Kentin 16 La rupture
Récit érotique écrit par Kentin [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-05-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Kentin 16 La rupture
La mise au point a eu lieu quelques jours plus tard.
- Corinne, je ne souhaite plus que Kristina revienne dans cette maison...
- Tu est jaloux de la relation que je peux avoir avec elle. Oui, j’aime faire l’amour avec elle. Elle me fait découvrir des sensations nouvelles, elle m’offre une complicité que je n’ai que rarement connue.
-C’est là que tu te trompes. La relation que tu as avec elle est asymétrique. Kristina est une femme dominatrice, lesbienne assumée. Nous ne sommes pas de taille à lutter contre elle. Elle va briser notre famille. Tu es amoureuse et tu ne vois pas les regards distants qu’elle a parfois. c’est dans ces moments là que l’on voit qu’elle joue un rôle. Et toi tu ne vois rien, tu es tellement fascinée par cette femme. Tu es prête à tout pour elle, elle te fait perdre ton discernement. Tu es une proie facile pour elle. Mais elle se lassera de toi même si tu abandonnes tout pour elle. Elle te prendra ta famille, ta fille, ta maison, mais tu n’arriveras jamais à la retenir. Elle finira par te laisser, vidée de l’intérieur, car c’est une prédatrice.
-Bon tu as fini ton grand numéro! Si tu ne veux plus voir Kristina et bien j’irai la rejoindre quoi que tu dise.
Elle attendait désormais les SMS et coups de fil de cette femme comme une ado amoureuse. Le manque de réponse la rendait nerveuse. Elle vivait sur le fil du rasoir alternant euphorie et angoisse. Et Kristina savait jouer de ce manque pour mieux l’asservir. Pour ma part j’étais lucide, je savais qu’elle avait perdu pied et je reprennais le dessus. Certaines soirées où elle quittait la maison et où elle allait directement au travail sans passer par la maison et je n’ai jamais rien su de ce qu’elle vivait. Elle avait rompu sa promesse de transparence. Je l’ai perdue ces jours là, je n’existais plus pour elle.Je souffrais en silence, mais je savais que tôt où tard l’heure du chagrin et du désamour viendrait.
Au bout de quelques semaines, j’ai cru percevoir des éclats de voix lors d’une conversation téléphonique. Puis j’ai récupéré Corinne en pleur dans mes bras, inconsolable.
-Je suis sûre qu’elle me trompe avec une autre.
-Comment, peux tu en être sure?
-Je ne sais pas. Je la sens distante. Elle ne m’appelle plus aussi souvent. Et quand nous sommes ensemble tout est la la fois pareil et à la fois différent. Je suis prête à lui donner plus, mais elle semble avoir figé les choses. Comme si elle refusait que notre relation s’épanouisse.
-Tes intuitions sont peut-être justifiées. Tu sais que pour ma part, j’ai un aversion pour cette femme. Tu penses à tort que je suis jaloux. Mais au fond, je souffres que tu sois malheureuse à cause d’elle.
Elle s’est jetée en pleurs dans mes bras. Ses larmes étaient chaudes et sincères. Son corps était mou, doux et aimant. Je comptais vraiment pour elle à ce moment et je le sentais au fond de moi. J’avais besoin de ce contact de cette fusion. j’avais tellement douté, d’elle, de nous. J’avais tellement peur qu’elle me quitte pour cette femme.
- J’en ai vraiment marre. Marre de de la vie qu’elle me fait mener. Je suis trop dépendante d’elle. Je ne peux pas passer 10 minutes sans vérifier qu‘elle m’a laissé un message.
-Si c’est cela, tu n’as qu’à te passer de ton portable…
Corinne.
Si je reprends la plume ce n’est pas pour dire que le récit de Kentin est tissu de mensonges et que tout cela me révulse. Comme dans tout récit, il y a une part de vérité et une part de fantasme. Et pour vivre depuis si longtemps avec Kentin, je sais que dans ce récit, il se livre comme jamais avec une étonnante sincérité. Il ne doit pas être facile pour un homme, et pas seulement pour lui, d’avouer ses faiblesses, ses doutes, son manque d’assurance, même sous couvert d’anonymat. Et si j’en juge par les réactions à son récit, le regard porté sur sa sincérité est parfois lourd à porter. Je le sens affecté par certaines réactions, c’est pourquoi les pages qui s’accumulent ne sont pas publiées. J’ai pris goût à ce récit. Je ne sais si ces pages seront publiées, mais je me prise moi aussi à ce jeu et je fais comme si... Je pense que notre vie actuelle m’a rendue plus tolérante et ouverte à ces propos que je jugeais avant vulgaire et outrancier. Trop longtemps, j’ai été fermée, colérique parce que je me refusais d’aborder cette part de mes désirs les plus enfouis. Kristina, malgré la douleur que m’a causé notre relation, a été une étape importante dans ma propre évolution.
Trop naïve, je l’ai sans doute été, mais comment faire autrement? Je me suis ouverte à elle comme un livre et elle a su, en tant que libertine assumée, se jouer de moi. Et je dois avouer que je me suis comportée comme une midinette. Si j’ai partagé parfois l’intimité de leur couple (elle m’a offerte à son époux à plusieurs reprises), cet incursion dans un monde décomplexé a été une impression étrange. Le plaisir que j’ai éprouvé avec elle – et je ne cherche pas à le nier- était dérisoire par rapport aux perspectives qu’elle m’a ouvert. Je crois, à ce jour, qu’elle restera la seule expérience sensuelle que j’aurais à vivre avec une femme.
Kentin
Comme dans toute période rupture, le tunnel a été long et sombre. Heureusement nous avions acquis une discipline dans notre quotidien qui nous a permis de tenir le coup. Mon épouse essayait de résister malgré l’attraction de cette femme nocive. Elle se réfugiait dans le travail. Nous n’avions plus d’intimité. Elle ne s’occupait plus de moi, même pas pour m’humilier ou me traire. Et je dois dire que ces traitements que d’aucuns trouvent avilissants me manquaient. On peut trouver que les brimades qu’elle me faisait subir étaient humiliantes mais je vivais dans une forme d’excitation perpétuelle inassouvie qui renforçait mon excitation et ceci dans un cercle sans fin qu’elle venait de rompre. Et je dois dire que l’absence de ces attentions de sa part me faisait douter de son amour. Il m’arrivait parfois de me rendre à lieux de rendez-vous homosexuels. J’observais depuis ma voiture les étranges rituels de ces hommes auxquels je n’osais me mêler. Je m’imaginais les suivre dans les toilettes ou dans les bois et me faire humilier par eux. Mais tout cela restait de l’ordre du fantasme. Jamais je n’ai osé franchir la barrière de mon habitacle automobile.
Cela a pris des mais,etit à petit, Corinne et moi nous avons repris le dessus. Nous couchions de nouveau ensemble et nous avions une intimité tendre à défaut d’être sexuelle. C’est comme si nous cherchions à rebâtir une relation trop longtemps malmenée. En tout cas, c’est comme cela que je le ressentais car nous ne mettions pas de mots sur ce nous reconstruisions. La sortie du tunnel a été lente mais j’en garde un souvenir heureux. Chaque journée état porteuse d’une éclaircie et je savais que la reconquête était en route. En était-il de même pour Corinne? Je l’ignore. Sa tolérance à mon égard, sa patience aussi progressaient et même si elle avait encore des accès de mélancolie, je sentais qu’elle allait mieux.
-J’ai envie de ta bouche, mon chéri.
Je l’embrassais tendrement, ses lèvres étaient entrouvertes et humides. C’était si bon.
-Pas là. Entre mes jambes.
Mon coeur s’est mis à battre à cent à l’heure. Ma bouche a embrassé ses seins à travers sa chemise, son ventre ferme puis je suis descendu jusqu’à sa culotte que je me suis suis mis à lécher avec avidité. Je me repaissais de ses odeurs à travers le tissu. Le manque attisait mes sens. Chaque flagrance éveillait en moi le désir non maîtrisé de la saillir sur le champ et de me répandre en deux coups de reins. Tout ceci m’était interdit si je ne voulais pas interrompre ce moment si rare. J’imaginais que l’humidité de sa culotte était celle de son désir désirante alors que c’était probablement celui de ma salive.
-Doucement, ne te précipite. Donne moi du plaisir. Applique toi.
Elle a écarté sa culotte laissant apparaître ses lèvres intimes. Il me semblait que son sexe n’était plus le même, que sa chatte avait grandi, que ses lèvres s’étaient étirées. Je goûtais désormais à la source de son désir. Ma langue pénétrait son antre comme ma bite aurait pu le faire. J’aurais voulu aussi lui lécher le cul, l’enculer avec ma langue, marquer dans ma mémoire la trace de ces odeurs interdites et immondes y retrouver les traces de ses amants.
-Applique toi sur mon bouton.
Je m’appliquais donc à lécher son clitoris d’abord lentement puis de plus en vite. Je sentais sa chatte béante s’ouvrir et se fermer sur un vide que je voulais combler. Je n’ai pas réfléchi aux conséquences. J’ai remonté le long de son corps. Son ventre, ses seins son cou. Elle n’a pas refermé les jambes. Je me suis introduit en elle et j’ai pu enfin goûter à la chaleur de son intimité sur ma queue bandée. Ce moment qui doit vous paraître banal était pour moi délicieux tant il était rare et tant je l’avais désiré. Je lui alors fait l’amour avec toute ma sincérité et tout mon amour. Je retrouvais ma naïveté, mon innocence, tout semblait comme une première renaissance. Son corps répondait à mon désir. J’avais l’impression de retrouver des impressions oubliées. Et puis tout s’est emballé, mon plaisir a submergé mon désir et j’ai joui en elle en poussant un hurlement de jouissance.
- Et bien, mon chéri. Ça t’en fait des choses. Tu vois ce n’est pas si difficile. Il ne faut pas se prendre la tête et ça fini par revenir.
-Je croyais que plus jamais tu ne voudrais de moi.
-Au contraire, c’est toi que je désire au plus profond. Toi, le vrai Kentin et pas un autre. Pas les autres Kentin avec leurs lubies absurdes et leur envies tordues.
- Je voudrais que tu sois à moi pour toujours.
-Ne recommences pas à faire l’enfant. Tu sais que tu es à moi que prendrai toujours soin de toi. Et si tu désires faire l’amour à nouveau, j’aimerais que tu portes des préservatifs car j’ai décidé de ne plus prendre de contraception puisqu’en ce moment je n’ai pas d’amant et dehors de toi mon chéri.
-Mais tu n’as pas peur… Pour cette fois.
-Non, non. Je sais où j’en suis de mon cycle. Et en plus je ne sens plus libre dans mes désirs sans prendre quoi que ce soit.
- Corinne, je ne souhaite plus que Kristina revienne dans cette maison...
- Tu est jaloux de la relation que je peux avoir avec elle. Oui, j’aime faire l’amour avec elle. Elle me fait découvrir des sensations nouvelles, elle m’offre une complicité que je n’ai que rarement connue.
-C’est là que tu te trompes. La relation que tu as avec elle est asymétrique. Kristina est une femme dominatrice, lesbienne assumée. Nous ne sommes pas de taille à lutter contre elle. Elle va briser notre famille. Tu es amoureuse et tu ne vois pas les regards distants qu’elle a parfois. c’est dans ces moments là que l’on voit qu’elle joue un rôle. Et toi tu ne vois rien, tu es tellement fascinée par cette femme. Tu es prête à tout pour elle, elle te fait perdre ton discernement. Tu es une proie facile pour elle. Mais elle se lassera de toi même si tu abandonnes tout pour elle. Elle te prendra ta famille, ta fille, ta maison, mais tu n’arriveras jamais à la retenir. Elle finira par te laisser, vidée de l’intérieur, car c’est une prédatrice.
-Bon tu as fini ton grand numéro! Si tu ne veux plus voir Kristina et bien j’irai la rejoindre quoi que tu dise.
Elle attendait désormais les SMS et coups de fil de cette femme comme une ado amoureuse. Le manque de réponse la rendait nerveuse. Elle vivait sur le fil du rasoir alternant euphorie et angoisse. Et Kristina savait jouer de ce manque pour mieux l’asservir. Pour ma part j’étais lucide, je savais qu’elle avait perdu pied et je reprennais le dessus. Certaines soirées où elle quittait la maison et où elle allait directement au travail sans passer par la maison et je n’ai jamais rien su de ce qu’elle vivait. Elle avait rompu sa promesse de transparence. Je l’ai perdue ces jours là, je n’existais plus pour elle.Je souffrais en silence, mais je savais que tôt où tard l’heure du chagrin et du désamour viendrait.
Au bout de quelques semaines, j’ai cru percevoir des éclats de voix lors d’une conversation téléphonique. Puis j’ai récupéré Corinne en pleur dans mes bras, inconsolable.
-Je suis sûre qu’elle me trompe avec une autre.
-Comment, peux tu en être sure?
-Je ne sais pas. Je la sens distante. Elle ne m’appelle plus aussi souvent. Et quand nous sommes ensemble tout est la la fois pareil et à la fois différent. Je suis prête à lui donner plus, mais elle semble avoir figé les choses. Comme si elle refusait que notre relation s’épanouisse.
-Tes intuitions sont peut-être justifiées. Tu sais que pour ma part, j’ai un aversion pour cette femme. Tu penses à tort que je suis jaloux. Mais au fond, je souffres que tu sois malheureuse à cause d’elle.
Elle s’est jetée en pleurs dans mes bras. Ses larmes étaient chaudes et sincères. Son corps était mou, doux et aimant. Je comptais vraiment pour elle à ce moment et je le sentais au fond de moi. J’avais besoin de ce contact de cette fusion. j’avais tellement douté, d’elle, de nous. J’avais tellement peur qu’elle me quitte pour cette femme.
- J’en ai vraiment marre. Marre de de la vie qu’elle me fait mener. Je suis trop dépendante d’elle. Je ne peux pas passer 10 minutes sans vérifier qu‘elle m’a laissé un message.
-Si c’est cela, tu n’as qu’à te passer de ton portable…
Corinne.
Si je reprends la plume ce n’est pas pour dire que le récit de Kentin est tissu de mensonges et que tout cela me révulse. Comme dans tout récit, il y a une part de vérité et une part de fantasme. Et pour vivre depuis si longtemps avec Kentin, je sais que dans ce récit, il se livre comme jamais avec une étonnante sincérité. Il ne doit pas être facile pour un homme, et pas seulement pour lui, d’avouer ses faiblesses, ses doutes, son manque d’assurance, même sous couvert d’anonymat. Et si j’en juge par les réactions à son récit, le regard porté sur sa sincérité est parfois lourd à porter. Je le sens affecté par certaines réactions, c’est pourquoi les pages qui s’accumulent ne sont pas publiées. J’ai pris goût à ce récit. Je ne sais si ces pages seront publiées, mais je me prise moi aussi à ce jeu et je fais comme si... Je pense que notre vie actuelle m’a rendue plus tolérante et ouverte à ces propos que je jugeais avant vulgaire et outrancier. Trop longtemps, j’ai été fermée, colérique parce que je me refusais d’aborder cette part de mes désirs les plus enfouis. Kristina, malgré la douleur que m’a causé notre relation, a été une étape importante dans ma propre évolution.
Trop naïve, je l’ai sans doute été, mais comment faire autrement? Je me suis ouverte à elle comme un livre et elle a su, en tant que libertine assumée, se jouer de moi. Et je dois avouer que je me suis comportée comme une midinette. Si j’ai partagé parfois l’intimité de leur couple (elle m’a offerte à son époux à plusieurs reprises), cet incursion dans un monde décomplexé a été une impression étrange. Le plaisir que j’ai éprouvé avec elle – et je ne cherche pas à le nier- était dérisoire par rapport aux perspectives qu’elle m’a ouvert. Je crois, à ce jour, qu’elle restera la seule expérience sensuelle que j’aurais à vivre avec une femme.
Kentin
Comme dans toute période rupture, le tunnel a été long et sombre. Heureusement nous avions acquis une discipline dans notre quotidien qui nous a permis de tenir le coup. Mon épouse essayait de résister malgré l’attraction de cette femme nocive. Elle se réfugiait dans le travail. Nous n’avions plus d’intimité. Elle ne s’occupait plus de moi, même pas pour m’humilier ou me traire. Et je dois dire que ces traitements que d’aucuns trouvent avilissants me manquaient. On peut trouver que les brimades qu’elle me faisait subir étaient humiliantes mais je vivais dans une forme d’excitation perpétuelle inassouvie qui renforçait mon excitation et ceci dans un cercle sans fin qu’elle venait de rompre. Et je dois dire que l’absence de ces attentions de sa part me faisait douter de son amour. Il m’arrivait parfois de me rendre à lieux de rendez-vous homosexuels. J’observais depuis ma voiture les étranges rituels de ces hommes auxquels je n’osais me mêler. Je m’imaginais les suivre dans les toilettes ou dans les bois et me faire humilier par eux. Mais tout cela restait de l’ordre du fantasme. Jamais je n’ai osé franchir la barrière de mon habitacle automobile.
Cela a pris des mais,etit à petit, Corinne et moi nous avons repris le dessus. Nous couchions de nouveau ensemble et nous avions une intimité tendre à défaut d’être sexuelle. C’est comme si nous cherchions à rebâtir une relation trop longtemps malmenée. En tout cas, c’est comme cela que je le ressentais car nous ne mettions pas de mots sur ce nous reconstruisions. La sortie du tunnel a été lente mais j’en garde un souvenir heureux. Chaque journée état porteuse d’une éclaircie et je savais que la reconquête était en route. En était-il de même pour Corinne? Je l’ignore. Sa tolérance à mon égard, sa patience aussi progressaient et même si elle avait encore des accès de mélancolie, je sentais qu’elle allait mieux.
-J’ai envie de ta bouche, mon chéri.
Je l’embrassais tendrement, ses lèvres étaient entrouvertes et humides. C’était si bon.
-Pas là. Entre mes jambes.
Mon coeur s’est mis à battre à cent à l’heure. Ma bouche a embrassé ses seins à travers sa chemise, son ventre ferme puis je suis descendu jusqu’à sa culotte que je me suis suis mis à lécher avec avidité. Je me repaissais de ses odeurs à travers le tissu. Le manque attisait mes sens. Chaque flagrance éveillait en moi le désir non maîtrisé de la saillir sur le champ et de me répandre en deux coups de reins. Tout ceci m’était interdit si je ne voulais pas interrompre ce moment si rare. J’imaginais que l’humidité de sa culotte était celle de son désir désirante alors que c’était probablement celui de ma salive.
-Doucement, ne te précipite. Donne moi du plaisir. Applique toi.
Elle a écarté sa culotte laissant apparaître ses lèvres intimes. Il me semblait que son sexe n’était plus le même, que sa chatte avait grandi, que ses lèvres s’étaient étirées. Je goûtais désormais à la source de son désir. Ma langue pénétrait son antre comme ma bite aurait pu le faire. J’aurais voulu aussi lui lécher le cul, l’enculer avec ma langue, marquer dans ma mémoire la trace de ces odeurs interdites et immondes y retrouver les traces de ses amants.
-Applique toi sur mon bouton.
Je m’appliquais donc à lécher son clitoris d’abord lentement puis de plus en vite. Je sentais sa chatte béante s’ouvrir et se fermer sur un vide que je voulais combler. Je n’ai pas réfléchi aux conséquences. J’ai remonté le long de son corps. Son ventre, ses seins son cou. Elle n’a pas refermé les jambes. Je me suis introduit en elle et j’ai pu enfin goûter à la chaleur de son intimité sur ma queue bandée. Ce moment qui doit vous paraître banal était pour moi délicieux tant il était rare et tant je l’avais désiré. Je lui alors fait l’amour avec toute ma sincérité et tout mon amour. Je retrouvais ma naïveté, mon innocence, tout semblait comme une première renaissance. Son corps répondait à mon désir. J’avais l’impression de retrouver des impressions oubliées. Et puis tout s’est emballé, mon plaisir a submergé mon désir et j’ai joui en elle en poussant un hurlement de jouissance.
- Et bien, mon chéri. Ça t’en fait des choses. Tu vois ce n’est pas si difficile. Il ne faut pas se prendre la tête et ça fini par revenir.
-Je croyais que plus jamais tu ne voudrais de moi.
-Au contraire, c’est toi que je désire au plus profond. Toi, le vrai Kentin et pas un autre. Pas les autres Kentin avec leurs lubies absurdes et leur envies tordues.
- Je voudrais que tu sois à moi pour toujours.
-Ne recommences pas à faire l’enfant. Tu sais que tu es à moi que prendrai toujours soin de toi. Et si tu désires faire l’amour à nouveau, j’aimerais que tu portes des préservatifs car j’ai décidé de ne plus prendre de contraception puisqu’en ce moment je n’ai pas d’amant et dehors de toi mon chéri.
-Mais tu n’as pas peur… Pour cette fois.
-Non, non. Je sais où j’en suis de mon cycle. Et en plus je ne sens plus libre dans mes désirs sans prendre quoi que ce soit.
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Les avis des lecteurs
Prendre 1 capote avec son mari sans deconner et après elle dit que l'enfant c'est celui du mari , 1 vraie taspe la gonzesse aucun respect pour son mari.