l'abricot était a point
Récit érotique écrit par Georges [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-07-2011 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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Couleur du fond :
l'abricot était a point
- Chéri, Henriette m’a demandé si tu pouvais l’aider à cueillir des abricots, elle veut faire de la confiture et les plus murs sont a la tête de l’arbre, j’ai dis oui évidement !
- Pas de soucis, j’irais cueillir son abricot avec plaisir !
Henriette est notre charmante voisine, une femme d’une cinquantaine d’années, très bien entretenue, sportive, un corps et un visage a peine marqués par les années, veuve depuis quelques années et tient à vivre seule, quand la solitude lui pèse trop elle vient discuter avec Annie et c’est repartit, ce n’est pas les blagues grivoises qui lui font peur, elle adore en raconter, avec nous elle est servie !
- Salut belle Henriette, tu as besoin de moi pour ton abricot ?me voilà !
- Ah, toujours aussi blagueur, bonjours Georges !oui, je voudrais que tu cueille ceux qui sont à la tête de l’arbre, moi je vais ramasser les plus bas avec mon escabeau
Me voilà grimpé dans l’arbre un pied sur une branche et l’autre sur une autre, c’n’est pas le grand écart mais presque ! Henriette en dessous de moi en haut de son escabeau commence la cueillette la tête en l’air ….
Peu de temps après ……
- Eh bien dis donc ! Si je m’attendais à voir des pruneaux dans un abricotier ….
- Des pruneaux ??
- Oui ! Et je suis très bien placée pour les voir ….je peux même dire qu’ils ont une belle tige !
Oh bon dieu ! Je réalise d’un coup ce qu’elle veut dire ….je suis en short court, et comme a mon habitude sans rien dessous elle voit donc par la jambière mon service trois pièces !
- Oh merde ! Excuse moi Henriette mais çà ne m’a même pas effleuré, j’ai l’habitude de m’habiller comme çà, je suis confus …je vais mettre un slip
- Surtout pas !mais çà ne me choque pas soit rassuré, il y a si longtemps que je n’en ai pas vus …ne change surtout pas de position pour moi !
- Alors çà va ! Par contre moi j’ai une belle vue sur deux magnifiques pamplemousses ! Dommage que la corbeille soit aussi fermée ……
- ….. Et là çà te va mieux ?
Houa ! Pas chiche elle vient de faire sauter deux boutons a son corsage !
- OOHH ! Quelle merveilleuse poitrine ! Merci ma belle
- Y’a pas de raison !c’est donnant -donnant chez moi !
La cueillette continue, mais je la sens troublée, et moi ses seins a demi découverts ne me laissent pas de bois, je sens mon sexe prendre du volume …..
- Eh ben, ce n’est plus une tige, c’est une banane qui tient aux pruneaux !
- C’est ta faute ! Et si çà continue tu va voir un concombre sortir par la jambière !
- Prétentieux !
Et a ce moment là le vent se lève, la branche a laquelle se tient Henriette bouge, elle se met à crier
- Georges ! Au secours je vais tomber, vint vite !vient vite !
J’ai d’abord cru qu’elle plaisantait, mais non elle panique, montée sur la dernière marche elle est cramponnée cette branche et ne peut plus rattraper l’escabeau, vite fait je saute au sol et monte derrière elle, non sans en avoir profiter pour regarder le haut de ses cuisses, deux petites fesses bien pommées emprisonnées dans une petite culotte rose, Mumm ! je la saisie aux hanches, son petit cul bien ferme a hauteur de mon visage ….
- Je te tiens çà va aller, descend un pied … pose le bien prés du montant … voilà maintenant l’autre, pareil prés du montant ….dés que tu peux lâche la branche et attrape le haut de l’escabeau ….
- Voilà, je me tiens ……mais laisse-moi respirer un moment ….
Les deux mains agrippées a l’escabeau la tête reposée dessus elle respire bruyamment, je descends de deux marches, ses pieds écartés laissent une vue magnifique sur son entre –cuisses, je pose une main sur son mollet et le caresse gentiment ….
- Tout çà c’est ta faute Georges il y a si longtemps que je n’avais pas vu de sexe d’homme j’en suis toute bouleversée, plus que par ce maudit vent !
- Encore un fois j’en suis confus
Du coup je pose mon autre main sur l’autre mollet, je fais des ronds toujours plus hauts vers le creux de ses genoux, pas de protestations ….les pouces a l’intérieur je remonte vers le haut des cuisses, elle pourrait rapprocher ses pieds mais elle ne le fait pas, une chaleur moite, je suis tout prés du slip, mes pouces frottent les grandes lèvres a travers le tissu, je perçois un faible ‘Georges, faut pas …. ‘
Elle meure d’envie de se faire caresser c’est clair, Je lâche prise…
- Henriette descend s’il te plait ….
Les pieds au sol elle tremble
- Il faut que je m’allonge je ne tiens pas debout
La femme s’allonge dans l’herbe les mains sur son visage comme pour se protéger de ma vue ….elle est très désirable ainsi, un coup de folie je baisse mon short …..Je lui prends un poignet et pose sa main sur ma queue bandée
Elle sursaute, retire sa main puis se ravisant prend fermement ma bitte a pleine main
- Je retire ce que j’ai dis tout a l’heure, tu as raison c’est bien un concombre ! J’en avais oublié la texture soyeuse et la dureté … je peux te caresser Georges ?
- Bien sur
- Oh non, il ne faut pas, je suis honteuse que penserait Annie de moi ?
- Quand je lui dirais elle approuvera a cent pour cent soit rassurée, va y continue, j’aime la douceur de ta main, relève les genoux tu veux ? Écarte les pieds ….
Sa jupe tombe sur son ventre découvrant entièrement ses cuisses, le slip rose apparait, ma main glisse sur son ventre plat je m’insinue entre la peau et le slip, je touche maintenant la forêt de poils bouclés, ses seins se soulèvent sa respiration c’est accélérée ….Henriette se soulève sur un coude attirant ma queue vers sa bouche ouverte, mes doigts séparent les lèvres moites, mon doigts tombe dans ce puits inondé, ses genoux se sont refermés pour se ré ouvrir encore plus largement son bassin décolle du sol , je la branle profondément pendant qu’elle me suce avidement , la salive coule entre ses lèvres, mes mouvements de basin font pénétrer ma queue plus en avant dans sa gorge
- Je vais jouir Henriette, je vais jouir ….
- Muuuunmmm ! Muuuuuummmmm
Et elle se cramponne à ma hampe de peur que je lui retire cette friandise ! a longs jets je me vide elle déglutis avec force, un mince filet de sperme coule de sa bouche tout le reste est maintenant dans son estomac
- Çà va mieux Henriette ?
- Booouuuh ! Je ne souvenais plus du gout ! Mais je savais quand même que j’aimais çà !quelle dose !
- A mon tour j’aimerais te faire plaisir, tu veux bien ?
-- Si Annie ne dois pas en prendre ombrage j’y compte bien ! Mais pas ici je vais avoir le dos en compote ; vient allons d’abord sous la douche
Deux minutes plus tard nus, sous le jet tiède j’embrasse à pleine bouche ses tétons, puis je glisse lentement vers le nombril et enfin le nez dans les poils ma langue se fraie un chemin, a travers la platitude de l’eau qui ruisselle je décèle le parfum et la consistance du nectar féminin, la femme plie les genoux afin de m’offrir totalement sa chatte, je fouille les moindres replis de chair, avec ses mains elle plaque ma tête sur son ventre afin de me guider au millimètre prés en ronronnant ,Un cri bref, un jet dru, elle vient de lâcher prise
- OOOOHHHHH c’est bon ! c’est booooonnnnnnn
Je me redresse elle m’embrasse a pleine bouche mêlant son odeur féminine a nos salives
- Allons sur le lit j’ai hâte de sentir le poids de ton corps sur moi, et ta formidable queue en moi, çà va me changer de mon vieux vibro en plastique !
- Tu as une préférence de position ?
- Bennn, toutes ! Je plaisante !mais pour débuter je veux la voir entrer, pour la suite je te fais confiance ….
- Je vais faire de la compote de ton abricot ! Met un coussin sous ta tête, relève tes genoux sur tes seins
- Hé ! Je n’ai plus vingt ans ! Les genoux sur les seins ? Tu veux me casser en deux ?attend je vais essayer …
- Regarde, tu y arrive, pas mal ….Huuuummmm, çà donne envie …. Je vois tes lèvres ouvertes à travers les poils ! C’est tout luisant ….
- Viens …….baise moi comme une salope, secoue moi !
- Attrape ma queue, guide là dans ton trou a bitte, je bande Henriette je bande pour toi, j’en ai mal aux couilles
- Je vais te les soulager, pousse …..Aaaaahhhh….. Qu’il fait du bien ton outil de chair et de sang, tu es gros ….aaaaaaahhhhhhhh !elle est au fond, baise moi maintenant, a toi de jouer, tes couilles sont sur mon cul, défonce moi Georges
- Noue tes jambes autour de mes reins et lâche-toi
Une sarabande infernale commence, nos chairs claquent l’une sur l’autre, sa chatte émet des bruits mouillés, elle crie des mots incompréhensibles ses seins sont secoués en tous sens, ses ongles se fichent dans mes épaules, un premier orgasme suivit d’un second encore plus violent des larmes coulent au coin de ses paupières
- Je vais jouir Henriette çà viennnnnnnnnnnt Tieeeeennnnnnnnnnnn prend çà AAAAAAAHHHHHHHH
- Oooooooooohhhhhh çà gicle !!!!! Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii
Elle me mord l’épaule, nos corps luisant de sueur reposent l’un sur l’autre son vagin a des contractions a plus en finir, quand ma queue va retirer elle ressemblera a un bec de canard !!
Si je ne change pas de position cette tigresse va me labourer le dos, je me laisse tomber sur le coté et la retourne en levrette, sans nous désunir, je bande toujours aussi fort, sa chatte empalée m’excite au plus haut point, des gouttes de cyprine fuient de sa moule, nos pubis sont tapissés de jus épais
Pas un centimètre de queue n’échappe a ce volcan, je m’enfonce au plus profond de son ventre a grands coups de reins rageurs, la tête sur le matelas elle crie ‘tu va me défoncer salaud ‘ elle hurle tantôt de bonheur tantôt de douleur pendant un quart d’heure elle subit mon envie de lui laisser un souvenir marquant, de cette après midi, mon plaisir monte inexorable , je bloque Henriette sur mon ventre pour lui déposer mes dernière gouttes de semence au fond de sa gaine vaginale
Ma queue enfin repue glisse ramollie de ce trou détrempé je me laisse tomber sur le cul tandis qu’elle s’écroule sur le coté épuisée, sa chatte émet des gargouillis indécents
- Merci Georges ! Merci pour cet instant inoubliable ; il ya longtemps que je n’avais pas joui comme çà !peut être même jamais …….houa ! Je vais pouvoir changer les draps !tu as vus la marre ?
- Je me serais bien occupé de ton petit cul, mais n’oublie pas que les paniers sont toujours accrochés dans l’arbre !
- Ba, on verra çà demain, pour mon petit cul je n’ai plus le courage ce soir, au fait pour nous deux comment fait on demain ?
- Demain ? Hé bien tu seras redevenue ma ‘chiante ‘de voisine et moi ton charmant voisin, ou le contraire !tout seras oublié
- Tu as raison ce n’est qu’un écart de parcourt ….mais …….qui vivras verras ……
- Pas de soucis, j’irais cueillir son abricot avec plaisir !
Henriette est notre charmante voisine, une femme d’une cinquantaine d’années, très bien entretenue, sportive, un corps et un visage a peine marqués par les années, veuve depuis quelques années et tient à vivre seule, quand la solitude lui pèse trop elle vient discuter avec Annie et c’est repartit, ce n’est pas les blagues grivoises qui lui font peur, elle adore en raconter, avec nous elle est servie !
- Salut belle Henriette, tu as besoin de moi pour ton abricot ?me voilà !
- Ah, toujours aussi blagueur, bonjours Georges !oui, je voudrais que tu cueille ceux qui sont à la tête de l’arbre, moi je vais ramasser les plus bas avec mon escabeau
Me voilà grimpé dans l’arbre un pied sur une branche et l’autre sur une autre, c’n’est pas le grand écart mais presque ! Henriette en dessous de moi en haut de son escabeau commence la cueillette la tête en l’air ….
Peu de temps après ……
- Eh bien dis donc ! Si je m’attendais à voir des pruneaux dans un abricotier ….
- Des pruneaux ??
- Oui ! Et je suis très bien placée pour les voir ….je peux même dire qu’ils ont une belle tige !
Oh bon dieu ! Je réalise d’un coup ce qu’elle veut dire ….je suis en short court, et comme a mon habitude sans rien dessous elle voit donc par la jambière mon service trois pièces !
- Oh merde ! Excuse moi Henriette mais çà ne m’a même pas effleuré, j’ai l’habitude de m’habiller comme çà, je suis confus …je vais mettre un slip
- Surtout pas !mais çà ne me choque pas soit rassuré, il y a si longtemps que je n’en ai pas vus …ne change surtout pas de position pour moi !
- Alors çà va ! Par contre moi j’ai une belle vue sur deux magnifiques pamplemousses ! Dommage que la corbeille soit aussi fermée ……
- ….. Et là çà te va mieux ?
Houa ! Pas chiche elle vient de faire sauter deux boutons a son corsage !
- OOHH ! Quelle merveilleuse poitrine ! Merci ma belle
- Y’a pas de raison !c’est donnant -donnant chez moi !
La cueillette continue, mais je la sens troublée, et moi ses seins a demi découverts ne me laissent pas de bois, je sens mon sexe prendre du volume …..
- Eh ben, ce n’est plus une tige, c’est une banane qui tient aux pruneaux !
- C’est ta faute ! Et si çà continue tu va voir un concombre sortir par la jambière !
- Prétentieux !
Et a ce moment là le vent se lève, la branche a laquelle se tient Henriette bouge, elle se met à crier
- Georges ! Au secours je vais tomber, vint vite !vient vite !
J’ai d’abord cru qu’elle plaisantait, mais non elle panique, montée sur la dernière marche elle est cramponnée cette branche et ne peut plus rattraper l’escabeau, vite fait je saute au sol et monte derrière elle, non sans en avoir profiter pour regarder le haut de ses cuisses, deux petites fesses bien pommées emprisonnées dans une petite culotte rose, Mumm ! je la saisie aux hanches, son petit cul bien ferme a hauteur de mon visage ….
- Je te tiens çà va aller, descend un pied … pose le bien prés du montant … voilà maintenant l’autre, pareil prés du montant ….dés que tu peux lâche la branche et attrape le haut de l’escabeau ….
- Voilà, je me tiens ……mais laisse-moi respirer un moment ….
Les deux mains agrippées a l’escabeau la tête reposée dessus elle respire bruyamment, je descends de deux marches, ses pieds écartés laissent une vue magnifique sur son entre –cuisses, je pose une main sur son mollet et le caresse gentiment ….
- Tout çà c’est ta faute Georges il y a si longtemps que je n’avais pas vu de sexe d’homme j’en suis toute bouleversée, plus que par ce maudit vent !
- Encore un fois j’en suis confus
Du coup je pose mon autre main sur l’autre mollet, je fais des ronds toujours plus hauts vers le creux de ses genoux, pas de protestations ….les pouces a l’intérieur je remonte vers le haut des cuisses, elle pourrait rapprocher ses pieds mais elle ne le fait pas, une chaleur moite, je suis tout prés du slip, mes pouces frottent les grandes lèvres a travers le tissu, je perçois un faible ‘Georges, faut pas …. ‘
Elle meure d’envie de se faire caresser c’est clair, Je lâche prise…
- Henriette descend s’il te plait ….
Les pieds au sol elle tremble
- Il faut que je m’allonge je ne tiens pas debout
La femme s’allonge dans l’herbe les mains sur son visage comme pour se protéger de ma vue ….elle est très désirable ainsi, un coup de folie je baisse mon short …..Je lui prends un poignet et pose sa main sur ma queue bandée
Elle sursaute, retire sa main puis se ravisant prend fermement ma bitte a pleine main
- Je retire ce que j’ai dis tout a l’heure, tu as raison c’est bien un concombre ! J’en avais oublié la texture soyeuse et la dureté … je peux te caresser Georges ?
- Bien sur
- Oh non, il ne faut pas, je suis honteuse que penserait Annie de moi ?
- Quand je lui dirais elle approuvera a cent pour cent soit rassurée, va y continue, j’aime la douceur de ta main, relève les genoux tu veux ? Écarte les pieds ….
Sa jupe tombe sur son ventre découvrant entièrement ses cuisses, le slip rose apparait, ma main glisse sur son ventre plat je m’insinue entre la peau et le slip, je touche maintenant la forêt de poils bouclés, ses seins se soulèvent sa respiration c’est accélérée ….Henriette se soulève sur un coude attirant ma queue vers sa bouche ouverte, mes doigts séparent les lèvres moites, mon doigts tombe dans ce puits inondé, ses genoux se sont refermés pour se ré ouvrir encore plus largement son bassin décolle du sol , je la branle profondément pendant qu’elle me suce avidement , la salive coule entre ses lèvres, mes mouvements de basin font pénétrer ma queue plus en avant dans sa gorge
- Je vais jouir Henriette, je vais jouir ….
- Muuuunmmm ! Muuuuuummmmm
Et elle se cramponne à ma hampe de peur que je lui retire cette friandise ! a longs jets je me vide elle déglutis avec force, un mince filet de sperme coule de sa bouche tout le reste est maintenant dans son estomac
- Çà va mieux Henriette ?
- Booouuuh ! Je ne souvenais plus du gout ! Mais je savais quand même que j’aimais çà !quelle dose !
- A mon tour j’aimerais te faire plaisir, tu veux bien ?
-- Si Annie ne dois pas en prendre ombrage j’y compte bien ! Mais pas ici je vais avoir le dos en compote ; vient allons d’abord sous la douche
Deux minutes plus tard nus, sous le jet tiède j’embrasse à pleine bouche ses tétons, puis je glisse lentement vers le nombril et enfin le nez dans les poils ma langue se fraie un chemin, a travers la platitude de l’eau qui ruisselle je décèle le parfum et la consistance du nectar féminin, la femme plie les genoux afin de m’offrir totalement sa chatte, je fouille les moindres replis de chair, avec ses mains elle plaque ma tête sur son ventre afin de me guider au millimètre prés en ronronnant ,Un cri bref, un jet dru, elle vient de lâcher prise
- OOOOHHHHH c’est bon ! c’est booooonnnnnnn
Je me redresse elle m’embrasse a pleine bouche mêlant son odeur féminine a nos salives
- Allons sur le lit j’ai hâte de sentir le poids de ton corps sur moi, et ta formidable queue en moi, çà va me changer de mon vieux vibro en plastique !
- Tu as une préférence de position ?
- Bennn, toutes ! Je plaisante !mais pour débuter je veux la voir entrer, pour la suite je te fais confiance ….
- Je vais faire de la compote de ton abricot ! Met un coussin sous ta tête, relève tes genoux sur tes seins
- Hé ! Je n’ai plus vingt ans ! Les genoux sur les seins ? Tu veux me casser en deux ?attend je vais essayer …
- Regarde, tu y arrive, pas mal ….Huuuummmm, çà donne envie …. Je vois tes lèvres ouvertes à travers les poils ! C’est tout luisant ….
- Viens …….baise moi comme une salope, secoue moi !
- Attrape ma queue, guide là dans ton trou a bitte, je bande Henriette je bande pour toi, j’en ai mal aux couilles
- Je vais te les soulager, pousse …..Aaaaahhhh….. Qu’il fait du bien ton outil de chair et de sang, tu es gros ….aaaaaaahhhhhhhh !elle est au fond, baise moi maintenant, a toi de jouer, tes couilles sont sur mon cul, défonce moi Georges
- Noue tes jambes autour de mes reins et lâche-toi
Une sarabande infernale commence, nos chairs claquent l’une sur l’autre, sa chatte émet des bruits mouillés, elle crie des mots incompréhensibles ses seins sont secoués en tous sens, ses ongles se fichent dans mes épaules, un premier orgasme suivit d’un second encore plus violent des larmes coulent au coin de ses paupières
- Je vais jouir Henriette çà viennnnnnnnnnnt Tieeeeennnnnnnnnnnn prend çà AAAAAAAHHHHHHHH
- Oooooooooohhhhhh çà gicle !!!!! Ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii
Elle me mord l’épaule, nos corps luisant de sueur reposent l’un sur l’autre son vagin a des contractions a plus en finir, quand ma queue va retirer elle ressemblera a un bec de canard !!
Si je ne change pas de position cette tigresse va me labourer le dos, je me laisse tomber sur le coté et la retourne en levrette, sans nous désunir, je bande toujours aussi fort, sa chatte empalée m’excite au plus haut point, des gouttes de cyprine fuient de sa moule, nos pubis sont tapissés de jus épais
Pas un centimètre de queue n’échappe a ce volcan, je m’enfonce au plus profond de son ventre a grands coups de reins rageurs, la tête sur le matelas elle crie ‘tu va me défoncer salaud ‘ elle hurle tantôt de bonheur tantôt de douleur pendant un quart d’heure elle subit mon envie de lui laisser un souvenir marquant, de cette après midi, mon plaisir monte inexorable , je bloque Henriette sur mon ventre pour lui déposer mes dernière gouttes de semence au fond de sa gaine vaginale
Ma queue enfin repue glisse ramollie de ce trou détrempé je me laisse tomber sur le cul tandis qu’elle s’écroule sur le coté épuisée, sa chatte émet des gargouillis indécents
- Merci Georges ! Merci pour cet instant inoubliable ; il ya longtemps que je n’avais pas joui comme çà !peut être même jamais …….houa ! Je vais pouvoir changer les draps !tu as vus la marre ?
- Je me serais bien occupé de ton petit cul, mais n’oublie pas que les paniers sont toujours accrochés dans l’arbre !
- Ba, on verra çà demain, pour mon petit cul je n’ai plus le courage ce soir, au fait pour nous deux comment fait on demain ?
- Demain ? Hé bien tu seras redevenue ma ‘chiante ‘de voisine et moi ton charmant voisin, ou le contraire !tout seras oublié
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1 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
histoire tès sensuelle . merci pour ce texte qui semble véridique