Kate au Château (Saga se passant au Moyen-Age, écrite par Kate & textes améliorés par MDE)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-08-2019 dans la catégorie Dominants et dominés
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Kate au Château (Saga se passant au Moyen-Age, écrite par Kate & textes améliorés par MDE)
Kate au Château (Saga se passant au Moyen-Age, écrite par Kate & textes améliorés par MDE) – (suite de l'épisode précédent N°1303) -
- Que veux-tu chienne ? Sache que je n’aime pas être dérangé et réveillé en pleine nuit pour rien...
- Je vous présente mes excuses, ainsi que le Seigneur et Maître, mais Il veut voir Chloris de suite et exige qu’elle emporte son matériel. Il a dit qu’elle comprendrait.
- Oui je comprends … Mais pourquoi maintenant ?, s’interrogea-t-elle. Et elle rajouta en se levant : Je viens.
- Non tu restes ici, malgré toute l’amitié que j’ai pour Charles, ça peut certainement attendre quelques heures.
- Antonin, s’Il a besoin de moi maintenant, c’est que c’est important. Reste ici ou vient avec moi si tu veux, mais je dois y aller.
Ils se rendirent donc tous les trois dans la chambre du Seigneur d’Evans. Il est inutile de préciser que la situation avait un côté insolite, deux Dominants et trois soumises dont une ne l’était pas à ce moment précis.
- Chloris, Antonin je vous en prie, prenez place, s’exclama le Seigneur d’Evans.
- Merci Charles, mais avais-tu vraiment besoin de ma femme maintenant ?
Soudain Il se rendit compte.
- Chloris, Antonin, pardonnez-Moi, mais il y a des choses dans la vie, et de plus est, d’un Maître, qui ne peuvent attendre, dit le Seigneur d’un ton décidé.
- Oui je comprends … (cédant par respect au Seigneur mais Antonin se dit à lui-même) A cette heure de la nuit, tout de même !…- Chloris, Je veux que tu épiles le sexe de Manon qui souhaite reprendre sa place à Mes pieds- Ah c’est pour ça, s’exclama Antonin, alors je comprends mieux ! En effet cela ne peut attendre. Un sexe aussi poilu est inadmissible et exige une épilation immédiate, vue la situation de son retour à tes pieds, cher Charles…- Oui bien sûr, puis-je utiliser Votre table et ce tapis sur le sol ? demanda Chloris prête à tout pour satisfaire le Maître- Oui et tout ce que tu as besoin… Lucie aux pieds ! Tu vas nous donner du plaisir pendant que Chloris s’occupe de Manon, exigea le Seigneur d’Evans tout en claquant des doigts.
Lucie sortit la queue molle d’Antonin et la masturba doucement pour la faire dresser. Elle embrassa et lécha cette hampe de haut en bas et de bas en haut et cela la faisait déjà mouillé. Puis, elle la prit totalement en bouche. Le Maître vint par derrière et Il lui mit une volée de claques cinglantes sur les belles fesses de la soumise, ce qui fit redoubler l’excitation de Lucie. Le Seigneur d’Evans passa une main entre ses cuisses pour juger de son état d’excitation et le trouvant plus que satisfaisant, Il bandait déjà de la situation et ainsi il la pénétra d'un coup de reins viril et puissant tandis qu’elle continuait à sucer Antonin. A ce moment précis, bien malgré elle, Lucie mordit légèrement le membre d’Antonin. Immédiatement elle voulu lui présenter ses excuses mais il ne lui en laissa pas le temps.
- Continue salope, nous verrons cela plus tard.
Lucie s’appliqua, espérant déjà se faire un peu pardonner, à lui prodiguer la meilleure fellation dont elle était capable, alternant la vitesse et la pression de ses lèvres, léchant, suçant, donnant des petits coups de langue sur le gland violacé et enroulant sa langue tout autour avec savoir-faire. Quand elle entendit qu’Antonin laissait échapper des soupirs et râles de plaisir et que le Maître la pilonnait depuis un bon moment à grands coups de boutoir, probablement qu’ils ne tarderaient pas à éjaculer dans ses deux orifices, le buccal et le vaginal. Lucie accentua son mouvement et les deux Dominants jouirent presque en même temps, lui remplissant la bouche et la chatte au même moment en de longs jets de sperme chauds et saccadés. Lucie avala le tout avec délice et reconnaissance puis nettoya Antonin consciencieusement et quand elle eut terminé, le Maître lui dit :
- Maintenant, tu vas aussi Me nettoyer et ne Me refais pas bander compris !
- Bien Maître, répondit Lucie en s'approchant de Lui.
- Et pendant ce temps, je vais réfléchir à ta punition pour m’avoir légèrement mordu, rajouta Antonin…
Quand Lucie eut terminé, elle se remit à genoux devant Antonin :
- Monsieur le Grand-Duc, je vous prie de pardonner ma maladresse et vous supplie de me sanctionner pour cette faute inacceptable de ma part.
Le Seigneur d’Evans intervient avant qu’il ne puisse répondre.
- Que pense le mériter pour ce genre de faute, chienne ?
- Je… je l’ignore Maître Vénéré, je suis consciente que la faute est grave et je ne peux juger de la sanction car, je suppose, que ce sera en fonction de la douleur que j’ai moi-même causé…
Pendant ce temps, Chloris continuait de s’occuper de Manon allongée et jambes largement écartées sur le tapis. Elle tendit un morceau de cuir à Manon, lui disant.
- Tu as beaucoup trop de poils et je vais te faire mal quand je retirerai la cire, mord là-dedans pour retenir tes cris.
- Attend dit Antonin, qui observait ce que faisait sa femme, j’ai une meilleure idée, dit-il un sourire pervers sur le visage.
- Tu as une idée, mon ami ?
- Oui comme cette chienne de Lucie m’a légèrement mordu, alors au lieu que Manon morde un bout de cuir, elle va lécher cette salope de Lucie et si elle la mord sous la douleur de l’épilation, elle ressentira la même chose que ce qu’elle m’a fait. Aussi Chloris ne prévient pas avant que tu retires la cire car je ne veux pas qu’elle s’y attende (et voyant son regard il ajouta) une objection ?
- Non, dit Chloris, mais je dois prévenir Manon que quand je vais enlever la cire, elle aura très mal. Et aussi, je propose éventuellement pour ne pas faire comprendre à Lucie le moment venu par un regard non attentionné de ma part, que Lucie ait les yeux bandés. En revanche je préviendrais Manon par un clin d’œil du moment venu …
Le Seigneur d’Evans répondit pendant que Lucie allait, déjà, s’asseoir cuisses écartées sur la bouche de Manon.
- Excellente idée Chloris, comme d’habitude, hé bien qu’attends-tu, bande-lui les yeux à cette chienne de Lucie.
Ce qu’elle fit sans attendre. Puis Chloris vérifia la prise de la cire d’abeille sur le sexe de Manon et attendit un long moment. Puis elle lança un regard à Manon suivit d’un clin d’œil signe qu’elle allait retirer la cire d’un coup sec. Et c’est sans violence mais énergiquement qu’elle tira pour tout enlever en une seule fois. Et ce qu’Antonin avait prévu eut lieu, ce ne fut pas les cris de Manon mais ceux de Lucie qui se firent entendre car cette dernière ressentit les dents de Manon se serrer sur sa chatte et sentit cette rapide morsure provoquée par un simple réflexe naturel de Manon due à la crispation de la douleur provoquée. Cette morsure lui provoqua parallèlement une excitation et mouillant de sa cyprine sur ses cuisses, elle gémit de plaisir faisant suite à son cri de douleur. Ensuite Chloris appliqua à Manon n’omettant pas de la caresser légèrement une huile naturelle et apaisante et anti irritations. Par ailleurs, le Seigneur d’Evans lança à Lucie en claquant de nouveau Ses doigts.
- Lucie la chienne, ça suffit, je t’entends gémir comme une femelle en chaleur ! Aux pieds !
Lucie se retira et attendit à genoux, la tête baissée et en retenant ses gémissement de plaisirs. Manon se leva doucement et se plaça debout, jambes écartées devant le Seigneur d’Evans qui procéda à une inspection minutieuse. Il écarta les lèvres intimes de la soumise, passa Ses doigts dans les parois intérieures du vagin, caressa doucement le dessus et le pourtour du sexe fraichement épilé, branla un long moment le clitoris et constata en plus de l’excitation de Manon qui mouillait de se senti ainsi inspectée :
- Si ce n’est les rougeurs, ton sexe est parfaitement lisse à présent. Excellent travail Chloris comme toujours.
- Merci Sire, dit-elle sans pouvoir retenir un bâillement. Je vous présente mes excuses.
- Tu es fatiguée, c’est normal nous le sommes tous, nous avons passé une nuit blanche. L’aube se lève déjà et je veux me détendre un peu.
- Charles, me permets-tu, demanda Antonin en regardant Lucie.
- Je t’en prie, cette chienne est toute à toi, Moi je vais M’occuper de Ma Manon revenue à Mes pieds, ça fait si longtemps…- Sire, je suis désolée mais le sexe de Manon est sensible et à vif, pas que je doute de Votre propreté, ni de la sienne, mais c’est un risque pour elle comme pour Vous.
- Sa chatte peut-être, mais pas son cul, ni sa bouche de chienne que je sache.
- Bien sûr Sire, il n'y a que la partie que j'ai épilé qui est très sensible.
Antonin appela Chloris qui le rejoignit ainsi que Lucie qu’il avait déjà fait mettre en levrette et fit placer Chloris de façon à ce que Lucie puisse la lécher en précisant qu’elle lui apporte du plaisir et qu’elle n'avait pas intérêt à la mordre lorsqu’il la pénétrerait, que si s’était le cas ce serait le fouet… Lucie commença donc à lécher Chloris avec application ce qui les faisaient abondamment mouiller toutes les deux. Antonin sachant très bien cela attendit quelques instants allant de temps en temps fouiller la chatte de Lucie pour en sortir de la mouille afin d’aller lubrifier son anus qu’il avait décidé de posséder… Quand il la jugea presque assez ouverte, Antonin décida d'abord de lui pénétrer sa chatte qui coulait littéralement de cyprine faisant attention à ne pas être trop brusque car il ne voulait pas qu’elle fasse mal à sa Chloris adorée….
Après être allé bien au fond, il fit des va-et-vient au rythme de ses claques, sur son beau cul blanc et arrondi, précisant que cela faisait partie de sa punition, punition dont elle se souviendrait. Quand Antonin vit sur le visage de Chloris qu’elle était sur le point de jouir et lui donna, d’un regard, son autorisation et elle lâcha son orgasme qui fut puissant. Lucie se régala du plaisir de son amie en buvant la mouille de la belle. Au moment même où elle éloignait son visage de la chatte de Chloris, Antonin la prit dans le cul d’un coup de reins puissant et précis car son cul étant bien lubrifié, elle ne sentit pratiquement aucune douleur mais uniquement un intense plaisir qui se décuplait de plus en plus lors de cette saillie anale… Cet accouplement était bestial mais si bon pour les deux … Tandis que Chloris avait reçu l’ordre de se coucher pour lécher les couilles d’Antonin durant le pilonnage de sa bite dans le cul de chienne Lucie… C’était divin …
(A suivre …)
- Que veux-tu chienne ? Sache que je n’aime pas être dérangé et réveillé en pleine nuit pour rien...
- Je vous présente mes excuses, ainsi que le Seigneur et Maître, mais Il veut voir Chloris de suite et exige qu’elle emporte son matériel. Il a dit qu’elle comprendrait.
- Oui je comprends … Mais pourquoi maintenant ?, s’interrogea-t-elle. Et elle rajouta en se levant : Je viens.
- Non tu restes ici, malgré toute l’amitié que j’ai pour Charles, ça peut certainement attendre quelques heures.
- Antonin, s’Il a besoin de moi maintenant, c’est que c’est important. Reste ici ou vient avec moi si tu veux, mais je dois y aller.
Ils se rendirent donc tous les trois dans la chambre du Seigneur d’Evans. Il est inutile de préciser que la situation avait un côté insolite, deux Dominants et trois soumises dont une ne l’était pas à ce moment précis.
- Chloris, Antonin je vous en prie, prenez place, s’exclama le Seigneur d’Evans.
- Merci Charles, mais avais-tu vraiment besoin de ma femme maintenant ?
Soudain Il se rendit compte.
- Chloris, Antonin, pardonnez-Moi, mais il y a des choses dans la vie, et de plus est, d’un Maître, qui ne peuvent attendre, dit le Seigneur d’un ton décidé.
- Oui je comprends … (cédant par respect au Seigneur mais Antonin se dit à lui-même) A cette heure de la nuit, tout de même !…- Chloris, Je veux que tu épiles le sexe de Manon qui souhaite reprendre sa place à Mes pieds- Ah c’est pour ça, s’exclama Antonin, alors je comprends mieux ! En effet cela ne peut attendre. Un sexe aussi poilu est inadmissible et exige une épilation immédiate, vue la situation de son retour à tes pieds, cher Charles…- Oui bien sûr, puis-je utiliser Votre table et ce tapis sur le sol ? demanda Chloris prête à tout pour satisfaire le Maître- Oui et tout ce que tu as besoin… Lucie aux pieds ! Tu vas nous donner du plaisir pendant que Chloris s’occupe de Manon, exigea le Seigneur d’Evans tout en claquant des doigts.
Lucie sortit la queue molle d’Antonin et la masturba doucement pour la faire dresser. Elle embrassa et lécha cette hampe de haut en bas et de bas en haut et cela la faisait déjà mouillé. Puis, elle la prit totalement en bouche. Le Maître vint par derrière et Il lui mit une volée de claques cinglantes sur les belles fesses de la soumise, ce qui fit redoubler l’excitation de Lucie. Le Seigneur d’Evans passa une main entre ses cuisses pour juger de son état d’excitation et le trouvant plus que satisfaisant, Il bandait déjà de la situation et ainsi il la pénétra d'un coup de reins viril et puissant tandis qu’elle continuait à sucer Antonin. A ce moment précis, bien malgré elle, Lucie mordit légèrement le membre d’Antonin. Immédiatement elle voulu lui présenter ses excuses mais il ne lui en laissa pas le temps.
- Continue salope, nous verrons cela plus tard.
Lucie s’appliqua, espérant déjà se faire un peu pardonner, à lui prodiguer la meilleure fellation dont elle était capable, alternant la vitesse et la pression de ses lèvres, léchant, suçant, donnant des petits coups de langue sur le gland violacé et enroulant sa langue tout autour avec savoir-faire. Quand elle entendit qu’Antonin laissait échapper des soupirs et râles de plaisir et que le Maître la pilonnait depuis un bon moment à grands coups de boutoir, probablement qu’ils ne tarderaient pas à éjaculer dans ses deux orifices, le buccal et le vaginal. Lucie accentua son mouvement et les deux Dominants jouirent presque en même temps, lui remplissant la bouche et la chatte au même moment en de longs jets de sperme chauds et saccadés. Lucie avala le tout avec délice et reconnaissance puis nettoya Antonin consciencieusement et quand elle eut terminé, le Maître lui dit :
- Maintenant, tu vas aussi Me nettoyer et ne Me refais pas bander compris !
- Bien Maître, répondit Lucie en s'approchant de Lui.
- Et pendant ce temps, je vais réfléchir à ta punition pour m’avoir légèrement mordu, rajouta Antonin…
Quand Lucie eut terminé, elle se remit à genoux devant Antonin :
- Monsieur le Grand-Duc, je vous prie de pardonner ma maladresse et vous supplie de me sanctionner pour cette faute inacceptable de ma part.
Le Seigneur d’Evans intervient avant qu’il ne puisse répondre.
- Que pense le mériter pour ce genre de faute, chienne ?
- Je… je l’ignore Maître Vénéré, je suis consciente que la faute est grave et je ne peux juger de la sanction car, je suppose, que ce sera en fonction de la douleur que j’ai moi-même causé…
Pendant ce temps, Chloris continuait de s’occuper de Manon allongée et jambes largement écartées sur le tapis. Elle tendit un morceau de cuir à Manon, lui disant.
- Tu as beaucoup trop de poils et je vais te faire mal quand je retirerai la cire, mord là-dedans pour retenir tes cris.
- Attend dit Antonin, qui observait ce que faisait sa femme, j’ai une meilleure idée, dit-il un sourire pervers sur le visage.
- Tu as une idée, mon ami ?
- Oui comme cette chienne de Lucie m’a légèrement mordu, alors au lieu que Manon morde un bout de cuir, elle va lécher cette salope de Lucie et si elle la mord sous la douleur de l’épilation, elle ressentira la même chose que ce qu’elle m’a fait. Aussi Chloris ne prévient pas avant que tu retires la cire car je ne veux pas qu’elle s’y attende (et voyant son regard il ajouta) une objection ?
- Non, dit Chloris, mais je dois prévenir Manon que quand je vais enlever la cire, elle aura très mal. Et aussi, je propose éventuellement pour ne pas faire comprendre à Lucie le moment venu par un regard non attentionné de ma part, que Lucie ait les yeux bandés. En revanche je préviendrais Manon par un clin d’œil du moment venu …
Le Seigneur d’Evans répondit pendant que Lucie allait, déjà, s’asseoir cuisses écartées sur la bouche de Manon.
- Excellente idée Chloris, comme d’habitude, hé bien qu’attends-tu, bande-lui les yeux à cette chienne de Lucie.
Ce qu’elle fit sans attendre. Puis Chloris vérifia la prise de la cire d’abeille sur le sexe de Manon et attendit un long moment. Puis elle lança un regard à Manon suivit d’un clin d’œil signe qu’elle allait retirer la cire d’un coup sec. Et c’est sans violence mais énergiquement qu’elle tira pour tout enlever en une seule fois. Et ce qu’Antonin avait prévu eut lieu, ce ne fut pas les cris de Manon mais ceux de Lucie qui se firent entendre car cette dernière ressentit les dents de Manon se serrer sur sa chatte et sentit cette rapide morsure provoquée par un simple réflexe naturel de Manon due à la crispation de la douleur provoquée. Cette morsure lui provoqua parallèlement une excitation et mouillant de sa cyprine sur ses cuisses, elle gémit de plaisir faisant suite à son cri de douleur. Ensuite Chloris appliqua à Manon n’omettant pas de la caresser légèrement une huile naturelle et apaisante et anti irritations. Par ailleurs, le Seigneur d’Evans lança à Lucie en claquant de nouveau Ses doigts.
- Lucie la chienne, ça suffit, je t’entends gémir comme une femelle en chaleur ! Aux pieds !
Lucie se retira et attendit à genoux, la tête baissée et en retenant ses gémissement de plaisirs. Manon se leva doucement et se plaça debout, jambes écartées devant le Seigneur d’Evans qui procéda à une inspection minutieuse. Il écarta les lèvres intimes de la soumise, passa Ses doigts dans les parois intérieures du vagin, caressa doucement le dessus et le pourtour du sexe fraichement épilé, branla un long moment le clitoris et constata en plus de l’excitation de Manon qui mouillait de se senti ainsi inspectée :
- Si ce n’est les rougeurs, ton sexe est parfaitement lisse à présent. Excellent travail Chloris comme toujours.
- Merci Sire, dit-elle sans pouvoir retenir un bâillement. Je vous présente mes excuses.
- Tu es fatiguée, c’est normal nous le sommes tous, nous avons passé une nuit blanche. L’aube se lève déjà et je veux me détendre un peu.
- Charles, me permets-tu, demanda Antonin en regardant Lucie.
- Je t’en prie, cette chienne est toute à toi, Moi je vais M’occuper de Ma Manon revenue à Mes pieds, ça fait si longtemps…- Sire, je suis désolée mais le sexe de Manon est sensible et à vif, pas que je doute de Votre propreté, ni de la sienne, mais c’est un risque pour elle comme pour Vous.
- Sa chatte peut-être, mais pas son cul, ni sa bouche de chienne que je sache.
- Bien sûr Sire, il n'y a que la partie que j'ai épilé qui est très sensible.
Antonin appela Chloris qui le rejoignit ainsi que Lucie qu’il avait déjà fait mettre en levrette et fit placer Chloris de façon à ce que Lucie puisse la lécher en précisant qu’elle lui apporte du plaisir et qu’elle n'avait pas intérêt à la mordre lorsqu’il la pénétrerait, que si s’était le cas ce serait le fouet… Lucie commença donc à lécher Chloris avec application ce qui les faisaient abondamment mouiller toutes les deux. Antonin sachant très bien cela attendit quelques instants allant de temps en temps fouiller la chatte de Lucie pour en sortir de la mouille afin d’aller lubrifier son anus qu’il avait décidé de posséder… Quand il la jugea presque assez ouverte, Antonin décida d'abord de lui pénétrer sa chatte qui coulait littéralement de cyprine faisant attention à ne pas être trop brusque car il ne voulait pas qu’elle fasse mal à sa Chloris adorée….
Après être allé bien au fond, il fit des va-et-vient au rythme de ses claques, sur son beau cul blanc et arrondi, précisant que cela faisait partie de sa punition, punition dont elle se souviendrait. Quand Antonin vit sur le visage de Chloris qu’elle était sur le point de jouir et lui donna, d’un regard, son autorisation et elle lâcha son orgasme qui fut puissant. Lucie se régala du plaisir de son amie en buvant la mouille de la belle. Au moment même où elle éloignait son visage de la chatte de Chloris, Antonin la prit dans le cul d’un coup de reins puissant et précis car son cul étant bien lubrifié, elle ne sentit pratiquement aucune douleur mais uniquement un intense plaisir qui se décuplait de plus en plus lors de cette saillie anale… Cet accouplement était bestial mais si bon pour les deux … Tandis que Chloris avait reçu l’ordre de se coucher pour lécher les couilles d’Antonin durant le pilonnage de sa bite dans le cul de chienne Lucie… C’était divin …
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