Kate au Château (Saga se passant au Moyen-Age, écrite par Kate & textes améliorés par MDE)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-09-2018 dans la catégorie Dominants et dominés
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Kate au Château (Saga se passant au Moyen-Age, écrite par Kate & textes améliorés par MDE)
Kate au Château (Saga se passant au Moyen-Age, écrite par Kate & textes améliorés par MDE) – (suite de l'épisode N°1223) -
Ce soir-là, Kate se présenta dans la chambre du Maître. Elle le trouva occupé à sa table de travail. Se voulant discrète en bonne soumise patiente, elle se mit à genoux et attendit que le Seigneur se décide à lui parler, ce qu’il fit au bout d’un long moment en levant les yeux :
- Ma belle Kate, je dois terminer cette missive, tu peux aller dans la pièce aux ablutions pour te laver. Céline m'a fait porter quelques brocs d'eau chaude. Tu peux les utiliser et mets ensuite quelque chose sur toi pour ne pas prendre froid. Ensuite, tu auras le privilège de venir dans ma couche …- Ho … Merci Maître !
Kate se lava avec application afin de plaire au Maître et lui démontrer sa gratitude de l'autoriser à se laver avec de l'eau chaude et de pouvoir rejoindre sa couche. Une fois propre, elle enfila une tunique de lin ample et légère et retourna aux pieds du Maître.
- Porte cette missive à Messire Léon, il sait à qui elle est destinée (la duchesse de Saint-Hymer). Ensuite tu reviens ici :- Bien Maître, j'y vais de suite
Une fois la missive portée et avant de retourner dans la chambre du Maître, Kate retira la tunique, frappa à la porte et entra dés l'accord du Seigneur d'Evans. La belle Kate fut surprise de voir le Maître déjà couché alors elle se mit a genoux à côté du lit attendant ses ordres.
- Viens ma belle, viens à mes côtés
Kate se coucha alors aux côtés du Maître qui la prend dans ses bras tout contre lui.
- Maître, je suis désolée et vous prie de m'excuser de m'être ainsi laissée aller devant Vous, ce tantôt.
- Ce soir, je ne t’exige rien d'autre que ta présence et ta tendresse. Et ne parlons plus de cela.
Alors Kate se blottit contre Lui tout en caressant et couvrant son torse de doux et sensuels baisés pendant qu'il lui caressait les cheveux et le dos. Et soudain, il claqua des doigts alors Kate et dégagea légèrement afin de permettre au Seigneur d’Evans d’avoir plus de liberté dans ses mouvements. Elle le regarda avec des yeux emplis de dévotion, d’humilité et de désirs. Kate s’était mise sur le dos et le Maître parcouru tout son corps en lui caressant le visage, le cou puis arrivant à ses seins qu’il trouvait magnifiques parfaitement proportionnés juste parfait pour les prendre en mains. Le Seigneur les malaxait, les caressait et Kate ferma légèrement les yeux de plaisir. Il continua en les pinçant, les roulant entre ses doigts, les étirant, vrillant et les claquaient. Ensuite, il les prit dans sa bouche pour les lécher, les mordiller et les embrasser mais surtout les agacer avec sa langue. Le Seigneur savait que Kate était extrêmement réceptive des tétons et cela s’entendait à sa respiration. Instinctivement, elle écarta largement ses cuisses. Le Maître continuait ses caresses en descendant très lentement vers son entrejambes qu’il découvrit trempée et chaude. Kate ne savait pas trop que faire, avec Antonin, elle savait exactement quoi faire, mais pas avec le Seigneur d’Evans. Elle décida de faire la même chose qu’avec Antonin et entreprit alors de le caresser également. Pas que cela ne plut pas au Maître mais pas sans Son accord ou à Son exigence. Bien qu’il aimait et appréciait les mains douces et habiles de Kate, ce soir il voulait s’occuper d’elle. Il ne lui en voulait pas de son initiative mais se devait de l’éduquer alors il la regarda dans les yeux sévèrement :
- T’ai-je autorisé à me toucher, soumise?
- Non Maître, je vous présente mes excuses, je pensais que vous apprécierez.
- Oui j’apprécie grandement. Mais jamais tu dois me caresser sans mon autorisation.
-Bien Maitre. Ca ne se reproduira plus Maître.
- Je n’en doute pas, Ma chienne à éduquer...
Le Seigneur d’Evans se leva et alla dans un meuble et prit des attaches en cuir des poignets, chevilles et un bandeau de lin épais.
- Je ne t’attache pas les jambes mais ne bouge pas…
Et il lui mit le bandeau sur les yeux. Il reprit ses caresses sur ses seins puis la doigta et agaça son clito avec savoir-faire. Il le savait aussi très réceptif ce clito, encore plus que ses tétons. Kate gémissait de plaisir se cabrant par moment afin de sentir ses doigts plus profondément en elle. Après avoir longuement exploré sa chatte chaude et humide comme il aimait, Il présenta sa main trempée de cyprine devant sa bouche afin qu’elle la lui nettoie de sa propre mouille. Puis le Seigneur la détacha et lui dit :
- En levrette tout de suite, chienne.
Kate s’exécuta instantanément et après quelques claques cinglantes, il la pénétra très facilement et la pilonna, sans autre préambule, un bon moment longuement, profondément, à grands coups de reins virils et puissants.
- Hoooooo … Maî …Maître, c’est bonnnnnnn ….. Hummmm … Puis-je jouir, s’il … Hummmm … s’il vous plaaaaait ?
- Pas encore, tu jouiras si je te l'accorde et quand je serai dans ton cul de chienne ..
- Maî… Maître … je … je n'ai été prise qu'une seule fois par derrière et...
- Silence la chienne ! Je sais ce que je fais…
Le Seigneur d’Evans bien qu'il lui eut donné l'ordre de se taire, décida de la préparer comme pour une première fois car en réalité ce sera la première fois avec Lui. Alors il commença à dilater longuement et délicatement son anus de Ses doigts pénétrants. Et quand le Maitre le jugea suffisamment dilaté, il écarta ses fesses et l’encula d’abord doucement par quelques va-et-vient. Kate se cambra au maximum afin de faciliter l’intromission du volumineux sexe du Seigneur. Celui-ci la voyant maintenant détendue, ouverte, offerte, il accentua la vitesse et la puissance de ses coups de reins dans un rythme plus soutenus, dans une cadence virile, profonde à la besogner dans une saillie animale, bestiale... Ses grosses couilles frappaient ses fesses à chaque poussées si puissantes, allant jusqu’à la garde, la grosse verge entière du Noble s’enfilait au plus profond qui lui était possible…
- T'aime ça, hein Ma salope ?
- Hooo ! ouiii ! Encore …… Ouiiiiiiiiiii ! Haaaaaaa ! Maître, je vous en supplie, n'arrêtez pas c'est trop bon...
- Humm, t'en veux encore, chienne ?
- Ouiiiiiiiii ! Hummmm ! Maître s'il vous plait… Haaaaaaa ! Encooooooore …
Alors il lui calqua les fesses d'une main forte et de l'autre il alla la mettre dans sa chatte dégoulinante de son plaisir afin de lui titiller son clito avec des doigts très agiles exerçant une forte pression sur le bouton rose…Juqu’au moment où le Seigneur d’Evans daigna annoncer à Sa soumise :
- Jouit, maintenant, Ma chienne, je le veux !
Alors Kate ne se fit pas prier ! Elle lâcha enfin son orgasme puissant dans une explosion de décharges irradiant tout son corps tremblant de spasmes qu’elle ne pouvait contrôler, le plaisir jouissif était tel qu’elle ne put s’empêcher d’hurler son orgasme si dévastateur et si bon, si divin … Et c'est épuisée, mais vraiment comblée qu'elle s'écroula de plaisirs. Le Maître sur elle et toujours dans son cul ne bougeait pas. Il restait ainsi immobile, bien planté en elle en coït anal profond. Il possédait son cul, il l’investissait pleinement... Quand il se retira, elle descendit du lit et se mit à genoux, tête baissée, les mains dans le dos, devant le Seigneur d'Evans.
- Merci Maître de m'avoir permise de jouir et pour cette merveilleuse sensation dans mon cul, je me suis sentie si remplie, si pleine, je me suis sentie prise comme la chienne que je suis … Mon cul pleinement possédé par Votre Verge …- Oui Ma salope, tu as été enculée pour ce que tu es … Une chienne ! N’oublie jamais que tous tes orifices sont à Moi et j’entends en user et abuser quand je le décide, ils doivent toujours m’être offerts, à Ma disposition, prêts à être pénétrés selon Mes envies et à tout moment… Maintenant, nettoie-moi, Ma chienne...
Kate prit alors dans sa bouche le sexe mollissant du Maître et le nettoya consciencieusement.
- Va te nettoyer et ensuite reviens à mes côtés.
- Merci Maître.
Kate se rendit donc dans la pièce d'eau et se nettoya rapidement les cuisses, sa chatte et son cul souillé de ses secrétions et du sperme du Maître. Ensuite elle retourna se coucher à Ses côtés et le Maître la prit dans Ses puissants bras et ils s'endormirent ainsi…
Alix et Antonin - (toujours prisonniers à des centaines de kilomètres du Château) -
Soudain Antonin dit à Alix
- J’ai une idée pour nous sortir d’ici- Vraiment ? Je vous écoute …- Il faut que vous acceptiez la proposition de mon père, d’épouser Léonard- Auriez-vous perdu la raison ! Il n’est pas question que j’épouse votre ignoble et brute de frère.
- Non bien sûr, mais faites-le lui croire et à notre retour, je suis sûr que le Seigneur Charles d’Evans, à qui vous appartenez d’ailleurs, ne permettra jamais une telle chose si ce n’est pas votre souhait …- Oui vous avez raison, je vais faire semblant d’accepter de l’épouser.
Voyant un des gardes en faction qui stationnait devant la grille de la prison, Alix l’interpella :
- Garde, garde ! Je veux parler au baron de Grenois, immédiatement ….
Le garde ne lui accorda même pas un regard mais il quitta de suite les lieux et peu de temps après un autre garde vient chercher Alix et la mena dans le cabinet de travail personnel du Compte Baudouin de Courtenay, qui celui-ci, se trouvait à l’étranger…
Pendant ce temps au Château :
Ce matin-là, le Seigneur d'Evans se trouvait dans sa pièce de travail quand soudain on frappa à la porte. Il était encore très tôt et se demanda qui pouvait bien le déranger de si bon matin
- Entrer.
Kate entra et de suite elle se mit à genoux :
- Maître, je vous présente mes excuses de vous déranger si tôt et aussi si je me permets de m'exprimer avant que vous ne m'y autorisiez, c'est que ce que j'ai à vous dire est extrêmement urgent.
- Je sais que tu n’agirais pas ainsi si ce n'était pas important. Alors, je t'écoute ?.
- C'est Clémence, Maître elle a fait un malaise ce matin en se levant. Et elle demande à Vous voir.
- Allons à sa chambre, au plus vite … répondit le Seigneur d’Evans sur un ton plus qu’inquiet
Pénétrant dans la chambre, le Seigneur d’Evans prit place sur la chaise près du lit. Clémence était toute pâle et visiblement épuisée et éprouvée.
- Clémence, tu es souffrante. Veux-tu un guérisseur ?
- Non, je me sens déjà mieux … Mais il faut que je vous parle, j’ai rêvé d’Alix et je la sens en grand danger.
- Sais-tu de quoi il s’agit ?
- Je ne saurais dire où elle se trouve exactement, ni quelle menace pèse sur elle, mais je sais qu’elle souffre.
Clémence se plaqua les mains sur le visage et se mit à pleurer.
- Je ne vois pas comment Vous pourriez intervenir, c’est si loin, même avec les meilleurs chevaux, ils n’arriveront pas avant une semaine. Alix a le temps de mourir 10 fois, 100 fois.
- Je sais quoi faire. Laissez-moi le temps d’agir. Je te laisse aux bons soins de Kate et je préviens Messire Léon de ton état. Si tu as besoin, il saura où trouver mon médecin personnel. Il ne manque pas de plantes médicinales pour te retaper …- Merci Maître et je suis désolée de Vous donner tant de soucis.
Puis s’adressant tout bas à Kate, il lui dit :
- Essaie de la distraire, je m’occupe de tout.
- Bien Maître…
(A suivre …)
Ce soir-là, Kate se présenta dans la chambre du Maître. Elle le trouva occupé à sa table de travail. Se voulant discrète en bonne soumise patiente, elle se mit à genoux et attendit que le Seigneur se décide à lui parler, ce qu’il fit au bout d’un long moment en levant les yeux :
- Ma belle Kate, je dois terminer cette missive, tu peux aller dans la pièce aux ablutions pour te laver. Céline m'a fait porter quelques brocs d'eau chaude. Tu peux les utiliser et mets ensuite quelque chose sur toi pour ne pas prendre froid. Ensuite, tu auras le privilège de venir dans ma couche …- Ho … Merci Maître !
Kate se lava avec application afin de plaire au Maître et lui démontrer sa gratitude de l'autoriser à se laver avec de l'eau chaude et de pouvoir rejoindre sa couche. Une fois propre, elle enfila une tunique de lin ample et légère et retourna aux pieds du Maître.
- Porte cette missive à Messire Léon, il sait à qui elle est destinée (la duchesse de Saint-Hymer). Ensuite tu reviens ici :- Bien Maître, j'y vais de suite
Une fois la missive portée et avant de retourner dans la chambre du Maître, Kate retira la tunique, frappa à la porte et entra dés l'accord du Seigneur d'Evans. La belle Kate fut surprise de voir le Maître déjà couché alors elle se mit a genoux à côté du lit attendant ses ordres.
- Viens ma belle, viens à mes côtés
Kate se coucha alors aux côtés du Maître qui la prend dans ses bras tout contre lui.
- Maître, je suis désolée et vous prie de m'excuser de m'être ainsi laissée aller devant Vous, ce tantôt.
- Ce soir, je ne t’exige rien d'autre que ta présence et ta tendresse. Et ne parlons plus de cela.
Alors Kate se blottit contre Lui tout en caressant et couvrant son torse de doux et sensuels baisés pendant qu'il lui caressait les cheveux et le dos. Et soudain, il claqua des doigts alors Kate et dégagea légèrement afin de permettre au Seigneur d’Evans d’avoir plus de liberté dans ses mouvements. Elle le regarda avec des yeux emplis de dévotion, d’humilité et de désirs. Kate s’était mise sur le dos et le Maître parcouru tout son corps en lui caressant le visage, le cou puis arrivant à ses seins qu’il trouvait magnifiques parfaitement proportionnés juste parfait pour les prendre en mains. Le Seigneur les malaxait, les caressait et Kate ferma légèrement les yeux de plaisir. Il continua en les pinçant, les roulant entre ses doigts, les étirant, vrillant et les claquaient. Ensuite, il les prit dans sa bouche pour les lécher, les mordiller et les embrasser mais surtout les agacer avec sa langue. Le Seigneur savait que Kate était extrêmement réceptive des tétons et cela s’entendait à sa respiration. Instinctivement, elle écarta largement ses cuisses. Le Maître continuait ses caresses en descendant très lentement vers son entrejambes qu’il découvrit trempée et chaude. Kate ne savait pas trop que faire, avec Antonin, elle savait exactement quoi faire, mais pas avec le Seigneur d’Evans. Elle décida de faire la même chose qu’avec Antonin et entreprit alors de le caresser également. Pas que cela ne plut pas au Maître mais pas sans Son accord ou à Son exigence. Bien qu’il aimait et appréciait les mains douces et habiles de Kate, ce soir il voulait s’occuper d’elle. Il ne lui en voulait pas de son initiative mais se devait de l’éduquer alors il la regarda dans les yeux sévèrement :
- T’ai-je autorisé à me toucher, soumise?
- Non Maître, je vous présente mes excuses, je pensais que vous apprécierez.
- Oui j’apprécie grandement. Mais jamais tu dois me caresser sans mon autorisation.
-Bien Maitre. Ca ne se reproduira plus Maître.
- Je n’en doute pas, Ma chienne à éduquer...
Le Seigneur d’Evans se leva et alla dans un meuble et prit des attaches en cuir des poignets, chevilles et un bandeau de lin épais.
- Je ne t’attache pas les jambes mais ne bouge pas…
Et il lui mit le bandeau sur les yeux. Il reprit ses caresses sur ses seins puis la doigta et agaça son clito avec savoir-faire. Il le savait aussi très réceptif ce clito, encore plus que ses tétons. Kate gémissait de plaisir se cabrant par moment afin de sentir ses doigts plus profondément en elle. Après avoir longuement exploré sa chatte chaude et humide comme il aimait, Il présenta sa main trempée de cyprine devant sa bouche afin qu’elle la lui nettoie de sa propre mouille. Puis le Seigneur la détacha et lui dit :
- En levrette tout de suite, chienne.
Kate s’exécuta instantanément et après quelques claques cinglantes, il la pénétra très facilement et la pilonna, sans autre préambule, un bon moment longuement, profondément, à grands coups de reins virils et puissants.
- Hoooooo … Maî …Maître, c’est bonnnnnnn ….. Hummmm … Puis-je jouir, s’il … Hummmm … s’il vous plaaaaait ?
- Pas encore, tu jouiras si je te l'accorde et quand je serai dans ton cul de chienne ..
- Maî… Maître … je … je n'ai été prise qu'une seule fois par derrière et...
- Silence la chienne ! Je sais ce que je fais…
Le Seigneur d’Evans bien qu'il lui eut donné l'ordre de se taire, décida de la préparer comme pour une première fois car en réalité ce sera la première fois avec Lui. Alors il commença à dilater longuement et délicatement son anus de Ses doigts pénétrants. Et quand le Maitre le jugea suffisamment dilaté, il écarta ses fesses et l’encula d’abord doucement par quelques va-et-vient. Kate se cambra au maximum afin de faciliter l’intromission du volumineux sexe du Seigneur. Celui-ci la voyant maintenant détendue, ouverte, offerte, il accentua la vitesse et la puissance de ses coups de reins dans un rythme plus soutenus, dans une cadence virile, profonde à la besogner dans une saillie animale, bestiale... Ses grosses couilles frappaient ses fesses à chaque poussées si puissantes, allant jusqu’à la garde, la grosse verge entière du Noble s’enfilait au plus profond qui lui était possible…
- T'aime ça, hein Ma salope ?
- Hooo ! ouiii ! Encore …… Ouiiiiiiiiiii ! Haaaaaaa ! Maître, je vous en supplie, n'arrêtez pas c'est trop bon...
- Humm, t'en veux encore, chienne ?
- Ouiiiiiiiii ! Hummmm ! Maître s'il vous plait… Haaaaaaa ! Encooooooore …
Alors il lui calqua les fesses d'une main forte et de l'autre il alla la mettre dans sa chatte dégoulinante de son plaisir afin de lui titiller son clito avec des doigts très agiles exerçant une forte pression sur le bouton rose…Juqu’au moment où le Seigneur d’Evans daigna annoncer à Sa soumise :
- Jouit, maintenant, Ma chienne, je le veux !
Alors Kate ne se fit pas prier ! Elle lâcha enfin son orgasme puissant dans une explosion de décharges irradiant tout son corps tremblant de spasmes qu’elle ne pouvait contrôler, le plaisir jouissif était tel qu’elle ne put s’empêcher d’hurler son orgasme si dévastateur et si bon, si divin … Et c'est épuisée, mais vraiment comblée qu'elle s'écroula de plaisirs. Le Maître sur elle et toujours dans son cul ne bougeait pas. Il restait ainsi immobile, bien planté en elle en coït anal profond. Il possédait son cul, il l’investissait pleinement... Quand il se retira, elle descendit du lit et se mit à genoux, tête baissée, les mains dans le dos, devant le Seigneur d'Evans.
- Merci Maître de m'avoir permise de jouir et pour cette merveilleuse sensation dans mon cul, je me suis sentie si remplie, si pleine, je me suis sentie prise comme la chienne que je suis … Mon cul pleinement possédé par Votre Verge …- Oui Ma salope, tu as été enculée pour ce que tu es … Une chienne ! N’oublie jamais que tous tes orifices sont à Moi et j’entends en user et abuser quand je le décide, ils doivent toujours m’être offerts, à Ma disposition, prêts à être pénétrés selon Mes envies et à tout moment… Maintenant, nettoie-moi, Ma chienne...
Kate prit alors dans sa bouche le sexe mollissant du Maître et le nettoya consciencieusement.
- Va te nettoyer et ensuite reviens à mes côtés.
- Merci Maître.
Kate se rendit donc dans la pièce d'eau et se nettoya rapidement les cuisses, sa chatte et son cul souillé de ses secrétions et du sperme du Maître. Ensuite elle retourna se coucher à Ses côtés et le Maître la prit dans Ses puissants bras et ils s'endormirent ainsi…
Alix et Antonin - (toujours prisonniers à des centaines de kilomètres du Château) -
Soudain Antonin dit à Alix
- J’ai une idée pour nous sortir d’ici- Vraiment ? Je vous écoute …- Il faut que vous acceptiez la proposition de mon père, d’épouser Léonard- Auriez-vous perdu la raison ! Il n’est pas question que j’épouse votre ignoble et brute de frère.
- Non bien sûr, mais faites-le lui croire et à notre retour, je suis sûr que le Seigneur Charles d’Evans, à qui vous appartenez d’ailleurs, ne permettra jamais une telle chose si ce n’est pas votre souhait …- Oui vous avez raison, je vais faire semblant d’accepter de l’épouser.
Voyant un des gardes en faction qui stationnait devant la grille de la prison, Alix l’interpella :
- Garde, garde ! Je veux parler au baron de Grenois, immédiatement ….
Le garde ne lui accorda même pas un regard mais il quitta de suite les lieux et peu de temps après un autre garde vient chercher Alix et la mena dans le cabinet de travail personnel du Compte Baudouin de Courtenay, qui celui-ci, se trouvait à l’étranger…
Pendant ce temps au Château :
Ce matin-là, le Seigneur d'Evans se trouvait dans sa pièce de travail quand soudain on frappa à la porte. Il était encore très tôt et se demanda qui pouvait bien le déranger de si bon matin
- Entrer.
Kate entra et de suite elle se mit à genoux :
- Maître, je vous présente mes excuses de vous déranger si tôt et aussi si je me permets de m'exprimer avant que vous ne m'y autorisiez, c'est que ce que j'ai à vous dire est extrêmement urgent.
- Je sais que tu n’agirais pas ainsi si ce n'était pas important. Alors, je t'écoute ?.
- C'est Clémence, Maître elle a fait un malaise ce matin en se levant. Et elle demande à Vous voir.
- Allons à sa chambre, au plus vite … répondit le Seigneur d’Evans sur un ton plus qu’inquiet
Pénétrant dans la chambre, le Seigneur d’Evans prit place sur la chaise près du lit. Clémence était toute pâle et visiblement épuisée et éprouvée.
- Clémence, tu es souffrante. Veux-tu un guérisseur ?
- Non, je me sens déjà mieux … Mais il faut que je vous parle, j’ai rêvé d’Alix et je la sens en grand danger.
- Sais-tu de quoi il s’agit ?
- Je ne saurais dire où elle se trouve exactement, ni quelle menace pèse sur elle, mais je sais qu’elle souffre.
Clémence se plaqua les mains sur le visage et se mit à pleurer.
- Je ne vois pas comment Vous pourriez intervenir, c’est si loin, même avec les meilleurs chevaux, ils n’arriveront pas avant une semaine. Alix a le temps de mourir 10 fois, 100 fois.
- Je sais quoi faire. Laissez-moi le temps d’agir. Je te laisse aux bons soins de Kate et je préviens Messire Léon de ton état. Si tu as besoin, il saura où trouver mon médecin personnel. Il ne manque pas de plantes médicinales pour te retaper …- Merci Maître et je suis désolée de Vous donner tant de soucis.
Puis s’adressant tout bas à Kate, il lui dit :
- Essaie de la distraire, je m’occupe de tout.
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