Kate au Château (Saga se passant au Moyen-Age, écrite par Kate & textes améliorés par MDE) - histoire érotique

Kate au Château (Saga se passant au Moyen-Age, écrite par Kate & textes améliorés par MDE) – (suite de l'épisode N°1249) -
Messire Léon banda les yeux de Lucie qui ne put retenir un sourire coquin voire espiègle de plaisirs.

- Pourquoi ce sourire, soumise ?
- Pour rien, Messire.
- On ne sourit pas de cette façon sans raison, répond-moi.
- Me permettez-vous de vous parler sans détour ?
- Oui, alors soit franche.
- Je ... je … me sens bien avec vous, Messire, et ces derniers jours avec Messire Ronan, vous m'avez plus considérée comme une alliée que soumise et bien que cela fut un honneur et ça ne m'a pas déplut. J'ai aimé réellement pendant quelques jours pouvoir vous aider. Je suis néanmoins heureuse de retrouver la place de soumise qui est la mienne.
- Tu es une belle et bonne petite chienne et j’ai envie de te récompenser alors exceptionnellement cette nuit ne retient pas tes gémissement, ni tes cris. Tu pourras jouir quand tu en auras envie, alors profite-en un maximum car ce sera sûrement la seule fois que tu y seras autorisée.

Bien que différemment, ils étaient heureux que tout cela soit fini, d'être ensemble, car sans vraiment se l'avouer à eux-mêmes, ils ressentaient de l'attirance l'un pour l'autre. Et Messire Léon regardait Lucie avec tendresse, il lui caressa le visage, les joues, les lèvres et tout son corps, s'attardant sur sa poitrine, empoignant les seins
- Ils sont parfaits, juste à la taille de mes mains.

Cela démarra la nuit blanche ! Une nuit à très peu dormir mais surtout à faire l’amour dans toutes les positions. Lucie put ainsi se donner à Messire Léon sans retenue en laissant éclater maintes fois ses orgasmes tous aussi puissants les uns que les autres. Elle fut enculée, mais aussi baisée dans la chatte et dans la bouche sans modération maintes et maintes fois… Epuisée par cette nuit de sexe, Lucie s'endormit rapidement au petit matin... La matinée était déjà bien avancée, et ce fût Messire Léon qui la réveilla. Quand elle ouvrit les yeux et le vit, elle lui sourit.

- Je tenais à te remercier de ton aide et je tiens encore à te remercier et je sais comment faire. Car je sais que tu aimes être ce que tu es, soumise. Tu m'as dit être heureuse de retrouver la place qui est la tienne alors voici ton autre récompense, après cette nuit de sexe que je t’ai accordé : Sache que ces derniers jours, plusieurs chevaliers sont venus voir le Seigneur d’Evans et Lui demander pour t'avoir. Il a bien entendu refusé car il sait que j'avais besoin de toi mais maintenant que c'est fini, nous allons organiser cela.
- Messire, il est normal que je satisfasse tous les Dominants de ce Château mais il est inutile de me récompenser autant, je n'ai fait que mon devoir et cette nuit offerte à me faire jouir à volonté me suffit amplement, je vous en remercie infiniment.
- Oui sans doute mais c'est ma volonté et bien sûr avec l'accord du Seigneur d'Evans. Donc tu seras offerte à ces chevaliers, nous serons trois avec toi : Messire Philippe, Messire Mathieu et moi-même.
- Merci Messire, murmura Lucie, reconnaissante et impatiente, et vous avez raison Messire, j'aime être prise par plusieurs hommes en même temps (elle ajouta silencieusement dans sa tête et être le centre de leur attention)...

Une demi-heure plus tard, Kate était occupée avec Céline et Angélique à la cuisine tout en discutant quand Messire Léon entra.

- Kate, vient avec moi, le Seigneur d'Evans veut te voir immédiatement.

Céline intervint :
- Messire, je suis désolée mais il manque des gens ici … Où sont Lucie et Amélie ?

- Lucie va arriver dans un instant, jusqu'à maintenant elle était avec moi et en ce qui concerne Amélie, je ne peux pas vous le dire, mais vous le saurez avant la fin de la journée.

Kate se mit à genoux pour que Messire Léon lui attache sa laisse et l'emmène dans la bibliothèque.

- Merci Léon, laisse-nous, dit le Noble Seigneur.

Messire Léon sortit vaquer à ses occupations. Le Seigneur lui avait ordonné d'aller en toute discrétion récupérer le coffret contenant la bague et de faire venir le meilleur orfèvre de la seigneurie afin de remettre le rubis à sa place, sur la bague de Kate.

- Assied-toi et regarde-moi car c'est à Kate que je veux parler, la fiancée de mon meilleur ami, pas à la soumise.

Kate s'exécuta pris un tabouret et s'assit face au Maître. Soudain, il s'aperçu que la belle Kate frissonnait, en effet il commençait à faire froid en cette fin d'automne et malgré les nombreux foyers et leurs gigantesques feux de grosses bûches, ce Château en pierres du pays était bien difficile à chauffer. Et le Seigneur d'Evans ne voulait en aucun cas que qui que ce soit dans son Château n'attrape, ce qu'on pourrait appeler, des maux d'hiver beaucoup plus graves et moins bien soignés à cette époque moyenâgeuse. Il convia donc Kate à enfiler une large et longue blouse de lin, qu’il lui tendit afin qu’elle est moins froid. Elle enfila la blouse en le remerciant d'un magnifique sourire.

- Kate, ce soir sera différent de tout les autres soirs car très exceptionnellement toi, Clémence qui va mieux, Lucie Messire Léon, Céline et Angélique ainsi que mes enfants serez tous à Ma table.

Kate, ravie mais étonnée, ne put cacher sa surprise.

- J'ai tout prévu, expliqua t'il, mes servantes du village, appelées en renfort, se chargeront du service. Je vous attends toutes au coucher du soleil vêtues évidemment et cela, va sans dire, de vos plus belles toilettes. Vous êtes toutes et tous mes invités.
- Bien Maître, et merci pour cet honneur, répondit Kate ne sachant que dire d'autre.
- Va maintenant. Ah oui, prévient Céline que je veux un repas somptueux et que le service sera assuré par d'autres servantes qui arriveront début d'après-midi. Et remet lui ceci, dit-il en lui tendant un parchemin plié et portant son cachet de cire.
- Bien Maître, à ce soir, dit-elle quittant la pièce en se courbant de reconnaissance.

Quand Kate revint aux cuisine, Lucie était là, elle était rayonnante et tout sourire. Kate remit le parchemin à Céline qui s'éloigna pour le lire. Il contenait ce texte :
Ma chère Céline, Cette nuit Amélie a été arrêtée car c'est elle qui a volé le rubis qui ornait la bague de fiançailles de Kate. Je la lui remettrai ce soir. A cette occasion, je veux un repas à la hauteur de cette nouvelle et te convie, ta fille et toi à ma table car des servantes du village se chargeront du service. Tout est prévu, ces personnes seront là début d'après-midi. Lucie, Kate et Clémence sont aussi conviées et sont déjà au courant. Kate ne sait pas pour la bague, c'est une surprise. Libèrent-les, qu'elles aient le temps de se préparer. Je vous attends toutes dans la salle à manger au coucher du soleil. Le Seigneur Charles d'Evans.

Donc le soir venu, tous se rendirent dans la salle à manger une table pour 9 personnes avait été dressée et magnifiquement décorée, digne de la table du Roi. Des bouquets multicolores, avaient été disposés au centre de la table ainsi que de magnifiques candélabres en agent portant chacun 5 hautes chandelles et la vaisselle brillait d'éclat d'or et d'argent ainsi que les coupes en fin cristal finement ciselés. Une fois que tous furent arrivés, les servantes chargées du service apportèrent à boire, les verres contenait le meilleur vin rouge du pays (de ce que plus tard, nous appellerons le beaujolais. Puis le Seigneur d'Evans les pria de prendre place de la manière suivante, Lui bien sûr présidait la table à sa droite Enguerrand, Ronan, Clémence et Angélique et à sa gauche Kate, Lucie, Messire Léon et Céline.

- Je sais que l'ordre des places est un peu bousculé ce soir mais cela était nécessaire.

Tous se regardaient en souriant même Kate qui ne comprenait pas les paroles du Seigneur d'Evans. Le menu prévu par Céline était digne d'un repas de cours, 4 services de 5 plats chacun. Au premier serait servit les potages et les entrées. Ensuite les hors-d'œuvre composés de pâtés de tourtes et de ragouts. Puis seront proposés les rôtis: agneaux, cochons de lait, gibier et volailles. Et pour finir un service de fruits, compotes, délices sucrés compléteraient le repas. Tout en dégustant, tous discutaient de choses et d'autres quand soudain avant le dessert le Seigneur se leva et tous firent silence.

- Ce soir, vous étiez toutes et tous mes invités car j'ai plusieurs annonces importantes à vous faire. Je commence par les bonnes : Le bon rétablissement de Clémence qui tout doucement pourra reprendre ses activités dès la semaine prochaine (tous applaudirent). Ensuite, sachez qu'Amélie prise en flagrant délit, la main dans le sac, a été arrêtée la nuit dernière pour vol, un vol lâche et crapuleux. Elle avait réussi à tromper tout le monde …
Il regarda Kate et la fit se lever face à lui et lui dit plus bas mais assez fort pour que tous puissent entendre :
- Kate, on a retrouvé le rubis qui ornait ta bague. Messire Léon l'a fait remettre par le meilleur orfèvre de la seigneurie, (puis reprenant son ton habituel). J'ai donc l'honneur devant tous ici présent et en l'absence de mon ami Antonin de te remettre le coffret contenant ta bague ornée de son rubis et qui avait été dérobé par cette satanée Amélie.

Kate devint blême en ouvrant le coffret et elle tomba dans les bras du Seigneur pleurant à chaudes larmes. Elle le remercia vivement d'avoir retrouvé son rubis.

- Ce n'est pas Moi que tu dois remercier mais mon fils Ronan, Messire Léon et Lucie ce sont eux qui on découvert le mystère et démasqué Amélie. J'ai moi même interrogé cette chienne, tantôt et à Ma façon, c’est-à-dire sous Mes coups de fouet que je n’ai pas ménagés. Et il ne m’a pas été très difficile de lui faire avouer qu'elle projetait avec le baron de Grenois de lui faire prendre ma place et que je me sépare de vous toutes qui m'êtes dévouées et honnêtes. Je reconnais que j'ai commis une erreur en envoyant Marion au couvant et pire avec Manon mais dès demain, (j’ai pris les dispositions nécessaires à leur retour) elles seront de retour et reprendront leur places à Mes pieds avec les excuses du Maître, Moi Seigneur Charles d'Evans Je leur ferais Mes propres excuses. J’ai été dupé par cette diablesse d’Amélie, je dois en assumer les conséquences par Mes excuses sincères …
Ensuite fut servit le dessert et c'est ainsi que le sublime banquet se termina dans la bonne humeur et la convivialité. La soirée allait prendre fin quand Kate demanda discrètement à Lucie.

- La soirée se termine, que dirais-tu de remercier le Maître, Messire Léon et Ronan? A notre manière.
- Bonne idée, oui ce serait une excellente chose …
Elles s'approchèrent alors du Maître et dans un accord parfait se mirent à genoux, tête baissée, mains dans le dos. Lucie leva les yeux pour demander la parole.

- Tu peux parler, Ma chienne, que veux-tu ?
- Maître, Kate et moi-même souhaiterions, si cela est possible, vous parler en privé ainsi qu'à votre fils Ronan et Messire Léon…
Personne, sauf le Seigneur d'Evans, ne put le remarquer mais ses yeux trahissaient leurs intentions réelles.

- Bien, il se fait tard je vous remercie tous de votre présence et vous souhaite la bonne nuit.

Tous se levèrent en remerciant chaleureusement le Seigneur d'Evans pour son aimable invitation quand il reprit.

- Enguerrand, ramenez Clémence à sa chambre et vous au lit immédiatement, elle doit se reposer.
- Oui père dit-il légèrement déçu, il n'avait pas vraiment l'intention d'aller se coucher tout de suite mais de discuter avec Clémence.

Une fois seules, Kate et Lucie qui toujours à genoux attendaient. Le Maître se leva et dit :
- Bien, Sachez mes belles chiennes que je ne suis pas dupe et j’ai très bien compris vos excitantes intentions et j'avoue vouloir les accepter, oui et donc j’accepte donc votre proposition.

Aussitôt toutes deux se mirent nues et attendirent…
(A suivre …)