L'aire d'autoroute 1/2
Récit érotique écrit par DelQ [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-12-2024 dans la catégorie Dominants et dominés
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L'aire d'autoroute 1/2
17 heures déjà. Je roule depuis un bon moment pour retrouver le confort de mon appartement. J'ai faim, soif, et une envie de pisser bien trop forte pour parcourir la dizaine de kilomètres qui me séparent de ma destination.
L'aire de repos est vide, je me gare proche des toilettes et me dirige vers les urinoirs. L'endroit est propre, c'est déjà ça. Alors que je commence à défaire ma ceinture, j'entends une voiture qui se gare et un claquement de portière. L'homme s'engouffre dans les toilettes et se jette sur l'urinoir le plus proche, il baisse d'une main son pantalon et fait gicler un puissant jet d'urine quasi instantanément, bruyant. Très bruyant.
Bref j'essaie tout de même de finir ma propre affaire, et remet mon pantalon. Depuis quelque secondes l'endroit est calme, étrangement l'homme est toujours là, main sur son pénis, à faire de légers mouvements de va-et-vient. A peine le temps de remarquer son geste que je lève les yeux et le vois qui me fixe. Aucun sourire, mais ses yeux brillent d'une lueur perverse. Sans explication les miens font un rapide aller retour de son entre jambe vers son visage.
L'erreur. Sans dire un mot, en maintenant simplement son pantalon avec une main, il se dirige vers un WC et ferme la porte. Je n'entends pas le loquet.
Je ne sais pas ce qui se passe dans ma tête à ce moment précis. Vraiment. J'ai le visage en feu, de peur, de honte, d'excitation, de frustration.
Je me dirige alors vers le lavabo. Savon, eau, serviette de papier. J'oublie, j'ai soif, alors je bois sans m'arrêter. J'ai l'impression que cet instant dure une éternité. Une fois rassasié je me dirige vers la sortie puis me stoppe. Je remarque la bosse sous mon pantalon. Mon cerveau est toujours dans le flou alors que toutes seules, mes jambes font demi tour. Je prends une serviette de papier et rejoins l'homme dans ce WC non verrouillé.
La scène est étrange. L'homme a dans sa main droite son imposant sexe en érection, dans sa main gauche ses testicules. La mécanique est bien huilée, il s'astique le manche avec vigueur tout en malaxant ses deux grosses couilles lisses. Il ne me regarde même pas mais sait très bien que je suis debout face à lui, tétanisé. Après une longue minute à l'observer, il se fige, sa respiration se coupe et, heureusement l'endroit est vide, lâche un long râle de contentement. De longs jets de sperme giclent de sa tige et viennent s'écraser sur tout ce qui se trouve devant lui, mon t-shirt également. Il saisit alors la serviette en papier dans ma main et éponge la semence figée sur mon vêtement. Il s'essuie ensuite la bite et plie la serviette gluante en quatre. Il sort un stylo de sa poche, griffonne rapidement quelque chose sur le bout de papier humide puis me le tend. Mécaniquement je le récupère. Le temps de me rendre compte que j'ai les doigt collants de foutre et de lire que ce gros pervers a écrit son numéro, il s'est déjà envolé.
Mon cœur bat bien trop vite pour reprendre la route dans cet état. Je m'assoie à mon tour sur le siège chaud du WC, et commence à me branler rapidement. Affaire pliée en moins de 10 secondes.
L'aire de repos est vide, je me gare proche des toilettes et me dirige vers les urinoirs. L'endroit est propre, c'est déjà ça. Alors que je commence à défaire ma ceinture, j'entends une voiture qui se gare et un claquement de portière. L'homme s'engouffre dans les toilettes et se jette sur l'urinoir le plus proche, il baisse d'une main son pantalon et fait gicler un puissant jet d'urine quasi instantanément, bruyant. Très bruyant.
Bref j'essaie tout de même de finir ma propre affaire, et remet mon pantalon. Depuis quelque secondes l'endroit est calme, étrangement l'homme est toujours là, main sur son pénis, à faire de légers mouvements de va-et-vient. A peine le temps de remarquer son geste que je lève les yeux et le vois qui me fixe. Aucun sourire, mais ses yeux brillent d'une lueur perverse. Sans explication les miens font un rapide aller retour de son entre jambe vers son visage.
L'erreur. Sans dire un mot, en maintenant simplement son pantalon avec une main, il se dirige vers un WC et ferme la porte. Je n'entends pas le loquet.
Je ne sais pas ce qui se passe dans ma tête à ce moment précis. Vraiment. J'ai le visage en feu, de peur, de honte, d'excitation, de frustration.
Je me dirige alors vers le lavabo. Savon, eau, serviette de papier. J'oublie, j'ai soif, alors je bois sans m'arrêter. J'ai l'impression que cet instant dure une éternité. Une fois rassasié je me dirige vers la sortie puis me stoppe. Je remarque la bosse sous mon pantalon. Mon cerveau est toujours dans le flou alors que toutes seules, mes jambes font demi tour. Je prends une serviette de papier et rejoins l'homme dans ce WC non verrouillé.
La scène est étrange. L'homme a dans sa main droite son imposant sexe en érection, dans sa main gauche ses testicules. La mécanique est bien huilée, il s'astique le manche avec vigueur tout en malaxant ses deux grosses couilles lisses. Il ne me regarde même pas mais sait très bien que je suis debout face à lui, tétanisé. Après une longue minute à l'observer, il se fige, sa respiration se coupe et, heureusement l'endroit est vide, lâche un long râle de contentement. De longs jets de sperme giclent de sa tige et viennent s'écraser sur tout ce qui se trouve devant lui, mon t-shirt également. Il saisit alors la serviette en papier dans ma main et éponge la semence figée sur mon vêtement. Il s'essuie ensuite la bite et plie la serviette gluante en quatre. Il sort un stylo de sa poche, griffonne rapidement quelque chose sur le bout de papier humide puis me le tend. Mécaniquement je le récupère. Le temps de me rendre compte que j'ai les doigt collants de foutre et de lire que ce gros pervers a écrit son numéro, il s'est déjà envolé.
Mon cœur bat bien trop vite pour reprendre la route dans cet état. Je m'assoie à mon tour sur le siège chaud du WC, et commence à me branler rapidement. Affaire pliée en moins de 10 secondes.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci pour ce texte court et bien écrit. Il y a dans sa brièveté une sincérité qui me touche.
La bosse qui se forme est une vérité qu'un homme doit savoir reconnaitre.
C'est cette réaction, dans une autre situation, qui m'a convaincu de ma propre bisexualité.
La bosse qui se forme est une vérité qu'un homme doit savoir reconnaitre.
C'est cette réaction, dans une autre situation, qui m'a convaincu de ma propre bisexualité.
