Kate au Château (Saga se passant au Moyen-Age, écrite par Kate & textes améliorés par MDE)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-06-2018 dans la catégorie Dominants et dominés
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Kate au Château (Saga se passant au Moyen-Age, écrite par Kate & textes améliorés par MDE)
Kate au Château (Saga se passant au Moyen-Age, écrite par Kate & textes améliorés par MDE) – (suite de l'épisode N°1194) -
Le plan :Dans les jours qui suivirent, Eléonore de Maisondieu et Alix apprirent que l'homme se nommait Justinien et qu'il était un des geôliers de Louis-Etienne détenu dans les premières fortifications sur l’éperon rocheux qui deviendra la plus tard la fameuse Citadelle de Namur, en Belgique. Ce géolier, pour des raisons qu’Alix ne connaissait pas encore, a fui Namur pour venir prévenir les proches de Louis-Etienne. Alix en averti immédiatement Antonin et le Seigneur d'Evans.
- Maître, nous savons désormais où se trouve Louis- Etienne, il est retenu dans les souterrains des fortifications située à Namur en Belgique.
- Je ne connais pas du tout cette ville, répliqua le Seigneur d’Evans(Antonin intervient) - Mon ami je n'ai pas la prétention de connaitre cet endroit mais je me souviens y être allé étant enfant avec mon père et mon frère, mon père étant ami avec le Comte de Namur, Baudouin de Courtenay- Dite-moi, Alix comment se remet Justinien ?
- Bien Maître, mais je ne vous ai pas précisé, il s'agit de Frère Justinien, ce sont des moines de l'abbaye proche qui s'occupent des prisonniers de Namur. En réalité, la route jusqu’à nous l'a épuisé mais avec les repas et les soins de ma mère et de Léontine, il pratiquement totalement rétabli.
- Il serait préférable qu'il vous accompagne car une fois dans les fortifications, lui seul pourra vous mener à Louis- Etienne, dit le Seigneur d'Evans.
- Mon ami, dit Antonin, serait il possible de parler à Messire Godulfe ?
- Bien sûr … (et il appela une soumise qu'il appréciait particulièrement)... Marion va chercher Messire Godulfe, debout, tu iras plus vite.
- Bien Maître, merci Maître
Elle revient quelques minutes plus tard avec Godulfe et une fois rentrée, elle reprend sa place dans le coin de la pièce, agenouillée sans que ses fesses ne touchent ses talons, mains derrière le dos et tête baissée.
- Mon Seigneur vous m'avez fait appeler, dit Godulfe - Oui, Antonin souhaite vous entretenir d'information concernant votre mission- Je vous écoute- Voila de ce que je me souviens de cet endroit, les fortifications de Namur sont très bien situées, en hauteur avec une vue imprenable sur la ville et les voies fluviales (la Meuse et la Sambre), nous devrons être très prudents pour ne pas être repérés de loin- Excusez-moi, dit Alix, mais ne devrions nous pas en parler avec Frère Justinien, il connait la ville et ses fortifications et peut être qu’il sait comment nous y rendre sans nous faire repérer- Ce n'est pas une mauvaise idée Ma soumise, dit le Seigneur d'Evans. Bien, fixons cela à demain matin, j’ai dit !
- Maître, me permettez-vous de me retirer afin de prévenir Frère Justinien- Messire Godulfe va te ramener chez toi- Je peux m'en occuper, dit Antonin, j'en profiterai pour saluer ma tante et prendre des nouvelles de Clémence- Si vous voulez mon ami, allez-y
Le soir tombait sur le Château, le Seigneur Charles d'Evans se rendit dans la salle à manger, Marion le suivant à quatre pattes Il y retrouva ses fils et le repas se déroula le plus normalement du monde. A la fin du repas, il dit :
- Mes enfants, je vous souhaite la bonne nuit, une grande journée m'attend demain- Bonne nuit père, répondirent-ils en cœur- Ce soir tu vas avoir l'honneur de t'occuper de moi, dit le Seigneur d’Evans à Marion
Marion comprit ce que cela voulait dire et elle suivit le Maître à 4 pattes. Une fois dans la chambre elle se positionna au centre de la pièce en position d'attente.
- Aide-moi à me dévêtir, Ma chienne
Marion s'approcha et lui ôta ses chausses puis se redressa afin de lui retirer chemise et bijoux qu'elle rangea soigneusement. Ensuite, elle lui retira sa flanelle et découvrit la noble Verge du Maître tendue. Discrètement, elle la regarda avec envie.
- Suce-Moi, Ma belle chienne
Elle commença à lécher de bas en haut avec une infinie douceur et savoir-faire, puis elle le prit totalement en bouche et suça, aspira faisant tourner sa langue tout autour en descendant doucement. Le Seigneur émettait des sons de plaisir qui devenaient de plus en plus forts pour se transformer en râles. Il maintenait fermement la tête de la soumise pour imposer le rythme des va-et-vient jusqu’à qu’il lâcha sa noble semence dans la bouche de Marion avala ensuite avec délice et reconnaissance.
- Bonne chienne, nettoie-moi, maintenant
Marion le fit avec application et bonheur car satisfaire le Maître qu'elle servait avec dévouement la rendait plus heureuse que jamais
- Je t'autorise à dormir avec Moi- Maître, merci c'est un grand honneur pour moi- C'est ma volonté (Il tendit son bras) – Allez-viens, Ma chienne(Elle se blotti dans ses bras) - Merci Maître- Bonne nuit, Ma petite soumise- Bonne nuit Maître
Ils s'endormirent rapidement, gagnés par la fatigue d’une longue journée. Au cours de la nuit, le Seigneur d'Evans secoua Marion profondément endormie et lui lança :
- Je dois me soulager, en levrette tout de suite, Ma chienne
(Marion dans un demi-sommeil) - Oui Maître, tout ce que vous exigez
Il ne tarda pas à présenter sa queue dressée au gland violacé devant les lèvres intimes de la soumise. Le Seigneur d’Evans frotta quelques instants, ce gland de bas et haut puis d’une poussée fort inquisitrice, il pénétra sa petite chatte sans autre préambule et la pilonna tout en lui maintenant fermement les hanches. Ses coups de reins puissants, faisaient aller profondément son phallus jusqu’au fond du vagin de la chienne qui mouillait terriblement. Le rythme était cadencé, Il lui frappait le cul d’une volée de fessées et Ses couilles frappaient contre les fesses de Marion. Il possédait le corps de Sa soumise en la besognant sans se soucier si elle prenait du plaisir, même si c’était le cas ! Ses mains étaient passées sous les bras de la belle pour aller lui pincer les tétons et les étirer tout en chevauchant sa ‘monture’. Au bout d’un long moment, il accéléra encore plus ses coups de reins et jouit en de grand râles en quelques flots de semence tout au fond du sexe de la chienne soumise. Puis, après être resté sans bouger en coït vaginale un bon moment, le Seigneur d’Evans se retira et la prit dans ses bras, et lui dit :
- Rendors-toi, chienne- Merci Maître, bonne fin de nuit Maître
Quand Marion se réveilla le jour se levait, le Seigneur d'Evans dormait encore et elle se glissa sous les draps, prit délicatement la verge endormie du Maitre puis le masturba et le suça afin de le réveiller de la manière qu'il exigeait à chaque fois qu’elle avait l’honneur de partager Sa couche.
- Hummmm ! Bonjour Ma petite salope soumise, continue et fait-moi gicler dans ta bouche, Ma chienne !
Marion activa donc sa fellation avec application et il ne tarda pas à lui éjaculer une nouvelle fois Sa semence qu’elle avala de suite sur ordre, ensuite elle se permit de dire :
- Bonjour Maître, avez-vous passé une agréable nuit ?
- Oui Ma soumise, tu as été parfaite cette nuit pour le Maître
En descendant du lit et se mettant à genoux
- Maître, je ne veux que Vous satisfaire, Vous plaire, Vous servir et Vous appartenir- Tu es là pour ça, Ma chienne, ne l’oublie jamais ! Etre dans Ma couche est et sera toujours un privilège pour toi, privilège que je daigne t’accorder selon Mes envies… - Merci à vous, Maître, de vous occuper de mon éducation- Allons, il est temps, va me chercher mon petit déjeuné- Tout de suite, Maître.
Vers 10h Antonin arriva suivi quelques minutes plus tard par Alix accompagnée de Frère Justinien qui conduit par Godulfe rejoignirent les deux amis dans le petit salon. Après les présentations et salutations d'usage le Seigneur Charles d'Evans prit la parole :
- Bien, nous sommes au complet, commençons. Tout d'abord, frère Justinien, pourquoi avez-vous fuit vos supérieurs, pour venir jusqu’à nous ?
- He bien, Messire, je n’ai jamais cautionné des conditions de détention des fortifications de Namur. Et au fil des mois, je me suis lié d’amitié avec Messire Louis-Etienne qui m’a demandé de venir vous prévenir du lieu de sa captivité afin d’agir pour le sauver, le libérer... J’ai accepté sans aucune hésitation, car je sais que Dieu me voit et comprendra mon geste…- Bien, recevez toute notre gratitude et je saurai vous en remercier en vous prenant sous Ma protection… Que pouvez-vous nous dire sur les fortifications de Namur ?
- He bien, mon Seigneur, elles jouissent d'une excellente situation, elles surmontent toute la ville et a des murs défenses tout autours, je ne vous le cache pas, ce ne sera pas facile.
- Messire, Frère Justinien m'a confié hier soir ainsi qu'à Alix, qu'il avait un plan pour essayer de libérer Louis- Etienne, intervint Godulfe.
- Bien, expliquez-moi, demanda le Seigneur d’Evans- Voilà, par la route il nous sera aisé de pénétrer dans la ville, vêtus comme des gens du peuple, nous logerons chez mes parents, ils possèdent une ferme aux pieds des fortifications et nous y serons à l'abri. Après, je pense que seulement 2 ou 3 devrons monter les fortifications par une route qui est peu fréquentée, ensuite je vous conduirai jusqu'aux souterrains où Louis- Etienne est retenu prisonnier.
- Pourquoi, seulement 2 ou 3 personnes demanda Godulfe, c'est risqué ?
- Le reste des gardes resteront chez mes parents et après 24 ou 48h si nous ne sommes pas revenus alors ils devront intervenir.
- Qu'en pensez-vous Godulfe, demanda le Seigneur d'Evans ?
- He bien Messire, dit-il pensif, c'est un bon plan, mais qui va vous accompagner dans les fortifications ?, questionna t'il en regardant Frère Justinien.
- Moi, bien sûr, dit Antonin- Moi aussi, dit Alix, il s'agit de mon petit frère et rien ne saurait m'en empêcher dit-elle le regard déterminé- Mon ami, Messire, je vous en prie, je connais la façon dont Alix se bat et elle connait aussi la mienne nous serons plus efficaces ensemble, dit Antonin- Bon j'accepte, décida le Seigneur d'Evans, mais sachez tous, (les hommes) que s’il arrive quoi que ce soit à Ma belle Alix, je ne saurai le tolérer.
- Soyez sans crainte, mon ami, je veillerai sur elle comme sur moi même- Merci Maître de me permettre de porter secours à mon frère, cela compte énormément pour moi...
Quelques semaines plus tard, le jour du départ arriva...
(A suivre ...)
Le plan :Dans les jours qui suivirent, Eléonore de Maisondieu et Alix apprirent que l'homme se nommait Justinien et qu'il était un des geôliers de Louis-Etienne détenu dans les premières fortifications sur l’éperon rocheux qui deviendra la plus tard la fameuse Citadelle de Namur, en Belgique. Ce géolier, pour des raisons qu’Alix ne connaissait pas encore, a fui Namur pour venir prévenir les proches de Louis-Etienne. Alix en averti immédiatement Antonin et le Seigneur d'Evans.
- Maître, nous savons désormais où se trouve Louis- Etienne, il est retenu dans les souterrains des fortifications située à Namur en Belgique.
- Je ne connais pas du tout cette ville, répliqua le Seigneur d’Evans(Antonin intervient) - Mon ami je n'ai pas la prétention de connaitre cet endroit mais je me souviens y être allé étant enfant avec mon père et mon frère, mon père étant ami avec le Comte de Namur, Baudouin de Courtenay- Dite-moi, Alix comment se remet Justinien ?
- Bien Maître, mais je ne vous ai pas précisé, il s'agit de Frère Justinien, ce sont des moines de l'abbaye proche qui s'occupent des prisonniers de Namur. En réalité, la route jusqu’à nous l'a épuisé mais avec les repas et les soins de ma mère et de Léontine, il pratiquement totalement rétabli.
- Il serait préférable qu'il vous accompagne car une fois dans les fortifications, lui seul pourra vous mener à Louis- Etienne, dit le Seigneur d'Evans.
- Mon ami, dit Antonin, serait il possible de parler à Messire Godulfe ?
- Bien sûr … (et il appela une soumise qu'il appréciait particulièrement)... Marion va chercher Messire Godulfe, debout, tu iras plus vite.
- Bien Maître, merci Maître
Elle revient quelques minutes plus tard avec Godulfe et une fois rentrée, elle reprend sa place dans le coin de la pièce, agenouillée sans que ses fesses ne touchent ses talons, mains derrière le dos et tête baissée.
- Mon Seigneur vous m'avez fait appeler, dit Godulfe - Oui, Antonin souhaite vous entretenir d'information concernant votre mission- Je vous écoute- Voila de ce que je me souviens de cet endroit, les fortifications de Namur sont très bien situées, en hauteur avec une vue imprenable sur la ville et les voies fluviales (la Meuse et la Sambre), nous devrons être très prudents pour ne pas être repérés de loin- Excusez-moi, dit Alix, mais ne devrions nous pas en parler avec Frère Justinien, il connait la ville et ses fortifications et peut être qu’il sait comment nous y rendre sans nous faire repérer- Ce n'est pas une mauvaise idée Ma soumise, dit le Seigneur d'Evans. Bien, fixons cela à demain matin, j’ai dit !
- Maître, me permettez-vous de me retirer afin de prévenir Frère Justinien- Messire Godulfe va te ramener chez toi- Je peux m'en occuper, dit Antonin, j'en profiterai pour saluer ma tante et prendre des nouvelles de Clémence- Si vous voulez mon ami, allez-y
Le soir tombait sur le Château, le Seigneur Charles d'Evans se rendit dans la salle à manger, Marion le suivant à quatre pattes Il y retrouva ses fils et le repas se déroula le plus normalement du monde. A la fin du repas, il dit :
- Mes enfants, je vous souhaite la bonne nuit, une grande journée m'attend demain- Bonne nuit père, répondirent-ils en cœur- Ce soir tu vas avoir l'honneur de t'occuper de moi, dit le Seigneur d’Evans à Marion
Marion comprit ce que cela voulait dire et elle suivit le Maître à 4 pattes. Une fois dans la chambre elle se positionna au centre de la pièce en position d'attente.
- Aide-moi à me dévêtir, Ma chienne
Marion s'approcha et lui ôta ses chausses puis se redressa afin de lui retirer chemise et bijoux qu'elle rangea soigneusement. Ensuite, elle lui retira sa flanelle et découvrit la noble Verge du Maître tendue. Discrètement, elle la regarda avec envie.
- Suce-Moi, Ma belle chienne
Elle commença à lécher de bas en haut avec une infinie douceur et savoir-faire, puis elle le prit totalement en bouche et suça, aspira faisant tourner sa langue tout autour en descendant doucement. Le Seigneur émettait des sons de plaisir qui devenaient de plus en plus forts pour se transformer en râles. Il maintenait fermement la tête de la soumise pour imposer le rythme des va-et-vient jusqu’à qu’il lâcha sa noble semence dans la bouche de Marion avala ensuite avec délice et reconnaissance.
- Bonne chienne, nettoie-moi, maintenant
Marion le fit avec application et bonheur car satisfaire le Maître qu'elle servait avec dévouement la rendait plus heureuse que jamais
- Je t'autorise à dormir avec Moi- Maître, merci c'est un grand honneur pour moi- C'est ma volonté (Il tendit son bras) – Allez-viens, Ma chienne(Elle se blotti dans ses bras) - Merci Maître- Bonne nuit, Ma petite soumise- Bonne nuit Maître
Ils s'endormirent rapidement, gagnés par la fatigue d’une longue journée. Au cours de la nuit, le Seigneur d'Evans secoua Marion profondément endormie et lui lança :
- Je dois me soulager, en levrette tout de suite, Ma chienne
(Marion dans un demi-sommeil) - Oui Maître, tout ce que vous exigez
Il ne tarda pas à présenter sa queue dressée au gland violacé devant les lèvres intimes de la soumise. Le Seigneur d’Evans frotta quelques instants, ce gland de bas et haut puis d’une poussée fort inquisitrice, il pénétra sa petite chatte sans autre préambule et la pilonna tout en lui maintenant fermement les hanches. Ses coups de reins puissants, faisaient aller profondément son phallus jusqu’au fond du vagin de la chienne qui mouillait terriblement. Le rythme était cadencé, Il lui frappait le cul d’une volée de fessées et Ses couilles frappaient contre les fesses de Marion. Il possédait le corps de Sa soumise en la besognant sans se soucier si elle prenait du plaisir, même si c’était le cas ! Ses mains étaient passées sous les bras de la belle pour aller lui pincer les tétons et les étirer tout en chevauchant sa ‘monture’. Au bout d’un long moment, il accéléra encore plus ses coups de reins et jouit en de grand râles en quelques flots de semence tout au fond du sexe de la chienne soumise. Puis, après être resté sans bouger en coït vaginale un bon moment, le Seigneur d’Evans se retira et la prit dans ses bras, et lui dit :
- Rendors-toi, chienne- Merci Maître, bonne fin de nuit Maître
Quand Marion se réveilla le jour se levait, le Seigneur d'Evans dormait encore et elle se glissa sous les draps, prit délicatement la verge endormie du Maitre puis le masturba et le suça afin de le réveiller de la manière qu'il exigeait à chaque fois qu’elle avait l’honneur de partager Sa couche.
- Hummmm ! Bonjour Ma petite salope soumise, continue et fait-moi gicler dans ta bouche, Ma chienne !
Marion activa donc sa fellation avec application et il ne tarda pas à lui éjaculer une nouvelle fois Sa semence qu’elle avala de suite sur ordre, ensuite elle se permit de dire :
- Bonjour Maître, avez-vous passé une agréable nuit ?
- Oui Ma soumise, tu as été parfaite cette nuit pour le Maître
En descendant du lit et se mettant à genoux
- Maître, je ne veux que Vous satisfaire, Vous plaire, Vous servir et Vous appartenir- Tu es là pour ça, Ma chienne, ne l’oublie jamais ! Etre dans Ma couche est et sera toujours un privilège pour toi, privilège que je daigne t’accorder selon Mes envies… - Merci à vous, Maître, de vous occuper de mon éducation- Allons, il est temps, va me chercher mon petit déjeuné- Tout de suite, Maître.
Vers 10h Antonin arriva suivi quelques minutes plus tard par Alix accompagnée de Frère Justinien qui conduit par Godulfe rejoignirent les deux amis dans le petit salon. Après les présentations et salutations d'usage le Seigneur Charles d'Evans prit la parole :
- Bien, nous sommes au complet, commençons. Tout d'abord, frère Justinien, pourquoi avez-vous fuit vos supérieurs, pour venir jusqu’à nous ?
- He bien, Messire, je n’ai jamais cautionné des conditions de détention des fortifications de Namur. Et au fil des mois, je me suis lié d’amitié avec Messire Louis-Etienne qui m’a demandé de venir vous prévenir du lieu de sa captivité afin d’agir pour le sauver, le libérer... J’ai accepté sans aucune hésitation, car je sais que Dieu me voit et comprendra mon geste…- Bien, recevez toute notre gratitude et je saurai vous en remercier en vous prenant sous Ma protection… Que pouvez-vous nous dire sur les fortifications de Namur ?
- He bien, mon Seigneur, elles jouissent d'une excellente situation, elles surmontent toute la ville et a des murs défenses tout autours, je ne vous le cache pas, ce ne sera pas facile.
- Messire, Frère Justinien m'a confié hier soir ainsi qu'à Alix, qu'il avait un plan pour essayer de libérer Louis- Etienne, intervint Godulfe.
- Bien, expliquez-moi, demanda le Seigneur d’Evans- Voilà, par la route il nous sera aisé de pénétrer dans la ville, vêtus comme des gens du peuple, nous logerons chez mes parents, ils possèdent une ferme aux pieds des fortifications et nous y serons à l'abri. Après, je pense que seulement 2 ou 3 devrons monter les fortifications par une route qui est peu fréquentée, ensuite je vous conduirai jusqu'aux souterrains où Louis- Etienne est retenu prisonnier.
- Pourquoi, seulement 2 ou 3 personnes demanda Godulfe, c'est risqué ?
- Le reste des gardes resteront chez mes parents et après 24 ou 48h si nous ne sommes pas revenus alors ils devront intervenir.
- Qu'en pensez-vous Godulfe, demanda le Seigneur d'Evans ?
- He bien Messire, dit-il pensif, c'est un bon plan, mais qui va vous accompagner dans les fortifications ?, questionna t'il en regardant Frère Justinien.
- Moi, bien sûr, dit Antonin- Moi aussi, dit Alix, il s'agit de mon petit frère et rien ne saurait m'en empêcher dit-elle le regard déterminé- Mon ami, Messire, je vous en prie, je connais la façon dont Alix se bat et elle connait aussi la mienne nous serons plus efficaces ensemble, dit Antonin- Bon j'accepte, décida le Seigneur d'Evans, mais sachez tous, (les hommes) que s’il arrive quoi que ce soit à Ma belle Alix, je ne saurai le tolérer.
- Soyez sans crainte, mon ami, je veillerai sur elle comme sur moi même- Merci Maître de me permettre de porter secours à mon frère, cela compte énormément pour moi...
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