Kristine 6 Je tente de résister
Récit érotique écrit par Kristine [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur femme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-02-2018 dans la catégorie Dans la zone rouge
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Kristine 6 Je tente de résister
Au travail, j’avais mal aux reins, d’autant plus que Damien avait choisi ma tenue. Une jupe assez sage et des talons, pas très hauts. Mais comme je suis pas assez habituée à cela, ma démarche était quelque peu malhabile. J’avais le feu aux joues abrutie par la fatigue et je faisais de mon mieux pour me concentrer sur mes dossiers.
- Vous n’avez pas l’air dans votre assiette, Kristine.
- J’ai passée une mauvaise nuit, mais ça va aller.
10H30, Damien venait de me faire passer un SMS m’indiquant qu’un plug et du lubrifiant se trouvaient dans mon sac. J’ai ouvert mon sac et y ai trouvé un cône de plastic noir qui se terminait par une boule suivi d’une base. La grosseur de l’objet était telle que je pensais que jamais mon anus ne pourrait absorber une telle chose. Je devais me rendre aux toilettes pour me l’introduire à reprises dans le fondement. Je sortis de l’entreprise pour l’avoir au téléphone.
- Damien, c’est Kristine. Je suis désolée mais je ne peux faire ce que vous me demandez.
- Je ne vous comprends pas. Ce que je demande est cependant clair. Vous vous rendez aux toilettes, vous vous déshabillez complètement. Vous badigeonnez le plug avec un lubrifiant anesthésiant et vous le faites aller et venir 10 fois en le sortant complètement à chaque fois.
J’étais en colère devant cette incompréhension.
- Vous m’avez bien compris, Damien. Je refuse.
Là dessus je raccrochais. J’étais fière de ma résistance. Je fermai mon téléphone portable et l’éteignis. Je repris le travail.
16H00, le fixe du bureau retentit. Olivier me tendit l’appareil.
- C’est pour vous Kristine, un appel personnel.
- Kristine, c’est Damien. Je vous demande d’allumer votre portable et de regarder vos messages.
Il avait laissé des messages avec des fichiers joints. Ces fichiers contenaient des photos de moi dans des situation sexuelles explicites. Je palissais. Il avait mis ses menaces à exécution, ce dont je ne l’avais pas cru capable. Il m’indiqua un site internet. Le site était interdit aux moins de 18ans. Il s’agissait d’un blog coquin. Les photos de moi y étaient, aux regards de tous. Il avait pris la précaution de flouter le visage, mais il s’agissait bien de moi, sous mon propre toit dans des situation dégradantes.Je m’étranglais de rage et de honte.
- Vous êtes consciente Kristine que vous êtes à ma merci, que j’ai fait de vous ma chose.
J’acquiesçais.
-Vous partirez ce soir une demi-heure en avance du travail, mais vous laisserez votre portable sur le bureau. Ce sera dans vos cordes cette fois?
A 17h00 j’étais à la maison. Damien m’attendait. Sur le canapé, il y avait un sac provenant d’un magasin de vêtements.
-C’est pour vous. Un cadeau pour me faire pardonner.
Le sac contenait un robe de soirée. Je la passais devant moi. Elle ne cachait pas pas grand-chose de mes cuisses. Jamais je n’avais porté quelque chose d’aussi court.
-Elle vous plait?
-Vous êtes fou Damien. Vous n’auriez pas dû…
Je l’embrassai à pleine bouche, réellement touchée par l’attention.
- Allez vous changer, Kristine. Cela se porte sans sous vêtement. Mais n’oubliez votre dilatateur, le petit...
J’allais commencer à dire quelque chose pour me défiler mais les mots sont restés collés dans ma bouche et j’ai monté les escaliers. La robe était courte et moulante. Je me trouvais indécente, mais aussi excitante. Le genre de robe que j’aurais aimé porter il y a une quinzaine d’années. Mais j’avais maintenant 43 ans et je faisais un peu pute avec en plus un intrus lubrifié qui occupait mon fondement. Quand j’ai retrouvé Damien, lui aussi, s’était changé et portait un pantalon assez classe, une chemise et une veste.
-Nous sortons?
-Non nous attendons quelqu’un. Sortez l’apéritif. Il ne va pas tarder
-Qui-est-ce? Je le connais?
-Oui, Kristine, c’est Olivier , votre collaborateur. Il vient vous ramener votre portable. Je vous demande de vous montrer sous votre meilleur jour et de vous montrer docile. Vous saisissez bien?
J’étais confuse et je tirais maladroitement sur ma robe pour tenter désespérément de l’étirer. Déjà Olivier se profilait dans l’allée et sonnait à la porte. Je lui ouvris. Il me détailla de la tête au pied. Je rougissais à vue d’oeil.
-Je vous présente Damien, mon beau fils.
-Nous nous sommes déjà parlé au téléphone tout à l’heure. Entrez, vous resterez bien prendre une petite coupe avec nous.
-Je ne sais pas si j’ai le temps…
-Si, si j’insiste. Nous devons sortir ce soir, c’est l’anniversaire de mariage de Kristine et nous attendons Alain, le mari de Kristine. Malheureusement, il vient de nous prévenir de son retard. Il nous rejoindra au restaurant.
Visiblement Damien affabulait, ce qui me mettait mal à l’aise. Je lui servis une coupe en me penchant, laissant apparaître un décolleté impudique dont les deux hommes ne perdaient pas une miette.
- Je suis toujours étudiant et malgré le départ de Sophie à l’étranger, Kristine et Alain me font l’amitié de m’héberger. Je leur suis extrêmement reconnaissant, n’est pas Kristine?
-Oui, oui. Damien est un garçon charmant. Vous savez, il travaille en parallèle de ses études, c’est courageux.
-En effet. Je viens d’une famille catholique rigoureuse, et chez-nous le travail et le respect sont fondamentaux.
Il racontait n’importe quoi, je ne voyais pas où il voulait en venir, mais il avait une idée derrière la tête. Je serrais les jambes pour ne pas dévoiler mon intimité à ces deux hommes qui me faisaient face.
-Au début, ça a été un peu difficile. Surtout quand, Sophie m’a expliqué que ses parents vivaient une relation de couple non conventionnelle, comme on le dit maintenant. Ils sortent souvent et reçoivent aussi beaucoup. Au départ cela m’a gêné, mais on se fait à tout.
Le salopard, il me faisait passer pour une libertine devant mon collaborateur qui lui aussi se sentait mal à l’aise. C’est alors que Damien fit tomber sa coupe sur le tapis.
-Oh, que je suis maladroit.
-Laissez, Damien. Je m’en occupe.
Accroupie, j’aurais montrée à tous mon intimité rasée. Je me suis donc mise à 4 pattes pour ramasser le verre et éponger le liquide. Les deux hommes s’étaient tus et le silence gêné m’a fait comprendre que j’exhibais comme une chienne dans une position de soumission. Suite à cet incident, je n’ai plus rien dit jusqu’à ce qu’Olivier prenne congé.
Nous avons passé une soirée charmante. J’avais remis ma culotte. Nous avons dîné en amoureux, nous avons fait une promenade au bord d’un rivière. Les tensions précédentes étaient retombées. J’étais détendue et lui prévenant et attentionné. Nous riions de tout et de rien comme des amoureux. Il était fascinant comment Damien pouvait passer de moments de perversité à des moments de pure innocence. Par contre, moi, je dois avouer que j’aurais aimé être baisée là dans la nature. Mais je ne voulais pas briser ce moment de grâce.
De retour à la maison, nous savions l’un et l’autre que nous ferions l’amour. J’attendais qu’il en prenne l’initiative. Il était dans sa chambre quand il me fit monter.
-Kristine, j’aimerais que vous regardiez ceci.
Il s’agissait de vidéo à caractère pornographie sur internet. Même si je connaissais ce type de site et que j’en avais déjà regardé quelques unes par curiosité, cela ne m’avait pas intéressé plus que cela. Je préférai les délires de mon imagination lorsque je me donnais seule du plaisir. Lui par contre, son érection au travers du pantalon ne laissait aucun doute sur son excitation.
-Mettez vous à quatre pattes sur le lit, ma chérie.
J’étais face à l’écran où une fille se faisait prendre en levrette en gémissant.
-Il a baissé ma culotte et à fait sortir les seins de la robe.
-Voyez, Kristine, vous êtes encore humide.
Il avait introduit deux doigts dans mon intimité et il les faisait coulisser comme la bite qui faisait gémir la fille sur l’écran. Il s’est positionné devant moi. J’aurais voulu engloutir son dard mais se sont ses doigts gluants de mon excitation qui m’ont baisé profondément la bouche. La fille sur l’écran faisait la même que moi mais avec la bite de son amant.
-Maintenant, le dilatateur que vous avez refusé ce matin va prendre possession de votre rectum.
L’objet noir et menaçant était posé à coté avec le gel lubrifiant.
-Allez, Kristine. Ouvrez-vous le cul avec vos doigts si vous ne voulez pas souffrir l’enfer.
-J’ai trop honte. Je ne veux pas…
Une claque m’a cinglé les fesses, suivie d’une autre plus forte.
-Arrêtez, je vous en conjure je ferai ce que vous me demandez.
Je me suis enduit les doigts de gel et je les ai introduit entre les fesses. Son portable filmait la scène.
-Allez, salope assouplis-toi la rondelle.
Mes doigts coulissaient maintenant à l’intérieur avec plus de facilité car il avait ajouté encore plus de lubrifiant. Même si la situation était dégradante, la sensation de mes doigts entrants et sortant de mon cul était plutôt stimulante.
-Ecarte, maintenant tes fesses. Montre moi ton trou dilaté.
Mes deux mains ont écarté mes fesses. J’imaginais la vision obscène de ce trou exhibé par une femme mure devant un garçon qui aurait pu être mon fils. J’ai senti le bout de l’objet écarter mes chairs intimes. Je me sentais dilatée au maximum, mais mon corps refusait d’aller plus loin.
-Allez, pousse comme si tu étais au toilettes.
Je faisais les efforts qu’il me me demandait, mais rien n’y faisait, l’engin ne voulait pas entrer. Il l’a fait ressortir puis m’a investi l’intérieur de ses doigts recouverts de force de lubrifiant. Il ne me ménageait et me dilatait l’intérieur sans ménagement. C’était douloureux, pas érotique, pas tendre. On aurait dit un examen médical. Quand il a replacé le plug dans mon anus, mes jambes étaient tremblantes, une sueur froide coulait sur mes seins. Je faisais tous les efforts pour que cela se termine au plus vite. Et puis tout d’un coup mon cul a avalé le monstre et j’ai crié de surprise et de soulagement. J’étais remplie. La sensation était surprenante et agréable d’autant qu’il a commencé à me triturer le devant de la chatte pour stimuler indirectement mon clitoris.
-Tu vois Kristine. C’est la première fois qui coûte.
Il a séché mes larmes. La fille sur l’écran gémissait en se laissant coulisser sur une queue.
Moi aussi j’avais envie de la queue de Damien et quand il est passé devant moi je l’ai embouché. Puis il m’a demandé de lui lécher les couilles.
-Tu as le cul rempli, tu es excitée comme une chienne.
Soudain une sensation de rejet s’est emparée de mon intérieur qui a rejeté l’objet avec force.
C’est alors que profitant de ma béance il a replacé l’objet au fond de moi, le faisant entrer et sortir avec facilité. J’alternais une brûlure excitante, une expulsion violente puis une sensation de vide. Cette sensation m’était inconnue mais si forte que je devais hurler de plaisir. J’étais inerte et vidée. Je me suis écroulée quasiment inconsciente.
Quelques minutes plus tard sa bouche s’est posés sur mes lèvres intimes. Sa langue a écarté mes chairs et s’est mise à la recherche de mon clitoris. Le cunnilingus était une pratique qui me répugnait. Autant le fellation était une chose que je faisais bien volontiers en en retirant plaisir et excitation autant le regard posé sur mon intimité m’était insupportable tout autant que la stimulation directe du bouton magique qui me donnait un sentiment de malaise auquel j’essayais de me soustraire.
- Arrêtez, Damien. Vous voyez que je suis prête, remplissez-moi avec votre grand sexe. Faites-moi jouir avec votre queue.
Je me suis accroupie au dessus de lui et j’ai saisi son sexe de ma main et me le suis introduit. Je comptais de le rendre fou de plaisir en maîtrisant seule les mouvements. Sa queue me remplissait tellement bien, elle me stimulait juste au bon endroit si bien que je n’ai pas tarder à jouir une première fois. Mes jambes et mon ventre était pris de petits mouvements incontrôlables. A peine remise, j’ai repris mes mouvements ce qui a produit le même effet. J’enchaînais orgasme sur orgasme. Mes cris faisaient écho à ceux d’une fille sur l’écran qui se faisait défoncer et dont je ne voyais que la croupe. Tout se passait comme dans une partouze interposée. Notre couple faisait écho à celui de l’écran. J’entendais plus que je ne voyais tant le plaisir me troublait la vue. Quand Damien s’est raidi pour se vider en moi je me suis écroulée sur lui vidée par le plaisir et l’effort. Mon regard s’est figé sur l’écran. On y voyait le visage d’une fille recouvert de foutre qui finissait de sucer un sexe. Sauf que cette fille, c’était la mienne, Sophie, et que le sexe était celui de Damien.
Je me suis figée et je me suis recouverte pour échapper à ce regard qui ne pouvait me voir mais me rendait coupable de ma conduite. Je me suis enfuie d’abord dans la salle de bain puis je me suis enfermée dans ma chambre, en me promettant de mettre fin à cette aventure perverse et insensée.
- Vous n’avez pas l’air dans votre assiette, Kristine.
- J’ai passée une mauvaise nuit, mais ça va aller.
10H30, Damien venait de me faire passer un SMS m’indiquant qu’un plug et du lubrifiant se trouvaient dans mon sac. J’ai ouvert mon sac et y ai trouvé un cône de plastic noir qui se terminait par une boule suivi d’une base. La grosseur de l’objet était telle que je pensais que jamais mon anus ne pourrait absorber une telle chose. Je devais me rendre aux toilettes pour me l’introduire à reprises dans le fondement. Je sortis de l’entreprise pour l’avoir au téléphone.
- Damien, c’est Kristine. Je suis désolée mais je ne peux faire ce que vous me demandez.
- Je ne vous comprends pas. Ce que je demande est cependant clair. Vous vous rendez aux toilettes, vous vous déshabillez complètement. Vous badigeonnez le plug avec un lubrifiant anesthésiant et vous le faites aller et venir 10 fois en le sortant complètement à chaque fois.
J’étais en colère devant cette incompréhension.
- Vous m’avez bien compris, Damien. Je refuse.
Là dessus je raccrochais. J’étais fière de ma résistance. Je fermai mon téléphone portable et l’éteignis. Je repris le travail.
16H00, le fixe du bureau retentit. Olivier me tendit l’appareil.
- C’est pour vous Kristine, un appel personnel.
- Kristine, c’est Damien. Je vous demande d’allumer votre portable et de regarder vos messages.
Il avait laissé des messages avec des fichiers joints. Ces fichiers contenaient des photos de moi dans des situation sexuelles explicites. Je palissais. Il avait mis ses menaces à exécution, ce dont je ne l’avais pas cru capable. Il m’indiqua un site internet. Le site était interdit aux moins de 18ans. Il s’agissait d’un blog coquin. Les photos de moi y étaient, aux regards de tous. Il avait pris la précaution de flouter le visage, mais il s’agissait bien de moi, sous mon propre toit dans des situation dégradantes.Je m’étranglais de rage et de honte.
- Vous êtes consciente Kristine que vous êtes à ma merci, que j’ai fait de vous ma chose.
J’acquiesçais.
-Vous partirez ce soir une demi-heure en avance du travail, mais vous laisserez votre portable sur le bureau. Ce sera dans vos cordes cette fois?
A 17h00 j’étais à la maison. Damien m’attendait. Sur le canapé, il y avait un sac provenant d’un magasin de vêtements.
-C’est pour vous. Un cadeau pour me faire pardonner.
Le sac contenait un robe de soirée. Je la passais devant moi. Elle ne cachait pas pas grand-chose de mes cuisses. Jamais je n’avais porté quelque chose d’aussi court.
-Elle vous plait?
-Vous êtes fou Damien. Vous n’auriez pas dû…
Je l’embrassai à pleine bouche, réellement touchée par l’attention.
- Allez vous changer, Kristine. Cela se porte sans sous vêtement. Mais n’oubliez votre dilatateur, le petit...
J’allais commencer à dire quelque chose pour me défiler mais les mots sont restés collés dans ma bouche et j’ai monté les escaliers. La robe était courte et moulante. Je me trouvais indécente, mais aussi excitante. Le genre de robe que j’aurais aimé porter il y a une quinzaine d’années. Mais j’avais maintenant 43 ans et je faisais un peu pute avec en plus un intrus lubrifié qui occupait mon fondement. Quand j’ai retrouvé Damien, lui aussi, s’était changé et portait un pantalon assez classe, une chemise et une veste.
-Nous sortons?
-Non nous attendons quelqu’un. Sortez l’apéritif. Il ne va pas tarder
-Qui-est-ce? Je le connais?
-Oui, Kristine, c’est Olivier , votre collaborateur. Il vient vous ramener votre portable. Je vous demande de vous montrer sous votre meilleur jour et de vous montrer docile. Vous saisissez bien?
J’étais confuse et je tirais maladroitement sur ma robe pour tenter désespérément de l’étirer. Déjà Olivier se profilait dans l’allée et sonnait à la porte. Je lui ouvris. Il me détailla de la tête au pied. Je rougissais à vue d’oeil.
-Je vous présente Damien, mon beau fils.
-Nous nous sommes déjà parlé au téléphone tout à l’heure. Entrez, vous resterez bien prendre une petite coupe avec nous.
-Je ne sais pas si j’ai le temps…
-Si, si j’insiste. Nous devons sortir ce soir, c’est l’anniversaire de mariage de Kristine et nous attendons Alain, le mari de Kristine. Malheureusement, il vient de nous prévenir de son retard. Il nous rejoindra au restaurant.
Visiblement Damien affabulait, ce qui me mettait mal à l’aise. Je lui servis une coupe en me penchant, laissant apparaître un décolleté impudique dont les deux hommes ne perdaient pas une miette.
- Je suis toujours étudiant et malgré le départ de Sophie à l’étranger, Kristine et Alain me font l’amitié de m’héberger. Je leur suis extrêmement reconnaissant, n’est pas Kristine?
-Oui, oui. Damien est un garçon charmant. Vous savez, il travaille en parallèle de ses études, c’est courageux.
-En effet. Je viens d’une famille catholique rigoureuse, et chez-nous le travail et le respect sont fondamentaux.
Il racontait n’importe quoi, je ne voyais pas où il voulait en venir, mais il avait une idée derrière la tête. Je serrais les jambes pour ne pas dévoiler mon intimité à ces deux hommes qui me faisaient face.
-Au début, ça a été un peu difficile. Surtout quand, Sophie m’a expliqué que ses parents vivaient une relation de couple non conventionnelle, comme on le dit maintenant. Ils sortent souvent et reçoivent aussi beaucoup. Au départ cela m’a gêné, mais on se fait à tout.
Le salopard, il me faisait passer pour une libertine devant mon collaborateur qui lui aussi se sentait mal à l’aise. C’est alors que Damien fit tomber sa coupe sur le tapis.
-Oh, que je suis maladroit.
-Laissez, Damien. Je m’en occupe.
Accroupie, j’aurais montrée à tous mon intimité rasée. Je me suis donc mise à 4 pattes pour ramasser le verre et éponger le liquide. Les deux hommes s’étaient tus et le silence gêné m’a fait comprendre que j’exhibais comme une chienne dans une position de soumission. Suite à cet incident, je n’ai plus rien dit jusqu’à ce qu’Olivier prenne congé.
Nous avons passé une soirée charmante. J’avais remis ma culotte. Nous avons dîné en amoureux, nous avons fait une promenade au bord d’un rivière. Les tensions précédentes étaient retombées. J’étais détendue et lui prévenant et attentionné. Nous riions de tout et de rien comme des amoureux. Il était fascinant comment Damien pouvait passer de moments de perversité à des moments de pure innocence. Par contre, moi, je dois avouer que j’aurais aimé être baisée là dans la nature. Mais je ne voulais pas briser ce moment de grâce.
De retour à la maison, nous savions l’un et l’autre que nous ferions l’amour. J’attendais qu’il en prenne l’initiative. Il était dans sa chambre quand il me fit monter.
-Kristine, j’aimerais que vous regardiez ceci.
Il s’agissait de vidéo à caractère pornographie sur internet. Même si je connaissais ce type de site et que j’en avais déjà regardé quelques unes par curiosité, cela ne m’avait pas intéressé plus que cela. Je préférai les délires de mon imagination lorsque je me donnais seule du plaisir. Lui par contre, son érection au travers du pantalon ne laissait aucun doute sur son excitation.
-Mettez vous à quatre pattes sur le lit, ma chérie.
J’étais face à l’écran où une fille se faisait prendre en levrette en gémissant.
-Il a baissé ma culotte et à fait sortir les seins de la robe.
-Voyez, Kristine, vous êtes encore humide.
Il avait introduit deux doigts dans mon intimité et il les faisait coulisser comme la bite qui faisait gémir la fille sur l’écran. Il s’est positionné devant moi. J’aurais voulu engloutir son dard mais se sont ses doigts gluants de mon excitation qui m’ont baisé profondément la bouche. La fille sur l’écran faisait la même que moi mais avec la bite de son amant.
-Maintenant, le dilatateur que vous avez refusé ce matin va prendre possession de votre rectum.
L’objet noir et menaçant était posé à coté avec le gel lubrifiant.
-Allez, Kristine. Ouvrez-vous le cul avec vos doigts si vous ne voulez pas souffrir l’enfer.
-J’ai trop honte. Je ne veux pas…
Une claque m’a cinglé les fesses, suivie d’une autre plus forte.
-Arrêtez, je vous en conjure je ferai ce que vous me demandez.
Je me suis enduit les doigts de gel et je les ai introduit entre les fesses. Son portable filmait la scène.
-Allez, salope assouplis-toi la rondelle.
Mes doigts coulissaient maintenant à l’intérieur avec plus de facilité car il avait ajouté encore plus de lubrifiant. Même si la situation était dégradante, la sensation de mes doigts entrants et sortant de mon cul était plutôt stimulante.
-Ecarte, maintenant tes fesses. Montre moi ton trou dilaté.
Mes deux mains ont écarté mes fesses. J’imaginais la vision obscène de ce trou exhibé par une femme mure devant un garçon qui aurait pu être mon fils. J’ai senti le bout de l’objet écarter mes chairs intimes. Je me sentais dilatée au maximum, mais mon corps refusait d’aller plus loin.
-Allez, pousse comme si tu étais au toilettes.
Je faisais les efforts qu’il me me demandait, mais rien n’y faisait, l’engin ne voulait pas entrer. Il l’a fait ressortir puis m’a investi l’intérieur de ses doigts recouverts de force de lubrifiant. Il ne me ménageait et me dilatait l’intérieur sans ménagement. C’était douloureux, pas érotique, pas tendre. On aurait dit un examen médical. Quand il a replacé le plug dans mon anus, mes jambes étaient tremblantes, une sueur froide coulait sur mes seins. Je faisais tous les efforts pour que cela se termine au plus vite. Et puis tout d’un coup mon cul a avalé le monstre et j’ai crié de surprise et de soulagement. J’étais remplie. La sensation était surprenante et agréable d’autant qu’il a commencé à me triturer le devant de la chatte pour stimuler indirectement mon clitoris.
-Tu vois Kristine. C’est la première fois qui coûte.
Il a séché mes larmes. La fille sur l’écran gémissait en se laissant coulisser sur une queue.
Moi aussi j’avais envie de la queue de Damien et quand il est passé devant moi je l’ai embouché. Puis il m’a demandé de lui lécher les couilles.
-Tu as le cul rempli, tu es excitée comme une chienne.
Soudain une sensation de rejet s’est emparée de mon intérieur qui a rejeté l’objet avec force.
C’est alors que profitant de ma béance il a replacé l’objet au fond de moi, le faisant entrer et sortir avec facilité. J’alternais une brûlure excitante, une expulsion violente puis une sensation de vide. Cette sensation m’était inconnue mais si forte que je devais hurler de plaisir. J’étais inerte et vidée. Je me suis écroulée quasiment inconsciente.
Quelques minutes plus tard sa bouche s’est posés sur mes lèvres intimes. Sa langue a écarté mes chairs et s’est mise à la recherche de mon clitoris. Le cunnilingus était une pratique qui me répugnait. Autant le fellation était une chose que je faisais bien volontiers en en retirant plaisir et excitation autant le regard posé sur mon intimité m’était insupportable tout autant que la stimulation directe du bouton magique qui me donnait un sentiment de malaise auquel j’essayais de me soustraire.
- Arrêtez, Damien. Vous voyez que je suis prête, remplissez-moi avec votre grand sexe. Faites-moi jouir avec votre queue.
Je me suis accroupie au dessus de lui et j’ai saisi son sexe de ma main et me le suis introduit. Je comptais de le rendre fou de plaisir en maîtrisant seule les mouvements. Sa queue me remplissait tellement bien, elle me stimulait juste au bon endroit si bien que je n’ai pas tarder à jouir une première fois. Mes jambes et mon ventre était pris de petits mouvements incontrôlables. A peine remise, j’ai repris mes mouvements ce qui a produit le même effet. J’enchaînais orgasme sur orgasme. Mes cris faisaient écho à ceux d’une fille sur l’écran qui se faisait défoncer et dont je ne voyais que la croupe. Tout se passait comme dans une partouze interposée. Notre couple faisait écho à celui de l’écran. J’entendais plus que je ne voyais tant le plaisir me troublait la vue. Quand Damien s’est raidi pour se vider en moi je me suis écroulée sur lui vidée par le plaisir et l’effort. Mon regard s’est figé sur l’écran. On y voyait le visage d’une fille recouvert de foutre qui finissait de sucer un sexe. Sauf que cette fille, c’était la mienne, Sophie, et que le sexe était celui de Damien.
Je me suis figée et je me suis recouverte pour échapper à ce regard qui ne pouvait me voir mais me rendait coupable de ma conduite. Je me suis enfuie d’abord dans la salle de bain puis je me suis enfermée dans ma chambre, en me promettant de mettre fin à cette aventure perverse et insensée.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Il va falloir vous montrer patients pour la suite du récit. Les 6 premiers volets ont été écrits en amont de leur publication. Je reprends l'écriture, mais le rythme de publication sera plus lent.
Merci de vos commentaires
Kristine
Merci de vos commentaires
Kristine
Très beau récit, on attend la suite avec impatience, comment va réagir katrine ?
un Danien très pervers qui a su vous manupuler.
En amour, il y a souvant un dominant un dominé, et parfois ils changent de role !
Bien écrit, j'attend avec impatience la suite ...
Dominique
En amour, il y a souvant un dominant un dominé, et parfois ils changent de role !
Bien écrit, j'attend avec impatience la suite ...
Dominique