Kenya 1
Récit érotique écrit par Hâakon [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-09-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Kenya 1
Après quelques jours passé avec ma délicieuse colombienne celle ci partit pour son pays, question de travail, me laissant seul avec mes désirs....On se parlait tous les jours et en profitions allégrement mais bon, j'aurais préféré être dans son lit.
Ayant moi même du travail (un logiciel pour une salle de sport) je passais le temps sans me douter de la formidable rencontre que je ferai. J'étais donc en train de programmer les nouveaux logiciels dans une salle de sport dernier cri en campagne. Je m’apprêtais à partir après avoir reçu mon (gros) chèque quand j'entendis une fille hurler de rage. Je compris qu'elle voulait battre son record de course mais que sa carte déconnait et avait mit fin à son compteur.
Je dirai bien que ce fut en tant que pur gentleman que j'allais l'aider mais bon ce serait pas vraiment honnête. Elle était belle mais alors ! Une bombe à la peau noire à vous faire pendre la langue et à remplir la tête de fantasmes pendant des semaines ! De grands yeux marrons, des cheveux longs en dreadlocks et une poitrine oh lalala ! Son haut de corps la moulait exactement comme il fallait et je vous jure que j'avais l'impression que mon sexe allait déchirer mon jean, heureusement bien épais.
Fort heureusement grâce à mon gén....à mes compétences normales car c'était pas non plus compliqués je pus régler son problème et recevoir une bise bien heureuse de la demoiselle. Ayant terminé sa séance par la grâce des choses elle alla prendre une douche et se changer (non sans m'ayant proposé de l'attendre). Vous allez me dire que c'était pas bien vis à vis de ma colombienne mais sur ce point la on en avait discuté et il était permis de toucher aux menus.
Après un déjeuner fort agréable ou j'appris que la magnifique jeune femme venait du Kenya je retournais chez non sans ayant été particulièrement échauffé. Elle était aussi en vacance et faisait de la traduction pour son pays d'origine. Elle avait décidé de s'implanter en France après avoir décroché pas mal de contrats dont certains bien juteux (non pas comme ça ! Je vais y venir mais pas tout de suite bande d'impatients!)
Le soir quand je retrouvai ma colombienne elle m'excita à un point pas possible en me décrivant tout ce que je pourrais faire avec cette fille et m'encouragea très très vivement à essayer de faire quelque chose, visiblement elle était un peu portée sur l'autre sexe et bon, c'est toujours plaisant non ^^ ?
le lendemain je téléphonais à la kenyanne et lui proposais un rendez vous. Et étant visiblement soit très charmant soit très chanceux elle me proposa carrément de venir passer deux semaines de vacances chez elle, en tout bien tout honneur ! Évidemment ma première pensée fut : Bien sur.....
Après un voyage en train chiant comme pas possible à cause d'un gamin qui gueulait comme un putois et de sa mère qui ne trouvait rien de mieux que de lui hurler dessus j'arrivais enfin à la gare. Cette fois la tenue de ma (future) belle était beaucoup plus sobre, pantalon sombre et petite veste légère mais pas moulante hélas, enfin pas assez parce que heureusement sa poitrine était vraiment trop volumineuse.
La journée fut très calme, je n'avais pas l'intention de la brusquer, après tout j'avais du temps. Je ne vais pas vous la raconter mais c'était génial, entre les discussions passionnantes sur sa culture d'origine sur des transat dans un jardin vraiment grand ( et mes études elles servaient à quoi ?...) et un repas exotique vraiment délicieux, franchement l'afrique niveau culinaire c'est génial !
La nuit tombant je passais à la douche après elle en homme galant que je suis non sans avoir regardé (vainement....) à travers la serrure. Et la j’eus une terrible surprise. En lieu et place d'un lit elle dormait sur un matelas à même le sol, et en avait installé un autre juste à coté pour moi...et je pouvais pas tenter d'approches raaah ! Niveau frustration c'était le summum.
Donc bref après avoir enfilé un magnifique pyjama recouvert de chiffres (je m'en servais pas normalement) je me glissais dans les draps mais bien loin de nous endormir la belle kenyanne et moi discutions de tout et rien et petit à petit nous rapprochions. Elle était charmante et la ce n'était pas une question de sexe. A un moment ou nous étions quasiment collés j'eus un instinct heureux et lui posait un baiser sur les lèvres. Je sus de suite que je n'allais pas me prendre une tarte monumentale car elle souriait.
Loin de nous jeter l'un sur l'autre nous nous sommes embrassés doucement, de simples smacks sans bouger les mains, le moment était trop doux pour passer directement au sexe. Ensuite nous en avons eu marre d'être séparés par nos couettes et nous les avons soulevés hâtivement pour aller dans les bras de l'autre et continuer nos bisous. Avec les minutes passants nous avons commencé à viser ailleurs que nos bouches. Les oreilles, le cous, les yeux, bref, partout sans que cela ne dégénère un tant soit peu. Du moins pour le moment.
J'étais juste content d'être contre elle, à vrai dire sentir sa merveilleuse poitrine contre mon torse ne provoqua pas beaucoup d'excitations, pendant 5 minutes et c'était pareil pour elle. Le soleil du printemps se couchait et la pénombre se fit peu à peu dans la chambre, contribuant à augmenter notre désir naissant qui commençait sérieusement à devenir brûlant. Sa peau noire semblait la rendre invisible et je voulais sentir sa peau contre la mienne, j'en pouvais plus de la tenir dans mes bras sans vraiment la tenir, de respirer son odeur sans pouvoir goûter sa peau.
Elle me serrait dans ses bas avec force, ses jambes semblaient frotter les miennes en convulsant sous l'effet du désir. On en pouvait plus, on avait faim ! La tension était juste insoutenable, le désir était tellement lancinant, tellement douloureux. ON VOULAIT BAISER POUR DE BON !
Trop c'était trop ! J'enlevais mon haut avec frénésie le déchirant presque et ma kenyanne peinait à se défaire de son pantalon. Se faisant dans ses mouvement complètement fous elle se retourna dos à moi qui venait d'enlever le mien et de le jeter sans m'en soucier. J'avais une trique d'enfer je la voulais, je voulais sa chaleur !
Je me jetais contre elle elle mit sur le ventre. On ne voulait pas de douceur pas de baisers, plus rien ! Juste y aller comme des fous, juste la base ! J'oubliais même ses seins énormes qui m'avait tant attiré. Contre elle en cuillère je cherchais son antre et quand enfin je le trouvais je pénétrais ma belle avec violence et commençait d'office sur un rythme déchaîne. J'étais un marteau pilon, l'enfonçant à chaque coup de bite dans le matelas. Elle hurlait, gueulait sa jouissance ! On avait plus de retenue, et nos cris étaient tout sauf sexuel, ils étaient primitifs voilà.
Quand je la sentis jouir pour de bon et pousser un hurlement de tarée je ne ralentis pas d'un pouce, bien au contraire j’accélérais encore et plus profondément, si c'était possible. Je ne faisais même pas attention à ses fesses que je cognais avec force. Ma belle africaine avait cessé de bouger et de s'agiter quand je jouis à grand jets en elle, libérant des torrents de sperme qui me firent hurler comme un fou et d'un seul coup je m'effondrais sur elle, vidé de toute mes fprces et de cette frénésie.
Ma têtes contre la sienne elle murmura un seul mot « merci. »
Le lendemain au réveil j'étais à la fois reposé et complètement vanné. Je n'avais pas prévu ce qui c'était passé même si c'était absolument génial et...Oh un regard et un grand sourire !
-hmmm bonjour...J'ai bien dormi et toi ? En se tournant vers moi.
-Faut avouer que tu es le plus confortable des oreillers. Je me resserrais contre elle. C'était intense.
-Oui. J'ai adoré. Ça faisait très très looongtemps que j'avais pas eu autant de bien....En fait je me souviens pas...
-Haha, je suis si bon que ça ?
-Il faut croire. Mais pas que pour le sexe.
Elle m'embrassa et me prit dans ses bras. Pour la première fois je profitais du contact de sa poitrine contre mon corps et punaise c'était cool ! Elle était moelleuse et je ne me retins pas de la masser et d'y plonger ma tête. Je le fis avec une telle passion qu'elle éclata de rire.
Passé ce délicieux réveil nous allâmes prendre une douche ensemble...sans baiser. Alors c'est pas qu'on avait pas envie ou qu'on était pas remis de la nuit mais en fait on voulait en profiter. C'est bien de se jeter sur l'autre comme un sauvage mais attendre que le soleil soit levé, d'être bien réveillé et de profiter du moment c'est bon aussi non ?
Après la douche je ne portais qu'un caleçon tandis que pour sa part ma belle kenyanne portait une culotte et un soutient gorge blanc qui était un plat d'argent pour une poitrine qui ne demandait qu'à retrouver sa liberté....passons ma tête de coyote de Tex Avery.
Je pus faire ce que je n’avais pas pu faire (redondaaance !) et l'observer avec un œil attentif. Contrairement à ma colombienne qui était sèche comme une branche d'arbre, elle était plus...je sais pas comment dire, beaucoup plus musclée voilà. Elle devait limite être plus lourde que moi (et si je suis pas large d'épaules je suis pas non plus une brindille) et surtout pas un gramme de graisse.
Elle avait des tablettes de chocolats (noirs....comment ça j'ai un humour de mer*?) vraiment très séduisantes. De temps en temps elle prenait la pose et on ne réussissait pas à rester sérieux, c'était juste impossible de ne pas éclater de rire. Quand j'essayais elle s'effondrait sur son canapé pour au moins dix minutes.
C'est après une de ses crises de rire qu'elle décida qu'il était temps de passer à autre chose. Alors que j'étais perdu dans sa beauté elle me prit par la main et m’entraîna au dehors avant que je puisse dire ouf ! Son jardin était assez grand, un bosquet par çi, une pelouse douce comme un matelas sur lequel elle me fit trébucher.
Avant que je puisse me relever ou m'installer ma kenyanne s'allongea au dessus de moi. Ses longues dreadlocks tombaient autour de ma tête mais j'avais le regard plongé dans sa poitrine. Elle le remarqua avec un sourire et se positionna pour me la mettre juste sous le nez.
-Je suis belle ?
-Tu n'as même pas idée....
-Je crois que si mon bel ingénieur invité. Elle avait posé son bassin sur moi et n'avait pas manqué l'érection qui se formait dans mon caleçon.
-Est ce que je peux t'enlever ton soutient gorge ?
-Tu n'as pas à demander l'autorisation....Surtout depuis cette nuit mon mignon.
Elle se redressa et en un tour de main sa poitrine fut exposé aux nuages paresseux de l'après midi. Je fis glisser une main entre ses deux obus (de marine vu leur taille!) et ils étaient lourd, un vrai paradis. Je sentais ses tétons durcir sous mes doigts et elle poussa un soupir de contentement.
-Voila, comme ça. Oui tu t'en occupes bien.
-Ca n'arrive pas souvent j'ai l'impression.
-Non...voila....La plupart des garçons savent pas comment faire et s'en fichent. Oui pince le...encore...Ils veulent juste y mettre leur bite et se finir.
-Je voudrais bien faire ça aussi, après t'avoir fait jouir.
-Je sais...hmm c'est bon..
Ma belle me saisit une main et me lécha l'index avant de me le diriger entre ses seins. Il y avait un coté plus qu'excitant et mon sexe durcît encore plus. Elle continua contre son ventre, dans le creux de son nombril et enfin vers sa culotte.
-Enlève la moi.
Elle relâcha ma main et se souleva. J'avais la gorge sèche, ça n'allait pas être dans l'obscurité comme hier ou elle était quasiment invisible. Je luis descendit lentement ce bout de tissus et vit son sexe pour la première fois. Elle avait rasé ses poils pubiens en un tout petit ticket de métro et je pouvais voir ses lèvres luire d'excitation. Elle souleva une jambe puis l'autre. Nue, positionnée au dessus de moi.
Sa descente fut lente. Je vis mon bâton de chair à quelques millimètres de son antre des plaisir. Et avec ce spectacle venait celui encore plus beau de cette belle gymnaste qui me montrait son corps sculpté. Ma kenyanne était penché au dessus de moi mais ne tenait pas sur ses main qu'elle gardait derrière sa tête. Ses cuisses et ses abdominaux étaient contractés pour la maintenir en équilibre. Son corps était beau comme aucun autre, un véritable fantasme d'anatomiste.
La chaleur enveloppa lentement ma verge. Le haut du chapeau, puis le gland. Enfin la hampe centimètres par centimètres. J'eus l'impression que sa descente dura une heure quand enfin je fus au maximum en elle. Pendant un moment la jeune femme se reposa ainsi sur moi et elle se redressa.
En temps normal on ressentirait de la frustration de ne pas sentir les frottements, de ne pas avoir ces mouvements lancinants. Mais la non, c'était bon, doux. On aurait pu rester longtemps emboîtés comme ça. Je passais distraitement mes mains sur ses cuisses fermes en la regardant passer ses mains sur son corps et soupeser ses seins.
Je me redressais et l'enlaçais pour ne pas retomber et profiter de ses muscles. Elle posa délicatement ses lèvres sur mon front, m'entoura de ses bras et contracta son vagin avec force sans prévenir, m'arrachant un « OH ! » de surprise.
Et ce n'était que le début. Elle commença non seulement à se déhancher, mais en prime elle se soulevait et retombait sur mon sexe. Devant un tel traitement impossible de ne pas prendre immédiatement mon pieds. Je la serrais encore plus fort et tentais de donner des coups de reins mais impossible, entre le plaisir et la position je restais délicieusement passif à mesure que nos ébats gagnaient en intensité.
Las d'être bloqué dans c nos possibilités elle défit mes bras de son dos et me laissa retomber sur l'herbe moelleuse. Après un baiser torride elle mit ses mains sur mon torse et accéléra avec un grand sourire. De mon coté je pouvais enfin participer et me soulevai comme je le pouvais. Nous voyions tous les deux mon membre viril disparaître en elle, ressortir presque entièrement en laissant apparaître un gland couvert de cyprine puis à nouveau nos bassins fondaient l’un vers l'autre.
Après un long moment de ce traitement l'orgasme approchait pour nous deux. Une de mes mains malaxait ses fesses et tournait autour de son petit trou pendant que l'autre sur sa hanche s'activait avec son pouce sur son clito qui bientôt ft malmené par une de ses main aussi.
Cette petite combinaison eut raison de nous. Je glissait mon index dans l'entrée des artiste ce qui la fit exploser dans un grand cri et ma belle africaine se redressa agitée de spasme. Son vagin se contracta derechef et donna le coup de grâce à mon endurance. Ma bite se contracta et expulsa de grands jets de semences brûlants après quoi elle s'effondra sur moi.
-Whaou. Entre hier et la tu es très bon. Ça m'étonne que ton amie colombienne ne te garde pas pour elle seule.
-Je te retourne le compliment. Toi tu me garderais pour toi seule ?
-Oh non ! Ce serait du gâchis....et aussi j'aimerais bien te voir avec elle..hmm. J'ai adoré ton doigt au fait. Normalement je n'aime pas mais avec toi c'est la première fois que je fais cette proposition.
-Tu veux dire te...noon vraiment ?
-La journée n'est pas finie....et on dit comment ici ? Tu vas pouvoir profiter de la lune en plein jour...
Ayant moi même du travail (un logiciel pour une salle de sport) je passais le temps sans me douter de la formidable rencontre que je ferai. J'étais donc en train de programmer les nouveaux logiciels dans une salle de sport dernier cri en campagne. Je m’apprêtais à partir après avoir reçu mon (gros) chèque quand j'entendis une fille hurler de rage. Je compris qu'elle voulait battre son record de course mais que sa carte déconnait et avait mit fin à son compteur.
Je dirai bien que ce fut en tant que pur gentleman que j'allais l'aider mais bon ce serait pas vraiment honnête. Elle était belle mais alors ! Une bombe à la peau noire à vous faire pendre la langue et à remplir la tête de fantasmes pendant des semaines ! De grands yeux marrons, des cheveux longs en dreadlocks et une poitrine oh lalala ! Son haut de corps la moulait exactement comme il fallait et je vous jure que j'avais l'impression que mon sexe allait déchirer mon jean, heureusement bien épais.
Fort heureusement grâce à mon gén....à mes compétences normales car c'était pas non plus compliqués je pus régler son problème et recevoir une bise bien heureuse de la demoiselle. Ayant terminé sa séance par la grâce des choses elle alla prendre une douche et se changer (non sans m'ayant proposé de l'attendre). Vous allez me dire que c'était pas bien vis à vis de ma colombienne mais sur ce point la on en avait discuté et il était permis de toucher aux menus.
Après un déjeuner fort agréable ou j'appris que la magnifique jeune femme venait du Kenya je retournais chez non sans ayant été particulièrement échauffé. Elle était aussi en vacance et faisait de la traduction pour son pays d'origine. Elle avait décidé de s'implanter en France après avoir décroché pas mal de contrats dont certains bien juteux (non pas comme ça ! Je vais y venir mais pas tout de suite bande d'impatients!)
Le soir quand je retrouvai ma colombienne elle m'excita à un point pas possible en me décrivant tout ce que je pourrais faire avec cette fille et m'encouragea très très vivement à essayer de faire quelque chose, visiblement elle était un peu portée sur l'autre sexe et bon, c'est toujours plaisant non ^^ ?
le lendemain je téléphonais à la kenyanne et lui proposais un rendez vous. Et étant visiblement soit très charmant soit très chanceux elle me proposa carrément de venir passer deux semaines de vacances chez elle, en tout bien tout honneur ! Évidemment ma première pensée fut : Bien sur.....
Après un voyage en train chiant comme pas possible à cause d'un gamin qui gueulait comme un putois et de sa mère qui ne trouvait rien de mieux que de lui hurler dessus j'arrivais enfin à la gare. Cette fois la tenue de ma (future) belle était beaucoup plus sobre, pantalon sombre et petite veste légère mais pas moulante hélas, enfin pas assez parce que heureusement sa poitrine était vraiment trop volumineuse.
La journée fut très calme, je n'avais pas l'intention de la brusquer, après tout j'avais du temps. Je ne vais pas vous la raconter mais c'était génial, entre les discussions passionnantes sur sa culture d'origine sur des transat dans un jardin vraiment grand ( et mes études elles servaient à quoi ?...) et un repas exotique vraiment délicieux, franchement l'afrique niveau culinaire c'est génial !
La nuit tombant je passais à la douche après elle en homme galant que je suis non sans avoir regardé (vainement....) à travers la serrure. Et la j’eus une terrible surprise. En lieu et place d'un lit elle dormait sur un matelas à même le sol, et en avait installé un autre juste à coté pour moi...et je pouvais pas tenter d'approches raaah ! Niveau frustration c'était le summum.
Donc bref après avoir enfilé un magnifique pyjama recouvert de chiffres (je m'en servais pas normalement) je me glissais dans les draps mais bien loin de nous endormir la belle kenyanne et moi discutions de tout et rien et petit à petit nous rapprochions. Elle était charmante et la ce n'était pas une question de sexe. A un moment ou nous étions quasiment collés j'eus un instinct heureux et lui posait un baiser sur les lèvres. Je sus de suite que je n'allais pas me prendre une tarte monumentale car elle souriait.
Loin de nous jeter l'un sur l'autre nous nous sommes embrassés doucement, de simples smacks sans bouger les mains, le moment était trop doux pour passer directement au sexe. Ensuite nous en avons eu marre d'être séparés par nos couettes et nous les avons soulevés hâtivement pour aller dans les bras de l'autre et continuer nos bisous. Avec les minutes passants nous avons commencé à viser ailleurs que nos bouches. Les oreilles, le cous, les yeux, bref, partout sans que cela ne dégénère un tant soit peu. Du moins pour le moment.
J'étais juste content d'être contre elle, à vrai dire sentir sa merveilleuse poitrine contre mon torse ne provoqua pas beaucoup d'excitations, pendant 5 minutes et c'était pareil pour elle. Le soleil du printemps se couchait et la pénombre se fit peu à peu dans la chambre, contribuant à augmenter notre désir naissant qui commençait sérieusement à devenir brûlant. Sa peau noire semblait la rendre invisible et je voulais sentir sa peau contre la mienne, j'en pouvais plus de la tenir dans mes bras sans vraiment la tenir, de respirer son odeur sans pouvoir goûter sa peau.
Elle me serrait dans ses bas avec force, ses jambes semblaient frotter les miennes en convulsant sous l'effet du désir. On en pouvait plus, on avait faim ! La tension était juste insoutenable, le désir était tellement lancinant, tellement douloureux. ON VOULAIT BAISER POUR DE BON !
Trop c'était trop ! J'enlevais mon haut avec frénésie le déchirant presque et ma kenyanne peinait à se défaire de son pantalon. Se faisant dans ses mouvement complètement fous elle se retourna dos à moi qui venait d'enlever le mien et de le jeter sans m'en soucier. J'avais une trique d'enfer je la voulais, je voulais sa chaleur !
Je me jetais contre elle elle mit sur le ventre. On ne voulait pas de douceur pas de baisers, plus rien ! Juste y aller comme des fous, juste la base ! J'oubliais même ses seins énormes qui m'avait tant attiré. Contre elle en cuillère je cherchais son antre et quand enfin je le trouvais je pénétrais ma belle avec violence et commençait d'office sur un rythme déchaîne. J'étais un marteau pilon, l'enfonçant à chaque coup de bite dans le matelas. Elle hurlait, gueulait sa jouissance ! On avait plus de retenue, et nos cris étaient tout sauf sexuel, ils étaient primitifs voilà.
Quand je la sentis jouir pour de bon et pousser un hurlement de tarée je ne ralentis pas d'un pouce, bien au contraire j’accélérais encore et plus profondément, si c'était possible. Je ne faisais même pas attention à ses fesses que je cognais avec force. Ma belle africaine avait cessé de bouger et de s'agiter quand je jouis à grand jets en elle, libérant des torrents de sperme qui me firent hurler comme un fou et d'un seul coup je m'effondrais sur elle, vidé de toute mes fprces et de cette frénésie.
Ma têtes contre la sienne elle murmura un seul mot « merci. »
Le lendemain au réveil j'étais à la fois reposé et complètement vanné. Je n'avais pas prévu ce qui c'était passé même si c'était absolument génial et...Oh un regard et un grand sourire !
-hmmm bonjour...J'ai bien dormi et toi ? En se tournant vers moi.
-Faut avouer que tu es le plus confortable des oreillers. Je me resserrais contre elle. C'était intense.
-Oui. J'ai adoré. Ça faisait très très looongtemps que j'avais pas eu autant de bien....En fait je me souviens pas...
-Haha, je suis si bon que ça ?
-Il faut croire. Mais pas que pour le sexe.
Elle m'embrassa et me prit dans ses bras. Pour la première fois je profitais du contact de sa poitrine contre mon corps et punaise c'était cool ! Elle était moelleuse et je ne me retins pas de la masser et d'y plonger ma tête. Je le fis avec une telle passion qu'elle éclata de rire.
Passé ce délicieux réveil nous allâmes prendre une douche ensemble...sans baiser. Alors c'est pas qu'on avait pas envie ou qu'on était pas remis de la nuit mais en fait on voulait en profiter. C'est bien de se jeter sur l'autre comme un sauvage mais attendre que le soleil soit levé, d'être bien réveillé et de profiter du moment c'est bon aussi non ?
Après la douche je ne portais qu'un caleçon tandis que pour sa part ma belle kenyanne portait une culotte et un soutient gorge blanc qui était un plat d'argent pour une poitrine qui ne demandait qu'à retrouver sa liberté....passons ma tête de coyote de Tex Avery.
Je pus faire ce que je n’avais pas pu faire (redondaaance !) et l'observer avec un œil attentif. Contrairement à ma colombienne qui était sèche comme une branche d'arbre, elle était plus...je sais pas comment dire, beaucoup plus musclée voilà. Elle devait limite être plus lourde que moi (et si je suis pas large d'épaules je suis pas non plus une brindille) et surtout pas un gramme de graisse.
Elle avait des tablettes de chocolats (noirs....comment ça j'ai un humour de mer*?) vraiment très séduisantes. De temps en temps elle prenait la pose et on ne réussissait pas à rester sérieux, c'était juste impossible de ne pas éclater de rire. Quand j'essayais elle s'effondrait sur son canapé pour au moins dix minutes.
C'est après une de ses crises de rire qu'elle décida qu'il était temps de passer à autre chose. Alors que j'étais perdu dans sa beauté elle me prit par la main et m’entraîna au dehors avant que je puisse dire ouf ! Son jardin était assez grand, un bosquet par çi, une pelouse douce comme un matelas sur lequel elle me fit trébucher.
Avant que je puisse me relever ou m'installer ma kenyanne s'allongea au dessus de moi. Ses longues dreadlocks tombaient autour de ma tête mais j'avais le regard plongé dans sa poitrine. Elle le remarqua avec un sourire et se positionna pour me la mettre juste sous le nez.
-Je suis belle ?
-Tu n'as même pas idée....
-Je crois que si mon bel ingénieur invité. Elle avait posé son bassin sur moi et n'avait pas manqué l'érection qui se formait dans mon caleçon.
-Est ce que je peux t'enlever ton soutient gorge ?
-Tu n'as pas à demander l'autorisation....Surtout depuis cette nuit mon mignon.
Elle se redressa et en un tour de main sa poitrine fut exposé aux nuages paresseux de l'après midi. Je fis glisser une main entre ses deux obus (de marine vu leur taille!) et ils étaient lourd, un vrai paradis. Je sentais ses tétons durcir sous mes doigts et elle poussa un soupir de contentement.
-Voila, comme ça. Oui tu t'en occupes bien.
-Ca n'arrive pas souvent j'ai l'impression.
-Non...voila....La plupart des garçons savent pas comment faire et s'en fichent. Oui pince le...encore...Ils veulent juste y mettre leur bite et se finir.
-Je voudrais bien faire ça aussi, après t'avoir fait jouir.
-Je sais...hmm c'est bon..
Ma belle me saisit une main et me lécha l'index avant de me le diriger entre ses seins. Il y avait un coté plus qu'excitant et mon sexe durcît encore plus. Elle continua contre son ventre, dans le creux de son nombril et enfin vers sa culotte.
-Enlève la moi.
Elle relâcha ma main et se souleva. J'avais la gorge sèche, ça n'allait pas être dans l'obscurité comme hier ou elle était quasiment invisible. Je luis descendit lentement ce bout de tissus et vit son sexe pour la première fois. Elle avait rasé ses poils pubiens en un tout petit ticket de métro et je pouvais voir ses lèvres luire d'excitation. Elle souleva une jambe puis l'autre. Nue, positionnée au dessus de moi.
Sa descente fut lente. Je vis mon bâton de chair à quelques millimètres de son antre des plaisir. Et avec ce spectacle venait celui encore plus beau de cette belle gymnaste qui me montrait son corps sculpté. Ma kenyanne était penché au dessus de moi mais ne tenait pas sur ses main qu'elle gardait derrière sa tête. Ses cuisses et ses abdominaux étaient contractés pour la maintenir en équilibre. Son corps était beau comme aucun autre, un véritable fantasme d'anatomiste.
La chaleur enveloppa lentement ma verge. Le haut du chapeau, puis le gland. Enfin la hampe centimètres par centimètres. J'eus l'impression que sa descente dura une heure quand enfin je fus au maximum en elle. Pendant un moment la jeune femme se reposa ainsi sur moi et elle se redressa.
En temps normal on ressentirait de la frustration de ne pas sentir les frottements, de ne pas avoir ces mouvements lancinants. Mais la non, c'était bon, doux. On aurait pu rester longtemps emboîtés comme ça. Je passais distraitement mes mains sur ses cuisses fermes en la regardant passer ses mains sur son corps et soupeser ses seins.
Je me redressais et l'enlaçais pour ne pas retomber et profiter de ses muscles. Elle posa délicatement ses lèvres sur mon front, m'entoura de ses bras et contracta son vagin avec force sans prévenir, m'arrachant un « OH ! » de surprise.
Et ce n'était que le début. Elle commença non seulement à se déhancher, mais en prime elle se soulevait et retombait sur mon sexe. Devant un tel traitement impossible de ne pas prendre immédiatement mon pieds. Je la serrais encore plus fort et tentais de donner des coups de reins mais impossible, entre le plaisir et la position je restais délicieusement passif à mesure que nos ébats gagnaient en intensité.
Las d'être bloqué dans c nos possibilités elle défit mes bras de son dos et me laissa retomber sur l'herbe moelleuse. Après un baiser torride elle mit ses mains sur mon torse et accéléra avec un grand sourire. De mon coté je pouvais enfin participer et me soulevai comme je le pouvais. Nous voyions tous les deux mon membre viril disparaître en elle, ressortir presque entièrement en laissant apparaître un gland couvert de cyprine puis à nouveau nos bassins fondaient l’un vers l'autre.
Après un long moment de ce traitement l'orgasme approchait pour nous deux. Une de mes mains malaxait ses fesses et tournait autour de son petit trou pendant que l'autre sur sa hanche s'activait avec son pouce sur son clito qui bientôt ft malmené par une de ses main aussi.
Cette petite combinaison eut raison de nous. Je glissait mon index dans l'entrée des artiste ce qui la fit exploser dans un grand cri et ma belle africaine se redressa agitée de spasme. Son vagin se contracta derechef et donna le coup de grâce à mon endurance. Ma bite se contracta et expulsa de grands jets de semences brûlants après quoi elle s'effondra sur moi.
-Whaou. Entre hier et la tu es très bon. Ça m'étonne que ton amie colombienne ne te garde pas pour elle seule.
-Je te retourne le compliment. Toi tu me garderais pour toi seule ?
-Oh non ! Ce serait du gâchis....et aussi j'aimerais bien te voir avec elle..hmm. J'ai adoré ton doigt au fait. Normalement je n'aime pas mais avec toi c'est la première fois que je fais cette proposition.
-Tu veux dire te...noon vraiment ?
-La journée n'est pas finie....et on dit comment ici ? Tu vas pouvoir profiter de la lune en plein jour...
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Les avis des lecteurs
J'adore particulièrement l'exotisme de tes textes!