L’addiction aux noirs se confirme

- Par l'auteur HDS Le Poète -
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Récit libertin : L’addiction aux noirs se confirme Histoire érotique Publiée sur HDS le 09-05-2023 dans la catégorie Dans la zone rouge
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L’addiction aux noirs se confirme
Quelques jours après la première soirée où Myriam avait goûté à l’adultère devant son mari, celui-ci revenant du travail l’embrassa tendrement en lui susurrant à l’oreille, j’ai une surprise pour toi.
« J’ai appris qu’il y avait une boîte près de mon bureau fréquentée par une majorité de noirs et si tu veux, nous pourrions y aller à la pêche à un mâle africain qui pourra te combler ». Elle lui répondit tout excitée « Oh oui, mon amour, demain si tu veux, ce sera formidable, je ne mouille déjà rien que d’y penser »

Le lendemain, rentrant à la maison, Gérard eut le souffle coupé à la vue de son épouse. Maquillée outrageusement, un vaste décolleté sur une blouse transparente laissant voir ses seins et deviner ses tétons, une jupe noire fendue sur le côté découvrant la beauté de ses cuisses et des hauts talons mettant en valeur ses longues jambes. Une vraie racoleuse de trottoir, provocante à souhait, cherchant le client.

« Je vois que tu es prête. Tu es magnifique. Cela me donne envie de te faire l’amour, mais ce n’est pas le moment. Ce soir, ce sera ta fête pour mon plus grand plaisir ? Tu vas tous les allumer. Allons-y. »
La boîte était dans la pénombre. Quelques clients, tous africains, occupaient les tables et quand le couple se dirigea vers le bar, un grand silence se fit à la vue de cette poupée blonde à la peau blanche, une présence inhabituelle en ce lieu. Gérard commanda deux whiskys tandis que Myriam se perchait sur un tabouret dans une pose provocante. Ses yeux balayèrent la petite salle et de suite, elle remarqua un colosse au corps d’athlète qui la fixait intensément. Elle lui sourit d’un air amusé et très vite, un échange de regards complices se fit que Gérard semblait ignorer. Myrian demanda le chemin des toilettes au passage et lui lança au passage un regard appuyé d’invite.

Il la suivit rapidement dans le couloir. Elle retourna et sans dire un mot se colla à lui, ses lèvres tendues vers sa bouche. Il l’étreignit avec puissance, la pénétrant d’une langue ravageuse et cela lui permit de constater qu’il était bien monté et qu’il la désirait.
Elle se dégagea et lui dit « J’ai très envie de toi et si tu veux, je t’emmène chez moi pour faire l’amour. Mon mari n’est pas jaloux et me laisse faire à condition qu’il puisse me voir jouir ce qu’il adore. »

Sans lui laisser le temps de répondre, elle lui prit la main et l’entraîna vers le bar où Gérard l’attendait avec impatience. « Je te présente mon nouvel ami qui s’appelle ? » « Wamba ». « enchanté Wamba, je paie les consommations et nous y allons ».

Une fois à la voiture, Gérard ouvrit la porte arrière pour sa femme et son nouvel amant. «Les amoureux sont bien mieux derrière. Chemin faisant, il pouvait voir le couple enlacé échanger des baisers passionnés et devinait que leurs mains ne devaient pas chômer.
Arrivés à destination, Gérard en ouvrant la porte d’entrée s’adressa à Wamba. « Bienvenue chez nous. Cette nuit, je t’offre ma femme. Je souhaite que tu la fasses jouir au point qu’elle crie grâce. La chambre est à votre disposition. Je serai présent dans le fauteuil pour profiter de votre bonheur. »

Myriam se montra fébrile en entraînant son amant vers la chambre. Sans un mot, sans même se déshabiller, elle tomba à genou et nerveusement ouvrit son pantalon. Elle poussa un petit cri d’admiration devant l’engin dégagé du caleçon. Il était encore plus énorme qu’elle ne l’avait imaginé. Une espèce de trompe noire surmontée d’un gros gland. Elle était en adoration devant cette virilité dont elle allait s’emparer, quitte à en souffrir. Gérard était stupéfait, car il n’avait jamais vu de pareil monstre. Il était un peu inquiet pour elle, mais elle savait ce qu’elle voulait après tout. De plus, l’idée de voir sa chatte forcée, distendue et envahie par une telle bite l’excitait profondément. Mais il pensa brusquement à la pénétration anale qu’elle désirait tellement et pour laquelle elle avait fait un lavement préventif avant son départ et qui ne pourrait se faire.

Myriam s’était mise à taquiner du bout de la langue le gland boursouflé pendant qu’elle en branlait la grosse tige. Wamba, lui, avait saisi la tête de Myriam et tentait de pénétrer sa bouche. Elle finit par l’absorber en s’étouffant à moitié. Le cœur de Gérard s’emballa, c’était tellement magnifique de la voir sucer malgré tout ce sexe divin pour elle qui ressemblait à un acte de dévotion. La scène dura au moins 10 minutes pendant laquelle Wanba avait arraché ses vêtements lorsque ce colosse d’ébène la souleva pour le jeter sur le lit. Il lui écarta brusquement les jambes et se mit à lécher de ses grosses lèvres sa chatte déjà bien mouillée. Sous l’action vigoureuse de sa langue sur le clitoris, Myriam se mit à gémir doucement en soulevant son bas-ventre pour mieux sentir ce baiser magique qui lui envoyait des ondes de plaisir dans tout le corps. Mais la caresse buccale durait et elle se mit à divaguer en s’adressant à son mari.

« C’est bon, chéri, il me rend folle. Ne m’en veux pas, mais je l’aime. J’ai envie de sa queue en moi, j’ai besoin de lui appartenir, je veux être sa femelle comme je suis ta putain ».
À ces paroles, Wanda se releva et l’écrasa de tout son poids, il poussa son gland turgescent entre les lèvres vaginales tellement serrées qu’il dût forcer le passage avant de commencer un va-et-vient d’abord lent puis de plus en plus fort, de plus en plus rapide, s’enfonçant toujours plus loin tandis qu’elle redressait le torse pour voir cette intrusion puissante la pénétrer. Une tempête de sensations fortes lui envahissait le corps, faites de la sensation d’être à la fois la proie consentante d’un prédateur sauvage et la maîtresse d’un animal sauvage. La saveur acre de sa sueur la soulait.

Gérard était subjugué par ce délire sexuel où sa femme levait les fesses pour mieux capturer la violence ce pieu qui la perforait et la faisait maintenant rugir et hurler de plaisir ? Son vit suintait doucement sous l’émotion qu’il ressentait. Il était littéralement hypnotisé par ce sexe géant qui devait lui remplir le ventre de sa grosseur.
Wanda se retira et ordonna qu’elle se mette à quatre pattes pour la posséder en levrette, ce qu’elle fit prestement. Maintenant, elle partageait sa jouissance par les yeux avec son mari sous les coups de boutoir de la bite en folie. Tout à coup, elle lui demanda de cesser pour pouvoir de nouveau lui sucer la queue pleine de leurs deux saveurs mélangées. Puis d’une voix faible, elle demanda « Prends mon cul, j’ai envie de ta bite dans mon cul, que tu forces mon petit trou, je voudrais jouir par là aussi, je serai ta chienne. Mais fais doucement, car mon petit trou est encore vierge. »

Elle se retourna en présentant le cul en l’air écartant ses fesses avec les mains et la tête appuyée sur l’oreiller. Wanda ne se fit pas prier et s’agenouillant derrière elle, il commença à lécher son anus, le mouillant abondamment de salive avant de lui présenter son gland. L’introduction bien lente était douloureuse à voir le visage contracté de Myriam, mais elle tenait bon, puis peu à peu la bite se mit à bouger doucement, se faisant toujours un peu plus de place et un air d’extase illumina le visage de celle qui avait rêvé de connaître cette jouissance. Maintenant, le rythme devint saccadé et puissant, violant ses entrailles et la faisant hurler « Encore, encore, j’aime, je suis tout à toi. Dis-moi que tu aimes mon cul, que tu adores le défoncer ? Ne t’arrête pas, tu me fais mourir » Dans le même temps, elle torturait son clitoris d’une main tremblante.
Après un moment qui semblait une éternité à Gérard, Wanda poussa un cri sauvage, car son excitation était telle que le sperme jaillit dans le cul, le remplissant d’une semence abondante.
Une fois retiré, Gérard vit le petit trou de sa femme largement ouvert palpiter et laissant apparaître un épais liquide blanc. Elle se mit sur le dos et ne bougea plus comme pour faire durer ce moment de bonheur. Gérard tout ému prit sa tête au creux de son épaule couvrant son front de petits baisers tendres et apaisants pendant que l’amant se rhabillait. Gérard le reconduit jusqu’à la porte sans autres mots que bon retour.

Revenu auprès de Myriam, inquiet sur les sentiments de sa femme, il lui demanda « tu m’aimes toujours ? À te voir si chaude et passionnée dans ses bras, je suis un peu jaloux ! »
Elle éclata de rire « es-tu jaloux d’un vibromasseur ? C’est exactement ce que tu m’as procuré ce soir, un magnifique vibromasseur et noir de surcroît. Si tu es d’accord, je serais heureuse d’en essayer un autre black, mais toujours noir. J’y suis addict, c’est devenu mon vice. Et puis, qui sait, la prochaine fois je pourrai peut-être en essayer deux à la fois. Je fantasme sur deux bouches me mordillant les seins, de deux queues à sucer, d’être baisée par les deux, de me gorger, de leur sperme, de subir leur poids, leur odeur, de goûter leur salive. Rien que d’y penser, je deviens folle. »

« Oui, tu deviens folle de sexe et j’aime tellement. Je te promets que tu les auras tes deux blacks, on pourrait demander à Wamba d’amener un copain ? Nous allons essayer cela pour notre bonheur commun, c’est si bon de jouir ! »

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Comme d'habitude, je suis d'accord avec Olga et en plus, c'est bien écrit, sans faute de frappe ou d'orthographe ! Didier

Très chaud!



Texte coquin : L’addiction aux noirs se confirme
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