Kate au Château (Saga se passant au Moyen-Age, écrite par Kate & textes améliorés par MDE)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-12-2018 dans la catégorie Dominants et dominés
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Kate au Château (Saga se passant au Moyen-Age, écrite par Kate & textes améliorés par MDE)
Kate au Château (Saga se passant au Moyen-Age, écrite par Kate & textes améliorés par MDE) – (suite de l'épisode précédent N°1254) -
Le retour de Marion et Manon :
Marion rentra au Château le lendemain ravie d’enfin retrouver ses amies mais surtout le Maître qu’elle vénérait et aimait plus que tout. Tous, à savoir le Seigneur d’Evans, ses deux fils, Messire Léon, Kate, Clémence et Lucie l’attendaient dans la grande salle du Château quand les doubles portes s’ouvrirent et que Marion entra. La pauvre était misérable, le couvent où elle avait été pensionnaire durant son exil était le plus strict et sévère qui soit. Marion était amaigrie, le teint grisâtre et elle qui avait toujours été joyeuse et souriante avait une bien mauvaise mine avec ses pommettes creusées. Et bien que plus heureuse que tout de rentrer au Château quelque chose en elle semblait brisé. Elle tomba à genoux devant le Seigneur d’Evans.
- Ho Maître Vénéré, j’ai cru ne jamais Vous revoir et finir ma vie dans cet immonde endroit, froid, humide, austère sans la moindre gaité au sévère règlement de la Sainte Eglise.
- Ma chienne, Ma Marion, j’ai commis la pire erreur en t’envoyant là-bas et de ce fait j’ai commis une énorme injustice envers toi. C’est cette sale chienne d’Amélie qui m’a véritablement manipulé à mon insu. Alors, il est juste et normal que tu reçoives les sincères excuses du Maître. Sache que je m’en veux véritablement car dans l’affaire, tu n’as jamais rien eu à te reprocher et tu as été la victime de cette comploteuse. Donc, si tu le souhaites, tu as toujours ta place à Mes pieds. Cependant, suite à ce que tu as vécu, subi ces derniers mois, à cause de Moi, tu as le droit de décliner Ma main tendue et si tel est le cas, tu pourras aller où bon te semble et je veillerai personnellement à ce que tu ne manques de rien.
- Maître me permettez-vous de parler librement ?
- Bien sûr, Ma chienne, je t’écoute - Maître, je ne désire rien d’autre que de retrouver ma place à Vos nobles pieds, après ce que j’ai vécu là-bas être à Votre service est une place très confortable et je le sais un véritable privilège, une chance inouïe, une protection assurée, et surtout un honneur de Vous êtes soumise et dévouée de toute mon âme, mon corps est à Vous, à jamais.
- Alors considère que dès cet instant, tu reprends ta place avec mes excuses sincères que j’ai le devoir de te présenter. Je n’ai plus ton collier alors je t’en remettrai un assez rapidement…
Les jours passèrent et Marion retrouvait des forces et des couleurs. Un matin, ce fût au tour de Manon d’être ramenée au Château par Messire Léon. Son état était bien pire que celui de Marion. En effet, depuis son bannissement sa vie avait été un enfer, elle avait été battue, et était dans un état lamentable, elle avait trouvé une place de domestique dans une famille de mauvais bourgeois et les conditions de travail était déplorables et les maltraitances était fréquentes. Quand le Seigneur d’Evans la vit, c’est à peine s’il la reconnu tant elle avait changé. Il se dit en lui-même ‘Mon Dieu qu’ai-je fait ?’. Comme Marion, elle tomba aux pieds du Maître et lui dit des larmes plein les yeux.
- Maître, puis-je Vous parler franchement ?
- Oui Ma chienne, il est normal que tu laisses exprimer ton ressenti- Merci de votre autorisation. … Pourquoi m’avez-vous abandonnée. Je ne vous ai jamais trahi, je ne sais toujours pas pourquoi j’ai été punie et bannie comme une criminelle.
- Je sais Manon, j’ai été dupé, trahi et manipulé sans que je m’en aperçoive. Et je regrette profondément de ne pas t’avoir accordé le droit de t’expliquer. Et sache que je déplore et je suis véritablement peiné que tu ais autant souffert. C’est cette vile, cette méprisable Amélie qui a tout manigancé à me faire croire que tu avais fauté alors que tu n’as jamais rien fait pour Me nuire. Mais crois-moi et vous tous, croyez-moi, elle en payera le prix fort.
- Peut-être Maître, mais cela n’effacera pas ma profonde souffrance, mon martyre, ma peine et je dois l’avouer ma si profonde déception.
- Je veux que tu reprennes ta place à Mes pieds, mais si tu souhaites réfléchir et te reposer, je le comprendrais. Et je veux que seule toi, décide ou pas de revenir à Mes pieds. Et si tu décidais de décliner Ma main tendue, je respecterai ton choix et veillerai à ce que tu ais une vie ailleurs sans que rien ne te manque.
- Maître, je vous remercie car j’ai besoin de faire le point sur ma vie et savoir si je reste soumise ou pas.
- Bien, tu iras passer ce temps au Château de Saint-Ymer chez la Duchesse qui est toute disposée à t’y accueillir en convalescence. Cette Noble dame a besoin de compagnie le temps qu’il te faudra. Sache que chez elle, tu y trouveras réconfort et sécurité… (Ensuite, il appela) - Kate, Lucie, Marion…
Toute trois vinrent se mettre à genoux devant le Maître qui leur dit.
- Aidez Marion à se laver et donner-lui des vêtements propres, qu’elle mange à son aise et qu’elle me manque de rien. Veillez à son bien-être. Ensuite Messire Léon la conduira à Saint-Ymer.
Elles emmenèrent Marion avec douceur et tendresse à la crypte pour la laver et la préparer. Avant de partir Kate demanda la permission d’accompagner Messire Léon, car revoir la grand-mère d’Antonin lui ferait plaisir… Les jours passèrent sans autres événements notables. Marion avait totalement retrouvé ses marques ainsi que sa bonne humeur et sa gaité naturelle, elle était comme ressuscitée, toute resplendissante et heureuse. Un soir alors qu’elle était avec les autres qui lui racontaient ce qui s’était passé en son absence, Messire Léon entra.
- Marion, le Seigneur d’Evans te veut dans sa chambre dans une heure.
- Bien Messire, j’y serais merci de m’avoir prévenue.
Une heure plus tard, Marion se présenta à la porte de la chambre du Maître et frappa à la porte.
- Entre Marion.
Elle se dirigea vers le Maître assis à sa table de travail, elle se mit à genoux, mains dans le dos, tête baissée.
- Je suis satisfait de constater que tu es redevenue telle que tu étais.
- C’est grâce à Vous Maître, le soin et l’attention que vous nous portez.
- Oui car vous m’êtes toutes très précieuses… Mais je t’ai fait venir car j’ai quelque chose pour toi. Un nouveau collier, approche.
Le Seigneur d’Evans lui mit son nouveau collier tout neuf orné de beaux motifs et dessus à un endroit on pouvait lire distinctement «Marion SCE» (SCE = Seigneur Charles d’Evans) et il lui dit.
- Ce collier est le symbole de ton appartenance à Moi. Es-tu prête à te soumettre totalement à Ma personne ? A Me reconnaitre comme le Maître de ta vie et de ton destin ?
Marion avait les larmes aux yeux de bonheur et pleine de reconnaissance, elle lui dit alors :
- Maître, mon dévouement à Vous et à Votre noble personne est aussi intact qu’au premier jour.
- Bien, alors commence par Me soulager Ma chienne, j’espère que ton séjour au couvent n’a pas détérioré tes talents de ce que tu sais faire de ta langue ?
- Ce sera à Vous d’en juger Maître, dit-elle sortant la verge déjà tendue du Maître.
En effet, Marion, n’avait pas perdu de ses talents et c’est pleine de reconnaissance qu’elle embrassa le gland violacé du Maître puis le lécha sur toute sa hauteur avec des petits coups de langue et le pris totalement en bouche. Puis elle le suça avec amour et application enroulant sa langue, alternant la pression de ses lèvres et la vitesse, suçotant le gland et ses bourses gonflées. Ensuite, Marion accentua la cadence de sa cavité buccale et quand elle sentit qu’il était sur le point de jouir, elle le reprit totalement dans sa bouche en gorge profonde et reçu, ce qui à ses yeux était le plus beau cadeau que le Maître pouvait lui faire, Sa noble semence qu’elle avala avec un plaisir non dissimulé tant cela lui avait manqué.
- Ma chienne, ta bouche est encore plus savoureuse qu’auparavant.
- Merci à vous Maître de m’avoir accordé Votre noble semence.
- C’est Ma volonté, maintenant aide-moi à me dévêtir et je t’autorise à partager ma couche cette nuit.
- Ho merci Maître, c’est un tel honneur.
Après avoir dévêtu le Maître Marion se coucha à ses côtés et se blottit dans ses bras. Puis, c’est avec de tendres câlins qu’ils s’endormirent tous les deux. Quand soudain au milieu de la nuit, le Seigneur d’Evans la réveilla car il était en pleine érection nocturne suite à un rêve érotique.
- En levrette, salope, immédiatement.
- Bien Maître tout de suite ; dit-elle à moitié réveillée.
Marion se trouva instantanément excitée par le ton dominant et l’ordre du Maître.
Le Seigneur d’Evans commença par lui claquer les fesses et remarqua qu’elles étaient toujours marquées par des stries de fouets encore visibles sur sa peau blanche, mais il ne s’en soucia pas pour le moment. Le Maître entreprit de la doigter et constata que sa chatte était déjà trempée de plaisir.
- Eh bien, il me semble que cela t’ai manqué, Ma chienne, tu es déjà trempée.
- Vous savez Maître, au couvent l’abstinence la plus totale n’aide pas à cela…
Alors comme pour rattraper le temps perdu, le seigneur d’Evans la pénétra d’un coup par un fantastique et puissant coup de reins. Marion ne s’y attendant pas et hurla de plaisir. Le Maitre la pilonna ainsi un long moment tout en titillant son clito gonflé de plaisir, la jeune femme aimait tant cela qu’elle sentait l’orgasme tout proche.
- Hoooooooo Maî… Maître, me … me permettez-vous de … Hoooooo de jouir ?
- Pas question, retient-toi et ne me déçois pas !
Le Maître ne voulant pas, ce soir, la pousser à la faute se retira et prit possession de son cul, ce que Marion adorait. Quand après l’avoir bien sodomisée au plus profond de ses entrailles et lui claquant légèrement les fesses et fouillant par moment sa chatte trempée par une main baladeuse, il lui murmura à l’oreille.
- Quand je reprendrais possession de ta chatte de salope, tu pourras jouir.
En un coup de reins viril, puissant et profond, il rentra de nouveau dans sa chatte inondée de plaisirs et ils jouirent simultanément ensemble avec des cris, râles et soupirs de plaisirs orgasmiques. Marion tomba sur le matelas épuisée par ce moment de pur et intense bonheur jouissif. Allongé côte à côte, le Maître regarda Marion :
- Ma chienne, Ma Marion dit-moi à quoi correspondent ces marques sur ton cul ?
- Maître, je sais, je n’aurais pas dû et je vous présente mes excuses mais le couvent ce n’est pas fait pour moi et j’avoue ne pas toujours avoir respecté les règles qui étaient très restrictives et très difficiles. En plus, la mère supérieure est des plus sadiques, plus que vous ne l’imaginez et elle adorait punir par plaisir à faire mal sous le couvert de purifier nos âmes et nos corps, elle s’adonne à toutes les perversions….
- Je vois, intéressant, oui très intéressant.
- Je ne comprends pas Maître ?
- Ne t’en fait pas, lui dit le Maître la prenant tendrement dans ses bras, sensation qui procurait à Marion l’agréable sensation d’appartenance et de protection, dors Ma chienne tu en as besoin, tu es à Moi et tu ne risques plus rien avec Moi...
(A suivre …)
Le retour de Marion et Manon :
Marion rentra au Château le lendemain ravie d’enfin retrouver ses amies mais surtout le Maître qu’elle vénérait et aimait plus que tout. Tous, à savoir le Seigneur d’Evans, ses deux fils, Messire Léon, Kate, Clémence et Lucie l’attendaient dans la grande salle du Château quand les doubles portes s’ouvrirent et que Marion entra. La pauvre était misérable, le couvent où elle avait été pensionnaire durant son exil était le plus strict et sévère qui soit. Marion était amaigrie, le teint grisâtre et elle qui avait toujours été joyeuse et souriante avait une bien mauvaise mine avec ses pommettes creusées. Et bien que plus heureuse que tout de rentrer au Château quelque chose en elle semblait brisé. Elle tomba à genoux devant le Seigneur d’Evans.
- Ho Maître Vénéré, j’ai cru ne jamais Vous revoir et finir ma vie dans cet immonde endroit, froid, humide, austère sans la moindre gaité au sévère règlement de la Sainte Eglise.
- Ma chienne, Ma Marion, j’ai commis la pire erreur en t’envoyant là-bas et de ce fait j’ai commis une énorme injustice envers toi. C’est cette sale chienne d’Amélie qui m’a véritablement manipulé à mon insu. Alors, il est juste et normal que tu reçoives les sincères excuses du Maître. Sache que je m’en veux véritablement car dans l’affaire, tu n’as jamais rien eu à te reprocher et tu as été la victime de cette comploteuse. Donc, si tu le souhaites, tu as toujours ta place à Mes pieds. Cependant, suite à ce que tu as vécu, subi ces derniers mois, à cause de Moi, tu as le droit de décliner Ma main tendue et si tel est le cas, tu pourras aller où bon te semble et je veillerai personnellement à ce que tu ne manques de rien.
- Maître me permettez-vous de parler librement ?
- Bien sûr, Ma chienne, je t’écoute - Maître, je ne désire rien d’autre que de retrouver ma place à Vos nobles pieds, après ce que j’ai vécu là-bas être à Votre service est une place très confortable et je le sais un véritable privilège, une chance inouïe, une protection assurée, et surtout un honneur de Vous êtes soumise et dévouée de toute mon âme, mon corps est à Vous, à jamais.
- Alors considère que dès cet instant, tu reprends ta place avec mes excuses sincères que j’ai le devoir de te présenter. Je n’ai plus ton collier alors je t’en remettrai un assez rapidement…
Les jours passèrent et Marion retrouvait des forces et des couleurs. Un matin, ce fût au tour de Manon d’être ramenée au Château par Messire Léon. Son état était bien pire que celui de Marion. En effet, depuis son bannissement sa vie avait été un enfer, elle avait été battue, et était dans un état lamentable, elle avait trouvé une place de domestique dans une famille de mauvais bourgeois et les conditions de travail était déplorables et les maltraitances était fréquentes. Quand le Seigneur d’Evans la vit, c’est à peine s’il la reconnu tant elle avait changé. Il se dit en lui-même ‘Mon Dieu qu’ai-je fait ?’. Comme Marion, elle tomba aux pieds du Maître et lui dit des larmes plein les yeux.
- Maître, puis-je Vous parler franchement ?
- Oui Ma chienne, il est normal que tu laisses exprimer ton ressenti- Merci de votre autorisation. … Pourquoi m’avez-vous abandonnée. Je ne vous ai jamais trahi, je ne sais toujours pas pourquoi j’ai été punie et bannie comme une criminelle.
- Je sais Manon, j’ai été dupé, trahi et manipulé sans que je m’en aperçoive. Et je regrette profondément de ne pas t’avoir accordé le droit de t’expliquer. Et sache que je déplore et je suis véritablement peiné que tu ais autant souffert. C’est cette vile, cette méprisable Amélie qui a tout manigancé à me faire croire que tu avais fauté alors que tu n’as jamais rien fait pour Me nuire. Mais crois-moi et vous tous, croyez-moi, elle en payera le prix fort.
- Peut-être Maître, mais cela n’effacera pas ma profonde souffrance, mon martyre, ma peine et je dois l’avouer ma si profonde déception.
- Je veux que tu reprennes ta place à Mes pieds, mais si tu souhaites réfléchir et te reposer, je le comprendrais. Et je veux que seule toi, décide ou pas de revenir à Mes pieds. Et si tu décidais de décliner Ma main tendue, je respecterai ton choix et veillerai à ce que tu ais une vie ailleurs sans que rien ne te manque.
- Maître, je vous remercie car j’ai besoin de faire le point sur ma vie et savoir si je reste soumise ou pas.
- Bien, tu iras passer ce temps au Château de Saint-Ymer chez la Duchesse qui est toute disposée à t’y accueillir en convalescence. Cette Noble dame a besoin de compagnie le temps qu’il te faudra. Sache que chez elle, tu y trouveras réconfort et sécurité… (Ensuite, il appela) - Kate, Lucie, Marion…
Toute trois vinrent se mettre à genoux devant le Maître qui leur dit.
- Aidez Marion à se laver et donner-lui des vêtements propres, qu’elle mange à son aise et qu’elle me manque de rien. Veillez à son bien-être. Ensuite Messire Léon la conduira à Saint-Ymer.
Elles emmenèrent Marion avec douceur et tendresse à la crypte pour la laver et la préparer. Avant de partir Kate demanda la permission d’accompagner Messire Léon, car revoir la grand-mère d’Antonin lui ferait plaisir… Les jours passèrent sans autres événements notables. Marion avait totalement retrouvé ses marques ainsi que sa bonne humeur et sa gaité naturelle, elle était comme ressuscitée, toute resplendissante et heureuse. Un soir alors qu’elle était avec les autres qui lui racontaient ce qui s’était passé en son absence, Messire Léon entra.
- Marion, le Seigneur d’Evans te veut dans sa chambre dans une heure.
- Bien Messire, j’y serais merci de m’avoir prévenue.
Une heure plus tard, Marion se présenta à la porte de la chambre du Maître et frappa à la porte.
- Entre Marion.
Elle se dirigea vers le Maître assis à sa table de travail, elle se mit à genoux, mains dans le dos, tête baissée.
- Je suis satisfait de constater que tu es redevenue telle que tu étais.
- C’est grâce à Vous Maître, le soin et l’attention que vous nous portez.
- Oui car vous m’êtes toutes très précieuses… Mais je t’ai fait venir car j’ai quelque chose pour toi. Un nouveau collier, approche.
Le Seigneur d’Evans lui mit son nouveau collier tout neuf orné de beaux motifs et dessus à un endroit on pouvait lire distinctement «Marion SCE» (SCE = Seigneur Charles d’Evans) et il lui dit.
- Ce collier est le symbole de ton appartenance à Moi. Es-tu prête à te soumettre totalement à Ma personne ? A Me reconnaitre comme le Maître de ta vie et de ton destin ?
Marion avait les larmes aux yeux de bonheur et pleine de reconnaissance, elle lui dit alors :
- Maître, mon dévouement à Vous et à Votre noble personne est aussi intact qu’au premier jour.
- Bien, alors commence par Me soulager Ma chienne, j’espère que ton séjour au couvent n’a pas détérioré tes talents de ce que tu sais faire de ta langue ?
- Ce sera à Vous d’en juger Maître, dit-elle sortant la verge déjà tendue du Maître.
En effet, Marion, n’avait pas perdu de ses talents et c’est pleine de reconnaissance qu’elle embrassa le gland violacé du Maître puis le lécha sur toute sa hauteur avec des petits coups de langue et le pris totalement en bouche. Puis elle le suça avec amour et application enroulant sa langue, alternant la pression de ses lèvres et la vitesse, suçotant le gland et ses bourses gonflées. Ensuite, Marion accentua la cadence de sa cavité buccale et quand elle sentit qu’il était sur le point de jouir, elle le reprit totalement dans sa bouche en gorge profonde et reçu, ce qui à ses yeux était le plus beau cadeau que le Maître pouvait lui faire, Sa noble semence qu’elle avala avec un plaisir non dissimulé tant cela lui avait manqué.
- Ma chienne, ta bouche est encore plus savoureuse qu’auparavant.
- Merci à vous Maître de m’avoir accordé Votre noble semence.
- C’est Ma volonté, maintenant aide-moi à me dévêtir et je t’autorise à partager ma couche cette nuit.
- Ho merci Maître, c’est un tel honneur.
Après avoir dévêtu le Maître Marion se coucha à ses côtés et se blottit dans ses bras. Puis, c’est avec de tendres câlins qu’ils s’endormirent tous les deux. Quand soudain au milieu de la nuit, le Seigneur d’Evans la réveilla car il était en pleine érection nocturne suite à un rêve érotique.
- En levrette, salope, immédiatement.
- Bien Maître tout de suite ; dit-elle à moitié réveillée.
Marion se trouva instantanément excitée par le ton dominant et l’ordre du Maître.
Le Seigneur d’Evans commença par lui claquer les fesses et remarqua qu’elles étaient toujours marquées par des stries de fouets encore visibles sur sa peau blanche, mais il ne s’en soucia pas pour le moment. Le Maître entreprit de la doigter et constata que sa chatte était déjà trempée de plaisir.
- Eh bien, il me semble que cela t’ai manqué, Ma chienne, tu es déjà trempée.
- Vous savez Maître, au couvent l’abstinence la plus totale n’aide pas à cela…
Alors comme pour rattraper le temps perdu, le seigneur d’Evans la pénétra d’un coup par un fantastique et puissant coup de reins. Marion ne s’y attendant pas et hurla de plaisir. Le Maitre la pilonna ainsi un long moment tout en titillant son clito gonflé de plaisir, la jeune femme aimait tant cela qu’elle sentait l’orgasme tout proche.
- Hoooooooo Maî… Maître, me … me permettez-vous de … Hoooooo de jouir ?
- Pas question, retient-toi et ne me déçois pas !
Le Maître ne voulant pas, ce soir, la pousser à la faute se retira et prit possession de son cul, ce que Marion adorait. Quand après l’avoir bien sodomisée au plus profond de ses entrailles et lui claquant légèrement les fesses et fouillant par moment sa chatte trempée par une main baladeuse, il lui murmura à l’oreille.
- Quand je reprendrais possession de ta chatte de salope, tu pourras jouir.
En un coup de reins viril, puissant et profond, il rentra de nouveau dans sa chatte inondée de plaisirs et ils jouirent simultanément ensemble avec des cris, râles et soupirs de plaisirs orgasmiques. Marion tomba sur le matelas épuisée par ce moment de pur et intense bonheur jouissif. Allongé côte à côte, le Maître regarda Marion :
- Ma chienne, Ma Marion dit-moi à quoi correspondent ces marques sur ton cul ?
- Maître, je sais, je n’aurais pas dû et je vous présente mes excuses mais le couvent ce n’est pas fait pour moi et j’avoue ne pas toujours avoir respecté les règles qui étaient très restrictives et très difficiles. En plus, la mère supérieure est des plus sadiques, plus que vous ne l’imaginez et elle adorait punir par plaisir à faire mal sous le couvert de purifier nos âmes et nos corps, elle s’adonne à toutes les perversions….
- Je vois, intéressant, oui très intéressant.
- Je ne comprends pas Maître ?
- Ne t’en fait pas, lui dit le Maître la prenant tendrement dans ses bras, sensation qui procurait à Marion l’agréable sensation d’appartenance et de protection, dors Ma chienne tu en as besoin, tu es à Moi et tu ne risques plus rien avec Moi...
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