Kathy la soumise
Récit érotique écrit par JKJ33 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-11-2023 dans la catégorie Pour la première fois
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Kathy la soumise
Je me dépêche, chaque minute est comptée. Le rendez-vous est dans un bel hôtel, nous n’avons que deux heures. Je sais qu’elle est déjà là, elle m’attend. Elle a pris soin de prendre une douche, de se maquiller, de se parfumer. Le désir monte dans ces dernières minutes de séparation.
A peine rentré dans la chambre, elle se jette sur moi avec fougue et dos à la porte, elle ne me laisse pas le temps de parler. Nos regards suffisent et déjà nos langues se mêlent, nos mains explorent l’anatomie de l’autre. Sa main déboutonne déjà ma chemise et me caresse le torse. Les miennes descendent alors de son visage vers son corps souple et félin. Je sens sous sa robe légère les coutures d’une guêpière ou d’un bustier. Je descends plus bas, ses fesses fermes ne sont couvertes qu’à minima d’un string et déjà je sens une jarretelle sur le côté. Elle connait mes goûts en matière de lingerie et cherche à attiser mon désir. Je ne peux donc que profiter de ce contact soyeux avec sa peau et avec ses bas. Je pense déjà à embrasser toutes ces parties mais nos bouches sont toujours collées. Je remonte la main en passant par son ventre pour m’arrêter longuement sur ses seins emprisonnés dans une coque un peu rigide. Bustier porte jarrettes et non guêpière, parfait je pourrai profiter de sa poitrine sans la dévêtir totalement. Au rythme de sa respiration, je comprends qu’elle apprécie la force qui se dégage de mon envie. Elle m’a déjà dévêtit le haut et s’attaque à mon pantalon. J’aime ce moment-là. Sans aller trop vite, elle me caresse le sexe à travers le caleçon et me titille les tétons. Le reste de son rouge à lèvre doit s’effacer sur ma poitrine. Elle s’accroupie et descend alors lentement vers ce qui est aussi dur qu’une barre de fer.
Je ne la laisse pas faire, aujourd’hui c’est moi qui dirige les opérations. Je la relève et avec force je la retourne. Le dos sur mon torse nu, je l’embrasse dans le cou, les oreilles et je la dévêtis. Je m’écarte alors pour la contempler. Elle est belle, je la désire. Je reconnais un ensemble Aubade de je ne sais quelle leçon, chic et sexy, ses grandes jambes sont gainées de bas noirs, ses hanches fines sont mises en valeur par le serre taille. Elle porte des hauts talons rouges. Le tout est vraiment sexy et provoquant à souhait. Je dégrafe le bustier qui m’empêche de caresser ses petits seins. Je la plaque de nouveau sur mon torse et la caresse de plus belle avec puissance. Elle sent ma force et se soumet.
Je tire alors de mon sac un bandeau et des menottes. Les mains dans le dos et les yeux bandées, en porte jarrettes et les seins bien dressés par cette position, elle est vraiment bandante. Prête à tout, je sens sa chatte mouiller. Je la mets à genou. Déjà, elle ouvre sa bouche à la recherche de quelque chose à lécher. En réponse je ne lui donne qu’un langoureux baiser. Je sors alors une cravache et cette fois-ci c’est avec délicatesse que j’effleure sa peau. Du cou aux seins, du ventre au sexe, je m’attarde. Elle frisonne quand je bascule dans le dos, glissant l’ustensile jusque dans la raie des fesses sous le string. Je donne quelques coups sur les fesses. Cela lui fait un peu mal et elles rougissent. Elle passe des gémissements aux plaintes. Je me rabats alors sur son sexe, bien rasé court sans être totalement épilé, ainsi que je lui avais demandé. Le va-et-vient de la cravache l’excite encore plus que moi semble-t-il. Elle écarte instinctivement les cuisses. Au bout de quelque temps, n’y tenant plus elle me réclame, elle veut mon sexe. Je me mets alors également à croupie et je l’embrasse fougueusement. Mes mains prennent le relais de la cravache et je la masturbe. Elle crie, j’aime lui donner du plaisir. Profitant qu’elle ne voit rien, je sors alors mon dernier instrument de plaisir : un fin vibromasseur. Elle semble bien surprise, peut-être n’a elle pas l’habitude ou sera-t-elle choquée, ce n’est pas grave, ce n’est pas le moment de poser la question. C’est moi qui dirige. Je l’observe pendant que les vibrations taquinent son intérieure. A genoux, les mains attachées dans le dos, cambré, elle bascule la tête en arrière sur le rebord du lit et me donne ainsi ses seins à embrasser. Je me concentre sur son plaisir pour essayer d’oublier que je suis prêt d’éjaculer dans mon boxer. Je la branle maintenant sans retenue et elle a un bel orgasme. J’aime ses cris.
Je lui enlève le bandeau et lui met les menottes sur le devant pour plus de confort. Nous nous embrassons encore et elle veut prendre sa revanche. Déjà je sens ses mains prisonnières chercher mon sexe. Je la lève et la pose sur le lit. Avec le bandeau j’attache les mains menottées sur la barre supérieure du lit. Elle est encore ma prisonnière, je n’en ai pas fini avec elle. Elle me réclame, mais, nouveau supplice, je la laisse telle quelle et je rejoins la salle de bain. C’est idiot mais je suis assez à cheval sur l’hygiène et cette fois-ci je n’avais pu prendre de douche avant de venir.
Je réapparais ainsi nu et propre, le sexe refroidi. Attachée, elle ne peut ni se donner du plaisir ni m’en donner. Elle est belle comme cela, vulnérable et en chaleur ! Je commence de nouveau mes caresses et baisers. Elle est encore toute mouillée et désire maintenant être prise. J’approche mon sexe de sa bouche et lui ordonne de me sucer. Elle s’exécute avec diligence. Sans les mains c’est même meilleure ! Elle sait s’y prendre, elle y met toute son ardeur connaissant mon penchant pour la fellation. Je pourrais éjaculer comme ça. Dans sa bouche, sur son visage, sur ses seins, attachée elle est à ma merci. Toutefois, si l’envie est bien là, je ne ferais pas cela d’autorité. Tout jeu a ses limites et cela ne me semble pas respectueux. Je mets alors les deux oreillers sous son dos pour relever son bassin et je la pénètre doucement. Quel bonheur, quelle chaleur. Nul besoin de lubrifiant, je sens que je suis attendu… Le plaisir est amplifié par le string qui fait frottement sur mon sexe. Je sens qu’elle se contracte et serre son vagin pour m’offrir plus de plaisir. Elle veut être détachée pour m’enlacer, je ne peux refuser ! Je l’aurai bien retourné pour la prendre en levrette afin de mieux profiter de la vue de son petit cul gainé des jarretelles et d’un string, mais ce sera pour une prochaine fois. De toute façon, je ne peux me retenir plus longtemps et c’est dans cette tendresse et ensemble que nous jouissons.
A peine rentré dans la chambre, elle se jette sur moi avec fougue et dos à la porte, elle ne me laisse pas le temps de parler. Nos regards suffisent et déjà nos langues se mêlent, nos mains explorent l’anatomie de l’autre. Sa main déboutonne déjà ma chemise et me caresse le torse. Les miennes descendent alors de son visage vers son corps souple et félin. Je sens sous sa robe légère les coutures d’une guêpière ou d’un bustier. Je descends plus bas, ses fesses fermes ne sont couvertes qu’à minima d’un string et déjà je sens une jarretelle sur le côté. Elle connait mes goûts en matière de lingerie et cherche à attiser mon désir. Je ne peux donc que profiter de ce contact soyeux avec sa peau et avec ses bas. Je pense déjà à embrasser toutes ces parties mais nos bouches sont toujours collées. Je remonte la main en passant par son ventre pour m’arrêter longuement sur ses seins emprisonnés dans une coque un peu rigide. Bustier porte jarrettes et non guêpière, parfait je pourrai profiter de sa poitrine sans la dévêtir totalement. Au rythme de sa respiration, je comprends qu’elle apprécie la force qui se dégage de mon envie. Elle m’a déjà dévêtit le haut et s’attaque à mon pantalon. J’aime ce moment-là. Sans aller trop vite, elle me caresse le sexe à travers le caleçon et me titille les tétons. Le reste de son rouge à lèvre doit s’effacer sur ma poitrine. Elle s’accroupie et descend alors lentement vers ce qui est aussi dur qu’une barre de fer.
Je ne la laisse pas faire, aujourd’hui c’est moi qui dirige les opérations. Je la relève et avec force je la retourne. Le dos sur mon torse nu, je l’embrasse dans le cou, les oreilles et je la dévêtis. Je m’écarte alors pour la contempler. Elle est belle, je la désire. Je reconnais un ensemble Aubade de je ne sais quelle leçon, chic et sexy, ses grandes jambes sont gainées de bas noirs, ses hanches fines sont mises en valeur par le serre taille. Elle porte des hauts talons rouges. Le tout est vraiment sexy et provoquant à souhait. Je dégrafe le bustier qui m’empêche de caresser ses petits seins. Je la plaque de nouveau sur mon torse et la caresse de plus belle avec puissance. Elle sent ma force et se soumet.
Je tire alors de mon sac un bandeau et des menottes. Les mains dans le dos et les yeux bandées, en porte jarrettes et les seins bien dressés par cette position, elle est vraiment bandante. Prête à tout, je sens sa chatte mouiller. Je la mets à genou. Déjà, elle ouvre sa bouche à la recherche de quelque chose à lécher. En réponse je ne lui donne qu’un langoureux baiser. Je sors alors une cravache et cette fois-ci c’est avec délicatesse que j’effleure sa peau. Du cou aux seins, du ventre au sexe, je m’attarde. Elle frisonne quand je bascule dans le dos, glissant l’ustensile jusque dans la raie des fesses sous le string. Je donne quelques coups sur les fesses. Cela lui fait un peu mal et elles rougissent. Elle passe des gémissements aux plaintes. Je me rabats alors sur son sexe, bien rasé court sans être totalement épilé, ainsi que je lui avais demandé. Le va-et-vient de la cravache l’excite encore plus que moi semble-t-il. Elle écarte instinctivement les cuisses. Au bout de quelque temps, n’y tenant plus elle me réclame, elle veut mon sexe. Je me mets alors également à croupie et je l’embrasse fougueusement. Mes mains prennent le relais de la cravache et je la masturbe. Elle crie, j’aime lui donner du plaisir. Profitant qu’elle ne voit rien, je sors alors mon dernier instrument de plaisir : un fin vibromasseur. Elle semble bien surprise, peut-être n’a elle pas l’habitude ou sera-t-elle choquée, ce n’est pas grave, ce n’est pas le moment de poser la question. C’est moi qui dirige. Je l’observe pendant que les vibrations taquinent son intérieure. A genoux, les mains attachées dans le dos, cambré, elle bascule la tête en arrière sur le rebord du lit et me donne ainsi ses seins à embrasser. Je me concentre sur son plaisir pour essayer d’oublier que je suis prêt d’éjaculer dans mon boxer. Je la branle maintenant sans retenue et elle a un bel orgasme. J’aime ses cris.
Je lui enlève le bandeau et lui met les menottes sur le devant pour plus de confort. Nous nous embrassons encore et elle veut prendre sa revanche. Déjà je sens ses mains prisonnières chercher mon sexe. Je la lève et la pose sur le lit. Avec le bandeau j’attache les mains menottées sur la barre supérieure du lit. Elle est encore ma prisonnière, je n’en ai pas fini avec elle. Elle me réclame, mais, nouveau supplice, je la laisse telle quelle et je rejoins la salle de bain. C’est idiot mais je suis assez à cheval sur l’hygiène et cette fois-ci je n’avais pu prendre de douche avant de venir.
Je réapparais ainsi nu et propre, le sexe refroidi. Attachée, elle ne peut ni se donner du plaisir ni m’en donner. Elle est belle comme cela, vulnérable et en chaleur ! Je commence de nouveau mes caresses et baisers. Elle est encore toute mouillée et désire maintenant être prise. J’approche mon sexe de sa bouche et lui ordonne de me sucer. Elle s’exécute avec diligence. Sans les mains c’est même meilleure ! Elle sait s’y prendre, elle y met toute son ardeur connaissant mon penchant pour la fellation. Je pourrais éjaculer comme ça. Dans sa bouche, sur son visage, sur ses seins, attachée elle est à ma merci. Toutefois, si l’envie est bien là, je ne ferais pas cela d’autorité. Tout jeu a ses limites et cela ne me semble pas respectueux. Je mets alors les deux oreillers sous son dos pour relever son bassin et je la pénètre doucement. Quel bonheur, quelle chaleur. Nul besoin de lubrifiant, je sens que je suis attendu… Le plaisir est amplifié par le string qui fait frottement sur mon sexe. Je sens qu’elle se contracte et serre son vagin pour m’offrir plus de plaisir. Elle veut être détachée pour m’enlacer, je ne peux refuser ! Je l’aurai bien retourné pour la prendre en levrette afin de mieux profiter de la vue de son petit cul gainé des jarretelles et d’un string, mais ce sera pour une prochaine fois. De toute façon, je ne peux me retenir plus longtemps et c’est dans cette tendresse et ensemble que nous jouissons.
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