L'agent immobilier
Récit érotique écrit par Trekkie [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 76 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 8.9 • Cote moyenne attribuée par HDS : 9.8
- • L'ensemble des récits érotiques de Trekkie ont reçu un total de 520 248 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-09-2021 dans la catégorie A dormir debout
Cette histoire de sexe a été affichée 14 418 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
L'agent immobilier
Je m'appelle Arthur et j'ai 35 ans avec 10 ans d'expérience en tant qu'agent immobilier avec ma propre agence. Et pendant tout ce temps j'ai eu l'occasion d'avoir quelques opportunités sexuelles. J'ai profité de certaines et pas de toutes. En voilà une qui m'a particulièrement marquée.
C'était il y a 6 ans et j'avais un bien personnel que je voulais louer. Un appartement meublé, living, cuisine équipée, SDB, petite buanderie et une chambre. Il pouvait convenir à un jeune couple ou une personne célibataire, j'accepterai aussi de le louer en tant que kot pour étudiant. Après une semaine, j'avais deux visites de prévues.
Je les avais réunies l'une à 14h00, c'était un couple la quarantaine avec leur fille de 18 ans. Elle allait entrer à l'université et était à la recherche d'un kot.
L'autre visite était deux femmes, des lesbiennes qui cherchaient en urgence un appartement pour elles commencer leur vie commune.
La première visite avait été encourageante, l'appartement leur plaisait et ils avaient toutes les garanties nécessaires. Je les informait qu'une autre visite était prévue et que je reviendrai vers eux dès que mon choix serait fait, le soir même au plus tard.
La secondes, à 15h00, fut un peu plus spéciale. Les deux femmes arrivèrent toute enthousiaste. Elles se présentèrent Julie et Laurence, elles avaient entre 22 et 25 ans et étaient vraiment sexy. Si je n'avait pas su qu'elles étaient lesbiennes, j'aurai soupçonné qu'elles essayaient de me faire du charme pour obtenir la location. Leurs vêtements courts et moulant et leur attitude aguichante m'excitait. Elles firent le tour et étaient sous le charme, elles voulaient vraiment cet appartement.
Nous avons fait le point à la fin de la visite et elles me proposèrent de le prendre au prix demandé. Je leur fit part qu'un autre couple était aussi sur l'affaire et qu'ils avaient les garanties nécessaires.
Elles furent ennuyées car ce qu'elles me proposaient comme garanties n'était pas comparable. Toutes les deux avaient un travail à mi-temps et poursuivaient leurs études.
Je leurs fit remarquer que cela était loin d'être rassurant et cela même sans une proposition face à elles. Elles se retirèrent un instant pour discuter et quand elles sont revenues vers moi, Julie une jeune femme type méditerranéenne, 1m60, 55 kg, cheveux noirs et belle poitrine n'avait pas l'air complètement d'accord avec la proposition que voulait me faire son amie Laurence, belle blonde d'1m75, 70kg et poitrine moyenne.
Laurence s'adressa à moi et me demanda si l n'y avait pas moyen de s'arranger pour qu'elles aient l'appart.
Moi : Que me proposez-vous ?
Laurence : un apport complémentaire vous conviendrait-il ?
Moi : Quel apport, vous deviez me fournir ces informations lors de la demande de visite ?
Laurence : Nous pensions à quelque chose de pécuniaire, plutôt un apport en nature.
Il ne fallait pas me faire un dessin je commençais à comprendre où elle voulaient en venir. Mais cela me paru quand même étrange,je les savais lesbiennes.
Moi : Soyez plus précise, je crois comprendre, mais je veux en être certain.
Julie : (d'un ton énervé) On te propose de la baiser pour que nous puissions avoir l'appart. C'est assez clair.
Moi : On se calme. Je n'ai rien demandé moi. Je suis d'accord pour un arrangement, mais il faudra proposer mieux que cela.
Laurence : Désolé, elle est très jalouse. Que proposez-vous ? Monsieur.
Moi : C'est à prendre ou à laisser. Je veux que tous les mois, je vienne ici et nous passons une nuit à trois. J'aurais le droit de vous baiser toutes les deux.
Julie : Il en est hors de question.
Laurence : Du calme... du calme.
Moi : Je vous ai dis c'est non négociable. Si vous n'acceptez pas, j'ai un couple qui est prêt à signer dès ce soir.
Julie : Je refuse, même pas une fois.
Laurence : Permettez-nous de discuter deux minutes s'il vous plaît !
Elles se retirèrent à nouveau et j'entendis que le ton était sérieux, Julie refusant et Laurence argumentant qu'elles étaient dans l'urgence. Elles n'avaient pas vraiment le choix. Cela durerait le temps qu'elles trouvent autre chose. Elles réapparurent dix bonnes minutes plus tard.
Laurence : Monsieur pourriez-vous acceptez que ce soit uniquement moi que vous baisiez,
Moi : Si l'ambiance avait été plus amicale certainement. Mais au vu des circonstances, rien n'est négociable.
Laurence se tourna vers Julie.
Laurence : C'est de ta faute, à toi d'assumer.
Julie baissa la tête et acquiesça.
L'accord accepté, je leurs proposa de repasser par l’agence pour finaliser l'accord. Les grandes lignes étaient un loyer officiellement 300 euros plus élevé que prévu. Le contrat signé était d'une durée d'un an. Et un mois de garantie locative.
Mais réellement elles verserait 400 euros de moins. Le restant étant couvert par notre arrangement, si elles refusaient de se soumettre à cette obligation je me verrais dans l'obligation de réclamer le loyer figurant sur le contact. La garantie locative serait versée sur un compte par moi et elles le récupéreraient en fin de location. En échange elles venaient toutes les deux dès ce soir passer la nuit chez moi pour que je puisse les évaluer.
Elles marquèrent leur accord et signèrent les papiers.
J’avertis le couple de la première visite que j'avais fais un autre choix, mais que dès demain, si ils étaient intéressées, je pouvais leur faire visiter un appartement presque similaire. Mais cela sera dans un autre récit.
Laurence et Julie me rejoignirent à 19h00 à la fermeture de mes bureaux et je les invitaient à m'accompagner chez moi, à l'étage de l'agence.
Je sentais bien que Julie avait du mal à digérer ce qu'elle venait d'accepter, mais Laurence la tempérait et parvenait à l'adoucir. Après avoir pris un apéritif et dîner ensemble. Un repas que je m'étais fait livrer. Je proposa de commencer la soirée en passant au salon. Je profitait de ce moment pour les observer et biens qu'elles savaient la finalité de la soirée et la nuit, elles ne pouvaient réprimer des gestes de tendresses entre elles. Julie pour se rassurer et Laurence pour la rassurer. Je savais que je devais moi aussi faire des effort pour que cela ne devienne pas un fardeau pour elles. En effet, si je parvenais à leur procurer du plaisir, je serait moi aussi gagnant. Elles deviendraient beaucoup plus détendue et volontaires. Il est en effet plus agréable de baiser deux femmes consentantes que que poids morts ne participant pas.
Je suis donc venu les rejoindre dans le divan prenant soin de ne pas me mettre entre elles, mais plutôt à coté de Laurence. Nous avons discuter de choses et d'autres pour détendre l'atmosphère et cela marchait. Je sentais Julie se détendre, elle avait d’ailleurs la main posée sur la cuisse de sa compagne et je voyais ses doigts se glisser de temps à autre sous le tissu de sa mini jupe. J'avais aussi remarqué le décolleté plongeant de Laurence et mon regard avais difficile de s'en détacher. Elle ne portait pas de soutien et j’étais certain qu’il en était de même pour Julie. J’étais maintenant la cuisse collée contre celle de ma voisine et nous avions chacun notre main sur notre cuisse. Vers 22h00 je me décidais à passer à l'étape suivante et je posa ma main sur celle de Laurence, la saisi et la reposa sur ma cuisse. Je posait ainsi la mienne sur sa cuisse et imitais Julie en glissant les doigts sous le tissu de sa jupe.
Julien 'avait rien remarqué jusqu'à ce que je frôle ses doigts alors qu'elle caressait discrètement la chatte de sa compagne. Elle releva les yeux, me fixa et tenta de se dégager. Mais trop tard, j'avais saisi sa main et je la maintenais entre les cuisse de Laurence l'accompagnant dans ses caresses du clito.
Je vis alors la résignation dans son regard, mais aussi un reste de mépris. Mais je ne céda pas.
De l'autre main j'avais sorti ma bite de mon pantalon et posé la la main de Laurence dessus. Je ne du pas lui faire un dessin de mes attentes. Elle commença tout de suite la saisissant et me masturba. Il ne fallut pas longtemps avant que ma queue se mette au garde à vous.
De l'autre coté Julie le regard entre la jalousie et l'envie, elle avait posé sa tête sur l'épaule de son amie et Laurence ayant écarté les cuisses, elle lui caressait le clito alors que j’introduisais dans sa chatte deux doigts.
Laurence commença à gémir et c'est moment que je choisi pour faire mes demandes.
Moi : Les filles, déshabillez-vous !
Julie : Mais...
Moi : Déshabillez-vous !
Laurence se leva sans rien dire, ôta son chemisier, déboutonna sa mini jupe et la fit glisser au sol. Nue, elle se tourna vers Julie pour l'attirer à elle et lui enlever les vêtements. Elle fit passer par dessus elle la longue robe et je les découvrir ainsi toutes les deux nues face à moi.
Laurence : Maintenant que veux-tu que nous fassions ?
Moi : Rien de plus que ce que vous faites quand vous baisez ensemble. Je m’immisçais dans votre couple quand j'en aurai envie.
Julie et Laurence se regardèrent. Laurence reprit sa place dans le divan écarta les cuisses et branla à nouveau ma bite. Elle était dans l'idée de remplir sa part du contrat. Julie elle s'agenouilla et s'occupa de la chatte de sa compagne. La branlette, mais surtout la vision de ces deux filles m'excitait vraiment. Je finis par passer ma main derrière Laurence et la posant sur son cou, je l'invita à me sucer la bite.
Je senti à ce moment une certaine résistance, elle ne devait certaine pas en avoir l'habitude, mais elle se lança et après avoir fourré toute ma queue dans sa bouche, elle imprima le même mouvement que quand elle me branlait.
Estimant que cette entrée en matière avait assez durée, je les ai emmenée dans ma chambre. Cette fois libre de baiser comme elles en avaient l'habitude, elles se couchèrent sur le lit et se positionnèrent en 69 Laurence sur Julie. Je les regardais et petit à petit, elles gémirent toutes les deux. C'est à ce moment que je m'introduis dans le couple pour former un trio. Laissant Laurence s'occuper du clito, je me positionnais pour glisser ma langue sur sa chatte. J'ai léché ses lèvres, grandes et petites, et même introduit ma langue en elle. Julie savait ce qui se passait mais elle se concentrait sur Laurence et accepta plus facile mes caresses.
Pendant une certain je me suis contenter de lécher la chatte de Julie et d'alterner avec ma langue dans le cul de Laurence. Elles ne manifestaient plus de mal être. Elles avaient peut-être même oublié que j’étaie là.
Mais cela changea quand je décida d'utiliser ma bite avec elles.
Moi : Les filles, il va falloir maintenant s'occuper de moi. Vous avez toutes deux déjà jouis plusieurs fois c'est à mon tour.
Je me suis couché sur le lit leur ordonnant de me lécher la queue. Laurence obéi tout de suite, mais Julie dû être encouragée pour prendre en bouche un sexe d'homme. Par la suite j'appris que c'était une première pour elle, de même que tout ce qui concerne le sexe avec un homme.
Moi : Allez les filles lâchez vous ! Je veux que vous me la suciez comme si c'était un sucre d'orge.
Mais Julie avait du mal et je l'encouragea.
Moi : C'est un concours, aujourd'hui, je ne pénétrerai pas celle qui me fera jouir et qui avalera mes premiers jets de sperme.
Laurence : Vas-y Julie. Suce-le, c'est moi qu'il baisera ce soir.
Julie : Mais Laurence...
Laurence : Ne crains rien ce sera plus facile pour toi d'avaler son foutre que de te faire pénétrer par une bite aujourd'hui.
Laurence cessa de me sucer et regarda son amie faire son possible pour me faire jouir.
Moi : Laurence tu ne va pas rester inactive, viens ici que je m'occupe de toi.
Elle m'enjamba et posa son sexe sur ma bouche. Je me suis occupé d'elle pendant les 10 min qu'il fallut à Julie pour me faire jouir. Je ne l'ai pas prévenue et elle prit deux jets de foutre au fond de la gorge. La surprise allait la faire recracher, mais je dit.
Moi : Il faut avaler. Ça fait partie du deal.
Elle me regarda et presque des larmes dans les yeux elle avala.
Moi : C'est bien maintenant tu fais ce que tu veux, soit tu regarde, soit tu t'occupe de Laurence puisqu'elle c'est sacrifiée pour toi. Toi Laurence nettoie ma bite et rends lui vigueur.
Laurence : Bien Monsieur.
Moi : Ah non pas de monsieur. Je veux entendre du désir. Alors c'est mon amour et quand je vais te prendre je veux entendre des « Oh oui... encore... plus fort, plus profond. Continue... baise-moi encore ! » Où tout autre phrases exprimant du désir et du plaisir.
Laurence se pencha sans dire un mot et nettoya ma bite, ensuite elle me branla et me suça jusqu'à ce que je bande à nouveau. Pendant ce temps Julie prise de remords l'aida en me léchant aussi la queue.
Quand le moment fut venu, Laurence m'enjamba à nouveau, mais cette fois elle se laissa glisser sur ma bite.
Le réel désir n'étant pas là, je dû légèrement forcer l'entrée, mais après quelques mouvements, elle mouillait si bien qu'elle glissait dessus sans plus aucun problème. Elle n'oublia pas les encouragements et se laissa aller.
Julie regardait et tenant le bras de sa compagne pleurait lui demandant pardon.
Julie : Mon amour, je suis désolée, je te promets que la prochaine fois je... c'est moi qu'il prendra avec cette horreur. Pardon... s'il te plaît !
Laurence ne répondait pas car maintenant je devinait qu'elle commençait à prendre du plaisir à sentir ce sexe d'homme en elle. Mais sûrement qu'elle ne voulait pas que Julie soupçonne qu'elle aimait sentir ma bite en elle. Mais même si il fallut un certain temps, elle fini par jouir empalée dessus et quelques instant plus tard je jouis pour la deuxième fois.
Laurence repris ses esprits alors que Julie la serait dans ses bras.
Laurence : Je suis désolée, j'ai essayé de résister, mais j'ai échoué.
Julie : Ne t'inquiète pas mon amour je sais quel sacrifice tu viens de faire pour moi.
Il était maintenant 2h du matin et elles allaient se rhabiller. Mais il n'en n'était pas question. L'accord disait qu'elles passeraient la nuit avec moi.
Moi : Ah non les filles, vous restez ici jusque demain matin.
Laurence : Mais tu nous à baiser ?
Moi : Oui... mais je veux dormir avec vous.
Julie : Comment cela ?
Moi : Oui... couchez vous.
Je pris le contrat et le brandis.
Laurence : mais nous n'avons rien à mettre !
Moi : pas besoin, nous allons allez prendre une douche ensemble ensuite nous nous coucherons nu les uns contre les autres.
Je finis donc la nuit collé au dos de Julie, la bite entre ses cuisses et Laurence dans ces bras.
A suivre.
Avec Laurence et Julie, mais aussi avec tous les autres.
C'était il y a 6 ans et j'avais un bien personnel que je voulais louer. Un appartement meublé, living, cuisine équipée, SDB, petite buanderie et une chambre. Il pouvait convenir à un jeune couple ou une personne célibataire, j'accepterai aussi de le louer en tant que kot pour étudiant. Après une semaine, j'avais deux visites de prévues.
Je les avais réunies l'une à 14h00, c'était un couple la quarantaine avec leur fille de 18 ans. Elle allait entrer à l'université et était à la recherche d'un kot.
L'autre visite était deux femmes, des lesbiennes qui cherchaient en urgence un appartement pour elles commencer leur vie commune.
La première visite avait été encourageante, l'appartement leur plaisait et ils avaient toutes les garanties nécessaires. Je les informait qu'une autre visite était prévue et que je reviendrai vers eux dès que mon choix serait fait, le soir même au plus tard.
La secondes, à 15h00, fut un peu plus spéciale. Les deux femmes arrivèrent toute enthousiaste. Elles se présentèrent Julie et Laurence, elles avaient entre 22 et 25 ans et étaient vraiment sexy. Si je n'avait pas su qu'elles étaient lesbiennes, j'aurai soupçonné qu'elles essayaient de me faire du charme pour obtenir la location. Leurs vêtements courts et moulant et leur attitude aguichante m'excitait. Elles firent le tour et étaient sous le charme, elles voulaient vraiment cet appartement.
Nous avons fait le point à la fin de la visite et elles me proposèrent de le prendre au prix demandé. Je leur fit part qu'un autre couple était aussi sur l'affaire et qu'ils avaient les garanties nécessaires.
Elles furent ennuyées car ce qu'elles me proposaient comme garanties n'était pas comparable. Toutes les deux avaient un travail à mi-temps et poursuivaient leurs études.
Je leurs fit remarquer que cela était loin d'être rassurant et cela même sans une proposition face à elles. Elles se retirèrent un instant pour discuter et quand elles sont revenues vers moi, Julie une jeune femme type méditerranéenne, 1m60, 55 kg, cheveux noirs et belle poitrine n'avait pas l'air complètement d'accord avec la proposition que voulait me faire son amie Laurence, belle blonde d'1m75, 70kg et poitrine moyenne.
Laurence s'adressa à moi et me demanda si l n'y avait pas moyen de s'arranger pour qu'elles aient l'appart.
Moi : Que me proposez-vous ?
Laurence : un apport complémentaire vous conviendrait-il ?
Moi : Quel apport, vous deviez me fournir ces informations lors de la demande de visite ?
Laurence : Nous pensions à quelque chose de pécuniaire, plutôt un apport en nature.
Il ne fallait pas me faire un dessin je commençais à comprendre où elle voulaient en venir. Mais cela me paru quand même étrange,je les savais lesbiennes.
Moi : Soyez plus précise, je crois comprendre, mais je veux en être certain.
Julie : (d'un ton énervé) On te propose de la baiser pour que nous puissions avoir l'appart. C'est assez clair.
Moi : On se calme. Je n'ai rien demandé moi. Je suis d'accord pour un arrangement, mais il faudra proposer mieux que cela.
Laurence : Désolé, elle est très jalouse. Que proposez-vous ? Monsieur.
Moi : C'est à prendre ou à laisser. Je veux que tous les mois, je vienne ici et nous passons une nuit à trois. J'aurais le droit de vous baiser toutes les deux.
Julie : Il en est hors de question.
Laurence : Du calme... du calme.
Moi : Je vous ai dis c'est non négociable. Si vous n'acceptez pas, j'ai un couple qui est prêt à signer dès ce soir.
Julie : Je refuse, même pas une fois.
Laurence : Permettez-nous de discuter deux minutes s'il vous plaît !
Elles se retirèrent à nouveau et j'entendis que le ton était sérieux, Julie refusant et Laurence argumentant qu'elles étaient dans l'urgence. Elles n'avaient pas vraiment le choix. Cela durerait le temps qu'elles trouvent autre chose. Elles réapparurent dix bonnes minutes plus tard.
Laurence : Monsieur pourriez-vous acceptez que ce soit uniquement moi que vous baisiez,
Moi : Si l'ambiance avait été plus amicale certainement. Mais au vu des circonstances, rien n'est négociable.
Laurence se tourna vers Julie.
Laurence : C'est de ta faute, à toi d'assumer.
Julie baissa la tête et acquiesça.
L'accord accepté, je leurs proposa de repasser par l’agence pour finaliser l'accord. Les grandes lignes étaient un loyer officiellement 300 euros plus élevé que prévu. Le contrat signé était d'une durée d'un an. Et un mois de garantie locative.
Mais réellement elles verserait 400 euros de moins. Le restant étant couvert par notre arrangement, si elles refusaient de se soumettre à cette obligation je me verrais dans l'obligation de réclamer le loyer figurant sur le contact. La garantie locative serait versée sur un compte par moi et elles le récupéreraient en fin de location. En échange elles venaient toutes les deux dès ce soir passer la nuit chez moi pour que je puisse les évaluer.
Elles marquèrent leur accord et signèrent les papiers.
J’avertis le couple de la première visite que j'avais fais un autre choix, mais que dès demain, si ils étaient intéressées, je pouvais leur faire visiter un appartement presque similaire. Mais cela sera dans un autre récit.
Laurence et Julie me rejoignirent à 19h00 à la fermeture de mes bureaux et je les invitaient à m'accompagner chez moi, à l'étage de l'agence.
Je sentais bien que Julie avait du mal à digérer ce qu'elle venait d'accepter, mais Laurence la tempérait et parvenait à l'adoucir. Après avoir pris un apéritif et dîner ensemble. Un repas que je m'étais fait livrer. Je proposa de commencer la soirée en passant au salon. Je profitait de ce moment pour les observer et biens qu'elles savaient la finalité de la soirée et la nuit, elles ne pouvaient réprimer des gestes de tendresses entre elles. Julie pour se rassurer et Laurence pour la rassurer. Je savais que je devais moi aussi faire des effort pour que cela ne devienne pas un fardeau pour elles. En effet, si je parvenais à leur procurer du plaisir, je serait moi aussi gagnant. Elles deviendraient beaucoup plus détendue et volontaires. Il est en effet plus agréable de baiser deux femmes consentantes que que poids morts ne participant pas.
Je suis donc venu les rejoindre dans le divan prenant soin de ne pas me mettre entre elles, mais plutôt à coté de Laurence. Nous avons discuter de choses et d'autres pour détendre l'atmosphère et cela marchait. Je sentais Julie se détendre, elle avait d’ailleurs la main posée sur la cuisse de sa compagne et je voyais ses doigts se glisser de temps à autre sous le tissu de sa mini jupe. J'avais aussi remarqué le décolleté plongeant de Laurence et mon regard avais difficile de s'en détacher. Elle ne portait pas de soutien et j’étais certain qu’il en était de même pour Julie. J’étais maintenant la cuisse collée contre celle de ma voisine et nous avions chacun notre main sur notre cuisse. Vers 22h00 je me décidais à passer à l'étape suivante et je posa ma main sur celle de Laurence, la saisi et la reposa sur ma cuisse. Je posait ainsi la mienne sur sa cuisse et imitais Julie en glissant les doigts sous le tissu de sa jupe.
Julien 'avait rien remarqué jusqu'à ce que je frôle ses doigts alors qu'elle caressait discrètement la chatte de sa compagne. Elle releva les yeux, me fixa et tenta de se dégager. Mais trop tard, j'avais saisi sa main et je la maintenais entre les cuisse de Laurence l'accompagnant dans ses caresses du clito.
Je vis alors la résignation dans son regard, mais aussi un reste de mépris. Mais je ne céda pas.
De l'autre main j'avais sorti ma bite de mon pantalon et posé la la main de Laurence dessus. Je ne du pas lui faire un dessin de mes attentes. Elle commença tout de suite la saisissant et me masturba. Il ne fallut pas longtemps avant que ma queue se mette au garde à vous.
De l'autre coté Julie le regard entre la jalousie et l'envie, elle avait posé sa tête sur l'épaule de son amie et Laurence ayant écarté les cuisses, elle lui caressait le clito alors que j’introduisais dans sa chatte deux doigts.
Laurence commença à gémir et c'est moment que je choisi pour faire mes demandes.
Moi : Les filles, déshabillez-vous !
Julie : Mais...
Moi : Déshabillez-vous !
Laurence se leva sans rien dire, ôta son chemisier, déboutonna sa mini jupe et la fit glisser au sol. Nue, elle se tourna vers Julie pour l'attirer à elle et lui enlever les vêtements. Elle fit passer par dessus elle la longue robe et je les découvrir ainsi toutes les deux nues face à moi.
Laurence : Maintenant que veux-tu que nous fassions ?
Moi : Rien de plus que ce que vous faites quand vous baisez ensemble. Je m’immisçais dans votre couple quand j'en aurai envie.
Julie et Laurence se regardèrent. Laurence reprit sa place dans le divan écarta les cuisses et branla à nouveau ma bite. Elle était dans l'idée de remplir sa part du contrat. Julie elle s'agenouilla et s'occupa de la chatte de sa compagne. La branlette, mais surtout la vision de ces deux filles m'excitait vraiment. Je finis par passer ma main derrière Laurence et la posant sur son cou, je l'invita à me sucer la bite.
Je senti à ce moment une certaine résistance, elle ne devait certaine pas en avoir l'habitude, mais elle se lança et après avoir fourré toute ma queue dans sa bouche, elle imprima le même mouvement que quand elle me branlait.
Estimant que cette entrée en matière avait assez durée, je les ai emmenée dans ma chambre. Cette fois libre de baiser comme elles en avaient l'habitude, elles se couchèrent sur le lit et se positionnèrent en 69 Laurence sur Julie. Je les regardais et petit à petit, elles gémirent toutes les deux. C'est à ce moment que je m'introduis dans le couple pour former un trio. Laissant Laurence s'occuper du clito, je me positionnais pour glisser ma langue sur sa chatte. J'ai léché ses lèvres, grandes et petites, et même introduit ma langue en elle. Julie savait ce qui se passait mais elle se concentrait sur Laurence et accepta plus facile mes caresses.
Pendant une certain je me suis contenter de lécher la chatte de Julie et d'alterner avec ma langue dans le cul de Laurence. Elles ne manifestaient plus de mal être. Elles avaient peut-être même oublié que j’étaie là.
Mais cela changea quand je décida d'utiliser ma bite avec elles.
Moi : Les filles, il va falloir maintenant s'occuper de moi. Vous avez toutes deux déjà jouis plusieurs fois c'est à mon tour.
Je me suis couché sur le lit leur ordonnant de me lécher la queue. Laurence obéi tout de suite, mais Julie dû être encouragée pour prendre en bouche un sexe d'homme. Par la suite j'appris que c'était une première pour elle, de même que tout ce qui concerne le sexe avec un homme.
Moi : Allez les filles lâchez vous ! Je veux que vous me la suciez comme si c'était un sucre d'orge.
Mais Julie avait du mal et je l'encouragea.
Moi : C'est un concours, aujourd'hui, je ne pénétrerai pas celle qui me fera jouir et qui avalera mes premiers jets de sperme.
Laurence : Vas-y Julie. Suce-le, c'est moi qu'il baisera ce soir.
Julie : Mais Laurence...
Laurence : Ne crains rien ce sera plus facile pour toi d'avaler son foutre que de te faire pénétrer par une bite aujourd'hui.
Laurence cessa de me sucer et regarda son amie faire son possible pour me faire jouir.
Moi : Laurence tu ne va pas rester inactive, viens ici que je m'occupe de toi.
Elle m'enjamba et posa son sexe sur ma bouche. Je me suis occupé d'elle pendant les 10 min qu'il fallut à Julie pour me faire jouir. Je ne l'ai pas prévenue et elle prit deux jets de foutre au fond de la gorge. La surprise allait la faire recracher, mais je dit.
Moi : Il faut avaler. Ça fait partie du deal.
Elle me regarda et presque des larmes dans les yeux elle avala.
Moi : C'est bien maintenant tu fais ce que tu veux, soit tu regarde, soit tu t'occupe de Laurence puisqu'elle c'est sacrifiée pour toi. Toi Laurence nettoie ma bite et rends lui vigueur.
Laurence : Bien Monsieur.
Moi : Ah non pas de monsieur. Je veux entendre du désir. Alors c'est mon amour et quand je vais te prendre je veux entendre des « Oh oui... encore... plus fort, plus profond. Continue... baise-moi encore ! » Où tout autre phrases exprimant du désir et du plaisir.
Laurence se pencha sans dire un mot et nettoya ma bite, ensuite elle me branla et me suça jusqu'à ce que je bande à nouveau. Pendant ce temps Julie prise de remords l'aida en me léchant aussi la queue.
Quand le moment fut venu, Laurence m'enjamba à nouveau, mais cette fois elle se laissa glisser sur ma bite.
Le réel désir n'étant pas là, je dû légèrement forcer l'entrée, mais après quelques mouvements, elle mouillait si bien qu'elle glissait dessus sans plus aucun problème. Elle n'oublia pas les encouragements et se laissa aller.
Julie regardait et tenant le bras de sa compagne pleurait lui demandant pardon.
Julie : Mon amour, je suis désolée, je te promets que la prochaine fois je... c'est moi qu'il prendra avec cette horreur. Pardon... s'il te plaît !
Laurence ne répondait pas car maintenant je devinait qu'elle commençait à prendre du plaisir à sentir ce sexe d'homme en elle. Mais sûrement qu'elle ne voulait pas que Julie soupçonne qu'elle aimait sentir ma bite en elle. Mais même si il fallut un certain temps, elle fini par jouir empalée dessus et quelques instant plus tard je jouis pour la deuxième fois.
Laurence repris ses esprits alors que Julie la serait dans ses bras.
Laurence : Je suis désolée, j'ai essayé de résister, mais j'ai échoué.
Julie : Ne t'inquiète pas mon amour je sais quel sacrifice tu viens de faire pour moi.
Il était maintenant 2h du matin et elles allaient se rhabiller. Mais il n'en n'était pas question. L'accord disait qu'elles passeraient la nuit avec moi.
Moi : Ah non les filles, vous restez ici jusque demain matin.
Laurence : Mais tu nous à baiser ?
Moi : Oui... mais je veux dormir avec vous.
Julie : Comment cela ?
Moi : Oui... couchez vous.
Je pris le contrat et le brandis.
Laurence : mais nous n'avons rien à mettre !
Moi : pas besoin, nous allons allez prendre une douche ensemble ensuite nous nous coucherons nu les uns contre les autres.
Je finis donc la nuit collé au dos de Julie, la bite entre ses cuisses et Laurence dans ces bras.
A suivre.
Avec Laurence et Julie, mais aussi avec tous les autres.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par Trekkie
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...