L'adultére - histoire érotique

Charles, par curiosité, trifouille le portable de sa femme Sonia, pendant que celle-ci est sous la douche. Il reste baba avec ce qu'il découvre sur la messagerie,
une conversation chaude qui ne laisse aucune équivoque. Complètement détruit, il en conclut que sa femme a un amant. Il comprend pourquoi que sa femme si avide de sexe est de moins en moins demandeuse. Avant qu'elle ne sorte de la salle de bain, il remet rapidement le portable à sa place. Sonia semble radieuse, elle chantonne. Elle est enroulée dans une serviette de bain, son corps est magnifique. Son déhanché, ressemble à un félin. Charles n'ose croit que sa femme le trompe. Il se demande comment elle en est arrivée là, et pourquoi. Sexuellement, il l'a satisfait, il lui faisait tous les trucs qu'elle aimait, il ne comprend pas la cause.



Pendant plusieurs jours, il broie du noir, mange peu et parle juste ce qu'il faut, en un mot, il déprime. Comme, il veut en avoir le cœur net, il décide de la surveiller. Aujourd'hui, elle est plus gaie que d'habitude, Charles se dit, qu'il y a anguille sous roche. Il sort comme pour aller, à son travail, mais se planque au coin de la rue, pour l'épier. Il attend un moment, puis sa patience porte ses fruits, il aperçoit, le couple de voisins, Georges et Lucette, entrer chez lui. Il sursaute, en se disant, eh bien si ce sont eux, la salope n'a pas cherché bien loin. Il attend encore un instant avant de s'approcher de sa maison. Il jette un œil par la fenêtre, et voit sa femme assise à côté de la voisine, qui l'embrasse fougueusement. Il n'y a plus de doute, c'est avec les voisins qu'elle le cocufie.




Il passe derrière la maison, et entre discrètement par la porte qui donne sur la terrasse. Il avance doucement, plus il se dirige vers le salon, plus, il entend des gémissements. Par chance, la porte est ouverte, il risque un œil en se faisant le plus petit possible. Les deux femmes sont quasiment nues, vautrées sur le canapé. En face, le Georges souriant se secoue la bite en matant les deux femmes se gouiner. Charles ignorait que sa femme avait un penchant pour le lesbianisme. La coquine s'en donne à cœur joie, elle dévore, avec voracité la chatte de sa partenaire. Mais au bout d'un petit moment, la position change. Les deux amantes se mettent tête bêche sur le sol et se dévore mutuellement la vulve. Le bruit des aspirations est phénoménal, le voyeur bande comme un poney. Il s'approche de Sonia, et frotte sa bite sur la vulve dégoulinante de jus. D'un coup de reins, sa bite s'enfonce dans le ventre de Sonia jusqu'aux couilles. Tout en dévorant la chatte de Sonia, la voisine donne des coups de langue sur ma bite de son mari qui commence à pilonner sa proie. Charles n'en croit pas ses yeux, sa femme se fait labourer le ventre par un autre homme, et en plus la salope aime ça, elle couine de plaisir à chaque enfoncement du pal en elle. Charles voulait hurler, mais sa gorge est nouée, il se met à trembler. Soudain, sa femme se cabre en poussant un long râle, la salope vient de jouir. Sous la jouissance, qui est terrible, elle aspire les grandes lèvres de la chatte de Lucette, si bien, que celle-ci se cabre en explosant de jouissance à son tour. Sonia reçoit en plein visage un jet de cyprine puissant. Elle ouvre la bouche le plus possible, et parvient à en avaler une certaine quantité.


Le voisin continu de défoncer Sonia, il s'accroche à elle comme une pieuvre à son rocher, les coups de boutoir violents qu'il donne, font gémir la soumise. Charles commence à transpirer, sa queue commence à se gonfler dans son pantalon. Il doit la presser pour stopper l'afflux de sang qui monte dans la hampe. Il grimace, soudain, il sursaute, le voisin pose sa bite contre l'anus de Sonia, il pousse doucement et l'engin gorgé de sang s'enfonce aisément dans la gaine anale. Charles croît rêvé, elle qui lui a toujours refusée la petite porte, elle le donne à son amant comme une grosse pute. La queue de Charles devient douloureuse, il la sort de son pantalon et commence à la frictionner. Il ne quitte pas des yeux sa femme qui se faire enculer. Avec souplesse, Lucette se dégage de dessous, et saisit le clito gonflé de Sonia, le branle sauvagement, en encourageant son mari :


-Oui mon chéri, défonce-lui bien le cul, tu me prendras après, mais aussi fort qu'elle, petit coquin !


Georges défonce Sonia comme un sauvage. Il veut la faire jouir, car Sonia adore jouir du cul. Lucette, en même temps qu'elle branle Sonia, lui enfonce quatre doigts de sa main libre dans la chatte, et la ramone vigoureusement. Sonia geint comme une bête malade. Charles défaille, sa femme rugit comme un lion en rut. Elle agite sa croupe en grognant :

-Plus fort, plus fort Georges !

Charles n'en peut plus, il sort de sa cachette, sa queue est dure comme du bois. C'est Lucette qui le voit le premier, elle cesse de fouiller la chatte de Sonia et reste sans voix en regardant Charles la bite raide. Il repousse brutalement Georges, et enfonce sa bite dans le cul de sa femme qui se demande ce qui se passe. Elle tourne la tête et aperçoit son mari, elle veut dire quelque chose, mais son mari l'encule tellement fort, qu'elle se remet à geindre. Le pilonnage sévère que lui impose son mari la fait hurler de plaisir. Elle grince des dents, Lucette regarde, médusée Sonia, elle lui replante ses quatre doigts profondément dans à chatte et la ramone comme une damnée. De son autre main, elle s'accroche au clito et le malmenant affreusement. Prise comme une chienne, Sonia subit les assauts de ses amants. Georges en profite pour lui offrir sa bite à sucer. Sonia ne rechigne pas à la fellation, elle s'active en couinant de plaisir. Georges envoie une décharge monstrueuse de sperme dans la bouche de la suceuse, qui tant bien que mal avale la totalité de la décharge. Charles accélère, sa femme est sur le bord d'exploser. Il donne une estocade brutale et lui remplit le cul en même temps que la salope jouit.

Une fois qu'il a déversé sa semence dans le cul de sa femme, Charles se retire et dit :

-Je n'en ai pas fini avec toi ma salope, tu vas devenir une machine à foutre !
Mais avant, je vais enculer Lucette et lui défoncer la chatte !



Il regarde Georges et lui dit :

- Toi Georges, pour te faire pardonner, tu vas me sucer l'anus et la bite, c'est ma sentence !





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