Kidnappé - histoire érotique

Chapitre 3 : Kidnappé (2ème partie)

Je n'ai plus aucune conscience du temps et de l'espace qui m'entoure. Les questions fusent, mais ne trouvent aucune réponse : Qui est cet homme ? Est-il sérieux ? Puis-je refuser ? Me laissera-t-il partir si je décline sa proposition ?
Car pour moi il est absolument impossible que j'accepte. Je ne suis pas intéressé et même pour tout l'or du monde je ne laisserais personne abuser sexuellement de moi.


Soudain, j'entends un nouveau bruit sourd et la porte qui grince. Je m'attends à revoir mon ravisseur, mais voici deux grands costauds qui arrivent et me décrochent. Je manque de tomber, mais je suis rattrapé au vol par l'un des grands gaillards qui me réceptionne sans aucune difficulté.
Je suis donc transporté ainsi à travers tout ce qui semble être un immense manoir assez sobre et très classe. Après quelques minutes, nous arrivons dans une immense suite et mon ravisseur se trouve tout au fond de cette pièce dans un immense lit à barreaux. La couleur et la brillance des draps me sautent immédiatement aux yeux, car ils sont certainement en satin et de couleur rouge sang.

« - Léo ! s'exclame-t-il. Quelle joie de te revoir ! Alors, as-tu réfléchi à ma généreuse proposition ?

Je suis déposé à même le sol à quelques mètres du lit encore enchaîné et très affaibli. Depuis combien de temps n'ai-je pas mangé ?
Je lève mon regard et remarque que mon hôte est vêtu d'un peignoir noir en satin. Une tenue bien plus légère que la dernière fois.

— J'ai bien peur de vous décevoir... Je vais devoir décliner cette proposition, aussi généreuse soit-elle.


A ces mots, le regard de mon hôte s'assombrit immédiatement et son ton se fit plus sec.

— Tiens donc... En voilà une surprise... dit-il en quittant son lit et en s'approchant de moi. Je veux changer ta vie. Faire de toi quelqu'un d'important, riche et puissant, mais toi, tu déclines ma proposition...
— Ce n'est pas cette partie-là qui me dérangeait le...
— Je ne t'ai pas autorisé à répondre !!! Je respecte ton choix, mais je ne peux pas te laisser partir. Vois-tu, ce qui se passe ici doit rester secret et seules des personnes de confiance peuvent quitter cet endroit. Est-ce que je peux te faire confiance ?
— Je vous promets que je ne dirais rien. Laissez-moi partir.
— Je te laisserais partir, c'est promis. Et pour te prouver que je suis un bon hôte, je vais même t'offrir un petit souvenir.
— Qu'est-ce que cela veut dire ?
— Suspendez-le au plafond, demande-t-il à ses sbires.


Me revoilà de nouveau suspendu à un plafond complètement nu avec la moindre parcelle de mon intimité dévoilée à la vue de tous. L'homme s'approche de moi et me murmure à l'oreille :

— Je vais me déshabiller et me mettre nu devant toi. Si après une minute, ton sexe ne se dresse pas, tu seras libre de partir et j'effectuerais un virement de 100 000 € sur ton compte pour ton silence.

Mais si ton sexe se dresse... Tu seras à moi.

— Et si je décline cette proposition ?
— Cette proposition sera la dernière que je te ferais. Tu regagneras ta cellule et l'obscurité et je te jure que tu ne verras plus la lumière avant un long moment. Alors ?
— J'accepte. Mais interdiction de me toucher.
— Très bien ! Commençons...


L'homme recule puis demande à ce qu'une musique sensuelle soit lancée. La musique démarre et je vois l'homme qui lentement se tourne puis fait glisser lentement son peignoir. Evidemment, il est complètement nu en dessous et j'aperçois rapidement son dos et son fessier extrêmement musclé.
Il bouge lentement et ses mouvements épousent le rythme de la musique qui est très lent. Une vraie musique érotique. Ses mains caressent son corps, allant de ses jambes puis remontant sur ses fesses sur lesquelles il s'attarde... Ce moment semble durer une éternité.

Soudain, il se retourne et me fait face et c'est un immense engin qui se balade entre ses cuisses. Le genre de cadeau de la nature que l'on aperçoit que dans les productions interdites aux moins de 18 ans. L'homme continue de bouger sensuellement tout en s'approchant et sans jamais me quitter des yeux. Et alors qu'il se trouve à quelques centimètres de moi, la musique s'arrête.

Je pousse alors un « ouf » de soulagement alors que l'homme lui arbore un sourire satisfait. Ne comprenant pas, je suis son regard et plonge le mien vers mon entrejambe et je m'aperçois que mon sexe est dressé vers lui. Mes joues s'empourprent alors que mon hôte saute de joie et demande à ce qu'on me décroche. Une fois à terre, il me demande de venir vers lui alors qu'il s'assied sur le bord du lit en me faisant face.

— Tu as perdu, Léo. Maintenant tu es à moi.
— J'ai perdu, et je respecterais ma parole. Mais jamais je ne serais à vous.
— Nous verrons... Assez discuter. A partir de maintenant, tout ce que je te demanderais, tu devras l'exécuter sans discussion et sans négociations possibles. Si tu le fais, je promets de te libérer dans 48h avec un virement de 1 000 000 € sur ton compte. Maintenant, laissez-nous seuls !


Les employés se retirent tous en silence et me voilà seul avec lui. Il me demande de me mettre à genoux alors qu'il se redresse et s'approche de moi. Son sexe est alors à quelques minimètres de moi et je sens son odeur de musc et de lavande.

— Ouvre la bouche, m'ordonne-t-il.


Je m'exécute timidement et voici qu'il présente son imposant membre à l'entrée de ma bouche. Il le fait bouger, passant d'une joue à une autre pendant quelques instants puis se représente à l'entrée de ma bouche. Je le regarde et je capte le désir dans son regard. Il force un peu plus l'entrée avec son sexe, ce qui a pour conséquence de m'ouvrir un peu plus la bouche afin de laisser entrer ce gros gourdin très épais. Je dois vraiment m'employer pour le laisser entrer et prendre place dans ma bouche.

Contrairement à ce que j'aurais pu penser, ce n'est pas si désagréable. Il commence alors de légers va-et-vient et ma bouche tente de suivre la cadence. Après quelques secondes, il retire son énorme sexe :

— Lèche-la maintenant.


Je sors timidement ma langue puis commence à lécher doucement le bout de cette verge qui durcit et gonfle à vue d'œil.
Sa main se place sur ma nuque puis me voilà sur ses testicules lourds proportionnels à l'anatomie de mon hôte :

— Bouffe-moi les couilles.

J'essaie tant bien que mal de lécher et gober ses boules et je me surprends moi-même à m'appliquer. Pourquoi est-ce que je veux faire ça bien ?

— Hum... C'est bien tu commences à comprendre..., murmure-t-il.


Tout à coup, il me relève et me jette sur le lit, il se place sur moi puis il prend mon sexe toujours dur en bouche. Cette pénétration buccale m'arrache un râle que je ne peux contrôler alors qu'il me pompe de plus en plus fort.
Je vous mentirais si je vous disais que ce n'est pas agréable, évidemment que ça l'est. Et voilà qu'en quelques secondes, je gémis de plus en plus fort. Il faut dire que cet homme est extrêmement habile. Il me lèche et me mordille le bout du gland puis il gobe et me suce langoureusement les couilles, c'est absolument divin !

A ma grande surprise, le voici qu'il présente un doigt à un endroit qui n'avait jamais été visité à ce jour. Tout cela sans cesser les va-et-vient avec sa bouche. Son doigt entre en moi et mon corps entier se soulève alors que ma bouche laisse échapper des gémissements toujours plus bruyants.
Lorsqu'un deuxième doigt le rejoint et que ses va-et-vient s'accentuent, je m'abandonne totalement et succombe à un orgasme ravageur qui me fait totalement perdre pied... Bordel que c'était bon !

Après avoir avalé chaque goutte de mon sperme, il se relève et me dit :

— Ceci était une démonstration. C'est ainsi que j'aime avoir du plaisir. J'espère que tu as aimé parce que ce sera la première et dernière fois que je t'en donnerais. Tu es à moi et tu es là pour mon plaisir. Donne-moi du plaisir et je promets de faire de toi un homme comblé. Est-ce que tu as compris.
— Oui.


Soudain, il me retourne et me donne une énorme fessée qui me fait hurler.

— Je veux un « Oui Monsieur »
— Oui, Monsieur.


Une deuxième fessée, plus douce cette fois vient frapper l'autre fesse.

— Tu aimes ça ?
— Oui Monsieur.
— Alors, relève-toi, tu ne quittes pas cette chambre tant que je ne te l'ai pas ordonné.
— Oui Monsieur.
— Bien... Maintenant, suce-moi comme je te l'ai montré. Si tu arrives à me faire jouir, peut-être je te retirerais tes chaînes.
— Oui Monsieur.


Il se relève et s'assoit sur un canapé à côté du lit, le sexe dur comme un barreau de fer. Je rampe vers lui, les mains et les pieds liés vers cette verge qui m'est désormais destinée...