L'amant corse
Récit érotique écrit par Passud [→ Accès à sa fiche auteur]
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-01-2023 dans la catégorie Entre-nous, les hommes
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L'amant corse
Je ne suis plus novice en homosexualité, à cette époque.
Mais je ne pratique que depuis quelques mois en lieu de rencontres et malheureusement le plaisir n'est pas complètement au rendez-vous, à chaque fois.
L'expérience de mes amants militaires me manque, mes nouveaux rapports furtifs sont souvent frustrants.
Ce jour-là, des amis m'attendent pour une virée sur Marseille.
Comme souvent, je traine un peu et arrive en retard au lieu de rendez-vous.
Je dois me rendre à l'évidence, ils sont partis sans moi, ils ont dû penser que j'avais changé d'avis.
Je ressors penaud de la brasserie et remonte la rue, je suis à quelques mètres du cinéma porno que je commence à fréquenter.
D'un mouvement brusque, je tourne sur ma droite et me place devant le guichet pour payer mon entrée.
Je m'étonne moi-même de mon initiative, habituellement, j'attends que le désir me tenaille pour y succomber.
C'est donc la première fois que je vais dans ce lieu sans désir homosexuel.
Je me faufile au bas de la salle en milieu de rangée, cinq rangées de sièges me précèdent.
Le film est quelconque, peut être un de ceux qui montraient Catherine Ringer ou la Cicciolina dans la fleur de l'âge.
Je devine que certains hommes se font du bien en regardant le film.
Un inconnu se place dans la rangée devant moi, et tourne sans arrêt la tête pour regarder, si je me branle.
Mais je devine qu'il est passif, et ne lui donne pas d'espoir, ni de signe que quelque chose se passera entre nous.
Après 45 minutes, un homme svelte et grand, s'assied à mes côtés.
Il caresse ma cuisse droite. Je le laisse faire.
Il comprend que je suis ouvert pour aller plus loin et il se soulève pour dégager sa bite en érection en baissant son jean.
Je découvre une queue splendide, un peu large, et assez longue, avec un gland très proéminent.
"Tu veux t'en occuper?". Me demandes t'il.
Je ne réponds que par geste en déposant ma main sur elle pour entamer une douce masturbation.
Un autre homme s'assoit au bout de notre rangée pour nous mater.
Je ne peux plus résister au désir, je me baisse pour englober sa longue bite avec ma gorge.
Je le suce passionnément, avec vice.
A chaque gémissement, lors d'une pratique particulière, je réitère pour l'entendre encore manifester son plaisir.
"Hum, j'adore comme tu me suces, minot ! T'es doué !"
Comme beaucoup, il me pense beaucoup plus jeune que mon âge réel.
Après un bon quart d'heure, il ose me demander:
"Tu baises aussi ?".
"Oui !".
"Alors, Suis moi aux chiottes, j'ai envie de m'occuper de toi comme tu le mérites ! J'adore les jeunes comme toi !".
J'attends quelques secondes après son départ, pour le rejoindre aux WC.
A l'intérieur, nous ne sommes pas seuls, mais il s'en moque et ouvre le seul cabinet qui s'y trouve pour m'inviter à le rejoindre.
Les deux autres hommes me regardent entrer en devinant que j'y vais pour me faire baiser, ils ont clairement envie de me faire la même chose, mais ils devront essayer plus tard.
L'inconnu ferme le loquet de la porte derrière nous.
Il appuie sur ma tête, pour que je lui redonne la vigueur nécessaire pour me prendre.
"Fous toi à poil pendant que tu me suces!".
Il m'aide un peu, la pratique n'est pas simple.
Mes vêtements s'accumulent dans un coin.
"Putain, jeune! Je vais te baiser à fond ! Tu me plais trop ! Tourne toi, tends-moi ton cul !".
Il ne fait aucun doute que les hommes présents à coté, entendent tout.
Je me retrouve au-dessus de la cuvette avec les fesses tendues vers lui, en prenant appui sur mes mains contre le mur.
Il crache dans le creux de sa main pour me lubrifier l'anus et couvre sa longue queue, à plusieurs reprises.
Il joue avec son gland gonflé contre mon œillet.
"Allez enfonces toi sur ma bite, petite salope !".
Ses mots crus m'excitent, autant que son envie de me baiser. Je veux lui donner du plaisir.
Je pose mes mains de chaque côté de mes fesses en les écartant et peu à peu, mon anus laisse passer son gland en moi.
Je recule pour le ressortir, puis je reviens sur lui, son sexe me pénètre alors plus profondément.
"Oh, putain, c'est bon ça, continues, je vais bien te faire prendre ton pied tu verras !".
Je gémis en continuant ma pénétration, je mords mes lèvres lorsqu'il vient cogner au fond de mon cul.
Je pose à nouveau mes mains sur le mur, pendant qu'il s'accroche à mes épaules en s'enfonçant.
"J'adore ton cul ! Jeune ! T'es déjà une sacrée salope ! Je vais te baiser comme tu le mérites !".
Il amplifie et accélère ses mouvements, Je me tourne sur le côté pour mordre mon bras sous ses assauts.
"Oh, putain j'adore t'enculer ! je suis sûr qu'on t'a jamais défoncé comme ça ! J'ai tort ?".
"Ouhhhh, non, arhhhhhhhhhhhhhh! arhhhhhhhhhhhhhh! arhhhhhhhhhhhhhh!".
Etrangement, je ressentais du plaisir à dire à mes amants, ce qu'il voulait entendre.
Mais surtout, j'avais un besoin pervers de me sentir possédé par un homme, quitte à lui mentir.
Il me fait mal, mais j'aime qu'il me besogne ainsi, le plaisir est plus fort que la douleur.
Sa queue est trop longue et cogne au fond de mon anus.
Le plaisir de cette saillie brutale est amplifié par ses mots crus. Je sais qu'on nous écoute de l'autre côté, mais cela m'excite aussi.
Par contre, je découvre qu'il est très endurant, c'est un renouveau pour moi, la plupart de mes amants furtifs tiennent 5 à 10 minutes, tout au plus.
Pour atténuer sa possession, je passe une main sous mon anus pour le sentir entrer en moi et le retenir, qui sait ?
J'ai la surprise de me souiller la main avec mes sécrétions anales, dues à la longue sollicitation de mon cul.
J'en profite vicieusement pour lui caresser les couilles pendant qu'il me défonce.
"Ouais ! Salope, encore caresse moi les couilles, t'aimes comme je te baises ?".
"Arhhhhhhhhh, oui ! On m'a jamais enculé comme ça ! Continues ! Arhhhhhhhhhhhhhhhhhh".
Je pense au paradoxe, je n'avais pas de désir homo et me voilà en train de me sentir à ma place, comme jamais.
"Putain, je prends mon pied à t'enculer, petite salope ! Je vais te mettre la dose, ça monte doucement là !".
"Arhhh, oh putain ! jouis, tu me détruit le cul, arhhhhhhhhhhhhhh".
"Pas encore ! Je veux encore en profiter !".
Il me déplace, et me plie en deux en appuyant sur mon dos, debout sur mes jambes, ses assauts m'écrasent contre le mur dans cette position inconfortable.
Mon visage est proche de mes chevilles, je vois son pantalon à ses pieds pendant qu'il plante inlassablement son long pieu dans mon anus.
Je reçois plusieurs coulées de sécrétions anales sur le menton, au rythme de son défoulement.
Un homme essaie d'ouvrir la porte, mais n'insiste pas en entendant mes gémissements de plaisir sous les commentaires et les coups de queue de mon amant.
J'avoue que je subis plus que je ne prends du plaisir, mais cela reste très excitant de lui offrir mon cul ainsi. C'est devenu un but dans mes rencontres, je me découvre une passion pour ce genre de soumission sexuelle.
Je rentre dans ses conversations salaces en lui réclamant qu'il me démonte comme il le désire.
Mes râles l'excitent.
Il se cramponne à mes fesses en grognant comme une bête.
"Arhhhhhhhhhhh, ouais ! Arhhhhhhhhhhhh ! Tiens ! Je te remplis le cul ma petite pute ! Ahhhgrrrrrrrrrrrrrrrrrrr !".
Je reçois son éjaculation dans cette position scabreuse, écrasé contre le mur.
Il se vide en moi interminablement, je suis fier d'avoir tenu jusqu'au bout de ses assauts, son déversement dans mes entrailles est une récompense.
Il recule enfin et m'attire avec lui en s'asseyant sur la cuvette.
"Oh putain, jeune ! j'ai adoré t'enculer ! J'ai pris un pied de malade ! T'encaisses bien pour un minot !".
Son gland est collé au fond de moi, je devine une grosse quantité de sperme dans mon rectum.
J'ai un début de mouvement de séparation pour quitter sa queue.
"Attends, reste encore un peu ! On est bien là ! Non ?".
"Ben, tu es long, c'est un peu douloureux ! J'ai pas l'habitude !".
"T'as aimé ?".
"Oui, c'était génial !".
"T'aimes être soumis, ça se voit ! La prochaine fois, je te défoncerai encore comme ça ! D'accord ?".
"Oui, j'aimerai bien recommencer !".
Il me donne son prénom à consonnance corse, puis lentement, on se sépare sexuellement, et il me laisse seul dans les toilettes.
Je mets pas mal de temps à retrouver mes esprits, à m'essuyer l'anus, les fesses et m'habiller ensuite.
Je sors sous le regard de plusieurs hommes qui se masturbent, et me rend directement dans la salle de projection.
Je me cale dans un coin pour ne pas être sollicité par d'autres hommes, j'ai besoin de récupérer.
Poussé par le besoin de me libérer du sperme de mon amant, je retourne aux toilettes.
En sortant du cabinet, un homme à mon goût, se tourne en exhibant une magnifique queue.
Il m'honorera d'une belle éjaculation dans la gorge, après une longue fellation passionnée.
Je finirai ma journée avec 4 nouvelles fellations et une autre sodomie, beaucoup plus conventionnelle et rapide.
Rentré chez moi, je n'arrive plus à chasser de ma mémoire la sensation que m'a donné cet homme dominateur.
Je me caresse, empli de ces souvenirs et souille mon ventre de mon sperme en éjaculant.
Mais je ne pratique que depuis quelques mois en lieu de rencontres et malheureusement le plaisir n'est pas complètement au rendez-vous, à chaque fois.
L'expérience de mes amants militaires me manque, mes nouveaux rapports furtifs sont souvent frustrants.
Ce jour-là, des amis m'attendent pour une virée sur Marseille.
Comme souvent, je traine un peu et arrive en retard au lieu de rendez-vous.
Je dois me rendre à l'évidence, ils sont partis sans moi, ils ont dû penser que j'avais changé d'avis.
Je ressors penaud de la brasserie et remonte la rue, je suis à quelques mètres du cinéma porno que je commence à fréquenter.
D'un mouvement brusque, je tourne sur ma droite et me place devant le guichet pour payer mon entrée.
Je m'étonne moi-même de mon initiative, habituellement, j'attends que le désir me tenaille pour y succomber.
C'est donc la première fois que je vais dans ce lieu sans désir homosexuel.
Je me faufile au bas de la salle en milieu de rangée, cinq rangées de sièges me précèdent.
Le film est quelconque, peut être un de ceux qui montraient Catherine Ringer ou la Cicciolina dans la fleur de l'âge.
Je devine que certains hommes se font du bien en regardant le film.
Un inconnu se place dans la rangée devant moi, et tourne sans arrêt la tête pour regarder, si je me branle.
Mais je devine qu'il est passif, et ne lui donne pas d'espoir, ni de signe que quelque chose se passera entre nous.
Après 45 minutes, un homme svelte et grand, s'assied à mes côtés.
Il caresse ma cuisse droite. Je le laisse faire.
Il comprend que je suis ouvert pour aller plus loin et il se soulève pour dégager sa bite en érection en baissant son jean.
Je découvre une queue splendide, un peu large, et assez longue, avec un gland très proéminent.
"Tu veux t'en occuper?". Me demandes t'il.
Je ne réponds que par geste en déposant ma main sur elle pour entamer une douce masturbation.
Un autre homme s'assoit au bout de notre rangée pour nous mater.
Je ne peux plus résister au désir, je me baisse pour englober sa longue bite avec ma gorge.
Je le suce passionnément, avec vice.
A chaque gémissement, lors d'une pratique particulière, je réitère pour l'entendre encore manifester son plaisir.
"Hum, j'adore comme tu me suces, minot ! T'es doué !"
Comme beaucoup, il me pense beaucoup plus jeune que mon âge réel.
Après un bon quart d'heure, il ose me demander:
"Tu baises aussi ?".
"Oui !".
"Alors, Suis moi aux chiottes, j'ai envie de m'occuper de toi comme tu le mérites ! J'adore les jeunes comme toi !".
J'attends quelques secondes après son départ, pour le rejoindre aux WC.
A l'intérieur, nous ne sommes pas seuls, mais il s'en moque et ouvre le seul cabinet qui s'y trouve pour m'inviter à le rejoindre.
Les deux autres hommes me regardent entrer en devinant que j'y vais pour me faire baiser, ils ont clairement envie de me faire la même chose, mais ils devront essayer plus tard.
L'inconnu ferme le loquet de la porte derrière nous.
Il appuie sur ma tête, pour que je lui redonne la vigueur nécessaire pour me prendre.
"Fous toi à poil pendant que tu me suces!".
Il m'aide un peu, la pratique n'est pas simple.
Mes vêtements s'accumulent dans un coin.
"Putain, jeune! Je vais te baiser à fond ! Tu me plais trop ! Tourne toi, tends-moi ton cul !".
Il ne fait aucun doute que les hommes présents à coté, entendent tout.
Je me retrouve au-dessus de la cuvette avec les fesses tendues vers lui, en prenant appui sur mes mains contre le mur.
Il crache dans le creux de sa main pour me lubrifier l'anus et couvre sa longue queue, à plusieurs reprises.
Il joue avec son gland gonflé contre mon œillet.
"Allez enfonces toi sur ma bite, petite salope !".
Ses mots crus m'excitent, autant que son envie de me baiser. Je veux lui donner du plaisir.
Je pose mes mains de chaque côté de mes fesses en les écartant et peu à peu, mon anus laisse passer son gland en moi.
Je recule pour le ressortir, puis je reviens sur lui, son sexe me pénètre alors plus profondément.
"Oh, putain, c'est bon ça, continues, je vais bien te faire prendre ton pied tu verras !".
Je gémis en continuant ma pénétration, je mords mes lèvres lorsqu'il vient cogner au fond de mon cul.
Je pose à nouveau mes mains sur le mur, pendant qu'il s'accroche à mes épaules en s'enfonçant.
"J'adore ton cul ! Jeune ! T'es déjà une sacrée salope ! Je vais te baiser comme tu le mérites !".
Il amplifie et accélère ses mouvements, Je me tourne sur le côté pour mordre mon bras sous ses assauts.
"Oh, putain j'adore t'enculer ! je suis sûr qu'on t'a jamais défoncé comme ça ! J'ai tort ?".
"Ouhhhh, non, arhhhhhhhhhhhhhh! arhhhhhhhhhhhhhh! arhhhhhhhhhhhhhh!".
Etrangement, je ressentais du plaisir à dire à mes amants, ce qu'il voulait entendre.
Mais surtout, j'avais un besoin pervers de me sentir possédé par un homme, quitte à lui mentir.
Il me fait mal, mais j'aime qu'il me besogne ainsi, le plaisir est plus fort que la douleur.
Sa queue est trop longue et cogne au fond de mon anus.
Le plaisir de cette saillie brutale est amplifié par ses mots crus. Je sais qu'on nous écoute de l'autre côté, mais cela m'excite aussi.
Par contre, je découvre qu'il est très endurant, c'est un renouveau pour moi, la plupart de mes amants furtifs tiennent 5 à 10 minutes, tout au plus.
Pour atténuer sa possession, je passe une main sous mon anus pour le sentir entrer en moi et le retenir, qui sait ?
J'ai la surprise de me souiller la main avec mes sécrétions anales, dues à la longue sollicitation de mon cul.
J'en profite vicieusement pour lui caresser les couilles pendant qu'il me défonce.
"Ouais ! Salope, encore caresse moi les couilles, t'aimes comme je te baises ?".
"Arhhhhhhhhh, oui ! On m'a jamais enculé comme ça ! Continues ! Arhhhhhhhhhhhhhhhhhh".
Je pense au paradoxe, je n'avais pas de désir homo et me voilà en train de me sentir à ma place, comme jamais.
"Putain, je prends mon pied à t'enculer, petite salope ! Je vais te mettre la dose, ça monte doucement là !".
"Arhhh, oh putain ! jouis, tu me détruit le cul, arhhhhhhhhhhhhhh".
"Pas encore ! Je veux encore en profiter !".
Il me déplace, et me plie en deux en appuyant sur mon dos, debout sur mes jambes, ses assauts m'écrasent contre le mur dans cette position inconfortable.
Mon visage est proche de mes chevilles, je vois son pantalon à ses pieds pendant qu'il plante inlassablement son long pieu dans mon anus.
Je reçois plusieurs coulées de sécrétions anales sur le menton, au rythme de son défoulement.
Un homme essaie d'ouvrir la porte, mais n'insiste pas en entendant mes gémissements de plaisir sous les commentaires et les coups de queue de mon amant.
J'avoue que je subis plus que je ne prends du plaisir, mais cela reste très excitant de lui offrir mon cul ainsi. C'est devenu un but dans mes rencontres, je me découvre une passion pour ce genre de soumission sexuelle.
Je rentre dans ses conversations salaces en lui réclamant qu'il me démonte comme il le désire.
Mes râles l'excitent.
Il se cramponne à mes fesses en grognant comme une bête.
"Arhhhhhhhhhhh, ouais ! Arhhhhhhhhhhhh ! Tiens ! Je te remplis le cul ma petite pute ! Ahhhgrrrrrrrrrrrrrrrrrrr !".
Je reçois son éjaculation dans cette position scabreuse, écrasé contre le mur.
Il se vide en moi interminablement, je suis fier d'avoir tenu jusqu'au bout de ses assauts, son déversement dans mes entrailles est une récompense.
Il recule enfin et m'attire avec lui en s'asseyant sur la cuvette.
"Oh putain, jeune ! j'ai adoré t'enculer ! J'ai pris un pied de malade ! T'encaisses bien pour un minot !".
Son gland est collé au fond de moi, je devine une grosse quantité de sperme dans mon rectum.
J'ai un début de mouvement de séparation pour quitter sa queue.
"Attends, reste encore un peu ! On est bien là ! Non ?".
"Ben, tu es long, c'est un peu douloureux ! J'ai pas l'habitude !".
"T'as aimé ?".
"Oui, c'était génial !".
"T'aimes être soumis, ça se voit ! La prochaine fois, je te défoncerai encore comme ça ! D'accord ?".
"Oui, j'aimerai bien recommencer !".
Il me donne son prénom à consonnance corse, puis lentement, on se sépare sexuellement, et il me laisse seul dans les toilettes.
Je mets pas mal de temps à retrouver mes esprits, à m'essuyer l'anus, les fesses et m'habiller ensuite.
Je sors sous le regard de plusieurs hommes qui se masturbent, et me rend directement dans la salle de projection.
Je me cale dans un coin pour ne pas être sollicité par d'autres hommes, j'ai besoin de récupérer.
Poussé par le besoin de me libérer du sperme de mon amant, je retourne aux toilettes.
En sortant du cabinet, un homme à mon goût, se tourne en exhibant une magnifique queue.
Il m'honorera d'une belle éjaculation dans la gorge, après une longue fellation passionnée.
Je finirai ma journée avec 4 nouvelles fellations et une autre sodomie, beaucoup plus conventionnelle et rapide.
Rentré chez moi, je n'arrive plus à chasser de ma mémoire la sensation que m'a donné cet homme dominateur.
Je me caresse, empli de ces souvenirs et souille mon ventre de mon sperme en éjaculant.
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3 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci, ça change des insultes et de ceux qui trouvent mes récits trop vulgaires !
J'adore routes les histoires de Passud. Ça me fait mouiller c'est dingue. Beaucoup plus que les histoires hétérosexuelles.
Très excitant!