Kate au Château (Saga se passant au Moyen-Age, écrite par Kate & textes améliorés par MDE)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-02-2019 dans la catégorie Dominants et dominés
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Kate au Château (Saga se passant au Moyen-Age, écrite par Kate & textes améliorés par MDE)
Kate au Château (Saga se passant au Moyen-Age, écrite par Kate & textes améliorés par MDE) – (suite de l'épisode N°1256) -
Le retrait des colliers pour Alix et Clémence :
Le lendemain matin, le Seigneur d’Evans, convoqua Alix et Clémence dans Son salon privé. Il avait exigé qu’elles se présentent vêtues à Lui. C’est un peu gênées qu’elles frappèrent à la porte, depuis qu’elles savaient qu’Il était leur oncle
- Entrer !
- Bonjour Maître, dirent-elles, ne sachant quoi dire d’autre pour dénommer le bon Seigneur d’Evans.
- Bonjour les jumelles, ne vous mettez pas à genoux mais asseyez-vous, j’ai à vous parler.
- Merci Maître.
- Bien. Alix, Clémence, tout le temps que vous avez passé à Mes pieds, à Mon service, vous m’avez pleinement satisfait. Mais, par les circonstances que vous savez où nous avons tous appris que vous êtes mes nièces, sachez que je ne saurais soumettre les filles de mon frère. C’est pourquoi, je n’ai d’autre choix que de vous libérer.
- Mais qu’allons-nous devenir sans Vous et votre protection ?
- Vous aurez toujours ma protection, nous sommes de la même famille.
- Je le regrette, mais peux le comprendre, soupira Clémence.
Le Seigneur d’Evans repris sur un ton plus dominant.
- Alors pour la dernière fois, je vais exiger de vous mettre à genoux toutes les deux.
Alix et Clémence tombèrent alors à Ses pieds. Et c’est avec une certaine émotion, qu’Il leur enleva leur collier. Alix avait les larmes aux yeux mais essayait de les cacher comme sa noble éduction lui avait appris.
- Relevez-vous et rasseyez-vous.
- Merci… - Je sais que ce n’est pas facile pour Moi non plus, mais autant nous y habituer le plus vite possible. Allons les filles, courage, lança le Seigneur.
- Merci mon oncle, osa Alix. Clémence fit de même.
- Eh bien voilà ! Ce n’était pas si difficile que ça, Mes chères nièces, dit-il pour détendre l’atmosphère.
L’émotion était palpable et Le Seigneur mit fin à l’entretien.
- Bien, je vous laisse vaquer à vos occupations, j’ai du travail.
Elles sortirent et se rendirent dans la chambre qu’elles partageaient le temps de leur séjour au Château…
Le procès et le jugement d’Amélie :
Les jours suivants, un matin, le Seigneur Charles d’Evans et les membres essentiels du Château étaient rassemblés pour entendre toutes les personnes concernées par l’affaire d’Amélie, accusée pour vol, manipulation et trahison. Pour ce procès, Manon était présente en compagnie de la Duchesse de Saint Ymer (chez qui elle habitait depuis son retour). Amélie fut amenée menottée et entièrement nue par Messire Mathieu et Messire Philippe. Le Seigneur d’Evans se leva et prit la parole.
- Bien, nous sommes ici rassemblés pour entendre toutes les victimes directes et indirectes de ce complot contre nous, complot réalisé par cette démoniaque Amélie, ici présente. Chaque personne aura le droit de réclamer la sanction qu’elle juge mériter après c’est Moi et Moi seul qui prendrait la décision de chaque sanction. Nous entendrons d’abord Mes soumises, Manon et Marion, ensuite viendra le tour de Kate et de Ma nièce Clémence. Il y aura aussi un autre témoin, victime indirecte. Manon nous t’écoutons.
- Merci Mon Seigneur, vous savez tous ce qui m’est arrivé, il n’est donc pas temps d’y revenir. En ce qui me concerne, j’ai peu connu Amélie aussi je m’en remets totalement à Vous, Seigneur d’Evans et Votre conseil pour décider de la sanction qu’elle mérite.
- Bien, si tu n’as rien à ajouter, Marion à toi.
- Merci Maître. (s’adressant à l’assemblée) Par rapport à Manon j’ai eu de la chance, certes le couvent était horrible, mais j’ai eu les excuses personnelles du Maître et j’ai retrouvé ma place à Ses nobles pieds et cela suffit à mon bonheur. Cela étant, si je peux faire une proposition de sanction, comme le Maître nous y autorise, peut-être qu’un petit séjour dans ce couvent précis lui ferait le plus grand bien ?
- Bonne idée Ma chienne, j’y avais pensé Moi-même. Rien à ajouter ?
- Non Maître.
- Kate, je vous en prie.
- Merci mon Seigneur. Me concernant le préjudice fut moral, car le rubis qui orne la bague, que mon cher Antonin m’a offert, était en effet une horrible perte, la perte d’un magnifique bijou de famille mais aussi la peur qu’Antonin ne veuille plus m’épouser suite à cette disparition.
- Kate voyons, ce n’est pas pour cela que je n’aurais plus voulu t’épouser, tu es mes yeux tellement plus précieuse qu’un simple rubis (il l’embrassa d’un baisé passionné).
- Kate, réclamez-vous une sanction ? Demanda le Maître.
- Oui Sire, je souhaiterais qu’elle connaisse le mal qu’elle a pu faire surtout à Manon, qu’elle subisse le même sort à savoir exposée nue au pilori dans la cour du Château jour et nuit, mais aussi le fouet en place publique et l’enfermement jusqu'à son bannissement définitif. Tout ça pour avoir moi-même soigné Clémence et constaté ses souffrances, il serait juste que cette diabolique Amélie subisse également le même sort, mais c’est impossible car cela va à l’encontre de vos règles.
Le Seigneur se dit dans sa tête « oui ça va à l’encontre de Mes règles mais en l’occurrence je pourrais faire une exception ».
- Bien, merci Kate, Ma nièce à vous.
- Merci mon oncle, comme Kate l’a dit ce que j’ai subi ne peut être fait étant donné que cela est contraire aux règles de ce Château et de toute Votre seigneurie, mais l’idée de Kate du fouet en place publique me semble convenir parfaitement.
- Bien merci Ma nièce. Maintenant une autre personne a été victime d’Amélie, l’homme qu’elle a accusé d’avoir utilisé Manon, Valentin, un homme simple d’esprit qui un jour par maladresse l’avait fait tomber, voilà pourquoi elle l’a accusé. Je l’ai puni en l’obligeant à faire le larbin jardinier et dormir à l’écurie avec en retour juste de la nourriture. Messire Léon, faites-le entrer.
Messire Léon ouvrit la double porte derrière se trouvait Valentin en compagnie de Lucie qui l’accompagnait, tous deux entrèrent et se mirent à genoux devant le Seigneur d’Evans.
- Relève toi, Valentin, je te présente mes excuses de t’avoir ainsi puni, je reconnais que j’ai commis une erreur de jugement étant moi-même trompé par cette femme (il montre Amélie), aussi si tu souhaites quelque chose demande ce que tu veux, tu l’obtiendras.
Avant qu’il ne put répondre, Antonin prit la parole :.
- Sire, je connais bien cet homme, je puis même affirmer que c’est comme un ami. Un homme simple, dévoué et loyal. Je sais qu’il aime les chevaux et qui sait très bien les soigner. Peut-être pourriez-vous lui accorder une place de palefrenier dans vos écuries. Si cela vous y consentez et qu’il l’accepte.
- Cela t’intéresserait il, d’entrer à Mon service t’occuper de Mes chevaux ? dit le Seigneur à l’adresse de Valentin - Ho oui Sire ! Ce sera un honneur d’être à Votre service, répondit tout sourire Valentin- Bien considère que cela est fait.
Après avoir salué le Maître respectueusement et avec une évidente gratitude, Valentin quitta la pièce. Ensuite le Seigneur offrit à Amélie un temps de parole, histoire qu’elle se défende elle-même. Celle-ci ne montra qu’un visage haineux et lança juste avec méchanceté à toute l’assemblée ainsi qu’au Seigneur :
- Je n’ai rien à dire, vous irez tous en enfer … (puis elle se tut avec un regard hautain et méchant)- Soit ! Si c’est ta seule défense, tant pis pour toi. Mais on ne pourra pas me reprocher de ne pas t’avoir proposé de te défendre
Le Seigneur se retira alors avec ses conseillers, Amélie ramenée à son cachot au fond de la crypte et les autres retournèrent à leurs occupations…
L'organisation du mariage :
Kate et Antonin étaient dans leur chambre et ce dernier demanda :
- Ma belle Kate, ne penses-tu pas que nous devrions nous occuper de l'organisation de notre mariage ?
Kate le regarda un sourire l'air mutin, se mit à genoux et répondit :
- Maître, je pensais qu’après ce qui s'est passé, vous voudriez peut être vous détendre ?
- Tu veux une séance, Ma chienne ?
- Seulement si vous l’exigez, Maître.
- Ce n'est pas une mauvaise idée, puis d'un ton beaucoup plus dominant, voir sévère (mais plus par pulsion de domination que par réelle contrariété, il reprit) - Crois-tu sincèrement que ta tenue soit correct pour te présenter devant Moi ?
- Non Maître, je vous présente mes excuses.
- Alors met-toi nue, tout de suite.
Kate se déshabilla et se remit à genoux, mains dans le dos, tête baissée et attendit. Lui, tournant tout autour d'elle en silence admirant sa beauté.
- Bien, Ma chienne qu’as-tu à dire ?
- Je mérite une sanction Maître.
- Pour quelle faute ma salope ?
- J'ai douté de Vous Maître et pour ma tenue inadaptée.
- Pour ta tenue je passe l'éponge, en revanche pour avoir douté de Moi, le Maître et ton futur mari oui tu vas être sanctionnée et ce sera 30 coups de martinet. Et après, je te prendrai comme ma chienne salope que tu es. Debout mains relevées contre le mur, cul cambré et tu attends en silence.
- Oui Maître, dit-elle se mettant en position sans plus attendre.
Antonin avait une idée derrière la tête, il lui banda les yeux puis sortit de la chambre, il revint quelques instant plus tard mais pas seul mais cela Kate, les yeux bandés, l'ignorait. Il s'agissait du Seigneur d'Evans.
- Tu es prête Ma salope ?
- Oui Maître.
Antonin commença, les coups tombaient, Kate comptait courageusement tout en gémissant de douleur mais surtout de plaisir quand une lanière atteignant son sexe trempé de son excitation et enfin.
- 30… merci Maître.
- Maintenant en levrette, tout de suite.
Tout en douceur le Dominant passa ses doigts inquisiteurs sur sa chatte dégoulinante de son plaisir, il montra ses doigts trempés à son ami avec un regard entendu.
- C'est qu'elles t'excitent mes punitions salope, lèche chienne.
La belle soumise lui lécha les doigts avec application et un plaisir non dissimulé. Antonin se plaça ensuite derrière elle et lui donna une forte claque sur ses fesses déjà rougie par le martinet. Puis il la pénétra d'un coup de reins puissant, profond et viril. Elle adorait cela et ne cachait pas son plaisir, quand soudain elle sentit quelque chose se frotter contre son visage, ce qu'elle identifia rapidement comme un sexe d'homme. Antonin étant déjà en elle, elle sut alors qu'il y avait une autre personne mais ignorait de qui il s'agissait. En bonne soumise sachant que cela était la volonté du Maître qui la soumettait, elle prit en bouche cette volumineuse verge dressée pour la sucer du mieux qu'elle pouvait, alternant un rythme rapide puis plus lent, modifiant la pression des ses lèvres, léchant le membre sur toute sa longueur tandis qu'Antonin lui dilatait doucement son anus sans arrêter ses coups de reins en la pilonnant bestialement. Kate était sur le point de jouir quand le Seigneur d'Evans libéra sa bouche et elle put supplier :
- Maî… Maîiiiiitre … pi … pitié, je vais jouir...
- Pas question, retient-toi, tu ne voudrais quand même pas fauter devant le Maître des lieux, révélant ainsi l'identité de l'autre personne présente.
A ses mots, Kate fut saisie et voulant plus que tout satisfaire "les deux hommes de sa vie" elle répondit :
- Oui Maître- Couche-toi sur le dos, salope.
A ce moment, ce fut Antonin qui prit possession de sa bouche alors que le Seigneur d'Evans la léchait de sa langue habille et baladeuse. Kate était au bord de l'explosion orgasmique.
- Maître, je ne peux plus tenir je vais jou... jouir…- J'ai dit non chienne.
Antonin se coucha sur le dos :
- Remonte ton bandeau et viens t'empaler sur ma noble verge ensuite remet ton bandeau et mon ami, Le Seigneur, te prendra ton cul de salope, et après quelques va-et-vient des deux amis, Antonin ne tenant plus, lança :- Jouit, salope, maintenant je le veux.
Tous les trois lâchèrent ensemble leurs orgasmes gémissements, râles et soupirs emplissaient la pièce. Antonin aida Kate à se relever et lui mit une ample et chaude chemise et l'attira à lui puis l'embrassa tendrement tant il l'aimait et la trouvait sublime. Cette scène de tendresse fit sourire le Seigneur d'Evans. Ils restèrent quelques instants à discuter tous les trois et Kate finit par s'endormir dans les bras rassurant de son cher Antonin.
- Je vous laisse mon ami, chuchota le Seigneur d'Evans, nous en reparlerons plus tard.
- Merci Charles, bonne nuit…
Le lendemain matin, bien reposés et heureux, Kate et Antonin passèrent la matinée à mettre au point l'organisation de leur mariage. Kate lui montra ce qu'elle avait préparé en son absence, la liste des invités et le déroulement de la cérémonie religieuse, restait le plan de table lequel lui donnait du souci et Antonin ne lui fut pas d'un grand secours. C'était le genre de tache qu'il détestait au plus haut point. Ils finirent par abandonner décidant d'y revenir plus tard. Kate se décida enfin à parler à Antonin d'une chose qui la préoccupait.
- Antonin, il y a autre chose qui me tracasse.
- Dis-moi ma belle, si je le peux je t'aiderais.
- Je...je n'ai personne pour me conduire à l'Autel.
- Je sais Kate, je sais mais tu peux choisir un des chevaliers celui que tu veux.
- Bien sûr mais je...je voudrais que ce soit le Seigneur d'Evans, penses-tu qu'Il accepterait?
- Je ne peux te répondre à sa place, va le voir et demande-le Lui, si cela, au niveau des convenances, Lui est impossible, il te le dira…
(A suivre …)
Le retrait des colliers pour Alix et Clémence :
Le lendemain matin, le Seigneur d’Evans, convoqua Alix et Clémence dans Son salon privé. Il avait exigé qu’elles se présentent vêtues à Lui. C’est un peu gênées qu’elles frappèrent à la porte, depuis qu’elles savaient qu’Il était leur oncle
- Entrer !
- Bonjour Maître, dirent-elles, ne sachant quoi dire d’autre pour dénommer le bon Seigneur d’Evans.
- Bonjour les jumelles, ne vous mettez pas à genoux mais asseyez-vous, j’ai à vous parler.
- Merci Maître.
- Bien. Alix, Clémence, tout le temps que vous avez passé à Mes pieds, à Mon service, vous m’avez pleinement satisfait. Mais, par les circonstances que vous savez où nous avons tous appris que vous êtes mes nièces, sachez que je ne saurais soumettre les filles de mon frère. C’est pourquoi, je n’ai d’autre choix que de vous libérer.
- Mais qu’allons-nous devenir sans Vous et votre protection ?
- Vous aurez toujours ma protection, nous sommes de la même famille.
- Je le regrette, mais peux le comprendre, soupira Clémence.
Le Seigneur d’Evans repris sur un ton plus dominant.
- Alors pour la dernière fois, je vais exiger de vous mettre à genoux toutes les deux.
Alix et Clémence tombèrent alors à Ses pieds. Et c’est avec une certaine émotion, qu’Il leur enleva leur collier. Alix avait les larmes aux yeux mais essayait de les cacher comme sa noble éduction lui avait appris.
- Relevez-vous et rasseyez-vous.
- Merci… - Je sais que ce n’est pas facile pour Moi non plus, mais autant nous y habituer le plus vite possible. Allons les filles, courage, lança le Seigneur.
- Merci mon oncle, osa Alix. Clémence fit de même.
- Eh bien voilà ! Ce n’était pas si difficile que ça, Mes chères nièces, dit-il pour détendre l’atmosphère.
L’émotion était palpable et Le Seigneur mit fin à l’entretien.
- Bien, je vous laisse vaquer à vos occupations, j’ai du travail.
Elles sortirent et se rendirent dans la chambre qu’elles partageaient le temps de leur séjour au Château…
Le procès et le jugement d’Amélie :
Les jours suivants, un matin, le Seigneur Charles d’Evans et les membres essentiels du Château étaient rassemblés pour entendre toutes les personnes concernées par l’affaire d’Amélie, accusée pour vol, manipulation et trahison. Pour ce procès, Manon était présente en compagnie de la Duchesse de Saint Ymer (chez qui elle habitait depuis son retour). Amélie fut amenée menottée et entièrement nue par Messire Mathieu et Messire Philippe. Le Seigneur d’Evans se leva et prit la parole.
- Bien, nous sommes ici rassemblés pour entendre toutes les victimes directes et indirectes de ce complot contre nous, complot réalisé par cette démoniaque Amélie, ici présente. Chaque personne aura le droit de réclamer la sanction qu’elle juge mériter après c’est Moi et Moi seul qui prendrait la décision de chaque sanction. Nous entendrons d’abord Mes soumises, Manon et Marion, ensuite viendra le tour de Kate et de Ma nièce Clémence. Il y aura aussi un autre témoin, victime indirecte. Manon nous t’écoutons.
- Merci Mon Seigneur, vous savez tous ce qui m’est arrivé, il n’est donc pas temps d’y revenir. En ce qui me concerne, j’ai peu connu Amélie aussi je m’en remets totalement à Vous, Seigneur d’Evans et Votre conseil pour décider de la sanction qu’elle mérite.
- Bien, si tu n’as rien à ajouter, Marion à toi.
- Merci Maître. (s’adressant à l’assemblée) Par rapport à Manon j’ai eu de la chance, certes le couvent était horrible, mais j’ai eu les excuses personnelles du Maître et j’ai retrouvé ma place à Ses nobles pieds et cela suffit à mon bonheur. Cela étant, si je peux faire une proposition de sanction, comme le Maître nous y autorise, peut-être qu’un petit séjour dans ce couvent précis lui ferait le plus grand bien ?
- Bonne idée Ma chienne, j’y avais pensé Moi-même. Rien à ajouter ?
- Non Maître.
- Kate, je vous en prie.
- Merci mon Seigneur. Me concernant le préjudice fut moral, car le rubis qui orne la bague, que mon cher Antonin m’a offert, était en effet une horrible perte, la perte d’un magnifique bijou de famille mais aussi la peur qu’Antonin ne veuille plus m’épouser suite à cette disparition.
- Kate voyons, ce n’est pas pour cela que je n’aurais plus voulu t’épouser, tu es mes yeux tellement plus précieuse qu’un simple rubis (il l’embrassa d’un baisé passionné).
- Kate, réclamez-vous une sanction ? Demanda le Maître.
- Oui Sire, je souhaiterais qu’elle connaisse le mal qu’elle a pu faire surtout à Manon, qu’elle subisse le même sort à savoir exposée nue au pilori dans la cour du Château jour et nuit, mais aussi le fouet en place publique et l’enfermement jusqu'à son bannissement définitif. Tout ça pour avoir moi-même soigné Clémence et constaté ses souffrances, il serait juste que cette diabolique Amélie subisse également le même sort, mais c’est impossible car cela va à l’encontre de vos règles.
Le Seigneur se dit dans sa tête « oui ça va à l’encontre de Mes règles mais en l’occurrence je pourrais faire une exception ».
- Bien, merci Kate, Ma nièce à vous.
- Merci mon oncle, comme Kate l’a dit ce que j’ai subi ne peut être fait étant donné que cela est contraire aux règles de ce Château et de toute Votre seigneurie, mais l’idée de Kate du fouet en place publique me semble convenir parfaitement.
- Bien merci Ma nièce. Maintenant une autre personne a été victime d’Amélie, l’homme qu’elle a accusé d’avoir utilisé Manon, Valentin, un homme simple d’esprit qui un jour par maladresse l’avait fait tomber, voilà pourquoi elle l’a accusé. Je l’ai puni en l’obligeant à faire le larbin jardinier et dormir à l’écurie avec en retour juste de la nourriture. Messire Léon, faites-le entrer.
Messire Léon ouvrit la double porte derrière se trouvait Valentin en compagnie de Lucie qui l’accompagnait, tous deux entrèrent et se mirent à genoux devant le Seigneur d’Evans.
- Relève toi, Valentin, je te présente mes excuses de t’avoir ainsi puni, je reconnais que j’ai commis une erreur de jugement étant moi-même trompé par cette femme (il montre Amélie), aussi si tu souhaites quelque chose demande ce que tu veux, tu l’obtiendras.
Avant qu’il ne put répondre, Antonin prit la parole :.
- Sire, je connais bien cet homme, je puis même affirmer que c’est comme un ami. Un homme simple, dévoué et loyal. Je sais qu’il aime les chevaux et qui sait très bien les soigner. Peut-être pourriez-vous lui accorder une place de palefrenier dans vos écuries. Si cela vous y consentez et qu’il l’accepte.
- Cela t’intéresserait il, d’entrer à Mon service t’occuper de Mes chevaux ? dit le Seigneur à l’adresse de Valentin - Ho oui Sire ! Ce sera un honneur d’être à Votre service, répondit tout sourire Valentin- Bien considère que cela est fait.
Après avoir salué le Maître respectueusement et avec une évidente gratitude, Valentin quitta la pièce. Ensuite le Seigneur offrit à Amélie un temps de parole, histoire qu’elle se défende elle-même. Celle-ci ne montra qu’un visage haineux et lança juste avec méchanceté à toute l’assemblée ainsi qu’au Seigneur :
- Je n’ai rien à dire, vous irez tous en enfer … (puis elle se tut avec un regard hautain et méchant)- Soit ! Si c’est ta seule défense, tant pis pour toi. Mais on ne pourra pas me reprocher de ne pas t’avoir proposé de te défendre
Le Seigneur se retira alors avec ses conseillers, Amélie ramenée à son cachot au fond de la crypte et les autres retournèrent à leurs occupations…
L'organisation du mariage :
Kate et Antonin étaient dans leur chambre et ce dernier demanda :
- Ma belle Kate, ne penses-tu pas que nous devrions nous occuper de l'organisation de notre mariage ?
Kate le regarda un sourire l'air mutin, se mit à genoux et répondit :
- Maître, je pensais qu’après ce qui s'est passé, vous voudriez peut être vous détendre ?
- Tu veux une séance, Ma chienne ?
- Seulement si vous l’exigez, Maître.
- Ce n'est pas une mauvaise idée, puis d'un ton beaucoup plus dominant, voir sévère (mais plus par pulsion de domination que par réelle contrariété, il reprit) - Crois-tu sincèrement que ta tenue soit correct pour te présenter devant Moi ?
- Non Maître, je vous présente mes excuses.
- Alors met-toi nue, tout de suite.
Kate se déshabilla et se remit à genoux, mains dans le dos, tête baissée et attendit. Lui, tournant tout autour d'elle en silence admirant sa beauté.
- Bien, Ma chienne qu’as-tu à dire ?
- Je mérite une sanction Maître.
- Pour quelle faute ma salope ?
- J'ai douté de Vous Maître et pour ma tenue inadaptée.
- Pour ta tenue je passe l'éponge, en revanche pour avoir douté de Moi, le Maître et ton futur mari oui tu vas être sanctionnée et ce sera 30 coups de martinet. Et après, je te prendrai comme ma chienne salope que tu es. Debout mains relevées contre le mur, cul cambré et tu attends en silence.
- Oui Maître, dit-elle se mettant en position sans plus attendre.
Antonin avait une idée derrière la tête, il lui banda les yeux puis sortit de la chambre, il revint quelques instant plus tard mais pas seul mais cela Kate, les yeux bandés, l'ignorait. Il s'agissait du Seigneur d'Evans.
- Tu es prête Ma salope ?
- Oui Maître.
Antonin commença, les coups tombaient, Kate comptait courageusement tout en gémissant de douleur mais surtout de plaisir quand une lanière atteignant son sexe trempé de son excitation et enfin.
- 30… merci Maître.
- Maintenant en levrette, tout de suite.
Tout en douceur le Dominant passa ses doigts inquisiteurs sur sa chatte dégoulinante de son plaisir, il montra ses doigts trempés à son ami avec un regard entendu.
- C'est qu'elles t'excitent mes punitions salope, lèche chienne.
La belle soumise lui lécha les doigts avec application et un plaisir non dissimulé. Antonin se plaça ensuite derrière elle et lui donna une forte claque sur ses fesses déjà rougie par le martinet. Puis il la pénétra d'un coup de reins puissant, profond et viril. Elle adorait cela et ne cachait pas son plaisir, quand soudain elle sentit quelque chose se frotter contre son visage, ce qu'elle identifia rapidement comme un sexe d'homme. Antonin étant déjà en elle, elle sut alors qu'il y avait une autre personne mais ignorait de qui il s'agissait. En bonne soumise sachant que cela était la volonté du Maître qui la soumettait, elle prit en bouche cette volumineuse verge dressée pour la sucer du mieux qu'elle pouvait, alternant un rythme rapide puis plus lent, modifiant la pression des ses lèvres, léchant le membre sur toute sa longueur tandis qu'Antonin lui dilatait doucement son anus sans arrêter ses coups de reins en la pilonnant bestialement. Kate était sur le point de jouir quand le Seigneur d'Evans libéra sa bouche et elle put supplier :
- Maî… Maîiiiiitre … pi … pitié, je vais jouir...
- Pas question, retient-toi, tu ne voudrais quand même pas fauter devant le Maître des lieux, révélant ainsi l'identité de l'autre personne présente.
A ses mots, Kate fut saisie et voulant plus que tout satisfaire "les deux hommes de sa vie" elle répondit :
- Oui Maître- Couche-toi sur le dos, salope.
A ce moment, ce fut Antonin qui prit possession de sa bouche alors que le Seigneur d'Evans la léchait de sa langue habille et baladeuse. Kate était au bord de l'explosion orgasmique.
- Maître, je ne peux plus tenir je vais jou... jouir…- J'ai dit non chienne.
Antonin se coucha sur le dos :
- Remonte ton bandeau et viens t'empaler sur ma noble verge ensuite remet ton bandeau et mon ami, Le Seigneur, te prendra ton cul de salope, et après quelques va-et-vient des deux amis, Antonin ne tenant plus, lança :- Jouit, salope, maintenant je le veux.
Tous les trois lâchèrent ensemble leurs orgasmes gémissements, râles et soupirs emplissaient la pièce. Antonin aida Kate à se relever et lui mit une ample et chaude chemise et l'attira à lui puis l'embrassa tendrement tant il l'aimait et la trouvait sublime. Cette scène de tendresse fit sourire le Seigneur d'Evans. Ils restèrent quelques instants à discuter tous les trois et Kate finit par s'endormir dans les bras rassurant de son cher Antonin.
- Je vous laisse mon ami, chuchota le Seigneur d'Evans, nous en reparlerons plus tard.
- Merci Charles, bonne nuit…
Le lendemain matin, bien reposés et heureux, Kate et Antonin passèrent la matinée à mettre au point l'organisation de leur mariage. Kate lui montra ce qu'elle avait préparé en son absence, la liste des invités et le déroulement de la cérémonie religieuse, restait le plan de table lequel lui donnait du souci et Antonin ne lui fut pas d'un grand secours. C'était le genre de tache qu'il détestait au plus haut point. Ils finirent par abandonner décidant d'y revenir plus tard. Kate se décida enfin à parler à Antonin d'une chose qui la préoccupait.
- Antonin, il y a autre chose qui me tracasse.
- Dis-moi ma belle, si je le peux je t'aiderais.
- Je...je n'ai personne pour me conduire à l'Autel.
- Je sais Kate, je sais mais tu peux choisir un des chevaliers celui que tu veux.
- Bien sûr mais je...je voudrais que ce soit le Seigneur d'Evans, penses-tu qu'Il accepterait?
- Je ne peux te répondre à sa place, va le voir et demande-le Lui, si cela, au niveau des convenances, Lui est impossible, il te le dira…
(A suivre …)
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