Kristine 11 Le retour d'Alain
Récit érotique écrit par Kristine [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-07-2018 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Kristine 11 Le retour d'Alain
Je viens de prendre ma douche. Assise sur mon lit je regarde mon corps nu dans la glace de l'armoire. J'écarte les cuisses pour voir le résultat de mon rasage qui a fait disparaître les poils autour de mon sexe et de mon anus. Je passe mes doigts sur mes lèvres intimes pour en apprécier la douceur et descendant un peu plus bas je sens mon minuscule petit trou du cul que Damien visite régulièrement maintenant. Mon cœur bat un peu plus fort et avançant au bord du matelas, j'écarte bien mes cuisses pour voir ma chatte parcourue de petits frissons. Je vois mes grandes lèvres entrouvertes et des rosées de cyprine humidifient déjà ma chatte. Plus bas, ma rosette palpite sous cette vision érotique. La combinaison des lèvres sombre de ma chatte sombre, humide et de ce trou ridé et rougi par la pénétration que je viens de subir est très excitante. La vue est tellement érotique que je passe un doigt au milieu de ma fente et le doigt mouillé prouve combien j’aurais aimé qu’il ne néglige pas cette voie. Le plaisir que n’ai pas pris tout à l’heure me laisse dans un état de frustration et je sais que mes doigts sur mon bouton me permettraient d’apaiser le manque qui me tenaille mais je sais que la frustration est aussi un moteur un moteur puissant. Je sais que je veux me positionner le plus près possible de la falaise, avoir la sensation du vide mais sans sauter. J’avance, j’avance...
Je suis surprise par le spasme de plaisir qui traverse mon bas ventre . Perdue pour perdue mes cuisses écartées au maximum, je continue de frotter toute ma érogène et j'ai un orgasme assez fort. Après cette perte de conscience je sens que mon anus a laissé échappé un peu de la crème blanche de Damien. Je m'effondre sur le lit, laissant les vagues de jouissance s'éloigner de mon corps. Je suis un peu honteuse de ne pas avoir su résister. Je sais que je viens de commettre une infidélité à Damien. Je m’en veux. Pourtant nous nous sommes pourtant juré fidélité.
Malgré ses besoins évidents et fréquents, il m’a juré que chacune des gouttes de sperme qu’il émettrait le serai sur et dans mon corps. Je ne l’ai cru qu’à moitié pensant que ma part de contrat serait facile. Pourtant malgré les saillies journalières, c’est moi qui suis la plus demandeuse, comme si je voulais rattraper tout le temps perdu. Et sans doute persuadée que le feu d’artifice de mes sens ne pourra pas durer. Ma relation avec Damien évolue au fil des jours. Je ne pose plus de question sur ma relation intime et je ne me cherche pas d’excuses. En dehors de nos baises sauvages je suis encore la maman de son ex et une employée respectée dans mon entreprise. A part dans les moments intimes, je continue de le vouvoyer. C’est sans doute une distance que je veux garder plus vis à vis de moi-même que de lui. A chacune de nos étreinte il étend sa mainmise sur moi. Et cela sans que je ne lui dise rien de cette dépendance qui croit de jour en jour. Il le sent plus qu’il ne ne sait. Il mesure bien ma soif de sexe et il va au devant de mes désirs tant ils sont évidents. Mes troubles et mes hésitations du début s'effacent pour faire place à un sentiment de soumission, un désir constant de lui plaire. Je pense aux différentes manières de le séduire, de lui prouver mon appartenance, essayant de trouver des astuces pour qu'il me désire encore plus, comme si j'étais sa petite amie. Je veux que mon corps de femme de 42 ans incarne la suite logique de la relation que ma fille a interrompue.
Alain, mon mari est rentré, hier soir. Ça faisait 15 jours que je ne l’avais pas vu et il ne me manquait pas. J’en avais suffisamment bavé avec ce dépravé alcoolique. J’avais été l’otage de cette relation destructrice qui m’avait perdre tant de confiance en moi. J’étais restée à cause des enfants. Surtout ma fille aînée qui adorait son papa. J’avais eu peur qu’en le quittant je perde aussi mes filles. J’étais prise au piège de ce chantage affectif et j’avais enduré la perversité d’Alain, son mépris, sa violence et épongé ses écarts financiers sans broncher. Depuis les filles étaient parties, plus rien ne me retenait à Alain. Je l’avais balayé de ma vie. J’étais plus vivante que jamais. Quand il a vu ma jupe courte et ma nouvelle coiffure, il a compris. Lui aussi portait une chemise à motif et une veste que je ne lui connaissais pas. Le constat de chaque côté était évident. Il était rasé de près et la forte odeur de menthe que dégageait son haleine montrait qu’il essayait maladroitement de masquer l’alcool qu’il avait ingurgité. Pourtant, il n’était pas saoul.
- Je fais des efforts pour régler mes problèmes. J’ai trouvé quelqu’un qui peut m’aider. Je suis venu prendre quelques affaires et je pars demain. Je pars vivre à XXXX. Je suis désolé pour ce qui arrive…Que croyait-il? Que j’allais m’effondrer, le supplier de rester? Je l’ai regardé froidement.
-Si c’est ta décision, je ne vais pas te retenir. Je pense que c’est le mieux qui pouvait nous arriver. Je te souhaite bonne chance. Par contre je souhaiterais que tu attendes quelques temps pour annoncer les choses aux filles. Le temps que ça se stabilise…Pas de reproches ni de scène inutile. Pourtant il y avait tant de choses à se reprocher. Comme au boulot, j’essayais au maximum d’éviter les conflits. Ma nouvelle expérience professionnelle m’avait appris à éviter les écueils.
-J’ai des courses à faire. Tu m’excuses si on ne dîne pas ensemble ce soir, j’ai un rendez-vous de boulot. Tu te sers dans le frigo…J’ai envoyé SMS à Damien pour le prévenir de la nouvelle et nous avons été au restaurant pour fêter ça. Il était 11h00 quand nous sommes rentrés, la maison était silencieuse. Demain, Alain aurait quitté la maison, je changerais les draps, j’ouvrirai en grand les fenêtres et je commencerais à l’oublier. Dans le couloir, il y avait des cartons. Des affaires d’Alain sans doute et sûrement des souvenirs communs que j’aurais bien gardé si je n’avais pas choisi de tourner la page. Il n’empêche que j’avais les tripes nouées. Comme quoi...
Damien est entré dans la cuisine, il s’était servi un digestif. Il s’est placé derrière moi et m'enveloppait de ses bras et prenait mes seins avec ses mains.
- N'oubliez pas qu’Alain est encore dans la maison et il n’est pas encore couché. Je l’entends en haut.
Ses mains ont glissé sous mon chemisier pour sentir la peau soyeuse mes seins.
- Oui, je sais Kristine, mais je ne peux pas m'empêcher, vous êtes tellement belle et l’excitation du danger vous rend plus désirable.
Il s'installe à côté de moi. Je baisse mes yeux pour voir le contour rigide de sa bite effectivement bien dure dans son pantalon. Souriante je lève les yeux vers lui.
- Vous feriez mieux de verser un peu d'eau froide sur cette chose avant qu’Alain n’arrive et vous voit dans cet état.
- Je ne peux pas , un peu d'eau ne suffira pas pour la faire retomber. Mais… peut-être que vous me faisiez quelque chose... me dit-il en souriant.
Un frisson d'excitation parcourt de haut en bas ma colonne vertébrale.Je pense que le danger de le faire dans la cuisine avec Alain en haut exacerbe ce sentiment.
- Je ne peux pas, c'est trop dangereux.
Il me regarde suppliant avec cette excitation dans ses yeux comme un petit garçon qui attend son cadeau. Lentement, il baisse son pantalon pour exposer à mon regard sa belle bite bien bandée. Je regarde rapidement vers le haut des escaliers quand même alarmée par ce qu'il fait, c'est si risqué !
- Damien, je vous en prie! Retenez-vous un peu !
Je dis cela pour la forme car je sais maintenant que je ne peux résister quand je vois sa magnifique et grosse queue de jeune homme et que je vais pouvoir la sucer.
Et avec un sourire très coquin il me dit :- Kristine, c'est le seul moyen pour qu'elle revienne au repos.
Je ris presque à haute voix, et il serait stupide de penser que je veux qu'elle retombe. Mon cœur bat la chamade quand je regarde cette bite palpitante.Je penche ma tête et je la prends entièrement dans ma bouche. Qu’elle est douce et bonne. Quel plaisir d'avoir cette bite chaude, fortement veinée dans ma bouche ce plaisir qui envahi tout mon être. Lentement je la déguste en tournant ma langue autour, ne gardant que le gland gonflé entre mes lèvres le bout de ma langue dans son méat, puis, je l'avale pour prendre son gland dans mon arrière gorge que je malaxe en déglutissant. En même temps je gémis doucement de ce plaisir qui descend dans mon bas ventre. Je sens ses mains qui prennent ma tête et ses doigts qui fouillent dans mes cheveux.
- oh Kristine, je veux baiser ta bouche... laisse moi faire, je peux tenir encore...Je veux juste baiser ta bouche, oh oui...
Maintenant bien ma tête en position, il recule ses hanches, sa bite sort presque de ma bouche mais il la renfonce aussitôt à fond et baise ma bouche. Je suis surprise par sa vigueur et sa rudesse, sa queue va si profond, qu'il m'étouffe presque mais je tiens bon. Il augmente la vitesse de ses vas et viens et je sens que je ne vais pas en supporter plus alors je mets mes mains sur ses cuisses pour le repousser.
- Oui, ouvre ta bouche... prendre ma queue... suce.
Il s’appuie contre la table et je sens la pression sur ma tête pour me forcer à me mettre à genoux. Je veux lui dire d'arrêter, mais je ne peux pas... sa bite était profondément enfoncée dans ma gorge. Le fait de sucer la bite de mon beau fils me rend tellement impuissante et je suis sous son emprise. Je commence à aimer d'être traitée comme ça ! Ce sentiment de soumission, d'être obligée de faire ce qu'il veut occulte tout raisonnement sensé et envoie des ondes d'excitation à travers mon corps. Je ne sais plus vraiment ce que je fais, si je veux arrêter cela ou si j'en veux plus. J'espère seulement que mon mari ne va pas descendre trop tôt pour interrompre ce moment délicieusement pervers.
Je retiens mon souffle et ma gorge masse la tête de sa bite enfoncée profondément ! J'ai besoin d'un peu d'air ! Je sors sa queue et je la saisis avec une de mes mains et donne des coups de langue sur ses couilles.
- Damien, ce que j'aime çà ! Aime-moi ! Baise-moi !
Toute cette excitation, cette énergie sexuelle qui fait vibrer mon corps me fait oublier ou je suis et ce que je fais. En ce moment, je veux juste ses doigts en moi ... plus que sa bite ! La sensation de sa bite chaude sur ma joue me pousse à la reprendre dans ma bouche et de la bouffer comme une affamée. Je veux crier, mais je ne peux, Dieu Merci ! Je jouis longuement en silence et je sens enfin la bite d'Eric gonfler et un jet puissant de sperme gicle dans ma gorge. J'avale tout ce qu'il m'envoie ! Enfin, les couilles vides il s'effondre au-dessus de moi, sa bite encore à l'intérieur de ma bouche et ses doigts à l'intérieur de ma chatte. Je sens qu'il se déplace et il embrasse doucement ma chatte, dégustant le jus qui en est sorti. Oh qu'ils sont bons, si doux et humides, ses baisers sur ma chatte qui s'offre à sa bouche. Je tire ma langue pour lécher, tendrement, lentement... sa bite et ses couilles encore mouillées. Nous nous léchons mutuellement comme ça pendant quelques minutes de plus, car aucun d'entre nous deux ne veux lâcher l'autre. Je guettais malgré tout les bruits d’Alain là haut. A la fois je souhaitais qu’il se doute de quelque chose, mais je craignais qu’il sache. C’était ma vengeance. Alain est descendu quelques minutes plus tard. Il a pris un digestif avec Damien. Moi, j’ai joué la femme en colère et suis montée me coucher dans la chambre d’amis. Ma culotte en tire bouchon traînait au pied du canapé.
Je suis surprise par le spasme de plaisir qui traverse mon bas ventre . Perdue pour perdue mes cuisses écartées au maximum, je continue de frotter toute ma érogène et j'ai un orgasme assez fort. Après cette perte de conscience je sens que mon anus a laissé échappé un peu de la crème blanche de Damien. Je m'effondre sur le lit, laissant les vagues de jouissance s'éloigner de mon corps. Je suis un peu honteuse de ne pas avoir su résister. Je sais que je viens de commettre une infidélité à Damien. Je m’en veux. Pourtant nous nous sommes pourtant juré fidélité.
Malgré ses besoins évidents et fréquents, il m’a juré que chacune des gouttes de sperme qu’il émettrait le serai sur et dans mon corps. Je ne l’ai cru qu’à moitié pensant que ma part de contrat serait facile. Pourtant malgré les saillies journalières, c’est moi qui suis la plus demandeuse, comme si je voulais rattraper tout le temps perdu. Et sans doute persuadée que le feu d’artifice de mes sens ne pourra pas durer. Ma relation avec Damien évolue au fil des jours. Je ne pose plus de question sur ma relation intime et je ne me cherche pas d’excuses. En dehors de nos baises sauvages je suis encore la maman de son ex et une employée respectée dans mon entreprise. A part dans les moments intimes, je continue de le vouvoyer. C’est sans doute une distance que je veux garder plus vis à vis de moi-même que de lui. A chacune de nos étreinte il étend sa mainmise sur moi. Et cela sans que je ne lui dise rien de cette dépendance qui croit de jour en jour. Il le sent plus qu’il ne ne sait. Il mesure bien ma soif de sexe et il va au devant de mes désirs tant ils sont évidents. Mes troubles et mes hésitations du début s'effacent pour faire place à un sentiment de soumission, un désir constant de lui plaire. Je pense aux différentes manières de le séduire, de lui prouver mon appartenance, essayant de trouver des astuces pour qu'il me désire encore plus, comme si j'étais sa petite amie. Je veux que mon corps de femme de 42 ans incarne la suite logique de la relation que ma fille a interrompue.
Alain, mon mari est rentré, hier soir. Ça faisait 15 jours que je ne l’avais pas vu et il ne me manquait pas. J’en avais suffisamment bavé avec ce dépravé alcoolique. J’avais été l’otage de cette relation destructrice qui m’avait perdre tant de confiance en moi. J’étais restée à cause des enfants. Surtout ma fille aînée qui adorait son papa. J’avais eu peur qu’en le quittant je perde aussi mes filles. J’étais prise au piège de ce chantage affectif et j’avais enduré la perversité d’Alain, son mépris, sa violence et épongé ses écarts financiers sans broncher. Depuis les filles étaient parties, plus rien ne me retenait à Alain. Je l’avais balayé de ma vie. J’étais plus vivante que jamais. Quand il a vu ma jupe courte et ma nouvelle coiffure, il a compris. Lui aussi portait une chemise à motif et une veste que je ne lui connaissais pas. Le constat de chaque côté était évident. Il était rasé de près et la forte odeur de menthe que dégageait son haleine montrait qu’il essayait maladroitement de masquer l’alcool qu’il avait ingurgité. Pourtant, il n’était pas saoul.
- Je fais des efforts pour régler mes problèmes. J’ai trouvé quelqu’un qui peut m’aider. Je suis venu prendre quelques affaires et je pars demain. Je pars vivre à XXXX. Je suis désolé pour ce qui arrive…Que croyait-il? Que j’allais m’effondrer, le supplier de rester? Je l’ai regardé froidement.
-Si c’est ta décision, je ne vais pas te retenir. Je pense que c’est le mieux qui pouvait nous arriver. Je te souhaite bonne chance. Par contre je souhaiterais que tu attendes quelques temps pour annoncer les choses aux filles. Le temps que ça se stabilise…Pas de reproches ni de scène inutile. Pourtant il y avait tant de choses à se reprocher. Comme au boulot, j’essayais au maximum d’éviter les conflits. Ma nouvelle expérience professionnelle m’avait appris à éviter les écueils.
-J’ai des courses à faire. Tu m’excuses si on ne dîne pas ensemble ce soir, j’ai un rendez-vous de boulot. Tu te sers dans le frigo…J’ai envoyé SMS à Damien pour le prévenir de la nouvelle et nous avons été au restaurant pour fêter ça. Il était 11h00 quand nous sommes rentrés, la maison était silencieuse. Demain, Alain aurait quitté la maison, je changerais les draps, j’ouvrirai en grand les fenêtres et je commencerais à l’oublier. Dans le couloir, il y avait des cartons. Des affaires d’Alain sans doute et sûrement des souvenirs communs que j’aurais bien gardé si je n’avais pas choisi de tourner la page. Il n’empêche que j’avais les tripes nouées. Comme quoi...
Damien est entré dans la cuisine, il s’était servi un digestif. Il s’est placé derrière moi et m'enveloppait de ses bras et prenait mes seins avec ses mains.
- N'oubliez pas qu’Alain est encore dans la maison et il n’est pas encore couché. Je l’entends en haut.
Ses mains ont glissé sous mon chemisier pour sentir la peau soyeuse mes seins.
- Oui, je sais Kristine, mais je ne peux pas m'empêcher, vous êtes tellement belle et l’excitation du danger vous rend plus désirable.
Il s'installe à côté de moi. Je baisse mes yeux pour voir le contour rigide de sa bite effectivement bien dure dans son pantalon. Souriante je lève les yeux vers lui.
- Vous feriez mieux de verser un peu d'eau froide sur cette chose avant qu’Alain n’arrive et vous voit dans cet état.
- Je ne peux pas , un peu d'eau ne suffira pas pour la faire retomber. Mais… peut-être que vous me faisiez quelque chose... me dit-il en souriant.
Un frisson d'excitation parcourt de haut en bas ma colonne vertébrale.Je pense que le danger de le faire dans la cuisine avec Alain en haut exacerbe ce sentiment.
- Je ne peux pas, c'est trop dangereux.
Il me regarde suppliant avec cette excitation dans ses yeux comme un petit garçon qui attend son cadeau. Lentement, il baisse son pantalon pour exposer à mon regard sa belle bite bien bandée. Je regarde rapidement vers le haut des escaliers quand même alarmée par ce qu'il fait, c'est si risqué !
- Damien, je vous en prie! Retenez-vous un peu !
Je dis cela pour la forme car je sais maintenant que je ne peux résister quand je vois sa magnifique et grosse queue de jeune homme et que je vais pouvoir la sucer.
Et avec un sourire très coquin il me dit :- Kristine, c'est le seul moyen pour qu'elle revienne au repos.
Je ris presque à haute voix, et il serait stupide de penser que je veux qu'elle retombe. Mon cœur bat la chamade quand je regarde cette bite palpitante.Je penche ma tête et je la prends entièrement dans ma bouche. Qu’elle est douce et bonne. Quel plaisir d'avoir cette bite chaude, fortement veinée dans ma bouche ce plaisir qui envahi tout mon être. Lentement je la déguste en tournant ma langue autour, ne gardant que le gland gonflé entre mes lèvres le bout de ma langue dans son méat, puis, je l'avale pour prendre son gland dans mon arrière gorge que je malaxe en déglutissant. En même temps je gémis doucement de ce plaisir qui descend dans mon bas ventre. Je sens ses mains qui prennent ma tête et ses doigts qui fouillent dans mes cheveux.
- oh Kristine, je veux baiser ta bouche... laisse moi faire, je peux tenir encore...Je veux juste baiser ta bouche, oh oui...
Maintenant bien ma tête en position, il recule ses hanches, sa bite sort presque de ma bouche mais il la renfonce aussitôt à fond et baise ma bouche. Je suis surprise par sa vigueur et sa rudesse, sa queue va si profond, qu'il m'étouffe presque mais je tiens bon. Il augmente la vitesse de ses vas et viens et je sens que je ne vais pas en supporter plus alors je mets mes mains sur ses cuisses pour le repousser.
- Oui, ouvre ta bouche... prendre ma queue... suce.
Il s’appuie contre la table et je sens la pression sur ma tête pour me forcer à me mettre à genoux. Je veux lui dire d'arrêter, mais je ne peux pas... sa bite était profondément enfoncée dans ma gorge. Le fait de sucer la bite de mon beau fils me rend tellement impuissante et je suis sous son emprise. Je commence à aimer d'être traitée comme ça ! Ce sentiment de soumission, d'être obligée de faire ce qu'il veut occulte tout raisonnement sensé et envoie des ondes d'excitation à travers mon corps. Je ne sais plus vraiment ce que je fais, si je veux arrêter cela ou si j'en veux plus. J'espère seulement que mon mari ne va pas descendre trop tôt pour interrompre ce moment délicieusement pervers.
Je retiens mon souffle et ma gorge masse la tête de sa bite enfoncée profondément ! J'ai besoin d'un peu d'air ! Je sors sa queue et je la saisis avec une de mes mains et donne des coups de langue sur ses couilles.
- Damien, ce que j'aime çà ! Aime-moi ! Baise-moi !
Toute cette excitation, cette énergie sexuelle qui fait vibrer mon corps me fait oublier ou je suis et ce que je fais. En ce moment, je veux juste ses doigts en moi ... plus que sa bite ! La sensation de sa bite chaude sur ma joue me pousse à la reprendre dans ma bouche et de la bouffer comme une affamée. Je veux crier, mais je ne peux, Dieu Merci ! Je jouis longuement en silence et je sens enfin la bite d'Eric gonfler et un jet puissant de sperme gicle dans ma gorge. J'avale tout ce qu'il m'envoie ! Enfin, les couilles vides il s'effondre au-dessus de moi, sa bite encore à l'intérieur de ma bouche et ses doigts à l'intérieur de ma chatte. Je sens qu'il se déplace et il embrasse doucement ma chatte, dégustant le jus qui en est sorti. Oh qu'ils sont bons, si doux et humides, ses baisers sur ma chatte qui s'offre à sa bouche. Je tire ma langue pour lécher, tendrement, lentement... sa bite et ses couilles encore mouillées. Nous nous léchons mutuellement comme ça pendant quelques minutes de plus, car aucun d'entre nous deux ne veux lâcher l'autre. Je guettais malgré tout les bruits d’Alain là haut. A la fois je souhaitais qu’il se doute de quelque chose, mais je craignais qu’il sache. C’était ma vengeance. Alain est descendu quelques minutes plus tard. Il a pris un digestif avec Damien. Moi, j’ai joué la femme en colère et suis montée me coucher dans la chambre d’amis. Ma culotte en tire bouchon traînait au pied du canapé.
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