Kate au Château (Saga se passant au Moyen-Age, écrite par Kate & textes améliorés par MDE)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-05-2019 dans la catégorie Dominants et dominés
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Kate au Château (Saga se passant au Moyen-Age, écrite par Kate & textes améliorés par MDE)
Kate au Château (Saga se passant au Moyen-Age, écrite par Kate & textes améliorés par MDE) – (suite de l'épisode N°1273) -
Quelques jours plus tard, le seigneur de Charnay arriva milieu d’après-midi. Le Seigneur d’Evans l’accueillit sur le perron du Château.
- Mon ami, soyez le bienvenu, mais vous êtes seul ? Où est donc votre épouse ?
- Elle est restée au château, voyez-vous, nous avons des soumises rebelles et elle s’occupe de leur cas.
- Pour avoir été plusieurs fois reçu chez vous, j’ai trouvé vos soumises plutôt dociles et respectueuses !
- Ou sont donc les jeunes mariés ? J’ai hâte de faire la connaissance de la mariée, cette Chloris que je ne connais pas.
- Vous la connaissez, cher ami, vous souvenez-vous de Kate ?
- Oui la soumise d’Antonin, une paysanne d’ailleurs, pour un Duc de noble souche ! Ce n’est pas très sérieux.
- Certes ! Elle était de condition modeste, mais elle a une noblesse de cœur, hors du commun - Si Vous le dites…
Au même moment Antonin et Chloris rentrèrent de leur promenade à cheval.
- Les voilà, justement !
Les deux nobles les rejoignirent et après les salutations d’usages, le Seigneur d’Evans appela pour faire monter les affaires du seigneur de Charnay dans sa chambre. Celui-ci regardait Chloris d’une étrange façon qui l’a mis mal à l’aise.
- Je vous prie de m’excuser, je vais aller dans ma chambre me préparer pour la soirée.
- Sire, j’aimerais Vous parler en privé, sollicita Antonin au Seigneur d’Evans.
- Oui d’accord…. (il appela) Lucie aux pieds !...Va montrer à Messire de Charnay, sa chambre.
- Bien Maître. Messire si vous voulez bien me suivre.
Le Seigneur d’Evans et Antonin se rendirent dans le petit salon privé.
- Que se passe-t-il, Antonin ?
- Je n’ai pas aimé la façon dont ce seigneur a regardé ma femme.
- Oui, je l’ai remarqué aussi, tu es mon meilleur ami, aussi je vais te dire la vérité. Il ne savait pas que Kate et Chloris étaient la même personne et j’ignorais son sentiment sinon je ne l’aurais pas invité, il la considère comme … une paysanne et ne regarde que ces origines. Pour lui, Chloris n’est pas de sang noble.
- Quoi ? Ma femme, ma Chloris mais elle est désormais Duchesse ! Et d’un rang supérieur au sien, que je sache. Je vais lui apprendre le respect à cet individu.
- Antonin, je t’en prie calme-toi. Je pense qu’après la soirée et le repas, il changera d’avis.
- Il vaudrait mieux pour lui. Une paysanne… n’importe quoi et pourquoi pas une boniche ! râla Antonin en colère.
Au même moment, Lucie montrait la chambre au seigneur de Charnay. Elle ouvrit la porte et entra à sa suite et se cogna contre un petit tabouret qu’elle n’avait pas vu. Ce qui fit tomber le vase de cristal qui se trouvait dessus.
- Espèce de maladroite, regarde ce que tu as fait.
- Je...je vous présente mes excuses, je ne l’avais pas vu. Je vais nettoyer tout de suite.
- Bien sûr que tu vas nettoyer salope et être punie.
Lucie ne répondit rien mais au fond d’elle-même, ne pensais pas mériter une punition. Mais c’était un ami et invité du Maître et elle voulait faire honneur à Son éducation et ne pas Le mécontenter. Lucie ramassa donc les morceaux de cristal brisés, en silence et en se mettant à 4 pattes.
- Maintenant, lèche la chienne.
La belle s’exécuta en prenant garde à ne pas se blesser à des petits morceaux oubliés.
- Mieux que ça, mets-y plus d’entrain.
- Mais Messire, je risque de me couper avec des petits morceaux de cristal.
- La belle affaire, et tu vas commencer par m’appeler Maître. Tu n’es qu’une sale chienne soumise, une petite paysanne bonne à contenter les nobles et rien d’autres.
- Je ne suis pas votre soumise. J’appartiens au Seigneur d’Evans et Il est le seul que je nomme Maître.
- Petite effrontée continue à nettoyer, tu vas voir à qui tu as à faire, dit-il en ôtant sa ceinture et en la giflant.
Le méchant seigneur commença à frapper Lucie, sans ménagement, qui courageusement retenait ses cris et gémissements tant qu’elle put.
- Je te ferai craquer salope et tu finiras par obéir et pliera devant moi. J’en ai dressé plus d’une, des petites chienne comme toi et à coups de ceinture…
Lucie ne disait rien. Il frappait encore et encore. Mais paradoxalement, elle aimait cela car son excitation était bien présente mais après des dizaines de coups, Lucie criait de douleurs et quelques gouttes de sang perlaient sur son dos. Le seigneur de Charnay stoppa et l’attrapa par la chevelure pour bien la tenir et se plaça derrière elle. Puis il baissa rapidement ses chausses. Sa verge était dressée d’excitation et il la pénétra sans la moindre préparation à grands coups de reins virils, puissants et profonds en lui tirant une grosse touffe de cheveux en arrière pour mieux la faire se cambrer. Bien qu’habituée à être prise ainsi et étant dans un état second, elle hurla sur le coup mais paradoxalement comme elle aimait être prise ainsi, sauvagement, dans une saillie animale, elle sentit son excitation monter. Puis il la sodomisa un bon moment par le cul et repris ensuite sa chatte puis de nouveau son cul passant de l’un à l’autre sans distinction tout en lui fessant fortement son cul arrondi par des volées de fessées qui claquaient bruyamment. Et une fois qu’il l’eut bien besogné, il finit par jouir dans sa bouche en longs jets épais et saccadés dans un flot de sperme tout en lui maintenant la tête par une gorge profonde et gicler au fond de la gorge de la belle. Quand enfin, Le seigneur de Charnay la laissa partir, sous des insultes humiliantes qu’il vociférait comme un forcené, Lucie rejoignit les autres soumises dans leur chambre qui virent tout de suite à son allure que quelque chose n’allait pas. Lucie demanda :
- Ou est Kate ?
- Dans sa chambre, pourquoi?
Lucie ne répondit pas et quitta la pièce pour aller jusqu'à la chambre et frappa à la porte. Ce fut Antonin qui ouvrit.
- Que veux- tu, Lucie?
- Monsieur le Duc, je vous présente mes excuses, je souhaiterais voir Kate … heu pardon, je veux dire Chloris… un moment, s’il vous plait.
- Bon entre, je vais la chercher.
Chloris arriva peu de temps après et à la mine de Lucie, elle questionna :
- Lucie, ça ne va pas ?, Tu as un souci ?
- Je suis désolée de te déranger mais pourrais-tu regarder mon dos, je pense avoir des zébrures.
- Bien sûr, allonge-toi sur la couche, je vais regarder.
Lucie s’allongea sur le ventre et très délicatement Chloris releva la fine chemise que Lucie avais mise pour cacher son dos.
- Lucie qu’est ce qui s’est passé ? Tu saignes. Antonin viens vite, pourrais-tu aller dans mes affaires chercher des petits linges propres qu’on se sert pour soigner les plaies- Le seigneur de Charnay m’a puni et il a eu la main lourde, c’est tout.
- Comment ça, c’est tout ?, dit Antonin qui revenait, c’est contraire à l’éthique du Seigneur d’Evans.
- Antonin à raison, il faut le Lui dire.
- Non, s’il vous plaît, c’est un ami du Maître et je ne veux pas me plaindre, ce n’est pas grave.
- Comme tu voudras, mais je pense que c’est une erreur.
Chloris soigna Lucie, si bien que les marques étaient bien atténuées.
- Le soir venu, le repas fut agréable même si le seigneur de Charnay fit des allusions déplaisantes à Chloris relatives à son ancienne condition.
- Dites-moi, comment une fille telle que vous, a-t-elle fait pour séduire un Duc et se prétendre ainsi de la noblesse ?
Chloris très digne et polie, répondit non sans un soupçon d’ironie dans la voix.
- Je ne l’ai pas séduit Messire, il m’a choisi et nous nous aimons sincèrement.
Le Seigneur d’Evans sentant qu’un certain malaise allait poindre, préféra détourner la conversation sur un sujet moins délicat. A la fin de la soirée le Seigneur d’Evans dit au seigneur de Charnay :
- Afin de parfaire mon hospitalité, il est de tradition que mes invités puissent jouir de mes soumises. Et donc je vous prête deux de mes soumises pour la nuit et celles qu’il vous plaira !
- Je vous remercie. Je veux Lucie (il trouvait que les zébrures de sa ceinture n’étaient pas assez marquées) et Chloris.
- Chloris ne m’appartiens plus. De plus, elle vient de se marier et il est normal qu’elle soit l’exclusivité de son époux, répondit le Seigneur d’Evans qui commençait à se poser de sérieuses questions sur celui qui fut, jadis, son ami.
- Si Vous y tenez, alors celle-là, dit il désignant une jeune soumise du nom de Sophie qui était en train de nettoyer la table du repas.
- Très bien, je vous les envoie dés leur travail terminé. Bonne nuit à demain.
- Bonne nuit.
Cette nuit-là, Lucie et Sophie passèrent une nuit excitante par moment mais également horrible pour d’autres moments. En effet, elles furent frappées pour un rien, attachées, souillées tout en étant humiliées malsainement. Et même si certains de ces traitements leur plaisaient en temps normal, cette nuit-là, c’était à la limite de l’acceptable… La grosse différence entre ce que leur faisait subir cet énergumène et d’ordinaire le Seigneur d’Evans était le fait que Ce dernier quand Il les humiliait, Il les considérait sincèrement et les protégeait plus que tout et que la violence gratuite ne faisait jamais partie de Son mode de fonctionnement. Alors que ce seigneur de Charnay (sans majuscule à seigneur) fonctionnait à l’inverse, il violentait gratuitement par pur sadisme pervers et n’avait aucune considération, c’était même le contraire à l’évidence, il avait une sorte de haine envers la gente féminine et un machisme malsain et prononcé… Le lendemain le seigneur de Charnay partit pour rentrer chez lui avec une idée perverse et diabolique dans la tête… Les semaines et mois passèrent le plus normalement du monde au Château quand un jour Ronan alla voir son père.
- Père, Clémence et Sophie ne sont pas encore rentrées et le soir tombe, je suis très inquiet.
- Je sais, j’ai envoyé Messire Léon à leur recherche avec quelques-uns de Mes chevaliers.
- Demain matin si on n’a pas de nouvelles, je ferais prévenir Alix, la Comtesse de Maisondieu, et Louis-Etienne.
Le lendemain n’ayant pas de nouvelles, Ronan partit pour le manoir des Maisondieu les mettre au courant. Ronan leur annonça la nouvelle et leur proposa de venir séjourner au Château le temps des recherches, ce qu'ils acceptèrent et tous reprirent le chemin en direction du Château. En réalité Sophie et Clémence n'étaient pas très loin de là. Elles avaient été enlevées par le seigneur de Charnay, qui en fait jalousait le Seigneur d'Evans et lui enviait Ses soumises au point de les kidnapper. Voilà pourquoi il avait été, également, aussi désagréable et irrespectueux lors de sa dernière venue. Après des jours de recherches par un heureux hasard, Valentin avait appris au village où elles se trouvaient grâce à une servante dudit village qui revenait de chez le seigneur de Charnay avait été très intriguée d’y voir les deux soumises qu’elle savait appartenir au Seigneur d’Evans. Alors elle en avait immédiatement averti Messire Léon et le Seigneur d'Evans...
(A suivre …)
Quelques jours plus tard, le seigneur de Charnay arriva milieu d’après-midi. Le Seigneur d’Evans l’accueillit sur le perron du Château.
- Mon ami, soyez le bienvenu, mais vous êtes seul ? Où est donc votre épouse ?
- Elle est restée au château, voyez-vous, nous avons des soumises rebelles et elle s’occupe de leur cas.
- Pour avoir été plusieurs fois reçu chez vous, j’ai trouvé vos soumises plutôt dociles et respectueuses !
- Ou sont donc les jeunes mariés ? J’ai hâte de faire la connaissance de la mariée, cette Chloris que je ne connais pas.
- Vous la connaissez, cher ami, vous souvenez-vous de Kate ?
- Oui la soumise d’Antonin, une paysanne d’ailleurs, pour un Duc de noble souche ! Ce n’est pas très sérieux.
- Certes ! Elle était de condition modeste, mais elle a une noblesse de cœur, hors du commun - Si Vous le dites…
Au même moment Antonin et Chloris rentrèrent de leur promenade à cheval.
- Les voilà, justement !
Les deux nobles les rejoignirent et après les salutations d’usages, le Seigneur d’Evans appela pour faire monter les affaires du seigneur de Charnay dans sa chambre. Celui-ci regardait Chloris d’une étrange façon qui l’a mis mal à l’aise.
- Je vous prie de m’excuser, je vais aller dans ma chambre me préparer pour la soirée.
- Sire, j’aimerais Vous parler en privé, sollicita Antonin au Seigneur d’Evans.
- Oui d’accord…. (il appela) Lucie aux pieds !...Va montrer à Messire de Charnay, sa chambre.
- Bien Maître. Messire si vous voulez bien me suivre.
Le Seigneur d’Evans et Antonin se rendirent dans le petit salon privé.
- Que se passe-t-il, Antonin ?
- Je n’ai pas aimé la façon dont ce seigneur a regardé ma femme.
- Oui, je l’ai remarqué aussi, tu es mon meilleur ami, aussi je vais te dire la vérité. Il ne savait pas que Kate et Chloris étaient la même personne et j’ignorais son sentiment sinon je ne l’aurais pas invité, il la considère comme … une paysanne et ne regarde que ces origines. Pour lui, Chloris n’est pas de sang noble.
- Quoi ? Ma femme, ma Chloris mais elle est désormais Duchesse ! Et d’un rang supérieur au sien, que je sache. Je vais lui apprendre le respect à cet individu.
- Antonin, je t’en prie calme-toi. Je pense qu’après la soirée et le repas, il changera d’avis.
- Il vaudrait mieux pour lui. Une paysanne… n’importe quoi et pourquoi pas une boniche ! râla Antonin en colère.
Au même moment, Lucie montrait la chambre au seigneur de Charnay. Elle ouvrit la porte et entra à sa suite et se cogna contre un petit tabouret qu’elle n’avait pas vu. Ce qui fit tomber le vase de cristal qui se trouvait dessus.
- Espèce de maladroite, regarde ce que tu as fait.
- Je...je vous présente mes excuses, je ne l’avais pas vu. Je vais nettoyer tout de suite.
- Bien sûr que tu vas nettoyer salope et être punie.
Lucie ne répondit rien mais au fond d’elle-même, ne pensais pas mériter une punition. Mais c’était un ami et invité du Maître et elle voulait faire honneur à Son éducation et ne pas Le mécontenter. Lucie ramassa donc les morceaux de cristal brisés, en silence et en se mettant à 4 pattes.
- Maintenant, lèche la chienne.
La belle s’exécuta en prenant garde à ne pas se blesser à des petits morceaux oubliés.
- Mieux que ça, mets-y plus d’entrain.
- Mais Messire, je risque de me couper avec des petits morceaux de cristal.
- La belle affaire, et tu vas commencer par m’appeler Maître. Tu n’es qu’une sale chienne soumise, une petite paysanne bonne à contenter les nobles et rien d’autres.
- Je ne suis pas votre soumise. J’appartiens au Seigneur d’Evans et Il est le seul que je nomme Maître.
- Petite effrontée continue à nettoyer, tu vas voir à qui tu as à faire, dit-il en ôtant sa ceinture et en la giflant.
Le méchant seigneur commença à frapper Lucie, sans ménagement, qui courageusement retenait ses cris et gémissements tant qu’elle put.
- Je te ferai craquer salope et tu finiras par obéir et pliera devant moi. J’en ai dressé plus d’une, des petites chienne comme toi et à coups de ceinture…
Lucie ne disait rien. Il frappait encore et encore. Mais paradoxalement, elle aimait cela car son excitation était bien présente mais après des dizaines de coups, Lucie criait de douleurs et quelques gouttes de sang perlaient sur son dos. Le seigneur de Charnay stoppa et l’attrapa par la chevelure pour bien la tenir et se plaça derrière elle. Puis il baissa rapidement ses chausses. Sa verge était dressée d’excitation et il la pénétra sans la moindre préparation à grands coups de reins virils, puissants et profonds en lui tirant une grosse touffe de cheveux en arrière pour mieux la faire se cambrer. Bien qu’habituée à être prise ainsi et étant dans un état second, elle hurla sur le coup mais paradoxalement comme elle aimait être prise ainsi, sauvagement, dans une saillie animale, elle sentit son excitation monter. Puis il la sodomisa un bon moment par le cul et repris ensuite sa chatte puis de nouveau son cul passant de l’un à l’autre sans distinction tout en lui fessant fortement son cul arrondi par des volées de fessées qui claquaient bruyamment. Et une fois qu’il l’eut bien besogné, il finit par jouir dans sa bouche en longs jets épais et saccadés dans un flot de sperme tout en lui maintenant la tête par une gorge profonde et gicler au fond de la gorge de la belle. Quand enfin, Le seigneur de Charnay la laissa partir, sous des insultes humiliantes qu’il vociférait comme un forcené, Lucie rejoignit les autres soumises dans leur chambre qui virent tout de suite à son allure que quelque chose n’allait pas. Lucie demanda :
- Ou est Kate ?
- Dans sa chambre, pourquoi?
Lucie ne répondit pas et quitta la pièce pour aller jusqu'à la chambre et frappa à la porte. Ce fut Antonin qui ouvrit.
- Que veux- tu, Lucie?
- Monsieur le Duc, je vous présente mes excuses, je souhaiterais voir Kate … heu pardon, je veux dire Chloris… un moment, s’il vous plait.
- Bon entre, je vais la chercher.
Chloris arriva peu de temps après et à la mine de Lucie, elle questionna :
- Lucie, ça ne va pas ?, Tu as un souci ?
- Je suis désolée de te déranger mais pourrais-tu regarder mon dos, je pense avoir des zébrures.
- Bien sûr, allonge-toi sur la couche, je vais regarder.
Lucie s’allongea sur le ventre et très délicatement Chloris releva la fine chemise que Lucie avais mise pour cacher son dos.
- Lucie qu’est ce qui s’est passé ? Tu saignes. Antonin viens vite, pourrais-tu aller dans mes affaires chercher des petits linges propres qu’on se sert pour soigner les plaies- Le seigneur de Charnay m’a puni et il a eu la main lourde, c’est tout.
- Comment ça, c’est tout ?, dit Antonin qui revenait, c’est contraire à l’éthique du Seigneur d’Evans.
- Antonin à raison, il faut le Lui dire.
- Non, s’il vous plaît, c’est un ami du Maître et je ne veux pas me plaindre, ce n’est pas grave.
- Comme tu voudras, mais je pense que c’est une erreur.
Chloris soigna Lucie, si bien que les marques étaient bien atténuées.
- Le soir venu, le repas fut agréable même si le seigneur de Charnay fit des allusions déplaisantes à Chloris relatives à son ancienne condition.
- Dites-moi, comment une fille telle que vous, a-t-elle fait pour séduire un Duc et se prétendre ainsi de la noblesse ?
Chloris très digne et polie, répondit non sans un soupçon d’ironie dans la voix.
- Je ne l’ai pas séduit Messire, il m’a choisi et nous nous aimons sincèrement.
Le Seigneur d’Evans sentant qu’un certain malaise allait poindre, préféra détourner la conversation sur un sujet moins délicat. A la fin de la soirée le Seigneur d’Evans dit au seigneur de Charnay :
- Afin de parfaire mon hospitalité, il est de tradition que mes invités puissent jouir de mes soumises. Et donc je vous prête deux de mes soumises pour la nuit et celles qu’il vous plaira !
- Je vous remercie. Je veux Lucie (il trouvait que les zébrures de sa ceinture n’étaient pas assez marquées) et Chloris.
- Chloris ne m’appartiens plus. De plus, elle vient de se marier et il est normal qu’elle soit l’exclusivité de son époux, répondit le Seigneur d’Evans qui commençait à se poser de sérieuses questions sur celui qui fut, jadis, son ami.
- Si Vous y tenez, alors celle-là, dit il désignant une jeune soumise du nom de Sophie qui était en train de nettoyer la table du repas.
- Très bien, je vous les envoie dés leur travail terminé. Bonne nuit à demain.
- Bonne nuit.
Cette nuit-là, Lucie et Sophie passèrent une nuit excitante par moment mais également horrible pour d’autres moments. En effet, elles furent frappées pour un rien, attachées, souillées tout en étant humiliées malsainement. Et même si certains de ces traitements leur plaisaient en temps normal, cette nuit-là, c’était à la limite de l’acceptable… La grosse différence entre ce que leur faisait subir cet énergumène et d’ordinaire le Seigneur d’Evans était le fait que Ce dernier quand Il les humiliait, Il les considérait sincèrement et les protégeait plus que tout et que la violence gratuite ne faisait jamais partie de Son mode de fonctionnement. Alors que ce seigneur de Charnay (sans majuscule à seigneur) fonctionnait à l’inverse, il violentait gratuitement par pur sadisme pervers et n’avait aucune considération, c’était même le contraire à l’évidence, il avait une sorte de haine envers la gente féminine et un machisme malsain et prononcé… Le lendemain le seigneur de Charnay partit pour rentrer chez lui avec une idée perverse et diabolique dans la tête… Les semaines et mois passèrent le plus normalement du monde au Château quand un jour Ronan alla voir son père.
- Père, Clémence et Sophie ne sont pas encore rentrées et le soir tombe, je suis très inquiet.
- Je sais, j’ai envoyé Messire Léon à leur recherche avec quelques-uns de Mes chevaliers.
- Demain matin si on n’a pas de nouvelles, je ferais prévenir Alix, la Comtesse de Maisondieu, et Louis-Etienne.
Le lendemain n’ayant pas de nouvelles, Ronan partit pour le manoir des Maisondieu les mettre au courant. Ronan leur annonça la nouvelle et leur proposa de venir séjourner au Château le temps des recherches, ce qu'ils acceptèrent et tous reprirent le chemin en direction du Château. En réalité Sophie et Clémence n'étaient pas très loin de là. Elles avaient été enlevées par le seigneur de Charnay, qui en fait jalousait le Seigneur d'Evans et lui enviait Ses soumises au point de les kidnapper. Voilà pourquoi il avait été, également, aussi désagréable et irrespectueux lors de sa dernière venue. Après des jours de recherches par un heureux hasard, Valentin avait appris au village où elles se trouvaient grâce à une servante dudit village qui revenait de chez le seigneur de Charnay avait été très intriguée d’y voir les deux soumises qu’elle savait appartenir au Seigneur d’Evans. Alors elle en avait immédiatement averti Messire Léon et le Seigneur d'Evans...
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