue du corps de la soumise. La plupart lui pissait directement dans la bouche, sur les cheveux ou sur le visage, et parfois sur les seins… Messire Léon eut à son tour une envie pressante et ordonna à Alice d’ouvrir largement la bouche. Il défit ses chausses, exhiba sa verge semi-molle et visa la cavité buccale de la soumise qui reçut un généreux et long jet d’urine. Alice eut toute la peine du monde à garder la bouche ouverte afin de ne pas s’étouffer… Une fois soulagé, Messire Léon repartit comme il était venu ! Il se servit donc juste du corps d’Alice comme un simple urinoir !
Il revint une petite heure après, mais cette fois avec esclave Matthieu tenu en laisse avec un collier de métal qui a l’instar de sa lourde cage de chasteté était aussi muni de picots pointus…
- Tient, le chien tu vas remplacer soumise Alice. Je viens d’avoir la consigne du Seigneur d’Evans de te mettre à la place d’Alice. Alice, je vais te détacher et tu iras de suite à la fontaine principale du Château te laver soigneusement, tu pues trop la pisse. Ensuite tu iras rejoindre le Seigneur d’Evans qui t’attends dans le grand salon…
C’est ainsi que l’esclave Matthieu se retrouva couché et attaché dans la rigole à la place d’Alice. La différence, c’est qu’il y resta 3 jours entiers et 3 nuits, étant détaché juste pour se nourrir dans une gamelle à même le sol… Il fut ainsi maintes fois utilisé car tous ceux qui en avaient envie pouvait aussi le sodomiser en le détachant pour le rattacher au poteau en position de levrette, ou posséder sa bouche pour se vider les couilles, et pour ensuite et après utilisation, le remettre dans la rigole afin qu’il serve d’urinoir…
Quelques jours plus tard Louis-Etienne, Manon et Adam devaient repartir. Et tous étaient sur le perron du Château pour leur souhaiter un bon retour. Avant de partir Adam s’adressa au Seigneur d’Evans
- Si Vous le permettez, Messire, peut être Louise pourra t’elle venir passer quelques jours au Manoir de Maisondieu ?
Et Louis-Etienne partit rejoindre ses parents qui l’attendaient… Depuis son départ et celui de sa famille la vie au Château reprenait son cours normal. Et chaque jour, Chloris et Louise se retrouvaient dans la grande bibliothèque pour les leçons de Louise, qui se trouvait être une élève très douée et apprenait vite et fut rapidement capable de déchiffrer elle-même les missives de Messire Adam. Mais l’écriture était plus complexe et Chloris les rédigeaient pour elle. Une fin de matinée, comme cela arrivait régulièrement ces dernier temps, Chloris, alla porter au Seigneur d’Evans la missive de réponse de Louise, comme convenu entre eux lors du départ d’Adam et ses parents. Chloris frappa à la porte du cabinet de travail où se trouvaient, naturellement, le Seigneur d’Evans, Marion entre Ses cuisses en train de le sucer avidement et Antonin profitant du spectacle et attendant son tour. Voyant ce qu’elle avait dans les mains :
- Pose-ça sur la table et viens t’occuper de Mon ami, qui patiente depuis un long moment déjà, exigea le Seigneur d’Evans.
En voyant l’excitation évidente d’Antonin, Chloris se mit à genoux devant lui et voulu commencer par le caresser comme Antonin aimait tant, mais ce dernier l’arrêta :
- Ta tenue est-elle celle d’une soumise ?
Se souvenant tout à coup qu’elle était encore habillée comme pour la préparation du déjeuner, elle répondit :
- Non Maître car l’envie de vous satisfaire immédiatement m’a fait oublier ma tenue. De plus, j’ignorais que j’étais ici en tant que soumise. Je vais me dévêtir de suite…
Mais Chloris prit trop de temps à défaire tous les boutons de sa longue robe, alors Antonin (qui était loin d’être un homme violent) voyant que la robe se fermait par un nombre impressionnant de boutons, l’arracha énergiquement faisant sauter tous les boutons d’un seul coup... Nue et déjà fort excitée sous la robe, elle retrouva de suite dans la tenue d’Eve…
- Pour une fois que ma chienne daigne se dénuder rapidement, ironisa Antonin d’un ton taquin, faisant un clin d’œil complice à Chloris….
Chloris ainsi excitée se mit à le sucer avec application au même moment où le Seigneur d’Evans renvoya Marion qui venait de Le faire jouir... Le Seigneur d’Evans décida de les laisser forniquer à leur manière et alla s’installer au fond de la pièce, à Sa table de travail et entre autres lire la missive de Louise à Adam…Antonin faisait de son mieux pour se retenir et faire durer le plaisir et finit par jouir en de profonds râles jouissifs au bout de très très longues minutes. Après cela Chloris entreprit de le nettoyer si consciencieusement qu’elle finit par lui redonner de la vigueur.
- Met-toi à quatre pattes, tu vas bientôt pouvoir jouir toi aussi… je vais te prendre par le cul et la chatte, salope !
- Merci Maître.
- Mon cher Charles, veux-tu te joindre à nous et profiter de sa bouche pendant que je la lime ?
- Bien volontiers, Mon ami tu sais que j’ai toujours aimé sa bouche de chienne.
Et tandis qu’Antonin passait de sa chatte à son cul, Chloris, elle, essayant de garder un rythme plus ou moins constant pour bien prendre en bouche, le Seigneur d’Evans. Quand soudain d’un simple regard les deux amis allaient bientôt jouir, Antonin ordonna alors enfin à Chloris qui luttait et sentait ses forces diminuer.
- Jouit ma chienne maintenant, je l’exige….
Alors, ils éclatèrent tous les trois ensembles en jouissance dans un concert de cris, râles et plaisirs orgasmiques… Ensuite Chloris s’écroula, épuisée certes, mais tellement heureuse d’avoir reçu la Noble semence des deux hommes, les plus importants de sa vie à ses yeux, et d’avoir elle aussi eu droit au plaisir….
(A suivre …)
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