Kate au Château (Saga se passant au Moyen-Age, écrite par Kate & textes améliorés par MDE)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-10-2018 dans la catégorie Dominants et dominés
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Kate au Château (Saga se passant au Moyen-Age, écrite par Kate & textes améliorés par MDE)
Kate au Château (Saga se passant au Moyen-Age, écrite par Kate & textes améliorés par MDE) – (suite de l'épisode N°1241) -
Le lien de parenté d’Alix à la Famille des Evans :
De retour à la ferme ils virent Mathurin, le père de thomas, Justinien, Marthe et Emérentine. Mathurin était debout mais l’air faible et malade. Le lendemain, Alix dit à Marthe
- Louis-Etienne va mieux nous partirons bientôt mais nous voudrions vous remercier pour votre aide et accueil.
- J’ai une idée à ce sujet ma cousine, s’exclama Antonin - Ah bon et qu’elle est-elle?, se demandait Alix - Je sais que ma grand-mère a besoin de quelqu’un. Mathilde sa vieille servante devient âgée et aurait besoin d'aide et quelqu'un pour la remplacer quand elle ne pourra plus travailler. Vous pourriez travailler pour elle. Vous serez bien traitée et logée dans son Château. Nous pourrons trouver un travail pour chacun de vous ainsi votre mari retrouvera toute sa forme, proposa Antonin.
- Messire, c’est un honneur mais je ne sais si nous avons les compétences.
Thomas dit à sa mère.
- Pourquoi pas mère, ici, nous ne nous en sortons pas. Ce n’est pas avec ce que me donne Messire François de Namur que je peux subvenir aux besoins de toute la famille. Puis regardant son frère l’air un peu malicieux.
- Malgré tout le respect que j’ai pour la vie monacale ce n’est pas Justinien, en tant que moine, il ne gagne rien.
Un soir avant leur départ, Alix dit à Antonin, quand tous les autres furent couchés :
- Mon cousin, j'ai à vous parler d'une chose extrêmement importante. Il s'agit d'un document que votre père avait en sa possession et qui contient des informations pour le moins inattendues, Antonin lu le parchemin que sa cousine lui tendait. Il ouvrit de grands yeux et regarda sa cousine d'un air très étonné.
- Incroyable, mais alors vous seriez… ?
- Oui, je suis Sa nièce. Je suis la nièce du Seigneur d’Evans. Et je crains sa réaction quand il le saura - Ne vous tracassez pas Alix, je connais bien mon meilleur ami et il comprendra et nous trouverons une solution.
- Je ne comprends pas comment ma mère peut ignorer sa parenté avec le Seigneur d’Evans c’est insensé.
- Je pense le savoir mais ne suis pas sûr. Je sais que Charles avait un frère disparu étant très jeune enfant. Il n’avait pas plus de 4 ans et il n’a jamais été retrouvé. Charles d’Evans en parle rarement, mais je pense bien que ce frère se nommait Louis (donc votre père). Il a surement rencontré et épousé votre mère dans sa région natale loin d’ici. Il faudra voir avec eux car sans eux nous ne saurons pas le fin mot de cette histoire de filiation…
La punition et le renvoi de Manon :
Manon fut mise au pilori, nue jours et nuits, dans la cours du Château et utilisée par qui le voulait. Et tous étaient autorisés à se servir d'elle à leur guise. Manon fut ainsi et souvent sodomisée sans la moindre préparation, ni attention à son égard. Ainsi immobilisée au pilori, elle fut aussi baisée bestialement par tous ses orifices une multitude de fois par qui voulait bien la prendre, qu’ils soient simples serviteurs ou nobles… La seule chose qui l'aidait à tenir le coup, c'était qu’elle subissait cela pour le Maître et qu’après elle retrouverait sa place à Ses pieds ne se doutant pas qu'elle serait bannie. Tous l'utilisaient et se soulageaient à s’en vider mainte fois les couilles en elle ou sur elle. Après plusieurs jours de ce traitement des plus dégradants, Messire Philippe la ramena au cachot et lui dit
- Maintenant, la chienne, que tu as servie de vide-couilles, demain tu auras 100 coups de fouet en public
Manon ne répondit pas. Le lendemain matin, elle fut bâillonnée et menée sur la place publique au milieu de la grande cour du Château où tout le village avait été convoqué pour assister à la flagellation de Manon. Les coups de fouets furent donnés dans un silence total, hormis les cris et plaintes de la suppliciée. Et avant le dernier coup qui lacérait son dos à sang, elle s'évanouit et se réveilla attachées aux anneaux scellés dans le mur du cachot où elle avait été recouverte d’une couverture et ses plaies soignées. Après plusieurs jours, on la sortit du cachot et Messire Léon accompagné de Messire Philippe lui dirent avec un regard dédaigneux :
- Tu es libre, libre et bannie. Ne reviens jamais ou tu le payeras de ta vie.
- Comment ? Mais pourquoi ? Je pensais qu’une fois ma sanction terminée, je retrouverais ma place aux pieds du Seigneur et Maître ?
- Le Seigneur d'Evans ne veux plus jamais te voir, ni poser les yeux sur toi chaque jour sachant de quelle façon tu l'as trahi.
- Je vous le répète, je ne l'ai jamais trahi, jamais.
- Tu as une heure pour quitter les Terres d'Evans.
Par la suite, la pauvre Manon, dépitée, quitta le Château ne sachant que faire ni ou aller…
Le renvoi de Marion :
Quant à Amélie, elle continuait sa sinistre mission et réussit à se débarrasser de Marion en l’accusant d’être trop exclusive et qu’elle ne voulait se soumettre qu’au Seigneur d’Evans et son fils mais aussi qu’elle bâclait son travail. Et c’est ainsi la jeune Marion fut, elle aussi renvoyée, et envoyée dans le couvent le plus strict qui soit dans la région. Concernant les autres, Messire Léon qui avait déjà de sérieux doutes et soupçonnait ses intentions se dit qu’il devait les protéger sans rien dire à personne. Alors, il alla voir le Seigneur d’Evans et lui dit :
- Sire, j’aurais besoin de garder Lucie avec moi, elle me sera utile dans ma mission - Bien, tu peux aller la prévenir mais je la veux ce soir jusqu'à la fin du souper. Après elle restera avec toi.
Messire Léon la trouva dans le salon, occupée à nettoyer le sol à genoux et à 4 pattes.
- Ne bouge pas chienne, continue, j’aime te voir ainsi faire le ménage …
Et il alla s’assoir dans un fauteuil face au postérieur bien exhibé de la soumise. Lucie appréciait beaucoup Messire Léon et volontairement, elle s’approcha pour nettoyer plus près de lui. Quand elle fut à côté de lui, Messire Léon lança :
- Mes chausses doivent être nettoyées
Lucie se mit alors instantanément devant lui à genoux tête baissée
- Ta langue fera parfaitement l’affaire, lèche salope !
La belle Lucie lécha les chausses de Messire Léon jusqu'à les rendre impeccablement propres, puis elle reprit son travail tout en veillant à bien lui exposer de nouveau sa croupe nue et arrondie aux formes parfaites et cela l’excitait. Elle commençait à mouiller. Messire Léon n’y tenant plus, retira ses vêtements et lui agrippa les hanches et la pénétra d’un coup de reins puissant en une seule et forte poussée, avec une facilité déconcertante tellement elle avait le vagin lubrifié d’excitation. Il lui fourra la chatte tel un taureau en rut avec de grands coups de boutoirs. Ses grosses couilles frappaient le fessier de la belle, à chaque assaut cadencé…
- Continue de frotter le sol, chienne, j’aime te besogner ainsi….
Lucie obéit tant bien que mal, tellement son plaisir était grand car les coups de reins de Messire Léon étaient si virils, si puissants, qu’après plusieurs minutes il avait envie d’éjaculer mais il se retint et se retira et prit sans attendre possession de son cul, ce qu’elle adorait, tout en titillant, agaçant son clito très réceptif en même temps
- T’aime ça, dans ta chatte de salope puis dans ton cul de chienne
Messire Léon la baisa ainsi à même le sol comme une chienne en chaleur et Lucie gémissait de plaisir
- Ca te plait, hein ! Que je te prenne ainsi, bonne salope à baisser
Messire Léon la besogna bien profond à grand coups de queue virils telle une saillie bestiale
- Haaaaaaa ! Ouiiiiiiiiiiiii ! Mes …Messire, puis je jouiiiiiir ? Je … je vous en supplie ?
- Pas encore et surtout ne me déçoit pas
Lucie luttait mais sentait son orgasme arriver car cette grosse queue si raide et tendue la baissait, la défonçait sans ménagement le cul tandis que les doigts de l’homme doigtaient sa chatte de chienne
- Jouit salope, maintenant, je te l’ordonne !
A peine sa phrase terminée, la jouissance de Lucie éclata tel un volcan en irruption tout en hurlant son orgasme quand elle s’écroula sur le sol, secouée de forts spasmes de plaisir... Quand elle revint sur terre, Messire Léon lui dit :
- Ce soir, tu partageras ma couche, je te veux dans ma chambre juste après le service du soir. Le Maître est au courant que tu dois quitter juste après le service.
- Bien Messire, ce sera un honneur
Durant la journée, le Seigneur d’Evans fit venir Messire Léon dans son cabinet de travail.
- Vous vouliez me parler, Monseigneur ?
- Oui, il s’agit de Clémence, j’envisage de l’envoyer aussi au couvent car d’après Messire Alain, elle a refusé plusieurs fois d’obéir
Messire Léon ne répondit rien mais ses soupçons sur Amélie se confirmaient en effet. Il l’avait souvent vue avec le nouveau Messire Alain et elle n’était sûrement pas étrangère à cela. Ronan qui avait entendu la conversation, entra pour demander :
- Père, j’ai à vous parler - Je vais faire le nécessaire, je vous laisse, dit Messire Léon - Non reste encore. Qu’il y a- t-il Ronan ?
- Vous ne pouvez pas envoyer Clémence au couvent.
- Et pourquoi? Je gère mon Château comme je l’entends - Je ne le supporterais pas je…je l’aime.
- Vous vous moquez de moi ?
- Si elle quitte ce Château, je le quitte avec elle !
- Je ne peux pas garder une soumise qui refuse d’obéir aux Dominants de ce Château - Alors avec votre accord, je la veux à mon service exclusif - Bon d’accord, si vous y tenez. Mais alors il faut la laisser continuer ses cours avec Enguerrand - Bien sûr, père, je vous remercie, je vais la prévenir
Ronan ravi quitta son père et se rendit dans la salle ou normalement Clémence se trouvait mais il n’y trouva qu’Amélie qu’il était très loin d’apprécier.
- Ou est Clémence ?
Elle lui répondit l’air insolent et sans arrêter ce qu’elle faisait
- Messire Alain l’a emmené au donjon pour la punir.
- Quoi ? Sans l’accord de mon père ou le mien ?
- Je suppose qu’il l’avait, Messire - Je suis pressé mais toi, la salope, tu vas y passer au donjon car sache que je ne tolère pas d’une chienne qu’elle me réponde sur ce ton et sans se mettre à genoux.
Amélie comprit son erreur et s’agenouilla immédiatement
- Excusez- moi, Messire, dit-elle en baissant faussement la tête
- Tu vas le payer, espèce de chienne mal élevée. Remet-toi au travail, je m’occuperai de ton cas plus tard.
Ronan se précipita au donjon et en ouvrant la porte, il vit Clémence attachée inconsciente sur une croix de Saint André, fouettée par ce Messire Alain. Ronan fonça sur lui et hurla en retenant son bras
- Arrête tout de suite.
- Messire, je vous présente mes excuses mais elle a refusé de m’obéir alors je la sanctionne.
- Es-tu fou ? Ne sais-tu pas qu’il faut cesser toute sanction s’il y a évanouissement ? Et qui t’a donné l’autorisation de te servir du donjon ?
- Votre père, Messire, c’est Amélie qui me l’a dit - Hors de ma vue, ça n’en restera pas là
Le jeune homme avec une extrême délicatesse détacha Clémence à demi-inconsciente et l’emmena aux cuisine toutes proches.
- Céline, j’ai besoin de Kate, il faut soigner Cémence - Dieu tout puissant que lui est-il arrivé ? Allongez-là ici. Lucie viens nous aider.
- Kate de quoi as-tu besoin ?
- De l’eau tiède, des linges propres et doux et de la capucine, du tussilage et de la consoude pour en faire des compresses, ses coups de fouets ont marqué sa peau jusqu’au sang… - Je sais ou en trouver, intervient Angélique, je vais t’en chercher
Quand Kate eut fini, elle expliqua à Céline, Lucie et Angélique comment faire les compresses et alla rejoindre Ronan assis la tête dans les mains dans un coin de la pièce.
- Messire d’Evans ? Ca va aller mais ne faudrait il pas en informer votre père ?
- Si ! Viens avec moi mais pas en soumise, plutôt en amie...
(A suivre …)
Le lien de parenté d’Alix à la Famille des Evans :
De retour à la ferme ils virent Mathurin, le père de thomas, Justinien, Marthe et Emérentine. Mathurin était debout mais l’air faible et malade. Le lendemain, Alix dit à Marthe
- Louis-Etienne va mieux nous partirons bientôt mais nous voudrions vous remercier pour votre aide et accueil.
- J’ai une idée à ce sujet ma cousine, s’exclama Antonin - Ah bon et qu’elle est-elle?, se demandait Alix - Je sais que ma grand-mère a besoin de quelqu’un. Mathilde sa vieille servante devient âgée et aurait besoin d'aide et quelqu'un pour la remplacer quand elle ne pourra plus travailler. Vous pourriez travailler pour elle. Vous serez bien traitée et logée dans son Château. Nous pourrons trouver un travail pour chacun de vous ainsi votre mari retrouvera toute sa forme, proposa Antonin.
- Messire, c’est un honneur mais je ne sais si nous avons les compétences.
Thomas dit à sa mère.
- Pourquoi pas mère, ici, nous ne nous en sortons pas. Ce n’est pas avec ce que me donne Messire François de Namur que je peux subvenir aux besoins de toute la famille. Puis regardant son frère l’air un peu malicieux.
- Malgré tout le respect que j’ai pour la vie monacale ce n’est pas Justinien, en tant que moine, il ne gagne rien.
Un soir avant leur départ, Alix dit à Antonin, quand tous les autres furent couchés :
- Mon cousin, j'ai à vous parler d'une chose extrêmement importante. Il s'agit d'un document que votre père avait en sa possession et qui contient des informations pour le moins inattendues, Antonin lu le parchemin que sa cousine lui tendait. Il ouvrit de grands yeux et regarda sa cousine d'un air très étonné.
- Incroyable, mais alors vous seriez… ?
- Oui, je suis Sa nièce. Je suis la nièce du Seigneur d’Evans. Et je crains sa réaction quand il le saura - Ne vous tracassez pas Alix, je connais bien mon meilleur ami et il comprendra et nous trouverons une solution.
- Je ne comprends pas comment ma mère peut ignorer sa parenté avec le Seigneur d’Evans c’est insensé.
- Je pense le savoir mais ne suis pas sûr. Je sais que Charles avait un frère disparu étant très jeune enfant. Il n’avait pas plus de 4 ans et il n’a jamais été retrouvé. Charles d’Evans en parle rarement, mais je pense bien que ce frère se nommait Louis (donc votre père). Il a surement rencontré et épousé votre mère dans sa région natale loin d’ici. Il faudra voir avec eux car sans eux nous ne saurons pas le fin mot de cette histoire de filiation…
La punition et le renvoi de Manon :
Manon fut mise au pilori, nue jours et nuits, dans la cours du Château et utilisée par qui le voulait. Et tous étaient autorisés à se servir d'elle à leur guise. Manon fut ainsi et souvent sodomisée sans la moindre préparation, ni attention à son égard. Ainsi immobilisée au pilori, elle fut aussi baisée bestialement par tous ses orifices une multitude de fois par qui voulait bien la prendre, qu’ils soient simples serviteurs ou nobles… La seule chose qui l'aidait à tenir le coup, c'était qu’elle subissait cela pour le Maître et qu’après elle retrouverait sa place à Ses pieds ne se doutant pas qu'elle serait bannie. Tous l'utilisaient et se soulageaient à s’en vider mainte fois les couilles en elle ou sur elle. Après plusieurs jours de ce traitement des plus dégradants, Messire Philippe la ramena au cachot et lui dit
- Maintenant, la chienne, que tu as servie de vide-couilles, demain tu auras 100 coups de fouet en public
Manon ne répondit pas. Le lendemain matin, elle fut bâillonnée et menée sur la place publique au milieu de la grande cour du Château où tout le village avait été convoqué pour assister à la flagellation de Manon. Les coups de fouets furent donnés dans un silence total, hormis les cris et plaintes de la suppliciée. Et avant le dernier coup qui lacérait son dos à sang, elle s'évanouit et se réveilla attachées aux anneaux scellés dans le mur du cachot où elle avait été recouverte d’une couverture et ses plaies soignées. Après plusieurs jours, on la sortit du cachot et Messire Léon accompagné de Messire Philippe lui dirent avec un regard dédaigneux :
- Tu es libre, libre et bannie. Ne reviens jamais ou tu le payeras de ta vie.
- Comment ? Mais pourquoi ? Je pensais qu’une fois ma sanction terminée, je retrouverais ma place aux pieds du Seigneur et Maître ?
- Le Seigneur d'Evans ne veux plus jamais te voir, ni poser les yeux sur toi chaque jour sachant de quelle façon tu l'as trahi.
- Je vous le répète, je ne l'ai jamais trahi, jamais.
- Tu as une heure pour quitter les Terres d'Evans.
Par la suite, la pauvre Manon, dépitée, quitta le Château ne sachant que faire ni ou aller…
Le renvoi de Marion :
Quant à Amélie, elle continuait sa sinistre mission et réussit à se débarrasser de Marion en l’accusant d’être trop exclusive et qu’elle ne voulait se soumettre qu’au Seigneur d’Evans et son fils mais aussi qu’elle bâclait son travail. Et c’est ainsi la jeune Marion fut, elle aussi renvoyée, et envoyée dans le couvent le plus strict qui soit dans la région. Concernant les autres, Messire Léon qui avait déjà de sérieux doutes et soupçonnait ses intentions se dit qu’il devait les protéger sans rien dire à personne. Alors, il alla voir le Seigneur d’Evans et lui dit :
- Sire, j’aurais besoin de garder Lucie avec moi, elle me sera utile dans ma mission - Bien, tu peux aller la prévenir mais je la veux ce soir jusqu'à la fin du souper. Après elle restera avec toi.
Messire Léon la trouva dans le salon, occupée à nettoyer le sol à genoux et à 4 pattes.
- Ne bouge pas chienne, continue, j’aime te voir ainsi faire le ménage …
Et il alla s’assoir dans un fauteuil face au postérieur bien exhibé de la soumise. Lucie appréciait beaucoup Messire Léon et volontairement, elle s’approcha pour nettoyer plus près de lui. Quand elle fut à côté de lui, Messire Léon lança :
- Mes chausses doivent être nettoyées
Lucie se mit alors instantanément devant lui à genoux tête baissée
- Ta langue fera parfaitement l’affaire, lèche salope !
La belle Lucie lécha les chausses de Messire Léon jusqu'à les rendre impeccablement propres, puis elle reprit son travail tout en veillant à bien lui exposer de nouveau sa croupe nue et arrondie aux formes parfaites et cela l’excitait. Elle commençait à mouiller. Messire Léon n’y tenant plus, retira ses vêtements et lui agrippa les hanches et la pénétra d’un coup de reins puissant en une seule et forte poussée, avec une facilité déconcertante tellement elle avait le vagin lubrifié d’excitation. Il lui fourra la chatte tel un taureau en rut avec de grands coups de boutoirs. Ses grosses couilles frappaient le fessier de la belle, à chaque assaut cadencé…
- Continue de frotter le sol, chienne, j’aime te besogner ainsi….
Lucie obéit tant bien que mal, tellement son plaisir était grand car les coups de reins de Messire Léon étaient si virils, si puissants, qu’après plusieurs minutes il avait envie d’éjaculer mais il se retint et se retira et prit sans attendre possession de son cul, ce qu’elle adorait, tout en titillant, agaçant son clito très réceptif en même temps
- T’aime ça, dans ta chatte de salope puis dans ton cul de chienne
Messire Léon la baisa ainsi à même le sol comme une chienne en chaleur et Lucie gémissait de plaisir
- Ca te plait, hein ! Que je te prenne ainsi, bonne salope à baisser
Messire Léon la besogna bien profond à grand coups de queue virils telle une saillie bestiale
- Haaaaaaa ! Ouiiiiiiiiiiiii ! Mes …Messire, puis je jouiiiiiir ? Je … je vous en supplie ?
- Pas encore et surtout ne me déçoit pas
Lucie luttait mais sentait son orgasme arriver car cette grosse queue si raide et tendue la baissait, la défonçait sans ménagement le cul tandis que les doigts de l’homme doigtaient sa chatte de chienne
- Jouit salope, maintenant, je te l’ordonne !
A peine sa phrase terminée, la jouissance de Lucie éclata tel un volcan en irruption tout en hurlant son orgasme quand elle s’écroula sur le sol, secouée de forts spasmes de plaisir... Quand elle revint sur terre, Messire Léon lui dit :
- Ce soir, tu partageras ma couche, je te veux dans ma chambre juste après le service du soir. Le Maître est au courant que tu dois quitter juste après le service.
- Bien Messire, ce sera un honneur
Durant la journée, le Seigneur d’Evans fit venir Messire Léon dans son cabinet de travail.
- Vous vouliez me parler, Monseigneur ?
- Oui, il s’agit de Clémence, j’envisage de l’envoyer aussi au couvent car d’après Messire Alain, elle a refusé plusieurs fois d’obéir
Messire Léon ne répondit rien mais ses soupçons sur Amélie se confirmaient en effet. Il l’avait souvent vue avec le nouveau Messire Alain et elle n’était sûrement pas étrangère à cela. Ronan qui avait entendu la conversation, entra pour demander :
- Père, j’ai à vous parler - Je vais faire le nécessaire, je vous laisse, dit Messire Léon - Non reste encore. Qu’il y a- t-il Ronan ?
- Vous ne pouvez pas envoyer Clémence au couvent.
- Et pourquoi? Je gère mon Château comme je l’entends - Je ne le supporterais pas je…je l’aime.
- Vous vous moquez de moi ?
- Si elle quitte ce Château, je le quitte avec elle !
- Je ne peux pas garder une soumise qui refuse d’obéir aux Dominants de ce Château - Alors avec votre accord, je la veux à mon service exclusif - Bon d’accord, si vous y tenez. Mais alors il faut la laisser continuer ses cours avec Enguerrand - Bien sûr, père, je vous remercie, je vais la prévenir
Ronan ravi quitta son père et se rendit dans la salle ou normalement Clémence se trouvait mais il n’y trouva qu’Amélie qu’il était très loin d’apprécier.
- Ou est Clémence ?
Elle lui répondit l’air insolent et sans arrêter ce qu’elle faisait
- Messire Alain l’a emmené au donjon pour la punir.
- Quoi ? Sans l’accord de mon père ou le mien ?
- Je suppose qu’il l’avait, Messire - Je suis pressé mais toi, la salope, tu vas y passer au donjon car sache que je ne tolère pas d’une chienne qu’elle me réponde sur ce ton et sans se mettre à genoux.
Amélie comprit son erreur et s’agenouilla immédiatement
- Excusez- moi, Messire, dit-elle en baissant faussement la tête
- Tu vas le payer, espèce de chienne mal élevée. Remet-toi au travail, je m’occuperai de ton cas plus tard.
Ronan se précipita au donjon et en ouvrant la porte, il vit Clémence attachée inconsciente sur une croix de Saint André, fouettée par ce Messire Alain. Ronan fonça sur lui et hurla en retenant son bras
- Arrête tout de suite.
- Messire, je vous présente mes excuses mais elle a refusé de m’obéir alors je la sanctionne.
- Es-tu fou ? Ne sais-tu pas qu’il faut cesser toute sanction s’il y a évanouissement ? Et qui t’a donné l’autorisation de te servir du donjon ?
- Votre père, Messire, c’est Amélie qui me l’a dit - Hors de ma vue, ça n’en restera pas là
Le jeune homme avec une extrême délicatesse détacha Clémence à demi-inconsciente et l’emmena aux cuisine toutes proches.
- Céline, j’ai besoin de Kate, il faut soigner Cémence - Dieu tout puissant que lui est-il arrivé ? Allongez-là ici. Lucie viens nous aider.
- Kate de quoi as-tu besoin ?
- De l’eau tiède, des linges propres et doux et de la capucine, du tussilage et de la consoude pour en faire des compresses, ses coups de fouets ont marqué sa peau jusqu’au sang… - Je sais ou en trouver, intervient Angélique, je vais t’en chercher
Quand Kate eut fini, elle expliqua à Céline, Lucie et Angélique comment faire les compresses et alla rejoindre Ronan assis la tête dans les mains dans un coin de la pièce.
- Messire d’Evans ? Ca va aller mais ne faudrait il pas en informer votre père ?
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