Kate au Château (Saga se passant au Moyen-Age, écrite par Kate & textes améliorés par MDE)
Récit érotique écrit par MAITREDOMINO [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-09-2019 dans la catégorie Dominants et dominés
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Kate au Château (Saga se passant au Moyen-Age, écrite par Kate & textes améliorés par MDE)
Kate au Château (Saga se passant au Moyen-Age, écrite par Kate & textes améliorés par MDE) – (suite de l'épisode précédent N°1304) -
C’était divin …
Pendant ce temps-là, le Seigneur d’Evans s’occupait de Manon, Il avait toujours espéré que ce jour arriverait et qu’elle reviendrait à Ses pieds. Suite au conseil de Chloris, Il ne prit pas possession de sa chatte sensible par cette énergique épilation mais Il ne se priva pas de sa bouche et de son cul. Et c’est en la sodomisant qu’Il lui exprimait à quel point Il était satisfait de son retour.
- Ah Ma Manon, Ma salope, Ma chienne, je reconnais que ton cul de chienne salope bien serré M’a manqué un peu. Et je savais qu’un jour, tu reviendrais à Mes pieds, tu es soumise dans l’âme et je ne Me souviens pas M’être jamais trompé sur les nécessités profondes d’une personne ayant des besoins impératifs de soumission.
Le Seigneur d’Evans pilonna la soumise à grands coups de reins virils et bestiaux dans ce cul largement dilaté et offert. Et c’est dans des ultimes coups effrénés dans des poussées d’un mâle en rut qu’Il jouit dans ce cul qui Lui servait de vide-couilles. Puis Il lui ordonna de Le lécher pour nettoyer Sa noble Verge mollissant. Ce qu’elle fit avec bonheur et reconnaissance car à ses yeux, c’était une des choses qui lui manquaient le plus, ne plus pouvoir lécher, que ce soit pour nettoyer ou pour faire jouir le noble sexe du Maître. Quand elle eut terminé, le Seigneur d’Evans s’allongea sur Sa couche et dit à Manon :
- A genoux, de ce côté au pied du lit, chienne ! Tu peux grimper mais tu te placeras en boule à Mes pieds au fond du lit et je suis magnanime car tu viens de revenir. Si tu te permets encore une fois de discuter Mes ordres, comme te dénuder quand je l’exige, je serai bien plus sévère est- ce clair salope ?
Manon répondit en grimpant sur le lit
- Oui Maître c’est très clair. Je Vous remercie de me faire l’honneur de dormir à Vos Nobles pieds.
Et Il s’endormit rapidement, Manon en boule à Ses pieds… Quant à Antonin, Lucie et Chloris s’étaient eux aussi endormis mais sur le tapis devant la cheminée ou le feu se consumait et après le longs ébats sexuels torrides. Ils étaient certes sur un tapis à même le sol, mais ce tapis était tellement épais et moelleux au chaud devant l’âtre en feu que finalement, ils étaient très confortablement installés bien au chaud… Les jours passaient sans événements vraiment notables, si ce n’est bien entendu que Clémence avait définitivement emménagé au Château et tous en étaient ravis. Quand un jour un matin Antonin et Chloris prenaient le petit déjeuner en compagnie du Seigneur d’Evans lorsque Messire Léon entra :
- Monseigneur, je suis désolé de Vous déranger mais un messager vient d’arriver et demande à voir le Grand-Duc Antonin. Le Seigneur d’Evans répondit.
- Bien, Antonin tu peux le recevoir dans Mon salon privé.
- Merci Charles.
- Antonin veux-tu que je t’accompagne ? lui demanda Chloris.
- Non ma belle, reste ici je vous dirai après, de quoi il en retourne.
Antonin sortit et Chloris resta seule avec le Seigneur d’Evans.
- Dites-Moi Chloris, vous n’avez pas beaucoup d’appétit depuis quelques jours. Seriez-vous souffrante ?
- Je ne sais pas Monseigneur, il est vrai que j’ai peu d’appétit en ce moment, hier soir j’ai eu un léger malaise. Je m’en veux tellement cela d’inquiéter tant Antonin.
- C’est normal, il tient énormément à vous. Mais peut-être votre état est-il normal ?
- Je ne pense pas que c’est ce que Vous semblez croire.
- Si vous le dites, vous le savez probablement mieux que Moi.
Antonin rentra juste à ce moment-là, il avait un visage à la fois un peu triste mais surtout inquiet.
- Je dois me rendre à Saint Ymer sur l’heure, c’est ma grand-mère qui ne va pas bien.
- Attends, je viens avec toi, dit Chloris.
- Non reste ici et repose-toi, tu n’es pas en état de faire une si longue route à cheval. J’irai plus vite seul.
Le Seigneur accompagna son ami jusqu’à la porte.
- Charles, lui dit Antonin, cela fait quelques jours que Chloris ne va pas bien et en plus maintenant elle va s’inquiéter pour ma grand-mère, pour qui, elle a une réelle affection. Je te la confie, essaye de veiller à ce qu’elle mange et se repose suffisamment.
- Elle sera traitée comme une princesse. Quant à toi, tiens-nous au courant et si besoin, nous pourrons te rejoindre là- bas. Bonne route..
- Merci Charles, merci pour tout. Je reviens dès que je peux. Et il partit au grand galop.
Le Seigneur rentra et Il croisa Ronan et Clémence qui Le questionnèrent sur le départ précipité d’Antonin. Il leur expliqua la situation et aussi Sa préoccupation sur l’état de Chloris.
- Oui elle n’a pas l’air bien ces temps-ci. Clémence tu pourrais peut-être l’aider ?
- Oui, si je peux on est devenue assez proche lors de la mission d’Alix et Antonin. Je vais m’occuper d’elle et je le lui dois bien.
Clémence prit son rôle très au sérieux essayant de la distraire au mieux par des jeux, lectures, promenades dans le parc du Château et demanda même à Céline de préparer des plats que Chloris aimait dans l’espoir qu’elle mange un peu plus… Antonin rentra quelques jours plus tard. Il était rassuré certes, sa grand-mère allait mieux, il était aussi soucieux et pensif. Ce qui bien sûr ne pouvait pas échapper à son ami. Ne voulant pas se mêler de sa vie privée Il évitait de le questionner mais un jour n’y tenant plus Il lui demanda :
- Antonin je dois te parler rejoins-Moi en fin d’après-midi dans Mon salon privé, nous parlerons de seul à seul. Pour le moment, je te prie de M’excuser, Ronan et Messire Léon m’attendent au donjon pour la première leçon de Calista, veux- tu te joindre à nous ?
- Non merci Charles, je ne suis pas à cela en ce moment, nous en parlerons tout à l’heure.
Antonin partit de son côté et le Seigneur d’Evans du Sien pour se rendre au donjon. Quand Il enta Messire Léon n’était pas encore arrivé avec celle que Lui avait confié son ami orfèvre, Maître Jean, pour la rendre plus docile, obéissante, polie et surtout moins exclusive.
Le dressage de Calista.
Le Seigneur d’Evans s’installa et Messire Léon arriva quelques instants plus tard avec une Calista visiblement contrariée et qui avait l’air d’avoir déjà tâté de la cravache de Messire Léon.
- Eh bien, nous avons failli attendre, pourquoi ce retard ?
- Je Vous présente mes excuses, mais cette chienne est très mal dressée et j’ai déjà dû la punir pour son insolence et ses caprices inacceptables dans sa condition.
- Je vois. Tu es tout pardonné, mais pas elle. Nous allons commencer par une légère mise au point. Attache-là au centre de la pièce aux chaînes qui pendent du plafond.
- Bien Sire… Viens par ici, salope, et debout.
Messire Léon attacha Calista les bras écartés et relevés au-dessus de la tête le corps bien offert. Ronan se leva le premier et s’approcha d’elle. Elle osa le regarder dans les yeux malgré son regard froid et dominant et il se saisit d’un Martinet.
- Baisse les yeux à ma présence, la chienne.
Et Ronan lui mit un premier coup dans le dos, tandis que le Seigneur d’Evans s’adressa à Calista :
- Je vais t’énoncer quelques règles qu’il va te falloir respecter et pour être sûr que tu retiennes un maximum tu auras un coup à chaque règle, je ne veux rien entendre sauf le silence, suis-je suffisamment clair ?
- Oui, mon Maître.
- J’ai dit silence, et ne t’avise plus de m’appeler mon Maître car premièrement je ne suis pas le Maître qui te soumets et deuxièmement je ne t’appartiens pas. Le ‘mon’ est strictement interdit dans ta bouche de soumise car tu ne possèdes absolument rien du tout.
Un autre coup. Le Seigneur d’Evans continua ainsi en lui énonçant les règles principales du Château telle que garder les yeux baissés en présence de dominant, que sauf contre ordre ou nécessité se déplacer en quadrupédie, que caprices et refus n’étaient pas tolérer, etc, etc… Quand il eut terminé le dos de Calista était déjà bien marqué. Ce fut ensuite Messire Léon qui installa Calista sur une table. Ensuite il l’attacha en levrette sur le plateau de ta table, les cuisses bien écartées, le cul bien exhibé et lui lança :
- Tout à l’heure, je t’ai puni sommairement car nous n’avions pas le temps, maintenant nous l’avons, dit Messire Léon et celui-ci rajouta à l’attention du Seigneur d’Evans : - Sire, je voudrais prendre cette chienne par sa chatte et son cul, sauf si Vous voulez Vous les réserver ?
- Non disposes-en comme bon te semble, mais je veux que durant ce temps, elle me vide les couilles de sa bouche de salope.
Messire Léon déplaça alors la table munie de roulettes et la plaça de façon à ce qu’elle puisse sucer le Seigneur d’Evans pendant que lui l’a prendrais par le cul et la chatte. Calista entendit cela et protesta :
- S’il Vous plaît mon… heu non … Maître, je ne supporte pas d’être prise par derrière, mon Maître ne me m’a jamais sodomisé et je n’aime pas non plus sucer, si je n’aime pas la personne et...
- Silence, coupa Messire Léon avec un coup de cravache sur ses cuisses.
Le Seigneur d’Evans poursuit de sa voix calme et dominante n’admettant aucune réplique.
- On ne te demande pas si tu aimes ou pas, d’ailleurs un Maître ne demande jamais, il exige. Le Maître à qui tu appartiens t’a confié à nous pour justement que tu acceptes toutes ces choses et ici dans Mon Château où Mon donjon, tu n’as pas le choix. Cependant si tu n’as jamais été prise par le cul, j’exigerai de Messire Léon de ne pas te prendre mais de te mettre un olisbos (NDLA : ancêtre du plug) à la place, pas trop gros, afin de commencer à habituer à ce que ton anus se dilate. Et si tu espères que ton trou du cul soit lubrifié pour l’intromission de cet olisbos, tâche de mouiller suffisamment car ce sera avec ta mouille et rien d’autre. Et j’allais oublier, pas un mot, tu peux gémir, crier mais aucune parole, est-ce clair, salope à dresser ?
Calista baisa la tête en signe de soumission pour signifier son accord et son obéissance devant le charisme et les imposantes exigences d’un Grand Maître car face à lui, elle se sentit si petite, si soumise. Messire Léon commença par une volée de claques cinglantes sur son cul et elle, bien qu’elle soit légèrement dégoûtée, léchât de sa langue, la verge tendue du Seigneur d’Evans, tandis que Messire Léon commençait à la fouiller de ses doigts inquisiteurs et lui titiller son clito de salope, qui malgré tout commençait à être excité par la situation. Messire Léon continua son exploration excitante tandis que Calista avait maintenant la queue entière du Seigneur d’Evans dans sa bouche de chienne. Il trouvait que sa façon de sucer laissait largement à désirer mais Il n’y en avait que faire tant Il voulait se vider et se soulager et là était l’essentiel car Il savait qu’Il aurait le temps de l’éduquer et d’en faire une bonne suceuse, une bonne soumise obéissante, docile et qui n’aurait qu’un seul objectif, satisfaire les dominants... À ce moment-là Messire Léon la pénétra mais doucement, il ne voulait pas que s’il était trop brusque, la chienne ne morde le Seigneur.
- Tu mouilles comme une salope en chaleur, mais il va en falloir beaucoup plus pour lubrifier ton trou de chienne.
- J’espère que sa chatte est bonne car sa bouche aura besoin d’une sérieuse éducation.
Cela dura un long moment avant que le Seigneur d’Evans ne laisse échapper quelques jets de sperme. Messire Léon jouit peu de temps après mais sur son dos, car le Seigneur d’Evans lui avait fait comprendre d’un regard que seul sa mouille de chienne devait servir à lui lubrifier le cul et rien d’autre alors pendant qu’elle tentait maladroitement de nettoyer la Noble queue du Seigneur, Messire Léon alla chercher un olisbos en bois dur et bien lisse, pas trop imposant. Il récolta le maximum de cyprine destinée à lubrifier son cul et à préparer son anus. Ensuite, il l’introduisit lentement puis quand il fut bien en place malgré quelques protestations de Calista réprimandées par quelques fortes fessées cuisantes, il manœuvra l’olisbos pour bien le positionner. Puis le Seigneur d’Evans lui exprima :
- Il te va bien. Tu le garderas jusqu’à nouvel ordre.
- Non, je vous en supplie, je ne supporterais pas.
- Encore une fois si tu ne Me nommes pas Maître et que tu discutes Mes décisions, ce sera le cachot, est-ce clair? Je n’ai pas de temps à perdre avec une salope rebelle comme toi- Le … le cachot sombre et humide avec des rats ? Non pas le cachot ! ….Oui Maître, c’est clair, je préfère Vous obéir.
(A suivre…)
C’était divin …
Pendant ce temps-là, le Seigneur d’Evans s’occupait de Manon, Il avait toujours espéré que ce jour arriverait et qu’elle reviendrait à Ses pieds. Suite au conseil de Chloris, Il ne prit pas possession de sa chatte sensible par cette énergique épilation mais Il ne se priva pas de sa bouche et de son cul. Et c’est en la sodomisant qu’Il lui exprimait à quel point Il était satisfait de son retour.
- Ah Ma Manon, Ma salope, Ma chienne, je reconnais que ton cul de chienne salope bien serré M’a manqué un peu. Et je savais qu’un jour, tu reviendrais à Mes pieds, tu es soumise dans l’âme et je ne Me souviens pas M’être jamais trompé sur les nécessités profondes d’une personne ayant des besoins impératifs de soumission.
Le Seigneur d’Evans pilonna la soumise à grands coups de reins virils et bestiaux dans ce cul largement dilaté et offert. Et c’est dans des ultimes coups effrénés dans des poussées d’un mâle en rut qu’Il jouit dans ce cul qui Lui servait de vide-couilles. Puis Il lui ordonna de Le lécher pour nettoyer Sa noble Verge mollissant. Ce qu’elle fit avec bonheur et reconnaissance car à ses yeux, c’était une des choses qui lui manquaient le plus, ne plus pouvoir lécher, que ce soit pour nettoyer ou pour faire jouir le noble sexe du Maître. Quand elle eut terminé, le Seigneur d’Evans s’allongea sur Sa couche et dit à Manon :
- A genoux, de ce côté au pied du lit, chienne ! Tu peux grimper mais tu te placeras en boule à Mes pieds au fond du lit et je suis magnanime car tu viens de revenir. Si tu te permets encore une fois de discuter Mes ordres, comme te dénuder quand je l’exige, je serai bien plus sévère est- ce clair salope ?
Manon répondit en grimpant sur le lit
- Oui Maître c’est très clair. Je Vous remercie de me faire l’honneur de dormir à Vos Nobles pieds.
Et Il s’endormit rapidement, Manon en boule à Ses pieds… Quant à Antonin, Lucie et Chloris s’étaient eux aussi endormis mais sur le tapis devant la cheminée ou le feu se consumait et après le longs ébats sexuels torrides. Ils étaient certes sur un tapis à même le sol, mais ce tapis était tellement épais et moelleux au chaud devant l’âtre en feu que finalement, ils étaient très confortablement installés bien au chaud… Les jours passaient sans événements vraiment notables, si ce n’est bien entendu que Clémence avait définitivement emménagé au Château et tous en étaient ravis. Quand un jour un matin Antonin et Chloris prenaient le petit déjeuner en compagnie du Seigneur d’Evans lorsque Messire Léon entra :
- Monseigneur, je suis désolé de Vous déranger mais un messager vient d’arriver et demande à voir le Grand-Duc Antonin. Le Seigneur d’Evans répondit.
- Bien, Antonin tu peux le recevoir dans Mon salon privé.
- Merci Charles.
- Antonin veux-tu que je t’accompagne ? lui demanda Chloris.
- Non ma belle, reste ici je vous dirai après, de quoi il en retourne.
Antonin sortit et Chloris resta seule avec le Seigneur d’Evans.
- Dites-Moi Chloris, vous n’avez pas beaucoup d’appétit depuis quelques jours. Seriez-vous souffrante ?
- Je ne sais pas Monseigneur, il est vrai que j’ai peu d’appétit en ce moment, hier soir j’ai eu un léger malaise. Je m’en veux tellement cela d’inquiéter tant Antonin.
- C’est normal, il tient énormément à vous. Mais peut-être votre état est-il normal ?
- Je ne pense pas que c’est ce que Vous semblez croire.
- Si vous le dites, vous le savez probablement mieux que Moi.
Antonin rentra juste à ce moment-là, il avait un visage à la fois un peu triste mais surtout inquiet.
- Je dois me rendre à Saint Ymer sur l’heure, c’est ma grand-mère qui ne va pas bien.
- Attends, je viens avec toi, dit Chloris.
- Non reste ici et repose-toi, tu n’es pas en état de faire une si longue route à cheval. J’irai plus vite seul.
Le Seigneur accompagna son ami jusqu’à la porte.
- Charles, lui dit Antonin, cela fait quelques jours que Chloris ne va pas bien et en plus maintenant elle va s’inquiéter pour ma grand-mère, pour qui, elle a une réelle affection. Je te la confie, essaye de veiller à ce qu’elle mange et se repose suffisamment.
- Elle sera traitée comme une princesse. Quant à toi, tiens-nous au courant et si besoin, nous pourrons te rejoindre là- bas. Bonne route..
- Merci Charles, merci pour tout. Je reviens dès que je peux. Et il partit au grand galop.
Le Seigneur rentra et Il croisa Ronan et Clémence qui Le questionnèrent sur le départ précipité d’Antonin. Il leur expliqua la situation et aussi Sa préoccupation sur l’état de Chloris.
- Oui elle n’a pas l’air bien ces temps-ci. Clémence tu pourrais peut-être l’aider ?
- Oui, si je peux on est devenue assez proche lors de la mission d’Alix et Antonin. Je vais m’occuper d’elle et je le lui dois bien.
Clémence prit son rôle très au sérieux essayant de la distraire au mieux par des jeux, lectures, promenades dans le parc du Château et demanda même à Céline de préparer des plats que Chloris aimait dans l’espoir qu’elle mange un peu plus… Antonin rentra quelques jours plus tard. Il était rassuré certes, sa grand-mère allait mieux, il était aussi soucieux et pensif. Ce qui bien sûr ne pouvait pas échapper à son ami. Ne voulant pas se mêler de sa vie privée Il évitait de le questionner mais un jour n’y tenant plus Il lui demanda :
- Antonin je dois te parler rejoins-Moi en fin d’après-midi dans Mon salon privé, nous parlerons de seul à seul. Pour le moment, je te prie de M’excuser, Ronan et Messire Léon m’attendent au donjon pour la première leçon de Calista, veux- tu te joindre à nous ?
- Non merci Charles, je ne suis pas à cela en ce moment, nous en parlerons tout à l’heure.
Antonin partit de son côté et le Seigneur d’Evans du Sien pour se rendre au donjon. Quand Il enta Messire Léon n’était pas encore arrivé avec celle que Lui avait confié son ami orfèvre, Maître Jean, pour la rendre plus docile, obéissante, polie et surtout moins exclusive.
Le dressage de Calista.
Le Seigneur d’Evans s’installa et Messire Léon arriva quelques instants plus tard avec une Calista visiblement contrariée et qui avait l’air d’avoir déjà tâté de la cravache de Messire Léon.
- Eh bien, nous avons failli attendre, pourquoi ce retard ?
- Je Vous présente mes excuses, mais cette chienne est très mal dressée et j’ai déjà dû la punir pour son insolence et ses caprices inacceptables dans sa condition.
- Je vois. Tu es tout pardonné, mais pas elle. Nous allons commencer par une légère mise au point. Attache-là au centre de la pièce aux chaînes qui pendent du plafond.
- Bien Sire… Viens par ici, salope, et debout.
Messire Léon attacha Calista les bras écartés et relevés au-dessus de la tête le corps bien offert. Ronan se leva le premier et s’approcha d’elle. Elle osa le regarder dans les yeux malgré son regard froid et dominant et il se saisit d’un Martinet.
- Baisse les yeux à ma présence, la chienne.
Et Ronan lui mit un premier coup dans le dos, tandis que le Seigneur d’Evans s’adressa à Calista :
- Je vais t’énoncer quelques règles qu’il va te falloir respecter et pour être sûr que tu retiennes un maximum tu auras un coup à chaque règle, je ne veux rien entendre sauf le silence, suis-je suffisamment clair ?
- Oui, mon Maître.
- J’ai dit silence, et ne t’avise plus de m’appeler mon Maître car premièrement je ne suis pas le Maître qui te soumets et deuxièmement je ne t’appartiens pas. Le ‘mon’ est strictement interdit dans ta bouche de soumise car tu ne possèdes absolument rien du tout.
Un autre coup. Le Seigneur d’Evans continua ainsi en lui énonçant les règles principales du Château telle que garder les yeux baissés en présence de dominant, que sauf contre ordre ou nécessité se déplacer en quadrupédie, que caprices et refus n’étaient pas tolérer, etc, etc… Quand il eut terminé le dos de Calista était déjà bien marqué. Ce fut ensuite Messire Léon qui installa Calista sur une table. Ensuite il l’attacha en levrette sur le plateau de ta table, les cuisses bien écartées, le cul bien exhibé et lui lança :
- Tout à l’heure, je t’ai puni sommairement car nous n’avions pas le temps, maintenant nous l’avons, dit Messire Léon et celui-ci rajouta à l’attention du Seigneur d’Evans : - Sire, je voudrais prendre cette chienne par sa chatte et son cul, sauf si Vous voulez Vous les réserver ?
- Non disposes-en comme bon te semble, mais je veux que durant ce temps, elle me vide les couilles de sa bouche de salope.
Messire Léon déplaça alors la table munie de roulettes et la plaça de façon à ce qu’elle puisse sucer le Seigneur d’Evans pendant que lui l’a prendrais par le cul et la chatte. Calista entendit cela et protesta :
- S’il Vous plaît mon… heu non … Maître, je ne supporte pas d’être prise par derrière, mon Maître ne me m’a jamais sodomisé et je n’aime pas non plus sucer, si je n’aime pas la personne et...
- Silence, coupa Messire Léon avec un coup de cravache sur ses cuisses.
Le Seigneur d’Evans poursuit de sa voix calme et dominante n’admettant aucune réplique.
- On ne te demande pas si tu aimes ou pas, d’ailleurs un Maître ne demande jamais, il exige. Le Maître à qui tu appartiens t’a confié à nous pour justement que tu acceptes toutes ces choses et ici dans Mon Château où Mon donjon, tu n’as pas le choix. Cependant si tu n’as jamais été prise par le cul, j’exigerai de Messire Léon de ne pas te prendre mais de te mettre un olisbos (NDLA : ancêtre du plug) à la place, pas trop gros, afin de commencer à habituer à ce que ton anus se dilate. Et si tu espères que ton trou du cul soit lubrifié pour l’intromission de cet olisbos, tâche de mouiller suffisamment car ce sera avec ta mouille et rien d’autre. Et j’allais oublier, pas un mot, tu peux gémir, crier mais aucune parole, est-ce clair, salope à dresser ?
Calista baisa la tête en signe de soumission pour signifier son accord et son obéissance devant le charisme et les imposantes exigences d’un Grand Maître car face à lui, elle se sentit si petite, si soumise. Messire Léon commença par une volée de claques cinglantes sur son cul et elle, bien qu’elle soit légèrement dégoûtée, léchât de sa langue, la verge tendue du Seigneur d’Evans, tandis que Messire Léon commençait à la fouiller de ses doigts inquisiteurs et lui titiller son clito de salope, qui malgré tout commençait à être excité par la situation. Messire Léon continua son exploration excitante tandis que Calista avait maintenant la queue entière du Seigneur d’Evans dans sa bouche de chienne. Il trouvait que sa façon de sucer laissait largement à désirer mais Il n’y en avait que faire tant Il voulait se vider et se soulager et là était l’essentiel car Il savait qu’Il aurait le temps de l’éduquer et d’en faire une bonne suceuse, une bonne soumise obéissante, docile et qui n’aurait qu’un seul objectif, satisfaire les dominants... À ce moment-là Messire Léon la pénétra mais doucement, il ne voulait pas que s’il était trop brusque, la chienne ne morde le Seigneur.
- Tu mouilles comme une salope en chaleur, mais il va en falloir beaucoup plus pour lubrifier ton trou de chienne.
- J’espère que sa chatte est bonne car sa bouche aura besoin d’une sérieuse éducation.
Cela dura un long moment avant que le Seigneur d’Evans ne laisse échapper quelques jets de sperme. Messire Léon jouit peu de temps après mais sur son dos, car le Seigneur d’Evans lui avait fait comprendre d’un regard que seul sa mouille de chienne devait servir à lui lubrifier le cul et rien d’autre alors pendant qu’elle tentait maladroitement de nettoyer la Noble queue du Seigneur, Messire Léon alla chercher un olisbos en bois dur et bien lisse, pas trop imposant. Il récolta le maximum de cyprine destinée à lubrifier son cul et à préparer son anus. Ensuite, il l’introduisit lentement puis quand il fut bien en place malgré quelques protestations de Calista réprimandées par quelques fortes fessées cuisantes, il manœuvra l’olisbos pour bien le positionner. Puis le Seigneur d’Evans lui exprima :
- Il te va bien. Tu le garderas jusqu’à nouvel ordre.
- Non, je vous en supplie, je ne supporterais pas.
- Encore une fois si tu ne Me nommes pas Maître et que tu discutes Mes décisions, ce sera le cachot, est-ce clair? Je n’ai pas de temps à perdre avec une salope rebelle comme toi- Le … le cachot sombre et humide avec des rats ? Non pas le cachot ! ….Oui Maître, c’est clair, je préfère Vous obéir.
(A suivre…)
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